Hello, je me lance dans une trad' d'une auteur/fiction que j'aodre ! Voilà, c'est une ficiton sur l'incroyable saga : « Le Labyrinthe » !

Je n'ai pas vraiement le temps d'écrire ma propre histoire, alors j'ai chosii d'en traduire plusieurs, mais la première reste celle-ci ! Bonne lecture !

Cette histoire ne m'appartient pas, c'est celle de divergentelover523.

Je me réveillai, ne voyant rien d'autre que du noir, sentant alors que j'étais assise sur un métal froid. Soudain, j'entendis un bruit, comme si deux morceaux de ce matériau s'entrechoquaient. J'étais comme attirée vers le haut, puis je me rendis compte au bout de quelques temps que j'étais dans une boite, peut-être même un ascenseur. Je ne me rappelais plus de rien. Rien du tout. Un tas de questions hantaient mon esprit. Où est-ce que je vais ? Comment ais-je atterit ici ?! Est-ce que j'ai des frères et soeurs ? Qu'est-il arrive à mes parents ?! Quel âge j'ai ? Pourquoi est-ce que je ne me rappelle plus de rien ? Comment est-ce que je m'appelle ?!

Eliza. Je clignai des yeux, déboussolée. Ça devait être mon prénom, pensais-je. Je jetai un coup d'œil autour de moi et vit des caisses, plus ou moins grosses. Mes yeux s'adaptèrent à la lumière, de cette façon, je pus enfin mieux voir, mais seulement quelques formes. La boite était, heureusement, assez grande pour que je puisse me lever. Alors, c'est ce que j'essayai de faire, me lever, mais la boite allait de plus en plus vite et m'envoya d'un seul coup dans un des coins de cette prison miniature. Elle ralentissait à nouveau, pendant que moi, je rapatriais mes genoux contre mon corps pendant que mes cheveux dont je ne connaissais pas la couleur cachait mon visage.

Je voulais pleurer, mais aucune larme ne coula. Je frissonnai à cause de la froideur de l'endroit, mais également car j'étais en chemise à manches courtes.

Après quelque chose comme vingt-cinq minutes de noir complet, je pus sentir que la boite ralentissait, bien que la vitesse fût toujours considérable. Mon cœur commençait à donner des coups de plus en plus fous. Ma transpiration devenait de plus en plus ardente sur les paumes de mes mains. Une goutte de sueur coulait de mon visage, rougie par l'inquiétude et la peur. Tout à coup, le mouvement s'arrêtai d'un coup brusque, me projetant en avant, surprise, me rattrapant sur les mains.

"Quelqu'un… à l'aide !" Criais-je d'une voix qui devenait de plus en plus déchirée à chaque plainte.

Une seconde perle de sueur roula sur mon front, mon cœur battait à une vitesse incroyable.

Le métal hurla, me faisant paniquer de plus belle. D'instinct, je me cachai alors derrière une caisse, de sorte à ce qu'un potentiel ennemi ne puisse me voir. De la lumière pénétra par le plafond, laissant entendre des grognements de personnes semblant accomplir un effort. Je protégeai mon visage de la lumière avec mes mains, qui m'aveuglait depuis un moment déjà.

J'entendis des voix, certaines plus éloignées que d'autres.

"Il est où, l'nouveau ?"

« Nouveau toi-même ! »

"Oh, allez, viens ! On va pas t'bouffer !"

"J'parie qu'il pleure et qu'il fait dans son froc"

"Qui sait ? Peut-être qu'il s'est juste pissé dessus !"

"Arrête de d'cacher, le débutant!"

Je sentis mes sourcils se plisser face à ce jargon : nouveau, débutant ?! Je n'avais jamais entendu ces mots avant !

Alors, je sortis lentement de ma cachette, le cœur encore battant, et vis un garçon, au pied de la boite, tenant une corde. Il était grand, fin, il avait les cheveux blonds et les yeux bruns.

Je lui donnais pas plus de dix-sept ans. Il était assez musclé pour son âge.

Quand il me vit, son visage se figea, choqué.

"C'est quoi l'problème, Newt ?!" Cria quelqu'un derrière lui.

Le garcon, Newt, dit alors, toujours abasourdi : « C'est une fille… ! »

Soudain, une voix lui répondit :

"J'suis l'prem's !"

"Elle ressemble à quoi ?!"

"Est-ce qu'elle est bonne ?!"

"Grouillez-vous de la sortir de la boite, elle doit être terrorisée. »

"Allez, viens là. On ne te fera aucun mal, je te le promets." Dit alors Newt d'une voix apaisante. Et je ne sais pas pourquoi, mais ses mots m'inspirèrent confiance.

J'avançai d'un pas hésitant quand sa main toucha la mienne, envoyant des frissons dans tout mon corps. Je vis que lui aussi le ressentait, enfin, il en avait l'air. Peut-être que pas du tout. Peut-être que ces étincelles n'étaient dues qu'a la peur que j'avais ressenti juste avant. Je mis les deux mains sur la corde, monta, pendant que les autres tiraient.

