Salut tout le monde, partie d'un délire j'ai écrit ce qui sera une petite fic. J'espère que ça vous plaira, pour ceux qui lise « Pas tout à fait sans elle » ne vous inquiétez pas, je n'arrête pas pour autant d'écrire d'autant que celle que je vous livre aujourd'hui ne sera a priori pas très longue mais allez savoir avec vos encouragement je pourrais peut être avoir un peu plus d'inspiration que prévu.

Je rappel que les personnages ne m'appartienne pas.

Cette fic est classé M car il y a du lemon. Et oui c'était ça le délire savoir si je saurai me débrouiller avec ce registre lol

La récompense d'une journée de shopping

Qu'est ce qui m'avais pris, mais qu'est ce qui m'avait pris d'accepter une journée shopping avec Alice, franchement ?

Je passais une belle journée en famille avec Edward, ma Renesmée au cottage. Edward et moi avions passé tout notre temps dehors à jouer avec notre fille, nous avions même sorti les jeux de société.

Renesmée était aux anges, elle n'arrêtait pas de battre son père légèrement déstabilisé par le fait que je l'empêchais de lire les pensées de sa fille.

Nous l'avions couché vers 21 heure et de notre coté nous avions passé la nuit dans les bras l'un de l'autre à regarder les étoiles (il faut bien l'admettre c'était assez exceptionnel).

Ma petite puce s'était réveillé vers 3 heure du matin, plus elle grandissait moins son sommeil était long, même si elle avait toujours besoin de se reposer. Elle avait alors réclamé à tort et à travers ses oncles Emmett et Jasper car elle leur avait apparemment promis de « leur mettre la pâtée aux jeux vidéos ».

En entendant cela Edward et moi nous nous promettions de toucher deux mots à Emmett en ce qui concerné le vocabulaire qu'il utilisé devant notre fille. Malgré tout cela me faisait sourire.

Sous les implorations de Nessie, nous sommes alors retournés à la villa. Tout le monde avait son occupation lorsque nous somme rentrés. Emmett était sur le point de réduire à l'état de poussière la manette de sa console en voulant battre un record sur son jeu de foot, Rosalie le surveillait comme le lait sur le feu. J'étais persuadé qu'à la moindre égratignure sur la manette Emmett allait se retrouver privé de jeux dans tous les sens du terme. Je ne pus d'ailleurs pas m'empêcher de rire rien que d'imaginer la tête que ce pauvre Emmett ferai si Rosalie décidai de mettre cette sanction en place.

Mon rire avait distrait tout le monde de ces occupations. Jasper leva le nez de son livre pour venir nous dire bonjour tout en prenant sa nièce dans les bras. Alice arrêta de dessiner et m'adressa un sourire qui devait facilement lui remonter jusqu'aux oreilles. J'adorais mon lutin de belle sœur mais quand elle faisait une tête pareil, elle me faisait un peu peur je dois l'admettre. Être aussi fière d'elle chez Alice ne présagé rien de bon pour moi.

Après nous avoir salués Carlisle et Esmée retournaient à leur plan d'architecture placés sur la table de la cuisine. Je pensais que cela devait être des plans de rénovation pour la villa en Alaska. En effet peu de temps avant nous avions décidé qu'il était temps de nous éloigner de Forks. Carlisle était depuis trop longtemps à l'hôpital, pour ce qui était des « enfants » Cullen nous étions tous censé être dans différentes universités et nous cacher commençait à être un peu compliqué. Nous avions expliqué la situation à Charlie qui avait très bien compris, nous avions même trouvé un moyen pour qu'il continue de me voir ainsi que sa petite fille régulièrement.

Le temps que je me perde dans mes pensées, Emmett, Jasper et Renesmée s'étaient installés prêt pour lancer le jeu vidéo et Edward venait de s'asseoir au piano. Il me regardait avec un regard que j'aurai qualifié de malicieux en tapotant la place qui restait sur le banc du piano. En lui lançant mon plus beau sourire, je m'avançais vers lui et m'installa. Dès qu'il commença à jouer, je posais ma tête sur son épaule et fermais les yeux pour mieux m'imprégner de sa musique. J'avais l'impression d'être au paradis lorsqu'il joua ma berceuse.

