-Précision : Je me suis lancée dans cette Fic a 17 chapitres en tout (dont un prologue et une épilogue et 15 chapitres a proprement parler) parce que j'aime beaucoup Hetalia et que je voulais un peu mélanger avec la vie de tout les jours… je débute en ce qui concerne les fics à chapitre et les scènes explicites écrites. Donc s'il vous plait : ne vous retenez pas de commenter mes chapitres et ce que je devrais changer…
Homophobe vous êtes priez de vous abstenir.
-Prologue-
Une main se posa sur la vitre, puis Gwen se tourna vers son amie, Hélène. Elle sourit et s'assit sur un tabouret. Hélène vint rejoindre Gwen et regarda la pluie battante dehors …
«Berk …. Quel temps de merde » ronchonna la grecque
«Oh tu t'y fais avec le temps … » murmura Gwen
«C'est sur que tu n'es pas dépaysé toi » ronchonna encore Hélène.
La britannique éclata de rire … c'est vrai entre son Edinbourg natale et Bruxelles … il n'y avait pas de grande différence de climat. Tandis que cette pauvre Hélène avait une différence de 20°c entre son Athènes natale et Bruxelles. La british sourit à son amie et rigola un peu.
« J'espère que les jeunes ne feront pas trop de conneries … Quand tu penses à celles que nous avons faites à leur âge » dit Gwen en riant
« C'est vrai qu'on a eu notre lot de connerie … Mais bon c'était les plus belles années non ? Toi, ton frère, moi et nos deux idiots de mari … on était bien non ? » Demanda Hélène un peu hésitante
« C'est vrai … On était bien » Murmura la rousse en souriant.
C'était la vérité … à l'époque ils étaient bien. Gwen, de son vrai nom Gwenaëlle Kirkland, en tant que chimiste renommée avait montée son propre laboratoire pharmaceutique et avait accédé avec brio a son label, Hélène Karpusi étant une écrivaine à succès et chaque livre que la grecque écrivait devenait un livre à succès enfin a ces heures perdues elle donnait cours de Grec dans un lycée privé, Sariel Bonnefoy (n'a pas le même père que Gwen) aka Sasa était un cuisinier de renom comptant 3 étoiles au guide Michelin, puis y avait Elrick Weillschmidt l'ex-mari de Gwen à la tête d'une multinationale et sa renommé n'était plus a faire dirigeant près de 20.000 personnes dans le monde entier, et pour finir Marcus Vargas, ancien footballeur le mieux payé de l'histoire l'un des meilleures aussi et en passant l'ex-mari d'Hélène. Amis depuis le lycée, les 4 c'étaient hissé sur le plan Internationale comme des références en matière de réussite … Mais leur vie privée était un joyeux désastre. Gwen et Hélène ayant été trompées en même temps, leurs maris respectifs couchant ensemble.
« Comment vont tes enfant ? » Demanda Hélène à son amie
« Oh ils vont très bien, Arthur a une belle place de stagiaire près d'un grand journal, dont j'ai encore oublié le nom, Sasa lui il l'a retenu mais il ne sait plus dans quel restaurant son fils a été engagé. Pour des raisons pratiques il ne pouvait pas aller bosser chez son père. Enfin soit, toi ton fils vas bien ? » Questionna Gwen curieuse
« Il devrait terminer ces études de vétérinaire cette année … Si il ne s'endort pas pendant son examen comme l'année dernière. » soupira Hélène …
Gwen éclata de rire … c'était typique d'Héraclès çà !
« Madame, j'ai terminé les derniers tests sanguin, ils se sont révéler plus que prometteur … Que dois-je faire maintenant ? »
Gwen leva le regard vers un grand blond, aux lunettes, se tenant droit comme un piquet et son regard ténébreux la transperçait a chaque fois … Il faisait peur et il n'avait de 26 ans.
« Non ça va Berwald … rentre chez toi tu vas me ruiné a force de faire des heures supplémentaires »
Quelqu'un de normal aurait rit de cette remarque … mais pas lui, le suédois lança un vague « merci » a sa patronne et sortit du bureau. Il était préoccupé par quelque chose … Quelque chose ? Non … quelqu'un. Un regard violet pâle, un sourire rempli de tendresse et des joues rougies… Berwald secouait la tête … « redescend sur terre on vieux … tu ne le mérite pas ». Sa patronne ne comprenait pas pourquoi il faisait autant d'heures sup, mais il avait une raison assez bizarre et cette tête de mule suédoise ne voulait pas en parler … même pas a son 'meilleur' ami.
Il travaillait pour oublier son regard plein de larmes, quand il avait quitté son ancien appart, pour oublier ces gémissements de plaisirs quand ils faisaient l'amour, son regard voilé d'un intense plaisir après chaque fois, le goût de ces lèvres, la chaleur de son corps pressé contre le sien … Pour l'oublier.
Mais plus les jours passait et plus ça devenait difficile. Son envie de débarquer dans son ancien appart, de le jeter sur le lit et de lui faire l'amour sauvagement remontait chaque jour un peu plus …
Faire l'amour sauvagement …
Berwald écrasa son poing contre le mur… Mais bon sang pourquoi il pensait a ça ?
