hi gang !

Petit moment d'égarement. Mon cerveau ne se pouvait plus d'écrire un autre chapitre de PDS!

Je voulais faire la suite... PROGRAMME DE SEXOLOGIE restera un OS et voici une nouvelle histoire qui est en fait la suite… je ne sais pas combien de chapitre, j'imagine que ce sera entre 5 et 10, je ne sais pas la fréquence des publications. J'espère que vous aimerez. Et comme un public averti en vaut deux…. Cette fic est pour une lecture adulte seulement et les lemons seront assez explicites et différents.

On se retrouve en bas…


CHAPITRE 1


Edward

Voilà 5 ans que nous avions ouvert notre cabinet de sexologue Jasper, Emmet et moi après avoir obtenus notre diplôme en Sexologie. Nous avions tous une spécialité dans notre domaine.

Jasper avait choisi d'accompagner les gens qui pratiquaient la domination et la soumission ainsi que la communauté active adepte du BDSM de Seattle dont il était membre. Très ou trop intéressé par ces pratiques et son goût pour le sexe intense avec des cordes et de ses participations à quelques soirées de ce genre, il avait compris que ces gens avaient besoin de se confier sur cette sexualité qui souvent était cachée de l'entourage. En plus de s'occuper également des difficultés affectives et relationnelles telles que, les troubles de l'intimité, les difficultés amoureuses, les problèmes de communication, la dépendance affective, la jalousie excessive, le manque de confiance ou d'estime de soi, l'image corporelle déficitaire, les relations extra-conjugales, la violence conjugale, le stress, l'anxiété de performance, la répétition de «modèles de fonctionnement inadéquats», les séparations, le divorce et le deuil. Il s'était marié à ma sœur Alice l'été suivant la fin de notre cursus scolaire et il vivait le parfait amour encore aujourd'hui. Alice avait terminé sa fac de stylisme et avait monté sa petite affaire de sous-vêtements digne des plus beaux Victoria's Secret. Elle avait même, à la demande de Jasper, osé faire une collection de lingerie BDSM. Bien qu'Alice l'accompagnait à ces soirées, il savait qu'elle le faisait pour lui faire plaisir et non parce qu'elle en avait envie autant que lui. Ma soeur commençait à parler bébé et maison à la campagne, Jasper se faisait tranquillement à l'idée que cette vie pourrait lui convenir à condition de pouvoir continuer à faire ses visites au club BDS fois par année.

Emmet se spécialisait dans la thérapie de couple infertile ou en processus difficile de procréation. Également dans les difficultés sexuelles reliées à la santé telles que, la grossesse, l'infertilité, l'avortement, les fausses couches, la ménopause, l'andropause, les impacts sexuels des ITS et du sida, les problèmes gynécologiques ou urologiques, les handicaps, les maladies crise cardiaque, cancer, diabète, etc. Il en avait fait son domaine petit à petit lorsque Rosalie et lui ont débuté à vouloir faire un bébé alors que Rosalie et lui avait eu des épreuves médicales éprouvantes pour fonder leur famille. Sa vie personnelle lui permettait de faire son travail encore mieux parce qu'il comprenait exactement la peine, la douleur et l'angoisse de ses patients. Il était le seul de nous trois à avoir eu le courage de faire des enfants. Rosalie avait donné naissance aux jumelles Chloé et Clara i ans et un petit bout était bien au chaud dans son ventre depuis 4 mois déjà, elle resplendissait. Elle avait ouvert une crèche dans notre immeuble à bureaux au premier étage de la tour pour faciliter la vie professionnelle des parents souvent accaparés par le travail. Elle avait obtenu des permis pour que son service de garde soit ouvert 24/24 et 7 jours par semaine. Il y avait certes les enfants qui faisaient un horaire de 8h à 17h en semaine et les enfants dont les parents travaillait la fin de semaine, elle avait une entente avec le Seattle Grace, pour les enfants dont les parents vivant avec un horaire variable de jour, soir et week-end puissent bénéficier d'une place et aller au travail, parfaitement confiant pour leurs petits trésors. De plus, depuis 2 ans, elle offrait le service en garde « voyage d'affaires » pour les parents devant quitter quelques jours voir une semaine pour leur travail.

