Salut salut! Moi c'est Kii!
C'est pas la première fic que j'écris et d'habitude c'est toutes des fails, mais celle-là ça a l'air d'aller.
J'suis nul en intro allez svp soyez gentils avec moi jsui genti ossi ok :-'(
Alors voilà. Le premier chapitre. Il est court mais j'écris sur mon téléphone, et sur mon téléphone ça parait long mdr. Si vous voulez le prochain chapitre plus long (et je pense qu'il le sera de toute évidence) dites-le moi. (ovo)9
C'est une fanfiction sur le couple Honeymustard dans Undertale. J'ADORE LES UNIVERS ALTERNATIFS ET LES SQUELETTES. SHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Passez votre chemin si l'inceste fictif et le gay vous dérange . (c'est pas vraiment de l'inceste mais testiboule)
N'hésitez pas à me laisser des retours!
436 MOTS - Us!Papyrus/Uf!Sans (pairing) ; Us!sansPERSONNAGES
Sans (UNDERSWAP): dans ce chapitre, Sans
Papyrus (UNDERSWAP): dans ce chapitre, Papyrus
Où Sans fait tomber sa fourchette.
Le bruit assourdissant de métal qui tombe sur du carrelage résonna violemment dans son crâne vide. Oups.
"Oh! Mince," fit-il, se baissant pour ramasser la fourchette précédemment tombée. "Mweh heh, quel idiot."
Sans se frotta la tête avec gêne, accompagné d'un léger rire nerveux. Il sourit à son frère. Voyant que celui-ci n'eu aucune réaction, il soupira et continua simplement de manger.
Il savait que Papyrus avait des problèmes. Il avait toujours l'air fatigué et, même si auparavant il se forçait à réagir, désormais il avait just l'air d'être vide de toute force vitale. Comme si son âme était blessée. Cassée.
Cette simple pensée le paralysait. Et pourtant il continuait à jouer le jeu. Il continuait à prétendre que tout allait bien pour lui aussi, comme ça Papyrus n'aurait pas à s'inquiéter pour lui. Comme ça il n'aurait pas à être encore plus fatigué.
Malgré le fait qu'il soit très fier, pour lui et son frère en même temps, car Papyrus ne pouvait être fier pour lui-même, Sans était triste. Il faisait de son mieux, vraiment! Mais des fois, même le grand Sans ne pouvait rester tout sourire, tous les jours.
Quelques fois, perdu dans ses pensées, il devenait maladroit. Même s'il ne faisait pas exprès, il espérait que cela réveillerait l'attention de son frère, que celui-ci le remarquerait. Lui parlerait.
Mais non.
Il restait de marbre. Il relevait à peine la tête. C'était comme si rien n'existait autour de lui. C'était comme si même Sans n'existait pas. Il pensait qu'un jour, son frère partirait chez Muffet, comme à son habitude, mais il ne reviendrait jamais. Cette seule idée envoyait des frissons dans son corps entier. Il détestait imaginer qu'un jour Papyrus abandonnerait. Parce qu'après tout lui, il n'avait jamais abandonné.
Mais il n'était pas Papyrus.
"J'y vais," la voix de son frère résonna faiblement dans la pièce.
Sa voix était si basse, presque un chuchotement, un peu rauque aussi, à cause des cigarettes -il en fumait tellement!- et surtout, emplie d'une certaine apathie.
"D'accord," répondit simplement Sans. Papyrus sembla hésiter, le temps d'une demi-seconde, puis tourna les talons et quitta mollement la pièce. Quand Sans entendi la porte d'entrée claquer, il reprit son souffle. Quand avait-il commencé à le retenir...?
Sans grand intérêt ni motivation, il se leva, rangea un peu la cuisine et se prépara à sortir. Après tour, il était garde royal -enfin, bientôt du moins!- et il avait des devoirs.
Il pensait qu'un petit entraînement avec Alphys lui remonterait le moral. Il attrapa quelques tacos qu'il avait précédemment cuisiné et, à son tour, quitta la maison.
La journée s'annonçait longue.