C'est ma première fiction. Je n'appartiens en rien à glee.

Je m'appelle Rachel Berry et j'ai 17 ans. Vous m'auriez demandé il y a quelques jours j'étais encore cette fraîche et pétillante Sarah Huddy, qui avait la joie de vivre et des rêves pleins la tête. Seulement en l'espace de quelques heures ma vie a tourné au cauchemar et encore n'est pas assez fort pour exprimer ce que je ressens. Dès que je ferme mes yeux j'ai sans cesse les mêmes images qui défilent dans ma tête. J'aimerai juste pouvoir fermer les yeux et ne plus jamais les rouvrir, tout serait tellement plus simple. Je n'ai jamais était une de ces filles qui pense au suicide ou à la mort même maintenant avec tout ce qui se passe autour de moi, mais je ne peux m'empêcher de penser que j'aimerai toute cette peine et cette douleur s'arrête.

Il y a deux jours de ça j'étais heureuse, mes deux pères Hiram et Leroy Huddy avaient prévu de passer la journée avec moi, nous avons commencé par faire les magasins ensuite on a mangé au restaurant et pour finir nous sommes allés voir une nouvelle représentation musicale à Broadway. C'était vraiment la journée rêvée, mais au fond de moi j'avais cette drôle de sensation celle d'être observé, j'avais le sentiment que quelqu'un nous épiés, pensant me monter la tête pour rien j'ai vite chassé cette idée de ma tête. Maintenant je me dis que j'aurai mieux fait de suivre mon instinct sa aurait peut-être pu changer les choses.

Nous sommes rentrés assez tard de notre journée en famille qui nous avaient pas mal épuisé à force de courir à droite à gauche, donc à peine rentrés nous sommes chacun allé d'en notre chambre respectif. Malgré la fatigue ce soir-là je n'arrivais pas à trouver le sommeil, plein de chose me passé par la tête. J'étais en pleine vacances d'été et je vais entamer ma dernière année de lycée d'ici deux semaines avant d'aller à NYADA l'école de mes rêves. Depuis ma plus tendre enfance j'ai travaillé super dur, et j'ai eu beaucoup de chance dans le fait que mes pères m'ont toujours soutenu dans tous ce que j'entreprenais. A l'âge de 5 ans tous les 3 nous avons quitté ma petite ville natale Lima qui se trouve en Ohio et nous sommes allés habiter la ville de mes rêves New York. Mon père Leroy étant un juge très réputé c'est vu offrir une opportunité de travail qu'il ne pouvait pas refuser. Nous avons tous laissé derrière nous et somme partis.

Mon rêve est juste à porter de main et pendant que je suis perdue dans mes pensées j'entends un bruit qui provient du hall d'entrée, je ne m'inquiète pas plus que ça car mon père Hiram souffre temps en temps d'insomnie. Mais le deuxième bruit que j'entends quelques minutes plus tard me donne froid dans le dos, j'entends un cri suivi d'un coup de feu.

Mon père Leroy m'a toujours dit le jour où il y a un problème ou que je me sens en danger (la paranoïa de mon père par rapport à son travail) je dois aller me réfugier dans ma penderie il y a un double fond derrière. Je n'ai pas le temps de penser donc ni une ni deux j'attrape mon téléphone qui se trouve sur ma table de chevet et m'enferme dans ma penderie. J'étais totalement paniquée à l'idée de ne pas savoir ce qui ce passe dans la pièce da côté. Ayant pris mon téléphone avec moi , je me suis mis à composer le 911.

« Police de New York que puis je faire pour vous ? »

J'essaye de rester calme et de retrouver mes esprits pour expliquer ce qui se passe.

« Bonsoir je suis Sarah Huddy la fille du juge Leroy Huddy, je pense avoir entendu un coup de feu chez moi », les larmes commencent à couler le long de mes joues.

« Sarah ou tu trouves tu ? »

« Cachée dans ma penderie j'ai un double fond. »

« Très bien tu vas rester là jusqu'à qu'un des policier viennent te chercher. Donne-moi ton adresse. »

« 154 allée Centrale parc »

« D'accord ! Je vais rester avec toi au téléphone jusqu'à qu'une équipe arrive ne parle pas et fais le moins de bruit possible. Je m'appelle Pénélope Garcia et c'est moi qui resterai avec toi tout le long. D'accord ? »

« Oui » est la seule réponse que j'arrive à sortir de ma bouche, je fais donc ce qu'elle me dit à savoir de rester la sans bouger ni faire de bruit. Jusqu'à que j'entends des voix qui se rapprochent, mon corps se crispe et ma respiration et mes battements de cœur s'accélère. J'entends la voix de mon père et une autre voix que je n'arrive pas à identifier.

« Alors Huddy où se trouve ta charmante petite fille ? »

« Elle n'est pas la » mon père dit, grâce à une petite bouche d'aération j'arrive à entrapercevoir mon père qui est couvert de sang. J'en déduis rapidement qu'il doit s'agir du sang de mon père Hiram. Je me répète sans cesse dans ma tête qu'il faut que je reste calme. Pénéloppe qui a dû surement entendre du bruit à l'autre du bout du fil me dit également de garder mon calme que la patrouille va bientôt arriver.

« Ne mens pas je vous ai vu rentrer tous les trois tout à l'heure. »

Je me rends compte que ce n'était un pressentiment que j'avais tout au courant de la journée, j'avais raison de me sentir observer.

« Je ne sais pas où elle se trouve » dit mon père. C'est à ce moment que j'entends un bruit de craquement et mon père gémir.

