Coucou les gens alors comme prévus je vous mets la fic dont je vous avait parlé celle en co avec Gillesinlove ! Bonne lecture !
The woman behind the man
Prologue.
Kate
« Non mais Castle y'en a assez c'est toujours la même chose ! Dès qu'un de vos proches est impliqué dans une affaire, vous n'avez plus aucune objectivité ! Rentrez chez vous, je me débrouillerai sans vous dans cette affaire ! »
« Mais je vous dis que Roy ne peut pas être coupable, je le connais bien il ne ferait jamais cela ! » Même si je détestais l'idée d'avoir un suspect qui s'appelle Roy.
« Ah oui vous le connaissez comme vous connaissiez Damian? Et bien permettez-moi de douter de vous dans ce cas ! »
Il me toisa sévèrement et je constatais que je l'avais blessé. J'essayais de me rattraper, ne voulant pas qu'il y ait de la rancœur entre nous.
« Bon Castle écoutez, je crois que du recul serait nécessaire. Rentrez chez vous, réfléchissez et ne revenez que si vous avez décidé d'être objectif ! »
Je le vis pincer les lèvres, les paroles le démangeaient mais lui aussi ne voulait pas de dispute entre nous. Tant de choses avaient changés depuis la tentative de meurtre à mon égard, chacun de nous avait peur de perdre l'autre à cause de paroles dépassant nos pensées.
« J'ai besoin d'un verre ! » s'exclama-t-il en s'emparant de sa veste d'un geste qui démontrait toute sa colère et sa frustration.
Et sur ses paroles il partit sans un regard pour moi. Je soupirais d'un air las. Moi aussi j'avais besoin d'un verre mais l'heure n'était pas à cela. Il fallait que je trouve comment pénétrer dans ce club privé réservé aux mâles concupiscent qui s'auto félicitaient de leur réussite. Comment faire sans l'aide de Castle ? Je savais que je ne pouvais plus compter sur lui. Pourtant cela aurait été le plus simple puisqu'il était membre et connaissait très bien le directeur de ce club et suspect de numéro un de notre affaire. Je devais y entrer pour enquêter sans être repérée mais comment ?
Réfléchissant à la vitesse de l'éclair j'eus une idée de génie. J'allais avoir besoin de Rose la costumière et maquilleuse du 12th. Elle faisait de véritables miracles, alors pourquoi ne pas me transformer moi Kate Beckett en le plus respectable des hommes d'affaires de la ville ? Je savais que je devais avoir le soutien d'un membre et comme je ne pourrais pas le demander à Castle, je ferais donc appel à un de leur plus éminent membre…Monsieur le maire.
Prenant mon téléphone j'appelais Rose qui me donna rendez-vous dix minutes plus tard. Quant au maire, il était si emballé qu'il me demanda de ne surtout rien dire à Castle, si jamais je le voyais au club, qu'il s'amuserait de voir la tête qu'il ferait, en espérant que mon écrivain ne me reconnaisse pas. Je ricanais pensant que cela pourrait être en effet très drôle. Arrivant devant l'atelier de Rose, je frappais.
« Entre ma chérie ! »
Je pénétrais donc dans l'antre de Rose Thomson. J'aimais particulièrement y venir, il y régnait comme une étrange atmosphère, à la fois rassurante et sereine. Des costumes de toutes sortes s'amoncelaient çà et là sur des cintres. Des chapeaux et divers accessoires envahissaient des étagères. On aurait pu croire à l'atelier d'un créateur ou même d'un costumier de grands spectacles. Nous pouvions prétendre au 12th avoir l'une des réserves de costumes et accessoires les plus fournies de New York et à sa tête la plus grande et talentueuse des accessoiristes, costumière et maquilleuse de l'état. Je sentais qu'elle allait faire des merveilles avec moi.
Je regardais autour de moi mais ne vis personne pourtant elle m'avait dit d'entrer. Où était-elle donc alors.