Et moi, Edward, je me spécialisais dans les abus sexuels de tout genre dans toutes les tranches d'âges. De l'enfant abusé, séquestré à la personne âgée qui avait refoulée les abus subit durant l'enfance. J'avais devant moi le drame humain dans toute sa splendeur chaque jour de ma vie. Je ne sais pas comment je fais pour tenir psychologiquement devant tant de souffrance mais la satisfaction de traiter des gens et le plus souvent des enfants et adolescents, les voir reprendre goût à la vie et voir la lumière au bout du tunnel me faisait me sentir accompli dans mon travail. De plus j'e m'appliquais à accompagner mes patients dans d'autres difficultés sexuelles, telles que, les troubles du désir sexuel, hyper ou hypo actif, les troubles de l'érection, les troubles de l'éjaculation, les troubles de l'orgasme, la compulsion sexuelle, la douleur à la pénétration, le dégoût de la sexualité, la dépendance à la pornographie, l'exhibitionnisme, le voyeurisme, le fétichisme, le fantasme sexuel troublant, l'abus sexuel, les questionnements sur l'orientation sexuelle, les troubles de l'identité sexuelle. Ma petite Bella avait graduée elle aussi et enseignait à la fac de Seattle en littérature, elle donnait aussi des ateliers de lectures à la bibliothèque de l'université un soir par semaine, le même soir que moi je travaillais au cabinet. Ne ressentant pas du tout le besoin de se marier et de faire des enfants, nos horaires étaient réglés pour pouvoir passer pratiquement tous nos temps libres ensemble. Nous passions notre temps à voyager, à faire la fête et à faire l'amour. Nos parents désespéraient de nous voir « grandir » parce qu'à 28 ans ils trouvaient que nous avions fait notre jeunesse et qu'il fallait se ranger et nous reproduire. Notre appartement était de style loft industriel dans le centre-ville de Seattle et non familial avec un champ, une balançoire pour enfants et un chien courant derrière nous. Bella et moi ne voulions pas de cette vie stéréotypée comme nos parents l'avait choisi, nous voulions vivre intensément notre vie de couple et on trouvait ça très bien, malgré ce que notre entourage en pensait. Elle était la personne la plus importante dans ma vie.

À notre équipe s'était joint Tyler Crowley un garçon de première année rencontré lors de notre dernière année de fac. Il collaborait avec nous dans au cabinet et en milieu hospitalier les adolescents avec une orientation sexuelle différente, dont lui-même faisait partie. Des gays, des lesbiennes, des bisexuelles, des transgenres. Comme il nous l'avait dit i ans lors de notre rencontre, son but premier était de faire accepter à tout ce beau monde leur orientation sexuelle.

Il y avait aussi Angela la psychologue qui nous aidait tout un chacun à parfaire nos rencontres avec nos patients et à les rencontrer aussi individuellement. Bref nous étions le seul cabinet de Seattle dans le milieu offrant ces services, les patients nous étaient référés directement. Nos secrétaires Lauren et Jessica faisait un travail exceptionnel et nos carnets de rendez-vous et les colloques auxquels Jasper et moi participions s'en portait à merveille.

Je frappai à la porte du bureau de Jasper et attendit qu'il m'autorise à y entrer pour ouvrir la porte.

-Alors tu es prêt ? demandais-je à mon ami.

-Oui, je ferme mon ordi et je suis prêt. L'avion décolle à quelle heure ?

-18h30

Nous étions lundi et Jasper et moi décollions pour Los Angeles pour aller assister à un colloque médical sur les troubles de déviances sexuelles. Plusieurs ateliers auxquels nous prendrons part dans l'assistance cette fois, ce qui serait un peu plus léger comme semaine puisque normalement nous faisions conférences par-dessus conférences lors de ces colloques.

-C'est bon je suis prêt, dit mon ami rangeant sa tablette dans sa sacoche en cuir.

Nous quittions le bureau en saluant Emmet et les deux secrétaires. Embarquant dans ma volvo direction l'aéroport, Jasper s'installa et continua de pianoter sur son portable finalisant un dossier que nous avions pris en commun, un couple dans la cinquantaine aux prises avec un cancer du sein pour la femme, qui avait beaucoup de difficulté à reprendre une sexualité épanouie et se réapproprier son corps. L'homme lui était aux prises avec une dépendance à la pornographie et à la masturbation depuis l'annonce du cancer de sa femme. Il compensait ses besoins physiques de cette façon, il pensait que c'était ce qu'il devait faire pour ne pas importuner sa femme, mais là, impossible pour lui de faire l'amour ou baiser sans mettre le porno le volume au max pour se faire bander. Tellement fréquents lorsqu'une maladie telle que le cancer, surtout le cancer du sein, déstabilisant la féminité de la femme, vient interférer dans la vie. Normalement j'aurais pris le dossier avec Emmet puisque c'est lui qui s'occupe des difficultés sexuelles liés à un problème de santé, mais il était débordé. Jasper avait accepté de voir la dame et moi je m'occupais du mari.