Malheureusement ce moment de pur bonheur ne pouvait pas durer et se fut mon adorable et néanmoins exaspérante tornade Alice qui me sortit de mes rêves.

Bella, Bella, Bella ?... me dit-elle en sautillant

Stop… Non

Quoi non ? Tu ne sais même pas ce que je voulais dire.

Alice me fit alors son regard de chien battu, je me tournais vers mon cher et tendre pour chercher un peu de soutien mais tout ce que je trouvais, c'était Edward se retenant tant bien que mal de rire.

Rigole un bon coup mon amour, vas y fout toi de moi.

Je me moque pas de toi Bella, me dit il avec son satané sourire en coin, ce sont les pensée d'Alice, ma chérie, j'ai parfois l'impression que même ses pensées sont montées sur ressort.

Hey !!! Je suis dynamique alors mes pensées le sont aussi, lui répondit Alice avec son air faussement vexé.

Bon vu que je ne suis pas soutenue par mon mari, je te le dis moi-même Alice à quoi que tu penses, laisse tomber je ne bouge pas d'ici. Dis-je avec un ton que je voulais déterminer

Allez s'il te plait, s'il te plait, s'il te plait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Maman. Quand taty Alice répète tout trois fois c'est que tu n'arriveras pas à la faire changé d'avis, j'ai déjà essayé mais ça a pas marché.

Ta fille a raison, tu sais en plus je l'ai vu dans une vision que tu allais accepter alors je ne risque pas de te laisser filer.

Ma fille me lança un sourire compatissant tout comme son père qui était toujours à coté de moi.

Bon dis moi au moins ce que tu as dans la tête que je me prépare psychologiquement.

Yes !!! j'en étais sure.

Hop doucement je n'ai pas encore dit que j'étais d'accord.

Oui mais c'est tout comme. Elle reprit un air sérieux comme si ce qu'elle allait m'annoncer était capital. Journée SHOPPING !!!!

En cette seconde, si j'avais été humaine, je n'aurais plus de tympan. Le pire c'était que je m'en doutais, seul le shopping avait le don de mettre Alice dans cet état là. Je me prenais la tête dans les mains sachant très bien que je ne pourrais pas y échapper.

Jasper ne serai pas très content d'entendre ça mon amour, me dit Edward en pouffant de rire.

Quoi ? Je ne serai pas content si j'entendais quoi ?

Bella a pensé que seul le shopping pouvait mettre ta femme dans cet état là.

Cette fois, j'éclatai de rire toujours le visage caché dans mes mains. Je relevai la tête pour m'excuser auprès de Jasper qui lui aussi était prit par un énorme fou-rire.

Allez Bella ne fait pas cette tête, ça sera très drôle et puis ce n'est pas comme si je n'avais que toi à habiller. Tu ne seras pas toute seule pour faire face à ton calvaire. Dit-elle toute fière.

Ah oui ? Et qui sera ma planche de salut alors ?

Ma charmante petite nièce.

Renesmée releva immédiatement le nez de sa manette et commença à supplier sa tante de la laisser jouer à la villa.

Allez Nessie, s'il te plait, pour me faire plaisir. S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait.

Tu as entendu, j'ai dit s'il te plait trois fois.

Oui ! traduction je n'ai pas le choix.

C'est ça !!!

A la demande de Renesmée, nous l'avions déposée chez son grand père pour qu'il profite de sa petite fille avant notre départ.

Alice et moi étions restées un peu pour discuter avec mon père, prendre de ses nouvelles. Ne voyant pas le temps passé, lorsque j'avais regardé ma montre je parus un peu étonnée. Mon père s'empressa de me dire de rentrer car mon mari devait m'attendre.

Alice lui avoua qu'il ne m'avait pas vu de la journée car elle m'avait enlevée de force ce que je m'empressai de confirmer avec un grand sourire.

Allez dépêche toi, il va finir par être couché et endormi quand tu arrivera.

