Attention: Cette histoire est déconseillé à un public qui n'apprécie pas les yaoi hard (R-18 Bien que je n'es que 15 ans) Et cette histoire m'appartient ainsi que tous les personnages, sauf Aizen-sama qui lui, appartient malheureusement à Tite Kubo.
Chapitre 1 : Une nouvelle vie
J'avançais tranquillement, suivant les autres jeunes garçons et filles d'à peu près mon âge. Nous marchions un à un derrière l'autre accompagné par deux hommes, un en avant et un en arrière qui nous tenaient tous par des cordes reliés serrement. Je me demandais où nous allions. Tout ce que je me souvenais était que notre village a été attaqué et brûlé par le feu des hommes. Cela m'avait effrayé au plus haut point.
Plus tôt, j'avais aperçu de la fenêtre de ma chambre, le village brûler sous mes propres yeux. Les gens couraient de partout dans la panique, terrifiés de ce qu'il se passait. De plus proche, j'ai pu voir un jeune garçon courant avec son père lorsque celui-ci fut tué en un seul coup de sabre. Quant à lui, le jeune garçon se fit amener par un autre homme du même camp. Ma mère était sortie de nulle part pour m'obliger à me cacher sous mon petit lit. Oui, hélas, nous n'étions pas la ville la plus riche, même que nous étions l'une des dix plus pauvres. Les gens avaient de la misère à s'acheter ne serait-ce qu'un pain d'une grandeur normale et nous ne pouvions aller à l'école.
J'avais cependant réussi à prendre quelques livres chez un marchand pour m'aider un peu. Comme je le disais, je me suis caché immédiatement sous mon lit après l'ordre que ma donnée ma mère. Je l'ai entendu redescendre les marches étroites de la maison pour que je ne puisse entendre que le silence complet, puis ensuite deux cris énormes qui ont rempli la surface de la vieille maison. Mon cœur arrêta. J'espérais bien que mes parents étaient encore en vie et que ces cris n'étaient pas les leurs. Mais mon esprit me disait amplement le contraire. Je voulu aussi descendre les marches à mon tour, par curiosité, puis pour une seule fois, ma peur fut assez grande pour que je ne puisse bouger d'un poil. Mon corps ne put s'empêcher un soubresaut que la porte en bois fine de ma chambre se fit projeter sur le mur. J'avais aperçus deux jambes se dirigeant vers le lit jusqu'à-ce qu'elles s'arrêtèrent.
-Hey! Tu n'avais pas dit qu'il se trouvait un enfant ici?!
Je vu une autre paires de chaussures s'avancer vers l'autre et je ne pus m'empêcher de me sentir étouffé par ma respiration rapide et irrégulière.
-Bien sûr, mais je suis sûr qu'il joue à cache-cache. Répondit le deuxième.
Sa voix sortait presque comme celle d'un venin. Je gloussa un peu trop fort à mon gout alors que je sentis mon lit d'où j'étais caché se casser complétement en morceaux, des débris tombant sur moi et tout autour. Mes deux bras furent prient pour se diriger vers mon dos, me bloquant de tout mouvements possible. J'étais paniqué, beaucoup plus qu'il y a quelques minutes. L'homme m'attacha les mains avec une corde et me mis ventre direct sur son épaule. J'avais aperçu le deuxième se diriger devant comme nous descendions les escaliers à une certaine vitesse. Mes yeux élargissèrent dans la peur et le regret : Mes parents.
Ma mère et mon père. Les deux personnes que je chérissais le plus au monde, étaient mortes sur le plancher près de la porte d'entrée avec leurs sangs autour d'eux. Je commençai à pleurer des larmes et des larmes de tristesse. Je ne pouvais m'arrêter. Cette douleur dans mon cœur était insupportable et cet amour, complétement brisé en mille morceaux. On m'avait obligée à me taire, mais je ne l'ai écoutaient pas. Que pouvais-je faire contre cela. J'étais vide à l'intérieur comme une poupée de porcelaine pour le reste du voyage d'où ils m'amenaient je ne savais où. J'apercevais néanmoins les vieilles maisons tomber en un simple mais géant tas de cendre, ainsi que plusieurs voitures se diriger dans la même direction, suivant le chemin d'asphalte grise.