Le vol se passa tranquillement j'avais même fermé les yeux le temps que Jasper termine son rapport. En arrivant l'hôtel nous avions une chambre avec 2 lits. Nous partagions toujours une chambre lors des colloques, nous finissions toujours dans la chambre de l'un ou l'autre à picoler et s'endormir, alors on payait une chambre pour rien, à part quand Bella et Alice étaient avec nous.

Je passai à la douche le premier ne revêtant qu'un simple boxer, je passais ma vie en boxer, mon ami était habitué, pendant que je relisais le rapport du couple que Jasper avait terminé dans l'avion. J'entendis Jasper ouvrir l'eau alors qu'il parlait au téléphone avec Alice. J'apposai quelques lignes sur le plan d'intervention du mari. J'étais concentré sur mon travail quand Jasper se plaça à côté de moi m'offrant une canette de bière.

-Merci mec, dis-je sans même le regarder.

Je terminai de déterminer la fréquence des rendez-vous du mari, j'envoyai le tout à Jessica par mail avec un mot disant de contacter le patient pour l'aviser des jours et des heures que j'avais prévu pour lui. Je fermai l'ordinateur et pris une longue gorgée de ma bière me tournant vers mon meilleur ami. J'écarquillai les yeux en le voyant assis sur le coin du lit près de moi me fixant d'un regard que je lui connaissais trop bien. Il était nu et passait sa main sur sa bite énorme.

-Jazz ?!

-Ed ?!

Je souris en secouant la tête. Bien qu'elle ne me dérangeait pas, j'étais surpris par sa nudité, ça faisait longtemps que nous n'avions pas eu ce genre de rapport. Je le regardais encore et ma bite tressauta dans mon boxer. J'en avais envie moi aussi.

-Putain Jazz, ça fait tellement longtemps !

-Je sais Ed, j'en ai foutrement envie, pas toi ? demanda-t-il en se dirigeant dangereusement vers moi.

Nous avions refait des soirées de baises intensives suite à cette dernière soirée de bizutage où Alice et Bella nous avaient rejoints. Nos petites amies n'en avaient pas eu assez ce soir-là alors Jasper et moi avions cédé à leurs demandes mais depuis le mariage de ma sœur, nous avions décidé tous les quatre qu'on se devait de tout arrêter aussi euphorique et jouissif que nos soirées l'avaient été. Jasper et moi on avait eu une petite faiblesse lors d'un colloque il y a plus d'un an alors que nous avions forcés sur l'alcool et aussi parce que Jasper trouvait que mon corps nouvellement tatoué sur le bras, partant de mon pectoral jusqu'à mon poignet gauche était foutrement sexy et bandant. Bella et moi nous nous étions fait faire des tatouages et des piercings. Bella avait un tatouage sur le flanc partant du centre de son ventre vers sa hanche jusqu'à la courbe de son sein droit, l'autre, une pluie d'étoile partant de l'arrière de son oreille jusqu'au milieu de son dos, un peu comme celui de la chanteuse Rhianna. Son merveilleux piercing sur son sexe juste en haut de son bouton de plaisir était tellement bandant. Ma Bella sentait encore plus le sexe habiller de ses tatous.

-Bordel oui j'en ai foutrement envie aussi ! dis-je en me tortillant pour enlever mon boxer qui gênait mon érection. Le voir nu ce soir devant moi sa bite dure et imposante me donnait des envies de luxure.

-Viens là beau gosse, dit-il en agrippant ma nuque me faisant me lever pour que nous lèvres se rencontre.

Il m'embrassa durement sans ménagement fourrant sa langue dans ma bouche collant son corps au mien. Je posai mes mains sur ses hanches et le serrai fort faisant frictionner nos deux bites tendues l'une contre l'autre.

-Suce-moi Ed… pose ta putain de petite bouche chaude sur ma bite, soufflât-il en me regardant droit dans les yeux tirant sur mes cheveux.

