Hello tout le monde!
Cette fic n'est pas un KakaxSaku, je tiens à vous prévenir. Il y a un Naru/Saku et un Kaka/???
Voilà bonne lecture ^^! (Et n'hésitez pas à me laisser des reviews au passage)
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« La paix est une vague idée du bonheur, rien de plus. Avant alors que l'homme n'existe, les êtres vivaient en harmonie et la lueur du soleil ne s'atténuait pas sous les massacres. Quand l'homme est apparut, la désolation a surgit des profondeurs de la Terre. Tout ce malheur a éveillé un sentiment chez chaque être humain, la haine. D'elle nous sommes nés.
Cette haine est à l'origine de toute guerre. Vous pensez que l'orgueil est le seul fautif et qu'il n'est qu'une chose à part. Mais vous vous trompez, c'est une autre forme qui nous consumera tous prématurément. Malheureusement, moi-même je ne crois pas à la paix. Les gens sont trop divisés et ne tiennent compte que des différences qui nous séparent et non des choses qui nous lient.
Tant que le monde ne changera pas, la guerre continuera alors de faire des victimes et des orphelins. »
Propos du Jounin Hatake Sakumo au Sandaime Hokage
C'était sans l'ombre d'un doute la pire journée de mon existence. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être heureuse à la vision de ce jeune pouce qui se tortillait en hurlant dans les bras de Kakashi Hatake. Ce dernier ne savait apparemment pas quoi faire, il essayait de le calmer du mieux qu'il pouvait, en le berçant maladroitement et en lui semant gentiment de se calmer. Je ne pouvais parler. Ma gorge était sèche, et mes lèvres rigides comme de la pierre ne répondaient plus.
L'odeur du sang emplit mes narines et je sentis une sorte de liquide épais qui était en train de sécher et de coller à la peau de mes fesses. Cela n'avait pas d'importance, je ne m'étais jamais sentie aussi vivante de toute ma courte existence. Je ressentais une sorte de jouissance que je n'avais alors jamais connue, celle d'avoir été enfin utile.
Je cherchai alors des yeux un homme à la chevelure blonde, un homme qui n'était pas là à mes côtés. Seul Kakashi demeurait debout, près de moi, attendant que je le regarde enfin. Il me regardait de cet air à la fois grave et triste et je su alors que quelque chose n'allait pas. Mais quoi ? Il s'accroupit silencieusement à côté de moi, et il mit le nouveau-né entre mes bras. Il était brûlant, j'avais l'impression qu'il était né de la lave en fusion. Pourtant c'était de moi qu'il était sortit il y a quelques instants. Je grimaçai face à cette sensation qui brûlait les avant-bras qui soutenaient l'enfant. Il essayait vainement de se tourner vers moi, sa mère.
D'ailleurs Il ou elle ?
- Ce sera une princesse qui tiendra énormément de son père.
Bien qu'elle aurait voulut paraître joyeuse, la voix grave de mon sensei se révéla inquiète. Elle cachait même un sous-entendu. Je voulu tourner la tête en sa direction, lui adresser un geste de remerciement, mais je n'en n'eus pas la force. Tout ceci m'avait fatigué. Ma vue se troubla et mes muscles se décontractèrent. Je commençai à sombrer dans le néant de l'inconscience.