Disclaimer

Rien ne m'appartient, tout est à JKR. Je ne le redirais pas cent fois!

(Par contre, c'est bien moi qui à écris cette fiction!!!)

Les derniers rayons orangés tombaient doucement à travers les nuages sur le château en ruine. En cette fin de journée d'été, l'école de sorcellerie la plus reconnue du monde apparaissait aux Moldus comme un vestige d'une guerre surréel. Les jeux de lumières donnaient, malgré tous les enchantements possibles et inimaginables pour la dissimuler, un air féerique à la bâtisse. Poudlard. Pour le directeur de l'école, ce nom farfelu n'était pas synonyme de site historique. Non, c'était sa maison, une maison a protéger afin que la vision donnée aux Moldus ne deviennent pas réelle.

Dumbledore était assis sur du rebord du lac, observant sa silhouette se reflétait dans l'eau. Il s'agissait de son endroit préféré pour réfléchir, le mouvement du vent sur l'eau le reposait plus que tous autre thé, lui permettant ainsi de mieux évaluer les derniers événements. Le poids des années se ressentaient de plus en plus, sa santé bien qu'apparemment bonne, commençait à le faire souffrir. L'agitation dû au retour de Voldemort l'avait plus fatigué que jamais, son expulsion de l'école l'avait laissé assez désorienté malgré toutes les précautions prises par l'Ordre du Phnix. Le duel avec Tom avait été finalement le moins problématique. Non, le pire était la discussion avec son élève. Il avait beau y pensé, il ne savait pas quand tous les problèmes avec le jeune Potter avaient commencé. Il savait qu'il avait fait des dommages quasiment irréparables en lui gardant des informations capitales. La mort de Sirius l'inquiétait beaucoup, il avait peur que Harry deviennent trop déprimé pour continuer à vivre normalement, et surtout incapable de battre Voldemort. Pour l'instant il était fier de son élève, il avait dépassé toute ses espérances, réussi toutes les épreuves que l'Ennemi lui avait envoyé. Le directeur de Poudlard sentit un léger sourire naître qui disparut très rapidement. Oui, il était heureux que la Prophétie était tombé sur Harry plutôt que sur le jeune Londubat et avait toute confiance en celui-ci pour l'accomplir. Il était temps qu'il entraîne celui-ci à la guerre.

En se dirigeant vers son bureau, il ne pût empêcher la vague de tristesse, de regret et d'affection le prendre comme à chaque fois qu'il pensait trop longtemps à Harry. Il pensait à celui-ci comme au fils qu'il n'avait jamais eu, il voulait le protéger de tous les problèmes extérieurs à Poudlard, le rassurer. Cependant il avait peur d'avoir perdu la confiance de son élève, et surtout de ne jamais la regagner après la discussion quelque peu mouvementé qu'ils avaient eu. Bien qu'il ne soit pas totalement omniscient, il savait bien que Harry avait visité le fantôme des Gryffondors montrant ainsi que celui-ci ne pouvait accepté la mort de son parrain. Mauvais départ pour qu'il se sente mieux.

Ce fut Fumseck qui le sortit de ses pensées et le ramena au plus important: ses problèmes avec le Ministère de la Magie. Il devait réparé déjà tout les inconvénients dû à Ombrage, mais il lui restait ceux de Fudge. Maintenant que ce dernier accepté enfin de voir la vérité, il lui envoyait une dizaine de lettres par jour. Dumbledore savait qu'il devait remplacé Fudge qui, bien qu'il écoutait enfin ses conseils, était totalement incapable en cas de guerre. De plus, pour qu'il n'est plus de problème du tout avec celui-ci, il avait dû concéder certaines parts du conseil d'administration de Poudlard. La preuve de son incapacité était devant lui sous la forme d'une lettre: en effet, le Ministre de la Magie venait d'ordonné encore une fois le renvoie de Trelawney qu'il avait repris pour travailler avec le centaure Firenze en Divination; il s'agissait parmi beaucoup d'autre des décisions totalement inutiles en ces temps difficiles. D'après Fudge, le compte rendu de Ombrage sur Trelawney n'était pas passer à la « casse » avec celle-ci.

Pour Dumbledore, le plus grand problème serait les cris du professeur de Divination.

