Hey!

Ce n'est pas la 1ère fois que j'écris des fictions mais c'est la 1ère fois que j'en publie sur ^^

Donc j'espère que vous apprécierais cette fiction!

Cela fait déjà plusieurs années qu'il est au pouvoir de mon pays, de ma nation. Il est plus en train de la souiller. Au début, il ne partait pas d'un mauvais but, mais il a totalement déliré. Il a fait de l'Allemagne une puissante armée capable de mettre à genoux celle des Britanniques ou des Russes, mais il a fait de ce pays un vrai abattoir. Mais, je suis le chef, je suis cette nation, alors pourquoi je ne le vire pas ? Je ne sais pas. Je ne pense pas en avoir le courage. Puis quand je vois Italie aussi...il est dans la même situation. Pareil pour Russie. Mais nos chefs ne s'aiment pas.

Il m'a dit vouloir trahir le pacte qu'il a passé avec Staline. Il veut envahir la Russie et surtout prendre la ville de Stalingrad. J'ai fait ce que j'ai pu pour l'en empêcher, mais c'était trop tard...ça fais déjà plusieurs mois que mon armée est partie, et nous sommes en hiver. Hitler a conscience que les soldats sont en train de tous crever comme des chiens, sans eau, ni nourriture, mais il ne fait rien. L'armée de Russie va gagner, enfin, son armée, mais aussi ses civils. Son chef aussi est horrible, comme le mien. Il doit souffrir comme je souffre à cet instant en écrivant ceci.

Bon, certes j'ai perdu la première guerre contre France, et gagner celle-là serais génial pour moi mais...en venir à des extrémités pareilles, non !

C't'enculé a obligé, presque mis le couteau sous la gorge d'Italie pour s'allier avec lui. Japon a été moins difficile à convaincre. Je crois n'avoir jamais vu autant de haine envers nos pays. Cela m'attriste...je me demande si plus tard ce sera pareil ? Si la dictature sera encore présente ? Ce que mon pays deviendra ?

J'ai peur, très peur. Je peux ressentir la douleur de tous ces soldats, mort pour ce pays, pour ce chef qui, pour certain, vénèrent comme un dieu alors que ce n'est juste qu'un enfoiré de première. Je ne voulais pas d'une seconde guerre, vu les dégâts qu'on fait la première. Pourquoi nous en sommes arrivés ainsi ? Pourquoi ?

Je ne veux plus faire de mal à d'autres pays...je ne suis plus Lutz ! Je suis juste Ludwing Beilshmidt, la nation Allemande qui souffre au plus profond de son être pour ses soldats, pour ses habitants, pour toutes ces femmes et enfants qui apprendrons que leur père et mari est mort au combat, ou alors qui en reviendra traumatisé, défiguré. Je ne veux plus ça !

Peut-être qu'Italie a déteint sur moi ?

Italie...c'est dans des moments comme ça que j'aimerais qu'il me donne encore de ses drapeaux blancs.