Titre : Je t'aime et tu me fais souffrir.
Disclaimer : Pas à moi.
Note : C'est ma première songfic ! (Avec mon couple préféré, le FrUK, évidement) J'ai légèrement modifié le texte de base afin que ça rentre mieux. Bonne lecture.
Il avait eu du mal a s'y faire, pourtant il le fallait. Entre eux deux, il n'y avait plus que des souvenirs. Alors pourquoi voyait-il son sourire partout, même sur les murs ? Pourquoi ne dormait-il plus ? Arthur passait son temps a penser à Francis, il devait bien l'admettre. Il savait bien qu'il n'y aurait pas de deuxième chance pour eux deux. Pourtant, il espérait toujours que…
C'est dur de se dire,
Qu'il n'y a que des souvenirs
Et ton sourire , trop longtemps figé sur mes murs
Mes larmes me font vivre, et l'espoir hante mes nuits
Je ne dors plus, seule ton image m'envahit
Pourtant...
Je sais que tu ne reviendras pas
Mais pourtant...
Chaque nuit je t'attends
Arthur avait cru Francis lorsqu'il lui avait dit qu'il l'aimait. Il y avait vraiment cru. Il n'avait pas pu taire ses sentiments. Il pensait qu'entre eux deux, ça durerait, peut-être pas pour l'éternité, mais plus longtemps. Ils s'étaient aimés. Mais ce n'était plus possible. Plus aujourd'hui. Il se sentait tellement seul. Le Français avait détruit sa vie, en quelque sorte.
J'avais cru à ton amour,
À tes discours des premiers jours
Je croyais qu'entre toi et moi, ça durerait toujours
Moi j'étais vraiment love, et je n'ai pu
Taire mes sentiments
Et toi tu m'a eu
Je suis vraiment seul, sans toi je ne sais plus
Qui je suis
Tu détruis ma vie...
Arthur l'aimait encore, pourtant, son Français. Mais il sentait cette petite flamme qui s'éteignait dans son coeur. Il n'était même plus maître de ses sentiments. Lorsqu'il voyait Francis s'éloigner sans même un regard pour lui, il avait envie de pleurer. Il devait fournir un effort surhumain à chaque fois pour y survivre. Chaque mot de France le mettait à terre, le tuait lentement, mais sûrement. Parfois, il avait envie de tout oublier.
Mon coeur s'éteint encore
Plus le temps passe, plus il est mort
Toi, tu avances sans remords
Moi je dois survivre
Tes mots me mettent à terre
Et me tuent jour après jour
Je ne sais vraiment plus quoi faire
Pour tuer tout cet amour
Savait-il au moins si il devait garder des sentiments pour Francis ? Ou tout oublier ? Ou le haïr froidement, jalousement ? Parfois, il n'avait pas envie de choisir. Simplement de se laisser tomber dans l'abysse.
J'ai mal au coeur
Je ne sais plus
Si je dois t'aimer ou te haïr
Je ne sais plus
S'il faut t'oublier
Ou simplement me laisser mourir
Il avait besoin de la chaleur que lui apportait le Français. Il ne pouvait pas imaginer cette femme, cette humaine, cette fameuse Jeanne d'Arc, dans les bras de son Francis. Chaque jour, il sentait qu'ils s'éloignaient un peu plus l'un de l'autre. France avait prétendu l'aimer, mais à l'évidence, il avait menti. Arthur sentait qu'aujourd'hui, pour eux, rien ne s'était passé. Ils n'étaient plus que des ennemis. Comme un baiser d'un jour, le lendemain oublié.
Je n'en peux plus de vivre sans ta chaleur près de moi
Je vis dans l'angoisse qu'elle soit dans tes bras
Chaque jour qui passe tu t'éloignes un peu plus de moi
Tu prétendais m'aimer, mais aujourd'hui tu fais comme si
Rien ne s'était passé, comme si je n'étais qu'un ennemi
Un jour tu m'embrasse, le lendemain tu m'oublies
A chaque fois qu'ils se voyaient, il fallait qu'ils s'entretuent. Ce n'était même pas de leur faute. Arthur avait l'impression que leur relation n'avait jamais existé, que ça avait juste été un rêve. Un rêve merveilleux. Et oui, il l'aimait encore. Et Francis le faisait souffrir. A croire que lui ne l'avait jamais aimé. Arthur se sentait blessé, il sentait sa haine grandir. Tant de sentiments contradictoires dans un seul cœur, c'était impossible. C'était effrayant.
- Foutue guerre, soupira-t-il.
On s'aime et on se déchire
Comme si rien n'avait existé
Je t'aime et tu me fais souffrir
À croire que tu n'as jamais aimé
Moi je t'aime et tu me blesses
Je te hais de jour en jour
Moi je t'aime et tu me laisses
Seul avec mon amour...
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