Salut c'est ma première fic sur le jeu vidéo Dead Or Alive dont le scénario est un ch'tit peu passé à la trappe. L'action se passe juste après le 3 et se base sur la troublante relation qu'entretiennent Helena et Christie (la riche héritière française et l'assassin). Ce sera donc du shojo-ai, à savoir des relations ambigües entre filles. Alors, si vous avez des allergies, passez votre chemin, sinon vous êtes la bienvenue.

Disclaimers: Les personnages du jeu ne sont pas à moi mais à Tecmo.

Genre: POV, shojo-ai, romance et un brin d'action.

Couple: Helena Christie (Helena est un peu OOC dans cette histoire.)

Rating: T

Voilà, c'est tout à part, review please!

Part 1: POV Christie: Vie routinière:

Le ciel noir. Les nuages pourpres qui le couvrent. La pluie tombant sans cesse. Les lumières de la ville illuminant faiblement le pied des gratte-ciels. Un recoin sombre, froid et humide. Une flaque d'eau qui me reflète. Des gouttes de sang souillant sa pureté transparente. Du sang provenant de mes mains. Je les regarde avec dépit. Pourquoi ai-je tué cette personne si brutalement? D'habitude, je fais en sorte que de ne pas laisser de traces, et là, j'ai tué quelqu'un comme l'aurait fait une débutante. Peut-être suis-je en colère, peut-être en ai-je marre de ce métier qui me répugne à force de se sentir manipulée comme une marionnette. Mission après mission après mission…J'en avais assez, mais c'était l'unique solution pour effacer la chose la plus horrible que j'ai faite dans mon existence. Ce triste et sombre passé.

Je décide de rentrer chez moi à pied. D'habitude, je prends ma voiture pour partir mais ce soir, il fallait être discrète, vaut mieux pas se faire repérer par les flics. C'est dommage, j'aurais aimé conduire, cela me détend tout en me permettant d'oublier ne serait-ce qu'un instant les tracas de ce que l'on pourrait appeler mon «quotidien».

Et voilà la fin de ce que l'on pourrait appeler un mini-prologue (désolée, je sais que c'est très court). Le prochain chapitre sera plus long.

A la prochaine, chers lecteurs et lectrices

Misora.