Une fois que je fus de nouveau sur pieds, je regardai alors autour de moi, cherchant à deviner où j'étais. Mon regard s'attarda sur d'immenses murs, de chaque côté qui nous entouraient, tous avec une faille au centre. Ils étaient tous ouverts. Le lierre recouvrait une grande partie de leurs surfaces. Cet endroit devait être beaucoup plus grand qu'un terrain de football. Puis j'aperçus des porcs et des vaches qui broutaient au loin dans un enclos en bois.

Il y avait une forêt à coté, des arbres plus ou moins fins essayant de dissimuler des plus épais à l'arrière.

Dans un autre coin se trouvait un jardin. Il s'y trouvait d'innombrables plantes comme du maïs, des plants de tomates et d'arbres fruitiers. Et encore à coté, on apercevait un bâtiment en bois qui semblait prêt à s'écrouler au moindre moment. Le sol était apparemment fait en blocs de pierre, la plupart cachés par des parcelles de mauvaises herbes.

Je repérai un poteau en fer tout gras accompagné d'un banc. Un drapeau multicolore y était hissé, se pavanant d'un mouvement flasque. Le ciel était tout bleu, sans le moindre nuage à l'horizon.

Soudain, un home noir qui semblait avoir environ dix-sept ans me dit alors : "Bienvenue au Bloc."

Mon esprit s'embrouilla, gêné par mille et une questions. « Le…Le Bloc ? »

Je jetai un coup d'œil aux gens autour de moi et réalisa qu'il n'y avait pas une seule fille. J'étais donc la seule.. Tous étaient des garçons, une cinquantaine, voir soixante gars, ici

"Oui, la nouvelle, c'est le Bloc. C'est ici qu'on mange, qu'on dort, qu'on travaille et qu'on vit. J'm'appelle Alby." Me répondit-il, la main tendue vers moi. Je la lui serra.

"Est-ce que tu te rappelles de ton prénom ? » Me dit alors Alby.

"Eliza." Dis-je dans un soupir, encore incertaine si ce prénom était mien, mais une fois encore, je le ressentis alors je le dit plus fort "Eliza. Mon nom est Eliza."

Quelque chose fit apparition dans ma tête. Un souvenir.

"Oh Eliza...Pourquoi est-ce que tu me mens à moi ? Tu à intérêt à me dire la vérité où on t'injecte la Braise. »Me dit un homme. Il avait les cheveux noirs, parfaitement bien peignés, le centre de sa tête était chauve. Il avait un long nez, légèrement tordu vers la droite ainsi que les yeux bruns.

Il n'était vêtu que de blanc. Pantalon blanc, chemise blanche, chaussettes, chaussures… Tout était blanc. Le nom de « l'homme-rat » apparut dans ma tête.

Il me gifla, alors que je reculais, le choc plissant mes yeux. Je le regardai, surprise. Il n'éprouvait pas une once de culpabilité, ses yeux étaient vides. Puis, quelqu'un l'assomma.

Le garçon avait les cheveux bruns, il était aussi musclé. Je ne pouvais pas bien discerner les traits de son visage, mais il m'avait l'air si familier. Comme si je le connaissais depuis longtemps. Le nom « Thomas » fit son entrée dans mon esprit, tout comme « l'homme-rat ». Il détenait « l'homme-rat » par les épaules, puis dit d'une voix remplie de haine : « Laisse Eliza tranquille, « l'homme-rat » ! Elle ne ment pas, elle ne sait rien de tout ça ! »

L'homme-rat hocha la tête, les yeux remplis de peur. Thomas le libéra puis le souleva, avant que celui-ci ne prenne la fuite.

Thomas me regarda, d'un regard empli de sincérité, ainsi qu'un sourire éclatant.

"Merci Thomas." Dis-je, essoufflée. Je marchai vers lui et l'embrassa sur la joue. Ses pommettes devinrent rouges, mais il demeurait toujours souriant.

Un cri me sortit de mes pensées. "Eliza! Hey, la nouvelle, il y a quelqu'un là-dedans !?" me dit la voix d'Alby.

Je clignai des yeux à quelques reprises. «Oui, je vais bien." Dis-je, un petit sourire sur mon visage.

LA NOTE DE L'AUTEUR :

« Hey les Blocards! J'espère vraiment que vous aimez l'histoire! S'il vous plaît donner un avis! »

LA NOTE DE LA TRADUCTRICE :

Hey tout le monde. Comme ce n'est pas mon histoire, je n'ai rien de spécial à vous dire mais encore une fois :

Si vous avez des questions/suggestions, adressez-vous à l'auteur :

Cette histoire ne m'appartient pas, c'est celle de divergentelover523.