« Rose ? »
« J'arrive Kate, attends je mets la dernière touche à ton costume ! »
« Quoi déjà ? Mais je t'ai appelé il y a tout juste un quart d'heure ! »
« Oui ma chérie ! » l'entendis-je rire avant qu'elle ne m'explique « Il s'avère que l'une de tes collègues a récemment dû utiliser ce costume. Je retouche juste quelques détails car elle est plus grande que toi mais un peu plus carrée. »
J'attendais donc que mon amie ait fini, puis au bout d'un autre quart d'heure elle réapparut avec un costume gris souris glacé à la main. Elle me regarda avec un grand sourire me désignant le costume.
« Vous allez avoir la classe là-dedans, faites attention aux belles minettes miss Beckett ! »
Je me mettais à rire et m'approchais pour embrasser la styliste du commissariat. Elle était assez petite, blonde et rondouillarde, des lunettes toujours chaussées sur le bout du nez. Je m'étais toujours demandé à quoi elles lui servaient si c'était pour les porter ainsi. Son visage était chaleureux et on devinait que dans sa prime jeunesse, elle avait dû être jolie. Elle me faisait un peu penser à l'une des marraines de cendrillon. Je lui en avais fait la remarque une fois et elle m'avait dit qu'elle ne pourrait jamais transformer ma Crown Victoria en carrosse, qu'elle était en trop mauvais état. Elle fit le tour de ma personne et fronça les yeux.
« Dites donc jeune fille, ça ne va pas ! Tu as beaucoup maigri, qu'est-ce que c'est que cela ? Il faut manger ! »
« Je n'ai pas vraiment le temps de penser à mon alimentation Rose ! »
« Oui et bien dépêches toi de te trouver un homme qui te fera de bons petits plats, pour remplumer tout cela ! »
« Je n'ai jamais eu une nature à prendre beaucoup de poids tu sais ! » souriais-je doucement.
Ma styliste favorite me regarda avec un sourire mutin.
« Hum ou bien tu as cédé à ton écrivain et malgré ses bons petits plats, tu ne grossis pas parce que vos activités physiques sont trop intenses. »
Rougissante, je donnais une tape à Rose, qui se mit à rire.
« Non mais qu'est-ce que tu t'imagines ? Castle et moi sommes juste des amis ! »
« Moui bien sûr ! Ben si tu veux mon avis ma chérie, lui il est partant et pour te faire des bons petits plats pour des dîners en amoureux et aussi te faire transpirer ! »
« Bon Rose je n'ai pas toute la soirée ! » Tentais-je d'éluder gênée.
Retenant un soupir, je songeais que l'idée d'activités physiques intense avec Castle ne me rebutait pas le moins du monde mais cela compliquerait les choses entre nous. Et puis j'avais déjà assez de Lanie qui me tannait avec writer-boy depuis quatre ans.
« Tu es bien agressive, le manque de sexe certainement ! »
« Rose ! » M'offusquais- je.
« Okay ma chérie j'arrête ! » s'exclamait-elle en levant les mains en l'air avant de s'éloigner pour prendre le costume.
« Bon comme je n'avais pas prévu cette perte de poids soit tu attends encore, soit on rembourre ! »
« Rembourre, je n'ai vraiment pas le temps, je veux clore cette enquête au plus vite ! » Répondis-je en pensant à ma brouille avec Castle.
Je n'aimais pas me disputer avec lui. Et même si cette fois je savais que ce n'était pas vraiment une brouille comme lors de notre enquête sur ce meurtre impliquant le maire, savoir que nous étions en désaccord et que cela amenait à nous séparer même temporairement, me déplaisait. Depuis quelques temps j'évitais de m'énerver prenant sur moi, je ne voulais pas qu'il parte loin de moi alors je tempérais mes propos. Dire qu'il y a un an de cela je lui aurais dit de dégager sans même me préoccuper des conséquences mais aujourd'hui il en était tout autre. D'ailleurs c'est ce que j'avais fait lors de l'affaire Westlake, Castle et moi avions eu une sérieuse altercation. Il avait interféré dans mon travail défendant son ami d'enfance comme il aurait défendu la veuve et l'orphelin dans une situation de danger. Il avait cette foi quasi inébranlable dans le genre humain. Au contraire j'avais appris en étant flic à me méfier de tout le monde.
« Bon ma chérie, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? »
Je revenais à la réalité constatant que Rose me regardait d'un air sévère les bras croisés.