Je marchais avec les autres enfants en ligne droite, mains liées. Il y avait eu une petite fille dont j'avais eu la chance de parler un peu avec elle pendant le trajet, en faisant attention que les gardes ne voient pas. Elle avait douze ans, ce qui signifiait trois ans de moins que moi. Ses yeux étaient d'un magnifique vert pâle et ses cheveux étaient d'un blond tout ébouriffés.
Je crois que son nom était Hisa, si je me souviens bien. Tout comme moi, ses parents avaient été tués, par contre, devant ses yeux, juste avant de se faire embarquée. Je sortis de mes souvenirs qu'Hisa me secoua un peu mon pantalon sali, en pointant du doigt un gigantesque manoir à une dizaine de mètres à notre trajet. Ses yeux brillèrent avec beaucoup d'émerveillement face à ce bâtiment. Pour moi, cela ne signifiait rien de bon en soi.
J'entendis soudainement un garde qui se trouvait derrière nous commencer à lui crier dessus alors qu'elle tomba.
-Avance à la place de faire attendre les autres et tu n'as pas intérêt à recommencer!
Je ne pus supporter cela. Hisa n'avait rien fait. Je la remis debout sur ses petites jambes, en essuyant ses larmes avant de me retourner vers l'homme.
-Elle n'a rien fait de mal et ce n'est qu'une enfant qui découvrait simplement quelque chose qu'elle n'a jamais vu de sa vie! Criais-je.
Il me regarda les sourcils froncés avec tous les autres jeunes filles et garçons que je pouvais voir que leurs regards étaient dans la compréhension, mais aussi dans la peur. Le garde enleva soudainement mes liens pour me mettre directement quatre places plus en avant que je ne l'étais plus tôt. Il me rattacha directement mes mains avec les mêmes cordes. Nous continuâmes pendant même pas une minute que deux portes s'ouvrirent pour que tous, y compris moi aussi, soyons tous à bout de souffle.
Juste à l'entrée un immense escalier en marbre blanc avec un tapis rouge vin qui le recouvrait était placé en plein milieu d'une salle. Le plancher carrelé d'un blanc coquille ainsi que les énormes fenêtres brunes rectangulaires qui étaient complété avec de longs et doux rideaux de la même couleur que le tapis. Soudainement, l'homme devant nous tira sur la corde pour nous faire avancer de nouveau, malgré l'immobilité de certains qui étaient trop époustoufler de ce que nous venions de voir pour continuer à marcher après être sortit de leurs rêves.
Il nous amenâmes dans une autre salle, cette fois plus petite que la première que nous venions d'apercevoir. Elle semblait aussi belle et magnifique, malgré assez vide. Les quatre murs remplient d'un rouge vin comme les rideaux et le tapis de toute à l'heure avec sur celui de droite, un dessin de dragon noir et doré posé sur une tapisserie un peu plus foncée. Une table en bois brun chocolat posée sur le milieu de la pièce. Nous vîmes sur le dessus de celle-ci plusieurs vêtements et robes de couleurs et de motifs inimaginables, mais élégants. Les hommes nous firent signe qu'on pouvait se changer de nos vêtements remplient de poussières contre ces habits neufs et beaux.
Je me dirigeai vers une des cabines d'essayages pour en porter un que j'eu choisit. Cela a été assez difficile pour moi, mais après quelques minutes j'avais enfin réussit à en prendre un. Le vêtement semblait être d'un coton immaculé brun pâle ainsi que beige. Il avait un collier en ruban serré en soie noir pareil au ciel de la nuit, malgré que je trouvais cela étrange que nous les garçons en avions un aussi. Puis ainsi qu'une ceinture avec le même matériau qui se supposait être autour de la taille. Des chaussures sans talons. Je sortis comme je regardais toutes les autres tourner autour d'eux-mêmes, sans cesser de se regarder. Mon prénom résonna à mes oreilles alors que je vis Hisa courir vers moi dans une robe de soie bleu ciel avec des petites chaussures blanches à ses pieds. Elle me serra dans ses bras pour ainsi que je puisse faire de même. Malgré le fait que j'étais heureux d'avoir de nouveaux habits et de me trouver dans cet endroit plus qu'extraordinaire, je sentais encore la douleur d'avoir perdu mes parents. Que je ne pourrais plus jamais les revoir.
