Yo! alors je vous poste cette fic parce voilà... Je voulais des avis et une certaine personne qui se reconnaîtra j'en suis convaincue m'a 'ordonné' de la poster :p
Donc voilà, le début est joyeux à souhait (... Ça ce passe de commentaires) XD
Résumé: Seriez-vous prêt à tuer un de vos amis si votre propre vie en dépendait ? Et si ce n'était pas réel, le feriez-vous ? Si vous aviez la certitude que tout est faux, tueriez-vous à bout portant la personne que vous aimé ? Sachant qu'elle n'est qu'une illusion appuieriez-vous sur la détente ? Il n'aurait jamais pensé qu'un jour, il se poserait ce genre de questions.
'Tu es le nouveau joueur je présume ?' Ah. Bah tiens on ne lui avait jamais faite celle-là. Il pensait être mort. Est-ce que la Mort était un jeu vidéo ? 'Non Stiles. Tu n'es pas mort. Le prérequis principal pour entrer dans le Jeu est d'être vivant.' Et d'où cette ombre connaissait son nom ? 'Je connais bien plus de choses que ton nom.' Ok alors maintenant fallait lui expliquer.
Rating M : parce que je fais pas dans le joyeux voilà. Pour celles (et ceux) qui se posent la question, il y aura un lemon. Voir deux. Voir une petite centaine. Euh wait... Une centaine c'est beaucoup XD je vais pas en faire en permanence ce n'est pas exactement le but (bon c'est un Sterek donc on se doute qu'il va y avoir la case lemon hein... :3)
Disclaimer qui vaut pour toute la fic (la flemme de le remettre à chaque fois): Teen Wolf appartient à Jeff Davis. Par contre... Asch c'est mon bébé... Pour être exacte c'est partit d'une histoire que j'écrivais et il me fallait un personnage délirant... Et je me suis inspirée de Waram (ouais, le yaourt XD) enfin de comment je m'imaginais Waram en humain... Puis ça a dérivé... Et ça a donné Asch XD Rassurez-vous Asch n'a pas le caractère de Waram... Asch est bien plus... sympa XD mais il arrive dans le chapitre d'après :p
Genre: De l'humour, de la romance et.. du angst ouais, en faite ya une peu de tout dans cette fic U.U (sauf du Western et de la poésie XD). no Stress ya des warnings U.U (donc lisez les ça paye pas de mines :3)
Posons les bases temporelles: Vous voyez le Nogitsune? Ouais la mouche sadique? Bah elle est pas là! XD Voilà! Ça se passe avant la saison 3B... Parce que le titre du premier chapitre peut porter à confusion ^.^' Et c'est tout ce que j'ai à dire sur les bases temporelles vous comprendrez par vous même :p
Bon je ne vous retiens pas plus que ça, on se retrouve en bas! :3
WARNING: Présence et mention de violence physique, torture, et autres joyeusetés du genre :D (pourquoi ':D'? parce que... Je sais pas... J'aime bien, ça casse le côté psychopatate :3)
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Chapitre 1 - Dignus est intrare
'Dignus est intrare'
'Il est digne d'entrer.'
Formule empruntée à la cérémonie burlesque du Malade imaginaire de Molière et qui s'emploie toujours par plaisanterie quand il s'agit d'admettre quelqu'un dans une corporation ou une société.
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Le sol frais... Il ne sent même plus la morsure du froid. Il a oublié ce que c'était de ressentir son corps mordu de toutes parts par des crocs glaçants. Il ne parvient même pas à se relever. Même s'il le voulait, il ne pourrait pas après tout. La chaine est trop courte pour qu'il puisse se redresser. Elle est enfoncée dans le béton gelé tout comme son corps nu est obligé d'y rester.
Ses jambes devraient lui faire souffrir le martyr. C'est ce qu'il se dit en avisant l'état de ses membres inférieurs. Pas que ses bras soient mieux lotis. Mais il ne pouvait pas les voir. Ils étaient dans son dos depuis tellement longtemps. Il savait que ses bras étaient encore là car il entendait le cliquetis des menottes qu'il avait au poignet quand il rampait.
Il était fatigué. Mais il ne devait pas dormir. S'il le faisait ILS sauraient. Et ça ne devait pas arriver de nouveau. La dernière fois avait été assez... Marquante. Pas besoin d'en rajouter.
Il avait abandonné l'idée folle d'être sauvé. Pourquoi aurait-il souhaité qu'on le sauve? On lui disait assez souvent qu'il n'était rien. Juste une pauvre vie humaine parmi tant d'autres. De la chaire sur pattes, une réserve de nourriture, un appât et au mieux un stratège. Mais l'un n'empêchait pas les autres.
Et le plus risible, si tant est qu'il veuille rigoler de son état, c'était que la menace au-dessus de sa tête n'avait rien de surnaturelle. Non, vraiment rien. Et c'était presque étrange. Il aurait presque préféré que le mystique s'en mêle.
