Auteur : C'est moiiiiiiiii !

Titre : Il faut marier Sasuke !!

Disclaimer : Il est dur à croire que je n'aie pas les droits de Naruto, mais c'est le cas. Un jour peut-être…En attendant, merci Kishimoto-san !

Note : Je suis de retouuuuur, pour jouer un mauvais tour à nos chers personnages ! Et à mes lecteurs en fait. Quoi ? Comment je devrais pas le faire ? Mais siiiii, vous allez voir ! Ce sera bien plus drôle que vous ne le pensez ! D'abord parce que ce qui va suivre n'est autre que des idées stupides que j'ai secouées en bon maître de cocktail, et qui ont donné une fic à déguster avec sagesse. Quoique, on peut mettre la sagesse loin, trèèèèèès loiiiiiin….Allez, lancez-vous donc avec moi dans un nouveau délire et rions ensemble de ce pauvre Naruto !


Chapitre 1 : Ce que les femmes veulent…

« Il était une fois… »

Cette histoire, c'est probablement la plus longue que j'aie vécu après le retour de Sasuke à Konoha. Aujourd'hui, je peux en rire, mais aussi en pleurer. En y repenssant, je crois bien que je devais être maudit le jour où Sakura s'est mis en tête une idée bien précise…

-Quoi ?! fis-je alors que je laissais tomber mes baguettes dans mes ramens avec force d'éclaboussures.

Sakura assise en face de moi fit la moue devant les tâches de sauce, mais resta tout de même concentrée sur son tout nouvel objectif. Elle était particulièrement belle ce matin ; les cheveux coiffés en un chignon qui laissait tombé quelque mèches sur son visage, vêtue encore de ma chemise noire d'anbu qu'elle ne quittait plus, elle avait un regard pétillant dans lequel le soleil jouait brillamment. Nous étions en train de déjeuner par un beau matin d'automne sur Konoha et elle était entré dans le vif du sujet sans détour comme à chaque fois qu'elle me parlait.

-Tu ne penses pas qu'il serait plus que temps ? insista-t-elle. A cette allure, le clan va périr.

Je ne savais pas quoi répondre tant j'étais abasourdi par sa nouvelle requête.

-Et puis les filles de Konoha sont presque toutes mariées. A cette allure, il ne restera plus aucun bon parti pour s'offrir à lui.

-Maiiiiis….articulais-je enfin. Il est d'accord ?

-Aucune idée, c'est pour ça que tu devras le convaincre.

-Quoi ?! répétais-je. Moi ?!

Sakura poussa un longs soupir, elle leva les yeux au ciel et remit une mèche de cheveu en place. Encore un peu et on aurait pu la confondre avec Buffy.

-Oui, toi ! Tu es son ami, non ? C'est ton rôle de faire ça !

-Mais ! Mais !

-Pas de mais qui tienne, dit-elle alors d'un air sévère. Tu vas le faire et tout de suite après avoir mangé alors dépêche toi !

Je jaugeai mon bol en me demandant combien de temps je pourrais prolonger le petit déjeuner. Ça ne s'étendait qu'à trois grains de riz. Ou plutôt, trois vermicelles. Je tirai la tête et Sakura du suivre mon regard car elle ajouta :

-Il n'y a plus de ramens alors vide-le et sors !

C'est ainsi que le Hokage fut mis à la porte par sa petite épouse sans plus de ménagement qu'une vieille lanterne. Notons tout de même que la lanterne éclairait, elle, alors que le neurone du blond…

-Hey ! fis-je pour protester aux mauvaises dires de l'auteur. JE suis le narrateur ! Alors dégage !

Dans la rue, les passants me dévisagèrent avec une mine attristée. Heureusement qu'ils avaient l'habitude ! Je m'excusai platement auprès d'eux et marchai rapidement pour fuir leurs réflexions. Les mains dans les poches, mon long manteau flottant derrière moi, je regardai mon village avec un air ravi. Je l'aimai vraiment bien ! L'attaque de l'akatsuki l'avait mis à mal, mais en cinq ans, les villageois et les ninjas avaient fait un admirable travail. Merci moi.