Alice et moi sourions à la remarque de mon père, Edward ne risquait définitivement pas de dormir avant mon arrivée.

Ne vous inquiétez pas Charlie je suis sur que mon frère n'a pas envie de s'endormir avant que Bella n'arrive. C'est bien une chose que je peux vous garantir. Dit-elle en rigolant.

Charlie mit presque aussi peu de temps que moi à comprendre le sous-entendu de ma belle-sœur. Heureusement que mon état vampirique m'empêchait de mourir à cause de la gène car sinon je serai six pied sous terre. Mon père eu un léger rire nerveux et me renvoya vers mon mari et Alice vers sa famille.

Alice depuis quand Emmett détint sur toi ? lui demandais-je une fois dans la voiture.

Mais c'est moi qui lui ai tout appris petite sœur. Me dit-elle en rigolant

Et je peux savoir pourquoi tu as dit que c'était une chose que tu pouvais garantir ?

… Non… d'ailleurs c'est le genre de chose que je me passerai bien de savoir moi-même. Comme le reste de la famille d'ailleurs.

Cette fois elle était pliée de rire, elle savait très bien que l'idée qu'elle ait des visions de ce qui se passait la nuit entre moi et Edward n'était pas pour me ravir.

Comment ça comme toute la famille d'ailleurs ?

On est arrivées !!!

Et voilà, comment je me retrouvais les bras chargé de sacs plein de vêtements pour moi et ma fille. J'étais tellement chargée, qu'Edward m'ouvrit la porte pour que je puisse rentrer.

Je m'empressais alors de déposer tout cela dans l'ancienne chambre d'Edward, là encore le problème de la porte se posa. Mais un quart de seconde plus tard, l'homme de ma vie m'ouvrit la porte. Je déposais alors tous les sacs sur le lit. Edward pouffait de rire quand il vit le monticule que je venais de mettre sur le lit.

Alice ne sait jamais s'arrêter et avec ses yeux de cocker malheureux comment voulais tu que j'arrive à la canaliser.

Je ne te blâme pas mon amour, personne n'y arrive pas même Carlisle lorsqu'elle le traine dans les magasins.

Edward se rapprocha de moi et passa dans mon dos pour me prendre dans ses bras. Après avoir enlevé mes cheveux de mon épaule, il y posa sa tête. Je me serrai contre lui, être dans ses bras était vraiment le meilleur remède pour se remettre d'une journée avec Alice.

Je suppose que notre fille est chez son grand père puisque qu'elle n'est pas rentrée avec toi et Alice.

Oui, bien deviné.

Génial, on va enfin pouvoir n'être que tous les deux.

Je souriais à l'idée qui venait de me traverser la tête en même temps qu'il resserrait son emprise sur moi. La nuit dernière avait été trop calme à mon gout mais je devinai que pour lui aussi.

A quoi penses-tu, mon ange ?

A vrai dire, j'ai assez de mal à réfléchir dans l'immédiat. Je sentis son sourire contre mon cou

Vraiment ?

Chacun de ses mots transformés en souffle venait glisser le long de ma nuque et provoquais en moi des millions de minuscules frissons à chaque endroit ou son corps touchait le mien.

Oui, vraiment.

Tant mieux alors.

Sa voix était devenue suave, et atrocement sexy lorsqu'il entreprit de déposer une multitude de baiser dans mon cou. Ses lèvres tièdes m'électrisaient à chaque fois qu'elles touchaient ma peau. Mon souffle devenait plus erratique et je murmurais son prénom dans un souffle en laissant tomber ma tête en arrière contre l'une de ses épaules.

Edward !

Mon amour !

Le mouvement que j'avais fait avec ma tête lui avait laissé le champ libre pour déposer ses lèvres jusque sur ma mâchoire ce qu'il fit tout en douceur. L'atmosphère de la chambre devenait presque étouffante tellement elle était chargé d'électricité. Je ne pouvais plus réfléchir, j'avais seulement envie de sentir ses lèvres sur les miennes. J'entrepris alors de me retourner vers mon adonis. Edward avait eu la même idée et commençait à me retourner vers lui en faisant passer ses mains sur ma taille. Il me retourna délicatement tout en me caressant le dos, ce qui me valut de nouveaux frissons à l'endroit ou la paume de sa main s'était égaré.