Parce que non, il ne pouvait rien faire. Peut-être attendre et encore, attendre induisait d'avoir quelque chose qui légitimait l'attente ou une quelconque notion du temps qui passe. Ce qui n'était plus son cas pour ce qui lui semblait être longtemps.
Depuis qu'il était arrivé ici. C'était si loin. Si loin et pourtant toujours mordant dans son esprit. Comme une petite mort. Parce qu'il était oublié de tous. Il était seul. Seul avec ses détracteurs.
Il avait d'abord été terrifié. Il avait même pleuré en silence à de nombreuses reprises. Il avait hurlé, menacé, prié, marchandé même. Mais ça n'avait servi à rien. Il était toujours ici.
Alors il ne disait plus rien. Ça ne servait à rien de parler. Sa seule arme était inutile ici. Et ses maigres défenses avaient depuis belles lurettes foutuent le camp.
Il sentit un frisson remonter dans son dos. Merde. Ça allait se voir. Dommage. Il avait réussi à ne pas souffrir du froid de la pièce humide. Mais il avait montré une faiblesse. Pourtant ses blessures devaient le brûler et en le brûlant, le réchauffer.
Mais la seule chose que son cerveau arrivait à assimiler, c'était la fatigue. Immense. Il n'avait jamais aussi peu dormit. Sa carence en sommeil atteignait un tel niveau qu'il lui arrivait d'avoir des hallucinations et des phases de micros sommeil de quelques secondes qu'il essayait de combattre.
Mais les hallucinations étaient de plus en plus insistantes. Et résister à leur appel était de plus en plus difficile.
La porte en métal de sa prison fut ouverte et refermée immédiatement ensuite. ILS ne perdaient pas de temps. Il fallait dire qu'il avait tenu un peu plus que la dernière fois sans avoir froid. Mais il n'aura pas de récompense. Parce que ce n'était pas assez.
Ah aujourd'hui c'est un nouveau qui vient. Enfin par nouveau... C'est surtout qu'il ne l'avait jamais vu ce qui ne voulait pas dire que l'autre ne l'avait pas surveillé avant. Il savait en effet qu'il était filmé en plus de l'émetteur qui était à son pied droit et du collier à son cou qui devait envoyer au centre de surveillance (ou ce qui devait s'en approcher), le résultat de ses constantes en direct.
L'homme n'avait pas de plateau repas. Ce qui était bien dommage car il avait aussi un petit creux... Mais il n'avait à manger que très rarement et pas à des moments réguliers, certainement pour éviter qu'il se repère dans le temps. Et il avait fini par s'en accommoder.
L'autre s'approchait de lui, ses pas lourd résonnant dans son esprit. Cliquetis. Oh ? Alors c'est pour ça qu'il est là ?
C'est fou comme un être humain pouvait s'habituer aux pires choses au monde. N'est-ce pas ? Comment on pouvait même jusqu'à oublier notre propre existence et nos valeurs sous la peur. C'est lâche.
Le premier coup tomba. Il eut un réflexe de protection. Qu'il abandonna bien vite.
Tellement lâche. Mais tellement animal. Les humains sont des animaux. Et il en venait à penser que l'on pouvait dresser un être humain… Ce que ces kidnappeurs voulaient certainement faire. Mais dans quel but ?
L'autre se releva et revint avec des objets dans la main qu'il ne parvint pas à déterminer par la vue. Mais il ne se faisait aucune illusions sur leurs utilisations prochaine.
Quel était l'intérêt de l'enlever lui ? Bon il l'avait cherché à se faire tabasser ok mais pas à être séquestré et traité comme un moins que rien. Tellement rien que les lois humaines ne s'appliquaient plus sur lui. Puisque personne ne s'occupait de savoir où il était.
Il avait espéré. Un temps. Mais comme tout, l'espoir s'était tarit.
Il fut soulevé. Essaya d'oublier. Jusqu'à sa propre identité pour se convaincre que ce n'est pas lui qui est ici mais que tout n'est qu'un énorme cauchemar. Un cauchemar éveillé.
Il retint de nouvelles larmes –En avait-il encore ?- alors que la brûlure dévorai ses reins. Ça faisait mal. Toujours. Toujours un peu moins. Il sentit quelque chose s'enfoncer dans son bras et descendit son regard qu'il avait dirigé contre le plafond pour voir une aiguille planté dedans.
C'était nouveau ça aussi.
Et l'autre patienta. Et il comprit. Ni trop vite ni trop tard. Après tout, cette saloperie était déjà dans ses veines donc ce n'était plus une question de rapidité d'esprit. C'était plus une question de qu'est ce qui allait lui arriver ? Mais même ça il l'avait déduit.
Avant il se serait débattu, aurait insulté l'autre, aurait peut-être même essayé de le taper. Mais maintenant, il attendait. Se rebeller n'apportait que plus de souffrance. Alors pour une fois qu'il allait subir autre chose que des vagues de douleur lui labourer le corps, il ne bougeait plus, comptant les secondes avant que les effets se fassent sentir.