Hisa resserra son étreinte sur moi, sentant quels sentiments j'avais et qu'elle aussi les éprouvait également. Je lui souris alors qu'un homme que j'avais déjà vu apparu. C'était celui qui avait détruit la porte de ma chambre, qui avait détruit mon lit et qui avait aussi s'en doute tuer mes parents que j'aimais. Il ne prit pas de temps pour nous indiquer où nous allions dormir, je pense, pendant un certain temps. Nous montâmes les escaliers avant qu'il ne nous divise en deux groupes. Je me fis arrêter par le bras de l'homme lorsque je me dirigeais pour suivre le reste des personnes de mon âge.
Mes sourcils se froncèrent dans l'incompréhension. Il me prit férocement mon avant-bras pour me diriger dans une chambre un peu éloignée des autres.
-Aïe! Qu'est-ce que vous faites?! Je suis supposé allez avec un des deux groupes là-bas! Dis-je en montant un peu la voix avec la douleur pompant dans la partie d'où il me tenait.
Il ne me lança même pas un seul regard, m'ignorant totalement. Quand nous étions arrivés, l'homme ouvrit la porte assez férocement à mon goût. La chambre était selon moi, plus grande et comportait beaucoup plus d'espace que les autres dont les jeunes adolescents furent amenés. Elle était merveilleuse. La chambre était dans des teintes de sombres. Un mur d'un noir d'encre ainsi que les trois autres blancs. Les meubles en marbre blanc et un miroir qui pourrait sûrement mesurer plus de quatre-vingt mètres carrés était gracieusement suspendu au-dessus d'un lit énorme avec des draps en flanelle gris foncés, remplit de coussins moelleux à ras bord. Je suppose que je ne pouvais pas rêver mieux que ça. C'était tout simplement fantastique à savoir que c'était ma chambre. À l'habitude, je suis plutôt difficile à faire l'émerveillement devant une quelconque chose. J'adorais déjà le costume que je portais en ce moment, mais là, chapeau! L'homme qui m'y avait conduit sortit de la chambre en me laissant seul.
Je sautai sur le lit joyeusement alors que plusieurs coussins rebondissèrent dans tous les sens. Les couvertures m'enveloppèrent dans une agréable chaleur de réconfort. Je lâcha un soupir de soulagement pendant que je regardais à travers les mêmes sortes de fenêtres de tout à l'heure. Il faisait déjà nuit et ma fatigue prenait le dessus à chaque secondes qui passait. Une larme coula soudainement sur le coin de ma joue rosé. Je pleurais, une nouvelle fois et je ne pu m'empêcher de continuer et de continuer sans arrêt de pleurer. Mes sanglots remplissaient la salle insonorisée. On pouvait bien m'offrir toutes les belles choses et magiques que je n'ai jamais pu connaître dans ma vie à cause de ma pauvreté, mais mes parents me manquaient, encore et toujours.
Je voulais au moins qu'ils soient tous les deux avec moi. Je venais enfin de comprendre quand mon père m'avait dit d'être le plus souvent possible avec les personnes qui te sont chères, parce qu'un jour, celles-ci partiront pour le restant de ta vie, à jamais. Après une trentaine de minutes, mes larmes ont séchées tranquillement et ma peine était finalement partit.
Tout à coup, un cri strident avait rentré dans mes oreilles. Je mis mes deux mains dessus à la sensibilité soudaine. Un nouveau sortit plus fort que le premier…Puis tout arrêta. Je n'entendis plus rien, seulement le son de ma respiration commençant à s'accélérer négativement au stress. Je paniqua alors que j'avais très bien reconnu la voix : C'était bien celle d'Hisa! J'en étais certain!
Ma main se dirigea à la vitesse de la lumière vers la poignée de la porte pour l'ouvrir et la refermée aussi vite. Je me dirigeais vers les plusieurs chambres communes d'où se situait les autres. Lorsque j'ouvris la première, personne n'y était, ainsi que la deuxième…Personne n'ont plus. Mon corps se promenait à chacune des portes des alentours pour ne voir rien, même pas une souris. Tout était silencieux. En descendant, je pouvais sentir la froideur des marches de marbre même avec le tapis persan et en portant mes chaussures.