Je ne tardai pas à croiser des gens que je connaissais et des amis comme Shikamaru ou Iruka que je saluai d'un hochement de tête. En tant normal, j'aurais passé mon temps à bavasser avec eux de choses et d'autres, mais je devais vitre trouver l'ermite car je savais que la journée, il partait visiter le pays.

Je fredonnais donc « Girls don't like boys, girls like cars and money... » pendant que je passais vivement dans des rues de moins en moins denses en me demandant encore pourquoi je n'avais pas écouté Iruka. « Te marie pas maintenant, prends le temps » qu'il disait. Et à défaut de jugement j'avais quand même épousé la guèpe. Ce n'est pas que je l'aimais pas ! Mais elle était excentrique à un point que parfois je voyais Patience en face de moi.

Konoha avait un centre et des faubourgs comme toutes les villes. Cependant, mon énergumène ne vivait ni dans l'un, ni dans l'autre : il vivait dans la montagne en ermite qu'il était. Moi je disais en idiot mais la dernière fois, Sakura et Ino se sont mises à me taper dessus alors depuis j'évite, même en pensées.

Une fois sorti des grandes portes de villes avec un salut pour les gardes qui sourirent en me voyant passer, je souris. J'allais enfin pouvoir passer à la vitesse supérieur. Concentrant mon chakra en rien de temps, je démarrai si vite qu'une traînée de poussière se souleva. Le plus dur durant mes courses étaient de ne pas être malade devint le paysage qui défilait trop vite pour les yeux. Maintenant j'y étais habitué, mais quand je devais transporté quelqu'un…

Je passai comme une flèche au-dessus d'un ravin, sautai brusquement en l'air et gravit un rocher comme s'il s'agissait d'un escalator.

Attendez…Un quoi ?

Et donc, le fameux narrateur continuait de filer à travers les bois de Konoha, si rapide que les animaux le percevaient à peine. Il arriva bientôt…

Un quoi ?! Et puis zut ! Tant pis ! C'est MOI qui raconte ! Ouais ben c'est ça ! Va bouder !

J'étais donc arriver. Coincé entre deux gros chênes, il y avait une rudimentaire cabane de bois noir couverte de mousse et de rosée du matin. Elle possédait trois fenêtres en tout, une porte, et une cheminée. Un simple passant aurait cru à une ancienne tanière de braconnier, mais je n'était pas un simple passant. Je connaissais très bien l'endroit, et encore mieux la fichue personne qui y vivait. Cela faisait longtemps que je ne l'avais plus vu ; pris pas mes nouveaux devoirs, les traités, ma femme, les plaintes du peuple, les missions, les autres pays, je n'avais plus vraiment de temps à moi. C'est donc d'une voix peu assurée que je criai :

-Oïïïïï !!

J'entendis un remue ménage à l'intérieur puis…plus rien. Je haussai un sourcil. Il ne m'avait peut-être pas reconnu.

-C'est moi ! Naruto ! dis-je alors en m'avançant près de la porte.

J'entendis un grognement. Cette fois, j'étais bel et bien reconnu, et ce n'était pas vraiment un chaleureux acceuil.

-Bon, tu m'ouvre ?

A nouveau, il y eut du bruit, puis un craquement, et enfin, la porte craqua sur ses gonds. J'ouvris alors grand les yeux, et ma bouche fit un o parfait. Devant moi, il y avait, le yéti en personne…

A suivre…


Qu'est ce que c'est que ça ? Je n'en sais fichtrement rien figurez-vous. J'écris au fur et à mesur, je mets pleins de référence, je vous gave bien, et je continue pour le prcohain chapitre. Un review en désert serait bien indiquée sur ma prescription médicale. Non ?