La pièce où il était commença à fondre, littéralement. L'autre avait disparu. Ses chaines avec. Il leva les yeux au plafond, étonné. Une goutte de béton lui arrivait droit dessus. Il fit une roulade sur le côté par réflexe. Son corps… Il regarda ses mains puis le reste de son corps, presque enthousiaste. Il ne souffrait plus ! Il voulut s'échapper de la pièce mais se retrouva face à une porte en métal close. Sur celle-ci était marqué en lettres capitales LEVEL 0.
- Level 0 ? s'étonna-t-il avec une voix faible, comme s'il avait peur de représailles.
Effectivement il y avait eu des représailles la dernière fois qu'il avait ouvert la bouche. Il n'aurait jamais dut. Il avait été bâillonné après avoir balancé une énième insulte. Le bâillon rentrait dans sa bouche et à chacune de ses commissures il sentait une sorte de fil. Au moment où il avait osé bouger les lèvres la lame l'avait entaillé. Il n'avait plus eut le droit de parler pendant un moment. Mais le bâillon avait été enlevé depuis et ces blessures-là avaient eu le temps de cicatriser. Contrairement à d'autres.
Quelques minutes plus tôt son corps était plein d'hématomes, de brulures à degrés divers et d'entailles plus au moins profondes si bien que son cerveau ne savait plus où il avait mal. La douleur était partout et il s'y était d'une certaine manière habitué. Maintenant, il était léger, presque en forme et… Sentait bon. Pas qu'il n'avait pas été lavé. Mais ses plaies suintant ou saignant ainsi que la sueur conséquence de la terreur ainsi que d'autres... Choses, ne le faisait jamais se sentir totalement… Nettoyé.
Il ne pouvait pas dire qu'il se sentait propre. Ça aurait été un mensonge. Il se sentait immonde à l'intérieur de lui-même, entaché d'une encre noir indélébile, gravée dans ses viscères pour le reste de sa vie.
Un écran bleuté lumineux apparut devant lui.
BIENVENU, LE LEVEL 0 A POUR OBJECTIF D'OFFRIR AU JOUEUR UN DIDACTICIEL POUR L'AIDER A COMPRENDRE LE JEU.
Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? se demanda-t-il.
Il se dit que ce ne pouvait qu'être un rêve. Alors il allait bientôt se réveiller. ILS ne le laissaient jamais dormir. Jamais bien longtemps en tout cas. Ou peut-être qu'il était mort ? Et qu'il était voué à passer son éternité de macchabé dans une sorte de jeu vidéo ?
VEUILLEZ VOUS PRÉPARER. OUVERTURE DE LA PORTE DANS 3…
Il sentit son corps recouvert par un tissu apparaissant petit à petit. Comme si des pixels matérialisaient sa tenue.
2…
Elle était presque finalisée. Il voulut rire. Sérieusement ? un sweat ? Rouge ? On se foutait de sa gueule. Clairement. C'était de la provocation.
1…
Une batte de baseball en métal apparu entre ses mains. Elle n'était pas lourde comme celle qu'il avait avant. Avant tout ce qui c'était passé. Non, celle-là, elle était d'une légèreté déconcertante. Et ce n'était pas ses muscles qui s'étaient développés. Mais aussi vite qu'elle était apparue, elle s'évapora.
OUVERTURE DU LEVEL 0. DÉMARRAGE DU DIDACTICIEL EN COURS.
La porte en métal s'ouvrit alors, il fut ébloui par tant de blancheur si bien qu'il dut mettre ses mains devant ses yeux pour les protéger. Réflexe qui avait été salvateur pour ses globes oculaires auparavant. Il valait mieux qu'un pic finisse dans ses bras ou ses mains que dans ses yeux. Ses bras, ils finissaient par aller mieux. Ses yeux, il n'en avait que deux, ils étaient fragiles et il y tenait vraiment.
Il se dit que cette lumière était peut-être ce que conte les expériences de mort imminente : 'la lumière au bout du tunnel'. Bon il n'avait pas traversé le moindre tunnel... Peut-être parce que lui était voué à mourir et n'avait pas l'opportunité de perdre du temps à traverser quoique ce soit parce que son corps ne pouvait plus accueillir son âme à présent. L'idée d'être mort ne lui fit ni chaud ni froid en elle-même. C'est la petite voix qui lui soufflait qu'il avait été abandonné qui lui glaçait le cœur et lui fit faire un pas vers la porte ouverte.
Quand il passa de l'autre côté il n'essaya même pas d'essuyer la larme mutine qui glissa sur sa joue.
Il était certainement mort.
Il était certainement libre.
Stiles ne jeta même pas un regard en arrière et La porte se referma derrière lui.
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Aloooooooooors? Bon? Pas bon? Je jette cette fic et je me reconverti en pâtissière?
Donnez vos avis... Parce que c'est le seul moyen que j'ai de savoir vraiment si vous aimez ou pas... Même si c'est que le début et que le pire est à venir XD (oui je suis cruelle... J'assume!)
Gros poutous chocolatés! :*