Un nouveau cri se fit entendre pendant moins une dizaine de secondes avant que le manoir redevienne calme. Je couru vers une salle dont je n'avais jamais connu l'existence depuis que j'étais arrivé en ces lieux. La porte en bois brun fut ouverte de quelques centimètres pour le dire et je ne pouvais rien apercevoir à travers avec l'obscurité qui y régnait dans la pièce devant mes yeux. Par contre, j'en étais sûr, les cris provenaient exactement de là. Mon souffle se coupa sur le coup. Mes yeux s'agrandissaient lorsque je pu voir une énorme flaque rouge sur le plancher, se dirigeant ainsi vers moi avec tranquillité.
Je marcha deux ou trois pas en regardant devant moi. Mon cœur battait tellement dans la crainte que j'étais persuadée que celui-ci allait sortir de mon corps. La flaque dont je ne pouvais m'empêcher de marcher dessus était du sang.
Le sang d'une personne que j'appréciais, qui n'aurait pas dû mourir, qui ne pouvait pas mourir. Elle se tenait devant moi, son corps devenu rien d'autre qu'une simple enveloppe de chair, les larmes coulant de ses yeux encore ouverts. Je m'approchais d'elle pour la prendre dans mes bras. Ça ne me dérangeait absolument pas que j'étais couchée dans le tapis rouge. La totalité de moi-même fut occupée par elle : Hisa.
Cette petite fille, elle n'avait que douze ans. Elle qui me souriait, qui m'était sautée dans les bras quand nous étions arrivées ici. Hisa avait vu avec peur ses parents mourir sous ses yeux et maintenant, celle-ci avait malheureusement subie le même sort. Mes pleurs s'amplifièrent à chaque secondes qui passait. Pourquoi tout cela arrivait-il. Pourquoi est-ce que tout le monde étaient condamnés à mourir dans la souffrance. Par la fatigue, je me pencha pour m'accoter sur le dos du mur, tenant toujours Hisa morte dans mes bras. Je me sentais si faible, je n'ai rien pu faire pour la sauvée et j'étais je ne sais où. Mes yeux se fermèrent doucement pour m'en aller dans les bras de Morphée avec la pensé de mes parents.
Je me réveillai doucement, alors que ma main monta sur ma tête pour ébouriffer mes courts cheveux bruns. Mes paupières furent encore lourdes alors que je m'obligeais à les ouvrir. Quand je fus habitué à la clarté de l'endroit, je fus plus que surpris de ne plus me retrouver d'où je m'étais endormi. Je ne pouvais tout de même pas me faire monter les escaliers après les avoir descendus et être allé dans une pièce dont je ne connaissais l'identité. Il me semblait aussi que je m'étais taché de sang…Le souvenir me retraversa l'esprit sans hésitation. J'étais encore sur le point de lâcher ma peur que la porte s'ouvrit silencieusement laissant apparaitre un homme grand, en tout cas beaucoup plus que moi, assez bien bâtit. Ses cheveux étaient noirs arrivant au début du coup, un peu ébouriffés, mais bien soignés par contre. Ils étaient plus foncés que les miens. Ses yeux d'une couleur verdâtre sombrent et je pouvais identifier un sourire doux sur son visage. Sans faire paraître cela dérangeant, je pouvais avouer qu'il était bel homme. L'inconnu s'approcha de moi comme il déposa un plateau constitué de différents aliments à l'intérieur. Mes yeux virevoltaient chacun d'eux à la fois. On me donnait ça à moi. Je n'avais jamais pu avoir le tiers de ce qu'il s'y constituait dans le plateau.
Un morceau de viande accompagné de carottes et d'haricots verts. Suivi d'une tranche de pain blanc et un jus de pomme à la gauche de l'assiette. Sans réfléchir, je sauta dans les bras de l'homme. Je le vu qu'il fut un peu surpris mais je ne m'en souciais point. Des larmes tombèrent de mes joues, par contre, cette fois était parce que j'étais heureux et non malheureux. Son sourire revint sur son visage comme il me caressa les cheveux avec tendresse.