« J'avais tellement envie de m'amuser avec elle ! Sais-tu pourquoi je suis là ? »

« Non je ne sais pas, je ne vous connais même pas. »

« Moi non mais tu connais quelqu'un qui m'est très proche et à cause de toi il a pris perpette, je suis l'as pour le venger. Le nom de Douglas te dit quelque chose ? »

Mon père ne réponds pas j'en déduis qu'il voit très bien de quoi cet homme doit parler.

« Ton silence en dit long. Je vais tout te prendre. J'ai déjà pris ton mari maintenant je vais me charger de ta précieuse petite princesse. Elle est où ? »

« Je vous ai dit que je ne sais pas. »

« C'est ça continu de me prendre pour un con. Je peux déjà un t'expliquer ce que je vais lui faire un fois que j'aurai mis la main dessus ça t'intéresse ? »

J'ai l'impression de me trouver dans un mauvais film ce n'est pas possible c'est chose-là ne sont pas censées exister dans la vie, je vais me réveiller.

« Sarah si tu ne veux pas écouter les obscénités car il va raconter c'est le moment de boucher tes oreilles le plus fort possible. » Pénéloppe me dit toujours d'une voix très clame.

Mais je ne peux pas, je suis paralysée.

« S'il vous plaît ma fille n'a rien à voir avec tout ça » dit mon père d'une voix désespérée.

« J'en m'en fou royalement, tu vas l'entendre de toute manière. Je vais la tuer tout de suite je te rassure après l'avoir vu cette après-midi, comment dire tout ce que j'ai voulu faire c'est de la prendre contre un mur et de lui arracher ces vêtements. Mais maintenant que tu es là à me mentir… »

« Non je ne mens pas.. » un autre coup.

« Ferme-la ! Je disais comme tu me mens tu seras là en tant que spectateur et une fois que j'en aurais fini avec elle tu pourras la regarder mourir doucement, ça va être marrant tu verras. »

J'essayer de contrôler ma respiration et surtout de ne surtout pas imaginer les choses horribles qu'il raconte à mon sujet. C'est à ce moment-là que j'ai pu discerner le bruit des sirènes des policiers.

« Merde ! C'est toi qui l'ai a appellé ? »

« Non j'étais toujours avec vous comment j'aurais pû faire »

« Sa peut que être ta petite garce alors. »

« Je vous ai dit qu'elle n'est pas… »

C'est à ce moment que j'ai entendu le dernier coup de feu de la soirée, j'ai attendu quelque instant que ce frère Douglas parte pour pouvoir sortir de ma cachette pour retrouver mon père allongé par terre au milieu de ma chambre à coucher dans une marre de sang.

« Papa non s'il te plaît accroche toi ne m'abandonne pas, j'ai besoin de toi. »

« Ne t'inquiète pas princesse tout va bien se passer, tu es destinée à faire et à accomplir de belle choses. »

« Si vous n'êtes plus là avec moi pour les partager ça ne m'intéresse pas. »

« Princesse on sera toujours là avec toi-même si se n'est pas physiquement, on sera toujours présent dans ton cœur. Il te suffira juste de lever ta magnifique tête et de contempler les étoiles on sera là pour veiller sur toi. Tu deviendras quelqu'un Sarah Huddy ne laisse jamais personne te dire le contraire tu es spéciale. »

Ce fût les derniers mots que mon père a pu me dire avant qu'il ferme ses yeux à jamais.

Après quelques secondes toute une brigade de policier et aussi agent du FBI avait envahi notre appartement, une jeune femme s'approche doucement de moi.

" Sarah mon nom et Emily Prentiss, mon équipe et moi même allons être en charge de cette affaire. Je suis vraiment désolée pour votre perte."

Une affaire! Une affaire! Pendant que l'agent me parle je peux apercevoir des personnes en blouse blanche qui s'approche du corps de mon père pour le mettre soigneusement dans un sarte de sac. L'agent Prentiss attend que je réagisse mais rien ne sors de ma bouche.

"Les médecins que tu aperçois la bas vont venir t'osculter si tu le veux bien, pour voir si tout va bien?"

Que je le veuille ou non je n'ai pas le choix donc je laisse faire, après une brève consultation le médecin dit à l'agent Prentiss que je suis en état de choc.

"Sarah tu vas passer la nuit chez moi, on va prendre quelques affaires de rechanges et de toilette."

Je peux apercevoir par les fenêtres qu'il fait toujours sombre dehors mais je n'ai aucune idée de l'heure qu'il peut être. J'attrape quelques affaires que je dépose dans mon sac et je rejoins l'agent Prentiss dans le hall d'entrée.

Elle habite dans un appartement assez cosy dans Brooklyn, elle me dirige vers une chambre d'amie me montre brièvement la salle de bain, mais je n'ai qu'une envi c'est de m'allonger et d'oublier tout ce qu'il vient de se passer.

"Je vais te laisser te reposer si tu as besoin de quoi que se soit n'hésite pas à te servir ou à m'appeler en cas de besoin. A ton réveil je t'expliquerais ce qu'il va se passer par la suite et nous devrons nous rendre également à la lecture du testament de tes parents. Je sais que tout ça est difficile pour toi mais sache que je suis là pour toi si tu as besoin. Essaye de te reposer."

"Merci" est le seul mot que j'arrive à articuler. Sur ce l'agent Prentiss quitte la pièce et je me retrouve seul, je m'allonge sur le lit et pleur toute les larmes de mon corps jusqu'à épuisement.

Alors que pensez vous de ce premier chapitre? Je tiens à m'excuser pour les fautes d'orthographes!