Le directeur frappa à la trappe qui faisait office de porte pour la salle de divination. Ce ne fût qu'après quelques secondes d'attente que Dumbledore se décida à monter l'échelle et entra « En haut dans l'Antre de la Folle » comme l'avait fait remarquer une McGonagall sur les nerfs. A l'approche de l'odeur épouvantable qui s'échappait de la salle, Albus engloutit promptement un de ses bonbons au citrons pour compenser les senteurs horribles des fumées. Il jeta un coup d'il à la salle dans l'espoir de voir Sybille Trelawney: il ne voulait surtout pas avoir à rentrer dans l'appartement personnel de sa collègue qui, au contraire des autres professeurs n'acceptait absolument personne. En examinant la salle, le grand sorcier ne pût s'empêcher de penser que c'est peut être mieux ainsi, mais surtout d'avoir un peu pitié des élèves qui avaient choisi Divination. Il savait très bien que les chances pour que cette matière sert un jour était très minime et que la tendance à inventer la mort à tour de bras de Sybille ne faisait rien pour rajouter du sérieux. Et la puanteur!

- J'arrive, la voix aiguë du professeur de Divination se fit entendre de l'autre bout de la salle.

A travers la pénombre, Trelawney apparut toujours aussi lourdement vêtu. Son apparence de cafard ne faisait rien pour améliorer l'ambiance de la pièce, mais en maître Dumbledore cacha facilement son amusement. Il aurait d'ailleurs été plutôt mal vu de sa part de se moquer de sa collègue a qui il devait en plus annoncé qu'elle serait peut-être renvoyé. D'un côté, il savait très bien que les rapports de Ombrage, bien qu'exagéré, portait une bonne part de vérité. Cependant, les deux prophéties qu'elle avait faite était certainement non négligeable. Il serait dommage et peut-être même dangereux de la laisser s'en aller: dommage, car elle ne se souvient jamais de ce qu'elle dit, et dangereux car elle pouvait facilement être capturé par Voldemort. Sybille toussa doucement pour ramener son « patron » de ses pensées et pointa deux fauteuils confortables où se trouvait déjà du thé.

- Comment allez-vous aujourd'hui, Sybille, commença Albus tout en s'asseyant et se servant une tasse du liquide bouillant. Avez-vous Vu quelques choses ses derniers temps, maintenant que le calme est revenu au château?

- Les événements extérieurs empêchent mon il de travailler correctement. Mais je ne me trompe pas en disant que vous venez pour quelque que chose de sérieux et de grave, n'est-ce pas Albus?

Le visage usuellement joyeux du professeur pris un ton plus sérieux, l'étincelle éternellement présente dans les yeux du directeur s'affaiblit un peu plus comme souvent ce mois-ci. Malgré toute les légères moqueries entre collègue sur Trelawney il avait beaucoup de respect pour celle-ci, et il avait dû mal à ce séparé de quelqu'un qu'il connaissait depuis longtemps.

- Sybille... J'ai des mauvaises nouvelles vous concernant qui viennent du ministère... Les comptes rendus de l'envoyé de Fudge cette année n'ont pas été négligés, et bien que j'avais réussi a vous reprendre après ce qu'il s'était passé au Ministère, il semblerait qu'il est quand même décidé de vous renvoyer. Et comme vous le savez, il fait parti maintenant du conseil d'administration et ceux-ci semblent avoir approuver sauf contre-preuve.

Il avait dit toute la tirade d'un trait d'une voix douce pour exprimer sa compassion, et pour tenter d'empêcher les cris qui pourrait retentir comme lors de sa première expulsion. La réaction de Trelawney fût cependant complètement différent: en effet, elle était toute calme et elle répondit d'un ton normal.

- Ne vous inquiétez pas Albus, je suis déjà au courant. J'ai Vu et j'ai commencé à ranger mes affaires depuis ce matin. J'attendais seulement que vous montiez.

Dumbledore eu cette fois du mal à cacher sa surprise, accentué par la vision d'une valise a moitié faite dans un coin de salle. En voyant le visage du directeur, la professeur de Divination continua:

- Vous savez, je suis tout a fait au courant des rumeurs qui circulent sur moi, et, bien que je ne fait pas souvent de vrai Vision, je sais pas mal de chose. Mon attitude d' « annonceur de mort » vient du fait que je vois généralement la mort d'une personne, même si cela va se passer de cent ans. Ainsi, je ne peut pas prouver mes dires.

Et ainsi ce fût un Albus très étonné qui sortit de l'Antre de Trelawney. Impressionné par le discours et par l'apparente vision de celle-ci, le directeur de Poudlard avait juré de faire son maximum pour aider la professeur et de rapporter leur conversation au conseil.