« Ah, oh, oui pardon ! »
Je me déshabillais sous le regard réprobateur de Rose. Puis après que Rose ait bandé ma poitrine, elle me fit enfiler une sorte de combinaison qui reproduisait une musculature. Puis j'enfilais le costume. Enfin Rose me fit asseoir sur une chaise face à un miroir.
« Bien alors y'a du boulot avec des traits comme les tiens, j'en ai au moins pour trois heures ! »
« Alors vas-y fais au plus vite ! »
Rose commença à m'appliquer une sorte de fond de teint qui assombrissait ma peau puis elle retravailla le tout trait par trait afin de me donner un air plus viril. Elle poursuivit en appliquant une poudre qui granula ma peau afin de lui donner une apparence rude. Pour terminer, elle me posa un à un des poils reproduisant une barbe naissante pour accentuer la masculinité du tout, ainsi que des sourcils plus charnus. Je ne m'étais pas vue encore dans la totalité et lorsqu'elle s'écarta de moi, j'eus un hoquet de surprise en me découvrant. Je parvenais à peine à me reconnaître, je dirai même que je ne me reconnaissais pas. Seuls mes yeux restaient inchangés, mais pour ce qui était du reste, j'en étais bouche bée. Décidément Rose gâchait son talent au 12th, elle aurait dû être maquilleuse professionnelle pour le cinéma ! Je m'étais toujours demandé pourquoi elle perdait son temps ici.
« Alors là ma chérie, je vais prendre une photo, je suis plutôt fière de moi, tu es méconnaissable »
Je me levais et je devais bien reconnaître encore une fois que cela était vrai. Je passerais sans mal pour un beau mâle. Aux formes fines et élancées peut-être, mais cela n'aurait aucun mal à berner les gens sachant que de nos jours beaucoup d'hommes laissaient leur côté féminin ressortir.
« Tu es la meilleure Rose, un vrai génie ! »
« Hum oui tu me fais craquer comme ça, si je ne savais pas que c'était toi, je te draguerai bien ! »
Je ris puis après avoir embrassé mon amie, je quittais son atelier. Je n'avais plus une minute à perdre. Il était près de 20h et j'avais rendez-vous avec le maire à 20h30 précises au Club très select de Roy Macarthur. Je me précipitais vers l'ascenseur, que j'appelais et lorsqu'il arrivait, je m'y engouffrais. Lanie s'y trouvait et lorsqu'elle me vit son regard se fixa sur moi, elle ouvrit légèrement la bouche. M'avait- elle reconnue ? Quelques temps après j'eus ma réponse. Je vis ma meilleure amie me dévisager de la tête au pied d'un regard envieux. Un sourire mutin se fit sur son visage et elle me lança une œillade aguicheuse.
Je me mordais l'intérieur de la joue pour ne pas éclater de rire. Ma meilleure amie me faisait du gringue. Je ne rêvais pas, c'était complètement sur réaliste. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et je vis mon collègue Esposito s'engouffrer à son tour dans la cabine, accompagné de son fidèle acolyte Ryan. Ils me saluèrent, me dévisageant sévèrement. Mon latino regarda Lanie et lui sourit mais elle ne lui répondit pas le regard fixé sur moi, comme fascinée.
Je l'observais en coin lui lançant un sourire que je ne pouvais retenir tant la situation était comique. Bien sûr elle me répondit par un, éclatant et charmeur. Je me disais qu'avec un sourire pareil les conquêtes devaient pleuvoir. Elle cachait décidément bien son jeu. Mais lorsque mes yeux se posèrent sur mon collègue hispanique ce que j'y vis fut de la jalousie. Il me lança un regard noir et meurtrier, qu'il ne resservait qu'aux suspects. Peu impressionnée, je tournais la tête cachant mon sourire qui se faisait de plus en plus grand. Je me mis une main devant la bouche et simulait un raclement de gorge.
Je sentais toujours le regard lourd d'Esposito sur moi ainsi que celui mutin de Lanie. J'osais les regarder et le constat était plus qu'hilarant. Entre un qui me disait « je te veux » et l'autre « je vais te faire la peau », je conservais difficilement mon sérieux. Je voyais Lanie se pencher un peu en arrière. Était-elle en train de me mater les fesses ? Lorsqu'elle se mordit les lèvres, je constatais qu'en effet, elle se rinçait l'œil ouvertement sur mon postérieur. Esposito lui assistait au matage intempestif de son ex et cela ne lui plaisait pas. Heureusement pour moi, il ne pouvait pas ouvrir le feu sur un civil sinon, il aurait trouvé une excuse pour me descendre.