Je calais mon front contre son torse pour pouvoir inspirer son odeur tandis que lui reprenais le manège que ses lèvres avaient entrepris dans mon cou tout en remontant petit à petit vers l'arrête de ma mâchoire. Il s'arrêta alors pour me regarder, je ne pus m'empêcher de soupirer de frustration ce qui le fit sourire. Sans quitter ce sourire qui me chavirer le cœur, il m'embrassa sur chacune de mes paupières, mes tempes puis mon nez pour dévier finalement vers le lobe de mon oreille. Il me murmura.

Tu m'as tellement manqué aujourd'hui mon amour, j'étais tellement frustré de ne pas t'avoir près de moi que Jasper a failli me mettre à la porte.

Je souriais à cette idée et pensais qu'en cette seconde j'étais moi-même frustrée qu'Edward ne m'ait pas encore embrassé. Mais c'est aussi à ce moment que la phrase qu'avait prononcé Alice me revint en tête « Comme le reste de la famille d'ailleurs ».

Et flûte, j'avais oublié, toute la famille Cullen était à la villa. Mon cerceau était en pleine ébullition mais malgré cela les baisers d'Edward m'empêchaient d'aligner plus de trois mots d'affilé, alors lui faire comprendre qu'il vaudrait mieux attendre d'être au cottage risquait d'être compliqué.

Edward… Attend…

Quoi ? me dit-il sans s'arrêter.

Toute la famille… on devrait… aller… au cottage.

Je ne crois pas que j'arriverai à aller jusque là bas, me dit-il en m'embrassant la nuque, Toi si ?

Je ne crois pas non plus.

Ses baisers devenaient de plus en plus langoureux, et lorsqu'il glissa sa main gauche sous mon pull, je savais que la vision d'Alice serait inévitable. Alors tant qu'à être gênée par la suite autant que cela soit pour une bonne raison.

Je me cambrai alors suivant le mouvement de ses mains, toutes les deux posées sur ma peau en dessous de mon pull. Son souffle devint lui aussi beaucoup plus saccadé. Il prenait du plaisir à me prodiguer ces caresses et je voulais en faire de même. Je réalisais alors que nos lèvres ne s'étaient pas encore rencontrées depuis mon retour. Je passai alors mes bras autour de son cou pour rapprocher son visage du mien.

Je commençai par souffler délicatement sur l'arrête de sa mâchoire qui se crispa immédiatement pour y poser mes lèvres ensuite, je remontais ainsi jusqu'à son oreille pour lui murmurer tout mon amour. Encore une fois il me serra contre lui avec un peu plus de force. Je lui murmurai de nouveau un « je t'aime » contre ses lèvres avant de l'embrasser tout doucement. Je prenais entre mes lèvres sa lèvre supérieure puis l'inférieur en maintenant l'application que j'avais d'aller très doucement, ce qui provoqua chez lui un peu plus d'empressement. Il s'empara alors de ma bouche avec toute la passion qu'il pouvait mettre dans ce baiser.

En moins d'une seconde je me retrouvais appuyer contre la porte de la chambre, les mains d'Edward s'égarant sur ma taille. Il commença à prendre le bas de mon pull dans ses mains pour me le retirer quand nous entendîmes une voix derrière la porte.

Ce n'est pas pour vous déranger mais vous pourriez arrêter ça tout de suite ou alors faire vite parce que j'en peux plus moi.

Sous le choc, Edward et moi nous nous regardions, c'était Jasper qui venait de nous parler. Le pauvre devait ressentir toute la tension que je ressentais sans compter sur celle d'Edward mais je me voyais mal pouvoir m'arrêter là, ce devait être l'avis d'Edward car il m'embrassa de nouveau pour couper cour à toute réflexion qui pouvait être dans ma tête. Notre baiser fut de nouveau interrompu par Alice cette fois.