-Content que ça te plaise. Dit-il.
Sa voix était chaleureuse, très chaleureuse. En quelques sortes, sa voix me faisait sentir en sécurité et j'appréciais cela. Je remarquais maintenant que je ne lui avais même pas demandé qui il était, ni ce qui c'était passé la nuit dernière. Et surtout :
Où étaient tous les adolescents que j'avais vus le jour d'avant?
Il comprit juste avec mon regard, sans un mot, que malgré cela, j'éprouvais de l'inquiétude pour les autres. L'homme se desserra de moi avant de me tendre sa main, me demandant de le suivre. Après avoir hésité quelques secondes, je sortis de la chambre accompagné par l'inconnu comme nous descendions lentement et prudemment les marches en marbres enrobées par le tapis moelleux pour se diriger vers en bas. Nous tournâmes à une pièce qui ressemblait plutôt à une gigantesque salle à manger composé avec une centaine de décorations dans les mêmes teintes que le hall d'entrée et certaines autres pièces du manoir.
Je ne pus qu'être surpris. J'aurais imaginé que tout le monde aurait été ici, mais non, personne. Mais je ne pouvais pas encore pleurer afin de paraître plus qu'un faible.
-Je suis désolé pour les autres. Étrangement, ils sont tous morts la nuit dernière et nous n'avons pas retrouvés leur corps. Répondit-il comme celui-ci se tourna vers moi en essuyant mes larmes, une à une.
Je voulais enfin lui demander qui était-il et surtout qu'est-ce que je fabriquais ici, dans cet endroit.
-Qui êtes-vous au juste? Et que fais-je ici? Demandais-je en sonnant un peu tendu, mais majoritairement inquiet.
Je vu qu'il réfléchissait pendant un moment. Comme s'il voulait me cacher la vérité….Sur sa vrai nature.
Il se pencha pour que l'homme soit suffisamment à ma hauteur.
-Je m'appelle Hitoshi et je suis le propriétaire de ce manoir. Pour ce qui est de ce que tu fais ici, nous avions aperçus qu'une majorité d'enfants étaient pauvres, alors j'ai demandé de vous amener ici. Me répondit-il en essayant de me consoler.
-Mais alors…Commençais-je à dire lorsque des larmes envahissaient mes yeux. Pourquoi tous nos parents ont été tués par vos hommes? Demandais-je.
Je remarquai qu'Hitoshi fut surpris, à mon grand étonnement. J'aurais pensé qu'il aurait donné cet ordre à ses hommes. Mais on aurait dit que non finalement. Il me prit dans ses bras alors que nous remontâmes les escaliers que nous avions descendu il y avait quelque temps pour retourner à la salle qu'on m'était imposé. Rendu dans ma chambre, je me précipitai vers mon repas que je n'avais toujours pas commencé à manger.
Mon estomac lâcha un bruit comme je rougis de honte. Les sourcils d'Hitoshi se soulevèrent dans la surprise après m'avoir vu rougir face au grand bruit qui avait fait surface dans la pièce. Il ne put s'empêcher un petit rire d'émerger de sa bouche avec un sourire. L'homme posa sa main doucement en flattant mes cheveux dans l'affection avant que la paume de son autre main vienne se porter sur le petit tabouret avec les plats pour ainsi me le donner. Je lui souris en retour lorsqu'un morceau de viande tomba dans ma bouche. C'était un vrai délice et je n'avais jamais rien mangé d'aussi bon.
J'eu enfin finis de manger pour que mon ventre soit totalement pleins. Ce pouvait bien être la première fois que j'eu dégusté un aussi bon repas. Tout à coup, mes paupières se trouvaient à se fermer et je me couchai en même temps qu'Hitoshi déposa les couvertures sur mes épaules. Je ressentis à nouveau la chaleur de sa paume sur ma chevelure en me cajolant. Je souris à cela. Mon corps se détendit peu à peu et le dernier bruit que j'entendis fut le glissement de la porte en bois s'ouvrir et se refermer. C'est à ce moment-là que je tombis doucement dans les bras de Morphée.
Voilà la première partie de l'histoire en ce moment je suis rendu il me semble à sept chapitre et en tout cinquante sept pages. J'espère que vous avez bien aimez. ^^
