Disclaimer : je ne possède rien, je ne suis pas Rick Riordan.

Heyyyy ! Bienvenue à tous pour cette nouvelle histoire, ayant pour thème Percy Jackson et les Olympiens. C'est ma première fiction dans ce thème, mais j'en ai lu énoooormément, alors je pense avoir quelques repères. Mon histoire se déroule deux ans après la fin des Héros de l'Olympe. Assez parlé, place à la lecture !


Chapitre I : Fils de Poséidon

PdV : Percy

Un minotaure, une dizaine de chiens des Enfers et autant de Lestrygons, c'est ce qui me séparait de mon objectif : le Marteau d'Hephaestus, celui-là-même qu'il a utilisé jadis pour fabriquer, à l'aide des Cyclopes et des Hécatonchires, les armes divines des Trois Grands : la Foudre de Zeus, le Trident de Poséidon et le Casque d'Ombres d'Hadès. Un artefact avec des propriétés de fabrication extrêmement puissantes … qui ne doit donc absolument pas tomber entre de mauvaises mains. Mais il a été volé il y a une semaine par un être très puissant, et depuis l'Olympe s'inquiète, voyant le scénario du vol des armes de Zeus et d'Hadès se répéter : à l'époque, la guerre avait faillit éclater entre Zeus et son frère, Poséidon. Mais, vous connaissez déjà cette histoire. Revenons à nos moutons : les dieux étaient donc très soucieux de retrouver l'outil du Forgeron de l'Olympe.

Et c'est là que j'interviens : ils ont jugé qu'une telle mission nécessiterait l'intervention du plus grand héros de l'Histoire : moi-même, Percy Jackson, fils de Poséidon, dieux des Océans, et de Sally Jackson, mortelle clair-voyante ; sans oublier son escouade de choc, dont le nom fait trembler les pires malfrats depuis leur cellule dans le Tartare … personne, actuellement : Annabeth a reçu elle aussi une quête sur ordre de sa mère, Athéna ; Grover poursuivait sa quête des grands esprits de la Nature en explorant la Forêt Amazonienne, et les Romains étaient tous dans leur camp ou occupés par d'autres quêtes, qui sait. Le fait est que je fus envoyé seul par le Conseil des Olympiens pour retrouver le Marteau, ce qui ne fut pas bien difficile, le plus dur étant à venir : me battre contre un groupe de monstres, dont ma vache préférée, pour récupérer l'artefact en question.

Pendant quelques instants, les monstres se contentèrent de me jauger, alors que je faisais de même. Puis un chien des Enfers grogna, et bondit en avant : je chargeai les créatures, Turbulence en main, et prêt à en découdre.

Je dois dire que j'ai vraiment progressé depuis le jour où j'ai tué mon premier monstre (qui, soit dit en passant, allait se faire couper en deux dans un futur très proche), et abattre un groupe de dix chiens des Enfers ne relevait plus que de la simple routine. Turbulence se transforma bien rapidement en un arc de destruction, tranchant tout ce qui pouvait se mettre sur son chemin. Le premier assaut ne dura qu'une petite minute, après quoi je marchai au milieu de monticules de poudre dorée, seuls restes de mes adversaires.

Les Lestrygons, plus coriaces, nécessitaient l'usage d'un peu de pouvoirs : une rivière coulait aux pieds de la falaise où nous nous tenions. Qui que ce soit, celui qui avait volé le Marteau avait vraiment mal choisit son endroit … Je sentis la présence du cours d'eau, qui se souleva en une colonne liquide et vint écraser les brutes géantes, broyant les uns, jetant les autres dans le vide. Après cette petite démonstration, l'eau se retira dans son lit, ne laissant plus face à moi que celui qui avait envoyé ma mère chez Hadès (sans la tuer, fort heureusement), le Minotaure lui-même. Et je savais, encore une fois, comment le battre.

« Eh, la Vache-qui-Rit ! Tu sais qui a une de tes cornes au-dessus de son lit ? »

Ouais, pas le meilleur moyen de faire copain-copain avec un taureau humanoïde géant, mais l'effet fut celui escompté : il chargea, tête semi-baissée, une lance dans chaque main. À l'instant où il allait m'aplatir, je sautai au-dessus de son crâne velu, mais il avait anticipé le coup et il s'arrêta, se préparant à me cueillir à l'atterrissage. Déçu de sa progression intellectuelle, je plaçai mon épée à la verticale, vers le bas, et profitai de la chute pour asséner un coup puissant : un mètre de bronze céleste vint se planter au somment du torse de l'animal mythologique et glissa jusqu'en bas, le tranchant en deux sur toute la longueur du buste. Après quoi, il se transforma en un autre tas de poudre d'or, emporté rapidement par le vent.

