Bonjour/ Bonsoir !
Contrairement à ce que vous pouvez penser, il n'y aura pas d'OC dans cette fiction !
Voilà un nouveau début de fanfiction -pas une songifiction-. Alors, pour vous expliquer, il y a un chapitre, mais plusieurs parties dedans (normalement, 4). Or, je mettrai publierai partie par partie, car sinon, il n'y aurait que 3 ou 4 chapitres... (enfin, ça c'est l'idée de départ). Et je ne les ai pas tous écrit. Là, ce que je publie, c'est tout ce que j'ai écrit. La longueur des parties est complètement aléatoire !
Pour les couples, si vous cherchez de l'original, désolée, mais ce n'est pas le but de cette fiction ! Et si vous êtes homophobes, dites bonjour à la petite croix rouge en haut à droite et cliquez dessus, ou cliquez sur retour en arrière -c'est possible aussi-.
Attention, mots grossiers :X
Les personnages de One Piece appartiennent à maître Oda -heureusement, sinon avec toutes les bêtises qu'on leur fait faire...-
Bref, trêve de blablatage inutile,
I hope you enjoy !
Chapitre 1. Réflexions.
Sur le Going-Merry… C'était un après-midi banal. Ussop, Chopper et le capitaine pêchaient, Zoro faisait ses pompes, Nami et Robin bronzaient tranquillement sur leurs transats, profitant du soleil.
1. « Inspiration. Expiration. » Sanji
Je venais à peine de servir les collations pour étancher la soif de mes deux déesses que Luffy hurlait déjà : « ! VIAAAAAAANDE !
- Ça va, pas besoin de hurler ! Je t'apporte ton sandwich de 16h dans quelques minutes… BORDEL LÂCHE-MOI !
- Cook-san, pas d'obscénités, je vous prie, me dit ma Robin d'amour.
Je me jetai à ses pieds en implorant son pardon.
- Veuillez me pardonnez, oh ma Déesse ! Je vous pris de bien vouloir m'excuser !
- Bien sûr, Cook-san, mais vous devriez vous dépêcher, Luffy est en train de s'impatienter.
- A vos ordres Robin d'AMOUUUUUUR ! ».
Tandis que je donnai encore un coup de pied à mon capitaine pour l'empêcher d'entrer dans mon sanctuaire, la cuisine, je jetai un coup d'œil à la vigie. Marimo était en train de faire des pompes –encore- et il commençait à s'essouffler. Tiens, il commence vraiment à fatiguer, il est plus en sueur que d'habitude. 'te il a de ses muscles…
MERDE MAIS A QUOI JE PENSE MOI ? JE SUIS EN TRAIN DE REGARDER UNE ALGUE ! Mais bien foutue l'algue quand même. MERDE ! –Heureusement que Robin-chan ne peut pas lire dans mes pensées, son pauvre petit cœur ne mérite même pas d'entendre ces mots *yeux en cœur*-.
Alors, pour me calmer, je vais dans la cuisine, et je prépare le goûter à l'autre goinfre –et ceux des autres aussi. D'une pierre deux coups !-. Bon, pendant ce temps, je peux réfléchir tranquille. Pourquoi, soudainement comme ça, « je me mets à détailler Marimo ?
- A cause de moi !
- Mais, qui PARLE ? Putain, je dois péter les plombs, j'entends des voix maintenant…
- Non, désolé Sanji. C'est l'auteure qui n'suit même pas son script, elle pète les plombs. Ciao ! ».
Ok. Pas de quartier pour le jambon. Hop, en petits dés. Donc, reprenons.