Ne l'écoutez surtout pas. Sa voix était étrange.

Je compris assez vite que la tension que Jasper ressentait, Alice avait bien l'intention d'en profiter ce qui me fit rire.

Tu crois que Jasper saura se défendre contre Alice.

C'est loin d'être certain, tout soldat confédéré qu'il était je ne crois pas qu'Alice le laissera lui échapper, ma Bella.

Humm, ça tombe bien je n'ai pas envie de te laisser partir non plus.

Je suis ton prisonnier volontaire pour l'éternité.

J'enlevais alors moi-même mon pull de peur que quelqu'un ne nous interrompe encore et entrepris de déboutonner sa chemise toujours très lentement laissant glisser mes doigts sur sa peau de marbre. Ne pouvant rester sans rien faire, il commença à me caresser le dos s'attardant sur les contours de mon soutien gorge. Il les suivit jusqu'à effleurer ma poitrine par-dessus le tissu. Je me mordais la lèvre inférieure pour essayer de rester concentrée sur ce que je faisais et ainsi éviter de lui arracher sa chemise. Une fois le dernier bouton défait je fis glisser sa chemise de ses épaules et il s'en débarrassa au hasard sur le sol de la chambre. Nous étions alors peau contre peau. Cet instant était grisant mais je n'en avais pas assez.

Il se pencha alors délicatement vers le sol m'entrainant avec lui et posa une main au sol pour ralentir notre chute. Je me retrouvais sur le sol et mon adonis m'observant avec des yeux plein de désir. Je l'attrapais par le cou pour qu'il m'embrasse. Rapidement il dégrafa mon soutien gorge et explora de ses lèvres ma poitrine, je ne pouvais plus retenir mes gémissements et encore moins mes soupirs. A chacun d'entre eux Edward grognait de plaisir, cette part de lui un peu plus animal pendant nos moments d'intimité me faisait vraiment perdre la tête. J'enroulais alors mes jambes autour de ses hanches, ondulant instinctivement contre lui. Ces mouvements devenaient plus pressant pour mon plus grand plaisir.

Son envie de moi était indéniable, je le sentais contre moi mais je voulais l'entendre dire, ses murmures avait toujours le don de me rendre folle dans ses moments là.

Edward… Je t'aime… Si tu savais…je…

Bella je t'aime mon amour… Chaque seconde je pense à toi… J'ai tellement besoin de toi… envie de toi.

Ces mots me firent l'effet d'une bombe, je ne pouvais plus attendre, j'avais trop besoin de lui. J'essayais alors tant bien que mal de lui enlever sa ceinture et ne put m'empêchait de râler en pensée contre Alice qui voulait toujours que le moindre détail soit parfais quitte à porter une ceinture qui ne sert à rien si ce n'est à m'exaspérer. Edward tout en m'embrassant m'aida à lui retirer la ceinture et son pantalon qui volèrent à l'autre bout de la pièce faisant tombé au passage quelques sacs amoncelés sur le lit. Ce fut alors mon tour, et contrairement à moi Edward n'eu pas besoin d'aide pour m'enlever mon pantalon, il prit d'ailleurs son temps en effleurant les bords de ma culote puis mes jambes jusqu'au chevilles. Mon pantalon alla rejoindre le sien sur le lit ce qui fit tomber le reste des paquets faisant un bruit énorme lorsqu'ils atteignirent le sol. Il était trop tard pour passer inaperçu.

Edward prit ma cheville gauche dans ses mains et commença à m'embrasser tout en remontant de plus en plus haut jusqu'à la couture de ma culotte, j'en tremblais de plaisir et le remonta vers moi en le prenant par les épaules pour gouter à nouveau ses lèvres. Sa main gauche naviguait dans mes cheveux tandis que l'autre glissa sur mon intimité. Il allait me rendre définitivement folle, j'avais réellement trop envie de lui pour supporter plus longtemps ses caresses. Mes mains quittèrent alors ses cheveux pour descendre le long de sa colonne pour arriver jusqu'à son boxer. Mes mains s'égarèrent sur ses fesses pour finalement faire glisser son boxer et l'envoyer rejoindre le reste de nos vêtements. Comme il l'avait fait pour moi ma main glissa le long de sa virilité. Il ne put s'empêcher de gémir retenant son cri contre mon épaule.

