Ode à Dobby

Tu souffrais de nombreuses blessures

Car ton maître était des plus durs

Tu ne « petit-déjeunais » pas le matin

Au lieu de ça tu te repassais les mains.

Autour de toi des visages méprisants,

Des méchancetés, des rires sardoniques

Et toi tu te tenais à l'ombre

De ton maître tyrannique.

Tu avais des yeux- balles -de -tennis

Ou peut-être de ping-pong

Des oreilles de chauve-souris

Et aussi une toge trop longue,

Un drôle d'elfe de maison

Avec ton nez en forme de crayon.

Tu vouais une grande fidélité

A celui qui t'avais libéré

En glissant une chaussette

Dans les pages d'un vieux carnet

Et depuis pour toutes les fêtes

Tu lui offres son portrait

(En oubliant ni les lunettes

Ni les cheveux d'un noir de jais).

Pour le tournois des trois sorciers

Tu lui donnas la branchiflore

Pour le bal de Noël

Des chaussettes (presque) inodores

Tu lui montras la salle sur demande

Ravi que ce soit lui qui te commande

Le soutenant dans la difficulté

Pour toujours son allié.

Maintenant tu es mort Dobby

En voulant sauver tes amis

Tout simplement un grand « merci »

Pour avoir accompagné Harry

Hermione Granger et Wistili (?)

Dans leur quête pleine de magie.

Pour toi Dobby nous souhaitons

Le Paradis des elfes de maisons

Un lieu plein de Harry et de lunettes,

De cache-théières et de chaussettes…

Mauguine

Et

La S.A.L.E. (Société d'Aide à la Libération des elfes)