« Voilà une quête rondement bien menée » me fis-je, voyant que plus rien ne me séparait de l'objectif de ma mission. Alors, forcément, il fallut que quelqu'un vienne me prouver le contraire.

J'eus le temps d'apercevoir une armure dorée, avant de me retrouver violemment projeté vers l'arrière : je dus ma survie à mes réflexes, qui me permirent de planter Turbulence dans le sol, m'arrêtant à moins d'un mètre de la falaise. Je vis alors la figure dorée d'approchée, une lance gigantesque dans les mains. De l'homme, émanait un pouvoir immense, et ses yeux dorés irradiaient tels le soleil levant.

« Hyperion », murmurais-je entre mes dents. En me relevant, je tentai de gagner du temps en attendant de trouver une stratégie qui serait efficace contre le Titan de l'Est : « Je vois que quelqu'un d'incompétent n'a pas réussit à te garder au fond du Trou ».

« Ça faisait longtemps, rejeton de Poséidon. Comme tu peux le voir, je suis revenu pour te remettre à ta place, toi, ainsi que tous les autres héros grecs qui oseront se mettre en travers de mon chemin. »

« Malheureusement pour toi le doré, tu vas devoir retourner bredouille au près de ton frère. Rappelle-toi, qui a gagné à Manhattan ? » le narguais-je.

« Petit insolent. Il ne s'agit plus de Chronos, ni de tous ces Titans incompétents. Cette fois-ci je compte bien travailler seul, et reprendre la place qui me revient de droit » Il brandit alors sa lance, qui brilla de plus belle « Celle du Roi du Soleil Levant ! » Il rebaissa son arme, et la pointa vers moi « Mais avant, je vais porter un grand coup à l'Olympe, en tuant son larbin favori, toi. J'aimerais te dire que ça n'a rien de personnel, mais … c'est bien trop personnel. Prépare-toi à mourir, fils de Poséidon ! »

Une idée me vint alors à l'esprit, et je recapuchonnai Turbulence, faisant tourner le stylo entre mes doigts.

« Wow. C'est franchement un plan excellent. Mais je crois que tu devras attendre un peu … un autre jour, ça te dit ? »

« Qu-quoi ? Comment ? » dit-il, confus. « Que crois-tu faire, piètre héros ? »

« Oh, moi ? Rentrer à la Colonie après avoir rapporté le Marteau sur le Mont Olympe ... Pourquoi ? » Je feignai alors une expression d'étonnement « Ah, tu voulais qu'on se batte ? Je suis désolé mais, tu sais, avec ces Lois Anciennes, et tout … tu ne peux pas vraiment m'attaquer sans que je te porte d'abord un coup. Et, je suis assez fatigué maintenant, alors, on n'a qu'à remettre ça à plus tard ? Je peux voir si j'ai un créneau de libre la semaine prochaine ... »

La colère du Titan était telle qu'elle en devenait palpable : « Espèce ... de petit … tu oses fuir un combat face au Titan de l'Est ? Je vais te … te … » Il tourna son visage vers le ciel, fou de rage, criant : « Satanées Lois Anciennes ! »

Un sourire se dessina au coin de mes lèvres : « Moi ? Fuir ! Haha … allez, je t'ai à la bonne, alors je vais être sympa : je te laisse 15 minutes pour qu'on joue, après quoi tu rentres chez tonton Tartarus, d'accord ? »

Ceci-dit, je saisi une pierre qui traînait là et lui lançai, la faisant ricocher sur son armure d'or. La lueur de son regard redoubla alors d'intensité, et il se mit en position.

« Petit arrogant » Sa voix était menaçante et portait avec elle une puissance … titanesque.

Et il chargeat.


Et voilà pour ce premier chapitre ! Que pensez-vous de la narration ? des dialogues ? Préférez-vous des chapitres plus longs ?

La section "reviews" est là pour ça, alors R&R comme on dit chez nous ^^

Sur-ce, à la prochaine !

Stay tuned :D