Cinq minute plus tard, la porte de l'appartement de Sybille Trelawney, professeur à Poudlard, école de Sorcellerie renommée, claqua brusquement. La nouvelle de son expulsion l'avait secouée plus qu'elle ne le pensait. Après son retour juste après la fin de l'école, elle avait pensé être finalement tranquille pour le reste de sa vie. Elle jeta sur une chaise tout l'attirail de charlatan qu'elle portait sur elle et s'allongea sur son lit tout en respirant l'air pur de sa chambre. En effet, si personne n'était autorisée à entrer dans son appartement, ce n'était pas parce que cela empêché sa Vue de fonctionner. Non, elle ne voulait pas qu'on sache que cela servait juste à impressionner les gens et donner une vision « divinatoire » de sa salle de classe. Pour tout dire, les vêtements et foulards qui couvraient son visage permettait de filtrer les senteurs insupportables de sa salle.

Après une légère sieste, elle repensa à la discussion avec le directeur. Non, je pense que j'ai encore une chance. Elle savait très bien qu'elle avait fait un bon effet sur celui-ci. La valise n 'avait été là seulement car elle avait oublié de la ranger après qu'elle se soit réinstallée à Poudlard. De plus, le directeur, maître reconnu de Légimentie (NA: j'ai lu le dernier livre en anglais donc je ne suis pas sûr que ça s'écrit ainsi en français. Dites le moi si je me trompe.), ne pratiquait jamais celle-ci sur les professeurs, en tout cas certainement pas les anciens. Elle n'avait jamais rien Vu à part les deux prophétie concernant Voldemort. Après ses études, elle pris des cours de théâtre mais ne fût pas pris à cause de son sens du spectacle un peu trop « développé ». C'est grâce à ses talents d'actrice et en étudiant longuement tous les élèves qu'elle reçoit qu'elle finalement réussit à passer pour une divinatrice talentueuse. Et aussi grâce au coup de pousse de sa première prophétie. Maintenant au travail!

Le vendredi 7 août, le professeur Dumbledore confirma le renvoie du professeur Trelawney.

Ainsi, en ce dimanche matin ensoleillé, Sybille marcha tranquillement vers un des carrosses de Poudlard, montrant alors une femme qui acceptait son destin. Tandis que Dumbledore lui exprima une dernière fois ses regrets et qu'il ouvrit la porte du véhicule, Trelawney s'immobilisa soudain, ses yeux roulant dans tous les sens, et prit une fois étrangement grave.

« Amis du prophète et prophète rejeté

Ne vous laissez pas abusés

Car vous êtes les vrai héritiers du danger

L'éclair prophète n'a jamais possédé

Le pouvoir de vaincre l'héritier »

Albus Dumbledore étais assis à son bureau en compagnie de Fumseck. Tous ses plans venaient juste de partir en poussière. Granger, Weasley, et Londubat... Comment est-ce possible! Il avait tout de suite compris de qui la prophétie parlait. Bien que les deux premiers est déjà passées un certain nombre d'épreuves, ils étaient loin d'être prêt, et Londubat bien qu'il est prouvé sa valeur au Département des Mystères n'avait certainement pas le courage de ses parents. Bien sûr ils étaient maintenant trois, cependant ce qui le gênait le plus était qu'aucun des trois n'avait la « mentalité » nécessaire au contraire de Harry. En pensant à ce dernier, Albus eu une vague énorme de regrets. Perdu tout le monde pour rien...

Il pris du parchemin et commença à préparé de nouveaux plans et lettres ...

Ce jour-là personne ne vit un rat possédant une patte argentée sous le carrosse, ni n'entendit Trelawney se dire : D'une pierre deux coups! J'ai pris ma revanche et j'ai gardé mon boulot! Si on m'avait dit que fabriquer une prophétie était si facile, j'aurais du faire ça y a longtemps...

Fin

Je préviens tout de suite que la fic est centrée uniquement autour de Harry!!! Ce ne sera pas un Hermione/Ron/Neville POV. Pas de Slash, ni autre chose peu vraisemblable.

Si vous avez des idées pour m'aider ne vous gêner pas!

Le plus de critique possible (positive ou négative).

Excusez moi pour les fautes d'orthographes, dites moi si vous en trouvez ( je n'ai pas de bêta-reader).

Prochain chapitre: Aucune idée :p

Merci, Zabulab