Enorme crack wtf mélangeant du Sherlock, du Doctor Who et des trucs on sait pas trop c'est quoi. Je tiens à préciser que certains pourront trouver les blagues de cette histoires grossières ou insultante, mais c'est juste pour faire rire ! Je m'excuse d'avance si mon humour ne vous convient pas :)
Bref, just enjoy your meal ! D'autres chapitres suivront, avec encore plus de poop :D
Je n'ai pas pu mettre tous les persos dans le résumé (y'en à trop), je précise que John croisera énooormément de gens sur son chemin...
(voc anglais : Wank = Masturbation, loo = toilettes)
Rating M pour langage grossier et (grosses) connotations sexuelles
~By Patoche
Une histoire de péni en mal fonction
chapitre 1 : le premier chapitre
Ce matin-là, Sherlock offrait comme tous les mardis son cul à John. Ils aimaient intervertir quoi que Sherlock préférait les jeudis, quand il dominait, cela lui donnait un sentiment de puissance malgré sa petite bite. Perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarqué que John avait un problème : sa bite ne marchait plus. Il essaya de se frotter un peu mais rien n'y faisait, il ne parvenait pas à devenir dur. John commençait à paniquer : si Sherlock s'en apercevait, il se moquerait de lui et l'ancien soldat se retrouverait toujours en dessous, à se faire enculer (ce qui n'était tout compte fais pas si désagréable d'ailleurs, le petit sexe de son amant le chatouillait agréablement. Mais sa virilité en prendrait un coup).
« Eh bien, tu te dépêches ? » La requête de Sherlock le pris de cours et il ne sut pas comment réagir. Il ne pouvait certainement pas lui dire ce qui n'allait pas. Il bredouilla qu'il ne se sentait pas bien et fonça vers le loo. Là, il s'enferma à double tour et commença à se mastoourber assez gaiement. Mais rien à faire, son péni reposait toujours piteusement, long et flasque sur ses gonades tel un petit animal rentrant au nid. Il avala un grand coup et se mit à réfléchir. Je pourrai aller emprunter le péni artificiel de Lestrade, se dit-il. Pendant ses exercices matinaux, il ne s'apercevra de rien. Ah mais non, à cette heure-là il doit surement être en train de se wanker devant The Ben Affleck Show… Il décida finalement d'aller demander de l'aide à Mycroft. John ne pouvais pas sortir par la porte, sherlock l'attendait surement devant. Il grimpa sur les toilettes en grommelant « ça sent l'WC » et sortit par la petite fenêtre (elle nécessitait une petite clé mais ta mère, il l'avait enfoncé)
Une fois dans la rue, il se dirigeât vers la maison de Mycroft. 10 minutes plus tard, il était arrivé, et il toquait à la porte. Une gouvernante lui ouvrit : « Monsieur Holmes est dans son bureau, si vous voulez bien me suivre… » watsON entra. Il vit Mycroft assis à son bureau, et lui parlât (non sans gêne) de son problème.
- « Hm. Vous avez essayé de vous wanker ? » Lui répondit le Gouvernement sans daigner lever les yeux de ses papiers.
- « Bien évidemment » dit John. Il se permit même d'ajouter : « mon instrument il est si long »
Mycroft ignora sa dernière remarque. « Eh bien, j'aimerais vous aider mais voyez-vous j'ai moi-même quelques problèmes de ce côté-là… » Il renifla d'agacement « Depuis que le cuir chevelu de votre gouvernant a pénétré je-ne-sais comment dans mon anu, un parapluie semble avoir poussé de mon prépu. »
- « Ah. » John ne savais pas vraiment quoi répondre. « Je vais partir alors… »
- « Non attendez, je crois que je connais quelqu'un qui peut vous aider. Je vais l'appeler tout de suite… » Mycroft tapa un numéro et décrocha son téléphone : « Allo ? Oui c'est Mycroft. Oui, la grenouille, si vous voulez. Enfin, j'appelle pour un ami qui aurait besoin de votre aide. Ah et si vous pouvez atterrir ailleurs que dans ma piscine en parapluie, ça serait sympas… » Sur ses paroles énigmatiques, il raccrocha et dit à John « Il ne devrait pas tarder à arriver »
Un instant plus tard une cabine téléphonique bleue se matérialisa dans le bureau avec un bruit qui ressemblait à celui que faisait sherlock quand il avait des puces aux couilles. Un homme avec des sourcils inexistants en sortit et attira John à l'intérieur, puis ferma les portes. WatsON murmura : « c'est comme la bite à Sherlock, plus grand à l'intérieur » puis se tournât vers l'homme. « On m'a dit que vous pouviez m'aider … »
- « Mais oui mon petit hobbit aux pieds velus, je suis le Docteur. Quel est ton pb ? » John lui expliqua et le Docteur répondit « Ah, oui, j'ai un excellent Viagra Gallifreyain que m'a donné un jour Flavia. Naturellement, je ne m'en suis jamais servi, je peux donc te le donner. » Il fit volte-face pour aller le chercher sous l'œil incrédule de John.
Soudain une jeune rousse à la jupe très courte arriva dans la salle d'un air ennuyé. « Docteur, Rory est mort »
- « Encore » ? Répondit le Docteur d'un air agacé
- « Il est tombé de sa chaise en essayant d'ouvrir son chocolat. Ses dernière paroles ont été ''Saloprie, saloprie de Kinder surprise !'' »
John voulut couper court à la conversation pour qu'on en revienne à son problème, quand un homme au long nez et à l'air dépressif entra dans la salle. Il portait un costume de panda.
- « Rory ? Déjà de retour ? Et qu'est-ce que c'est que cet accoutrement ? »
- « Je suis mort puis je suis revenu, changé en Panda Mutin. C'est assez perturbant »
- « En effet » Répondit le Docteur « Mais j'ai un autre cas à m'occuper pour l'instant. L'appareil génital de ce jeune homme lui fait défaut. Je vais lui chercher le Viagra, et en passant je prendrais un fortifiant pour vous, Rory. Vous m'avez l'air pâle »
Le Docteur disparut et revînt 5 minutes plus tard avec deux petites bouteilles. Il les posa sur la table en disant « Prenez la vôtre, Rory ». Puis il se tourna vers John pour lui expliquer le fonctionnement de produit. « Il faut simplement en enduire généreusement votre péni, et le produit fera effet dans la min- »
Il fut interrompu par un cri de la jeune fille. Rory avait commencé à enfler, de plus en plus fort, jusqu'à devenir énorme.
- « Cet abruti a bu le mauvais flacon ! Il est maintenant devenu GRORY ! »
La créature qu'il était devenu commença à rouler partout, détruisant tout sur son passage. Il appuya sur des boutons et abaissa des leviers, si bien que la cabine se mis à vibrer sous un « noooon ! » du Docteur. Elle s'arrêta finalement, et un bras potelé de Grory frappa John de pleine force et il fut expulsé de la cabine. Il s'évanouit sur le coup.
Lorsqu'il se réveilla il était seul dans une forêt. Il essaya premièrement de se wanker, et ça ne marchait toujours pas. Il soupira, se demandant si Sherlock avait découvert qu'il était parti depuis si longtemps…