Un frisson me parcouru, les vulgarités de Jasper me faisait toujours bander plus fort, ça m'excitait. Je me laissai tomber à genou devant cette merveilleuse érection qui palpitait juste pour moi. Je repoussai très loin dans ma tête ma relation avec ma petite Bella, je voulais vivre ce moment avec mon pote intensément parce que j'avais une putain d'envie de baiser et cette semaine avec mon pote serait sans aucun doute une semaine peuplée d'orgasme de l'enfer.

Je passai sa verge dure sur mon nez avant de la lécher de tout son long du plat de ma langue. Je répétai ce mouvement avant de le prendre complètement dans ma bouche. J'empoignai ses fesses durement et je fis des mouvements de haut en bas laissant couler ma salive pour que ma bouche puisse glisser aisément sur sa queue dure comme du béton. Jasper soupirait posant sa main sur ma tête pour me donner le rythme sauvage qu'il aimait et que j'étais capable de lui donner. J'accélérai le mouvement détendant ma gorge le faisant frapper tout au fond le plus loin possible.

-Hummm… oui Ed… plus fort….

Je creusai mes joues suçant plus fort agrippant ses couilles pour les malaxer. Jasper donna plusieurs coup de rein buttant au fond de ma gorge et se fixa tenant ma tête se libérant en plusieurs jets chauds. J'avalai son sperme délicieux pour ensuite lécher sa belle longueur le laissant se remettre lentement de son orgasme. Je me remis sur mes pieds et Jazz se jeta à nouveau sur ma bouche, m'embrassant avidement se goutant à travers moi.

-Bordel Ed… tu suces foutrement bien…

-Mieux que toi ? l'agaçais-je.

-Pose ton cul sur le lit que je te montre mes talents…

J'ouvris les draps et montai sur le lit m'installant confortablement avec les oreillers contre la tête de lit. Je voulais le voir avaler ma queue dans sa bouche. Jasper rampa jusqu'à moi et vint prendre ma bouche à nouveau. Il embrassait tellement bien, ça me faisait bander encore plus. Il appuya son corps sur le mien frottant nos deux sexes, c'était tellement grisant de le sentir de cette façon.

-Tu veux que je te baise ou que je te suce beau gosse ?

-Suces-moi tu auras bien le temps de me baiser plus tard, dis-je en mordillant ses lèvres.

Il me fit un sourire sexy et descendit sa bouche sur mon corps léchant, suçant et mordillant chaque bout de peau qui se trouvait devant lui, me faisant languir. Il me fit écarter les cuisses d'une petite tape et s'installa entre elles prenant mon sexe dans sa main l'enroulant fortement autour intimant un mouvement lent et long.

-Ouais…

Il me lécha plusieurs fois avant d'engloutir ma queue dans sa bouche chaude et humide. Il appuya ses doigts sur l'espace entre mes couilles et mon cul me faisant gémir une nouvelle fois. Il présenta deux de ses doigts à ma bouche et je savais qu'il voulait que je les mouille. Je m'appliquai à faire à ses doigts la même chose qu'il faisait avec sa bouche sur moi. Il les retira quelques minutes plus tard et les présenta au bord de ma petite entrée faisant des cercles poussant doucement jusqu'à ce celle-ci s'ouvre d'elle-même pour accueillir les doigts magiques de mon pote.

Quelques va et viens plus tard le rythme effréné de Jasper cognant ma prostate me fit jouir rapidement tout au fond e sa gorge.

-Putain Jazz… OUIII… c'est bon… oui….

Jasper me lécha longuement avant de s'installer contre moi souriant fier de son effet.

-Toujours aussi expressif beau gosse…

Je l'embrassai doucement en passant ma main dans ses cheveux. On enfila un boxer quelques minutes après que j'aie repris mon souffle et nous sortîmes sur le petit balcon de la chambre bière à la main. Il n'y avait eu rien de gênant avec lui cette fois. Il ne s'était pas amusé à me draguer, je détestais ça. J'appréciais que ce soit direct et sexe, pas amoureux comme avec ma copine.

-Alice sait que tu as recommencé à fumer ? dis-je en voyant Jasper allumer une clope.

-Bella sait que tu as recommencé à me sucer?

Je pouffai en allumant moi aussi une cigarette.

-Je voudrais bien que Bella le sache, on pourrait se refaire des soirées tous les quatre, dis-je tirant sur ma cigarette.