Pourquoi je me mets à regarder Marimo ? Peut-être est-ce à cause de l'abstinence. Ouais, c'est vrai ça d'abord. Quand on ne se soulage pas parce qu'on est toujours ensemble, sur le bateau, à force… Voilà, c'est ça. Je vais dire que ce sont les hormones –teme je parle comme si j'étais un ado quoi !-. Et puis, je vais essayer de remédier à ça. Mes deux amours *yeux en cœur*, je vais leur faire des avances… Elles ne pourront pas y résister ! Sinon, trouvons une autre raison… Ouais, c'est ça. Je pense qu'à force de se disputer, on finit par s'apprécier. Comme disait Zeff « Retiens ça Cornichon. Qui aime bien châtie bien, et les ennemis finissent toujours dans le même lit. ». Ha putain. Le vieux Schnock. J'l'aimai bien, lui. Je me demande ce qu'il fait en ce moment. Bah, toujours à engueuler les autres cuisiniers, je suppose. A ces pensées, un sourire montait à mon visage. Et c'est tout joyeux que je permis à Luffy et autres morfales d'entrer dans ma cuisine.
'te, les gloutons, ils ont déjà fini, en 3 minutes, leur goûter. Pff. Bon, maintenant qu'ils sont repartis, je vais devoir nettoyer, après je pourrai faire un petite pause avant de remettre en route le diner. Aller, je relève mes manches (pour ne pas mouiller mon beau costard) et encore un dernier verre à laver, et ce sera bon…
Claquement de porte.
Silence.
Bruit de chaise qu'on traine sur le sol.
Soupir d'extase –Non mais je me comprends, c'est-à-dire que la personne est heureuse de s'asseoir-.
Encore silence. – façon de parler, on entend le bruit du lavage du verre-.
Ça y est, l'Algue se met à parler… « Oï Sourcil en Vrille.
- Qu'est-ce qu'elle a l'algue ?, dis-je avec dédain.
- Elle a soif. File-lui à boire, me répondit-il avec conviction.
- Hé ! Tu connais les quatre mots 's'il te plait' ? Mais que suis-je bête, une algue ne connait pas la politesse, ni…, rétorquai-je.
- Oh Baka-cook de mes deux, j'ai SOIF moi !
- J'attends, annonçai-je avec un sourire presque sadique aux lèvres.
- … Ok. Steuplait Ero-cook, marmonna-t-il tellement que j'ai eu du mal à l'entendre, FILE-MOI A BOIRE !
- Bah tu vois, t'en es pas mort ! dis-je en haussant les sourcils, moqueur.
- 'tss », grogna-t-il.
Et c'est ainsi que je donnai un verre –enfin, plusieurs, vous l'aurez compris - de rhum au second de l'équipage. Enfin l'heure de ma pause. Marimo sortit quelques secondes avant moi, et j'eus une vision de son postérieur. MAIS DEPUIS QUAND JE MATE CARREMENT LES FESSES D'UNE ALGUE MOI ! MERDE !
Alors, n'ayant même plus d'envie pour fumer ma clope habituelle, je me dirigeai vers la salle d'eau. En passant, je vis Chopper, Luffy et Ussop se mettre des baguettes dans le nez. Ils sont bêtes, ceux-là, mais ils sont marrants aussi. Bon, on essaie de se reconcentrer. Je vis alors mon reflet dans la glace.
Non, non, rien n'a changé. Je suis toujours un gars aux cheveux fins, blonds, avec des yeux bleus qui se transforment en cœur dès que je vois Robin d'amour ou Nami chérie *yeux en cœur*. Ou dès que j'y pense. Bon, ça suffit. On va dire que c'est le début de folie. Mais oui, j'ai juste pété les plombs. On va dire ça. Mais, à ce moment-là, je ne sais pas si je n'essayai pas de me convaincre moi-même…
Zen. Inspiration. Expiration.
Voilà. Bon, maintenant je vais essayer de voir ce qu'il se passe quand je commence vraiment à draguer mes déesses… Au moins, ça me tiendra l'esprit occupé, et j'arrêterai de me poser des questions, inutiles.
C'est alors qu'une petite voix intérieure me souffla « Mais qui te dit qu'elles sont inutiles ?... ».