Tu va finir par me tuer Bella.

Lui non plus ne pouvais plus attendre et il me débarrassa des derniers morceaux de tissu que je portais. Nous étions nu l'un contre l'autre, haletant. J'enroulais de nouveau mes jambes contre ses hanches, l'invitant à libérer cette chaleur qui me consumait.

Edward, je t'aime.

Mon amour, tu m'as rendu complètement fou. Je t'aime

Mes mains s'agrippaient dans ses cheveux tandis qu'il caressait mes cuisses pour les serrer encore un peu plus contre lui. Je l'embrassais dans le cou, je ne me lassais jamais du coup de noisettes qu'avait sa peau. Sous l'extase des ses caresses, je continuais de murmurer son prénom et des « je t'aime » de plus en plus passionné.

Il répondit à mes « je t'aime » et en un coup de rein nous ne faisions plus qu'un. J'avais cette sensation d'être entière et vivante quand il commença ses vas et viens. Nos soupirs étaient de plus en plus fort, je ne pouvais plus m'arrêter de lui dire combien je l'aimais. Pour seule réponse il me donnait des baisers enflammés qui aurait pu faire fondre nos corps de glace.

Le rythme augmenta, nous étions enfiévrés, affamés l'un de l'autre. Mes ongles s'enfoncèrent dans sa peau alors que je sentais la chaleur augmenter encore en moi prête tel un volcan à exploser. Je me raccrochais alors à la première chose qui me vint sous la main, un des pieds métalliques du lit. Nous n'étions plus loin de notre paradis et mon emprise sur le pied de lit commençait à se resserrer. Nos vas et viens augmentèrent, se renforcèrent comme notre envie de l'autre.

Cette envie de l'autre que nous avions ne tarda pas à être comblée, la force de notre désir avait rendu l'explosion qui me traversait extrêmement intense. Edward me suivit rapidement dans la jouissance. Je n'avais pu retenir un cri ou l'on pouvait distinguer le prénom de l'amour de ma vie, il en fit de même ce qui augmenta encore la force de l'orgasme.

Le lit sans que nous ayons été dessus s'est effondré, j'avais réduit un des pieds en poussière et Edward avait à moitié arraché dans un bruit de ferraille l'armature du lit.

Nous étions alors serré l'un contre l'autre, sa tête reposant sur ma poitrine comme pour écouter mon cœur, je caressais doucement son visage pendant que nous reprenions notre souffle. Il releva alors la tête posant son menton juste au dessus de mes seins et me regarda dans les yeux.

Ma Bella. Tu es si belle.

Il se redressa et m'embrassa langoureusement pour finalement s'allonger sur le dos et m'installer contre son torse. Mon odeur était partout sur son corps. Il m'appartenait et je lui appartenais, je ne pouvais pas être plus heureuse.

Le bruit des paquets puis le lit qui s'effondrait n'avaient pas du passer inaperçu, je me rappelais alors que toute la famille avait du nous entendre heureusement que Renesmée n'était pas là, je soupirai pour rejeter les prémices du malaise que j'allais ressentir lorsque nous redescendrions et me serrais contre Edward.

Cela ne te dérange pas si nous restons un peu ici.

Pourquoi ça me dérangerait mon amour ? Je resterais ici pour l'éternité s'il n'y avait que nous.

Justement j'ai besoin d'être contre toi encore un peu avant d'affronter Emmett en particulier.

Il me serra encore un peu plus dans ses bras. J'étais définitivement la femme la plus heureuse qui puisse exister sur terre.

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Alors ça vous a plu, j'attends avec impatience votre verdict, est ce que je me débrouille avec le registre lemon ?

Donnez votre avis s'il vous plait plus vous serez nombreux, plus il y a de chances que la fic soit plus longue que prévue et en plus vous donnerez le sourire à une auteure de fic qui a peur de ne pas être lue lol.