128.
Mis à part le fait qu'il s'agit d'une puissance de 2, 128 est le nombre de mots que je me suis imposée pour l'écriture de ces drabbles. 128 mots tout net.
Le concept est assez simple. Il est très largement inspirée de la série de vidéos de Tomska portant le même nom que ce recueil. Meanwhile in a parallel universe, c'est à la base une scène, un décor, des personnages, qui se répète en boucle avec des lois physiques ou des vérités générales différentes à chaque itération.
Ici nous appliquons l'idée au fandom de KH. Voici nos règles :
- 128 mots sans compter les intros.
- Des paramètres qui sont lois physiques ou vérités générales. Interdiction donc d'énoncer directement un changement sur un élément de KH. Ce sont les éléments de KH qui doivent s'adapter aux changements de l'univers imposé et non l'inverse.
- Une scène, un univers, un chapitre.
- Pas de pitié.
Pourquoi 128 ? Parce que je suis développeuse, et que dans l'informatique on aime bien justement les puissances de 2.
Dans l'idée, c'est une question de satisfaction. Une machine travaille en binaire, soit une base de 2, alors que nous humains raisonnons sur une base de 10. Le nombre 100 nous semble plus rond que 98 par exemple. De la même manière qu'une machine préférera 64 (1000000) à 62 (0111110).
Enjoy !