-T'es sérieux mec ? tu voudrais qu'on reprenne nos soirées sexe avec les filles ? s'excita Jazz.

-Oui… je me sens mal de cacher ça à Bella. Et… tu ne vas pas me croire, mais elle me demande chaque semaine si on pourrait remettre ça…

-Chaude petite Bella…

Je souris. C'est vrai que ma petite Bella est chaude, tellement sexe quand elle se lâche. On ne se douterait pas qu'elle a ça en elle avec son air innocent de sainte vierge.

-Ça m'intéresse moi. Faudrait que je voie avec Alice si elle serait d'accord.

Je soupirai. Ce n'était pas une mince affaire, de faire des plans culs avec sa sœur, c'était assez pervers et vraiment weird.

-J'en doute. Tu sais que la dernière fois, c'était tellement intense qu'elle et moi on a vraiment eu peur de se jeter l'un sur l'autre.

-Oui je sais… elle en a eu pour des semaines à se sentir coupable. C'est ta faute aussi tu as voulu la prendre dans tes bras pour la rassurer et elle croyait que tu voulais la baiser, ta bite a touché son ventre, se moqua-t-il.

Je pris une gorgée de ma bière.

-Je lui ai dit que je ne lui en voulais pas, il faisait vraiment noir et en plus elle était tellement bourrée et excitée, elle m'a juste roulé une pelle à laquelle j'ai répondu assez facilement. Je croyais que c'était Bella. Je m'en suis voulu à mort. Quel mec saint d'esprit veut baiser sa sœur ?

-On en a plein nos bureaux des mecs qui veulent baiser leurs sœurs !

-Fait pas l'idiot. Alice c'est ma petite sœur, j'ai consolé toutes ses peines des plus petites aux plus grandes et quand elle est arrivée chez nous lorsqu'elle avait 2 ans et moi 5, je l'ai tout de suite acceptée. J'aimais je n'ai senti qu'elle n'avait pas le même sang que moi qui coulait dans ses veines. J'ai toujours voulu la protéger et la consoler.

Mes parents voulaient tellement un autre enfant mais ma mère faisait fausse couche par-dessus fausse couche elle était épuisée et inconsolable. Mon père avait reçu une famille à l'urgence un soir. Leur voiture avait chuté d'une falaise, la mère avait réussi à sortir Alice de la voiture. L'homme est mort durant le transport en ambulance alors que la mère d'Alice a eu plusieurs complications suite aux multiples blessures sur son corps. Elle est morte 3 jours après l'accident. Alice n'avait personne pour s'occuper d'elle, pas de famille, ni ami. Elle devait être envoyée dans un orphelinat. Mon père avait été incapable de les laisser l'emmener. Il avait fait toutes les démarches sans en parler avec ma mère et il était rentré avec Alice fixée sur ses hanches pour le dîner, un pansement sur le front. Ma mère s'était approchée et Alice l'avait regardé tendant instantanément les bras vers elle. Mon père nous dit beaucoup plus tard qu'Esmée ressemblait physiquement à la mère d'Alice.

-Ouais… j'avais affaire à être digne d'elle. Tu as failli m'émasculer quand je t'ai dit que j'étais amoureux d'elle, continua Japser, me sortant de mes pensées.

-À qui la faute, tu baisais la ville entière et tu attachais les filles et les mecs à ta tête de lit, avoue que c'est déstabilisant non ?

-Peut-être, mais depuis que tu as essayé, que je t'ai enseigné comment faire, Bella et toi prenez un pied d'enfer.

-Putain ouais!

On écrasa notre cigarette et nous entrâmes dans notre chambre. Jasper fila à la douche après que j'en sois sorti. J'envoyai un texto à la femme de ma vie pour lui souhaiter bonne nuit avant de me coucher sous les draps sur le ventre prenant mon oreiller dans mes bras.

Je dormais presque quand je sentis les couvertes se soulever et le matelas s'affaisser.

-Jazz… je veux dormir…

-Moi aussi… c'est juste que je déteste dormir seul.

Il se pelotonna contre mon dos embrassant ma nuque. Je frissonnai.

-Dors beau gosse, j'ai des plans assez intéressant pour demain soir.

Je souris avant de me laisser emporter par le sommeil.


Alors ?

Je continue ?

J'ai hâte de voir vos réactions.

Merci de me lire

A+

isasoleil