La situation était plus qu'amusante. Devais-je dévoiler mon identité au risque de provoquer une attaque cardiaque à ma meilleure amie lorsqu'elle saurait que son coup de foudre n'était autre que moi, Kate Beckett sa best ?
Je sentais une pulsion meurtrière dans la cabine et je commençais à frissonner. Regardant Ryan, je constatais qu'il me souriant avec un mélange de compassion et de gentillesse. Non je ne le ferai pas. Alors lorsque nous étions rendus au Rez-de-chaussée, je pris la voix la plus grave que je pouvais.
« Bonne soirée mademoiselle, messieurs ! »
Dans un sourire aguicheur, ma légiste me répondit d'une voix suave que je ne lui connaissais pas.
« Bonne soirée à vous bel inconnu ! »
Quant à Esposito je n'eus aucune réponse et alors que Ryan allait me souhaiter une bonne journée aussi, son collègue latino, lui donna un violent coup de coude dans les côtes, le faisant gémir de douleur. Me précipitant hors de l'appareil, je courus jusqu'à ma voiture pour enfin pouvoir éclater de rire, la situation était si comique que je ne parvenais pas à m'arrêter. Au bout de 5 minutes, je rentrais dans ma Crown Victoria encore secouée par mon hilarité. J'avais eu un test sans le vouloir avec Lanie et mes deux collègues, et je devais dire que si ma meilleure amie, ne m'avait pas reconnue qui le ferait ?
Riant encore à la situation si cocasse qui venait de se produire, je démarrais direction Le Club Men Only. Garant ma voiture assez loin pour être sûre de ne pas être démasquée, je faisais le reste à pieds jusqu'à l'entrée du club. Arrivée devant la porte j'entrais, je fus accueillie par une espèce de majordome. Il était grand et maigre et son air pincé me faisait penser au majordome de la famille Adams. Je retins un rire car avoir un sosie de Frankenstein sous les yeux était assez hilarant. Son ton morne et plat m'arrachait un sourire. Décidément le physique et le mental me rappelait ce bon vieux Frank. Il avait une voix froide et caverneuse qui semblait provenir d'outre-tombe.
« Bonsoir qui dois-je annoncer ? »
Un peu déstabilisée, je gardais le silence, n'ayant pensé au nom que j'allais utiliser. Mince je devais trouver vite, très vite, réfléchissant à la vitesse de la lumière.
« Johan, Johan …Adams » Balbutiais-je finalement, prise d'une illumination subite.
Ouf merci maman, merci le cinéma !
« Je n'ai pas ce nom sur ma liste ! »
« Monsieur le maire m'attends, je viens de sa part ! »
« Il ne m'a rien dit »
« Parce qu'il devrait tout vous dire ? Le maire doit il rendre des comptes ? » Répondis-je du tac au tac sans me dépendre de mon assurance.
« Je ne dirai pas ça mais je suis là pour faire mon travail, monsieur ! »
« Ecoutez, j'ai rendez-vous avec Bob alors soit vous me laissez passer, soit non mais cela va le contrarier et nous ne voulons pas contrarier Bob n'est-ce pas ? »
Frank me toisa, puis son visage inexpressif esquissa un rictus que je n'aurais su définir. Entre le coincement de doigt dans une porte et la brûlure sur un plaque chauffante.
« Bien monsieur, veuillez me suivre. » Me dit-il en s'inclinant.
Je m'exécutais et prenais sa suite. Nous arrivâmes dans une grande salle et là une fumée épaisse et acre, m'assaillait. Je fronçais les yeux et plissais le nez. Je détestais l'odeur du cigare et là pour le coup j'étais servie. Une dizaine de mâles en puissance fumaient leurs barreaux de chaises, riant et se flattant. Mon Dieu où étais-je tombée ? Un club réservé aux hommes, encore heureux car aucune femme saine d'esprit n'aurait voulu pénétrer dans ce club. Je n'étais pas une sainte nitouche ou même une femme qui s'arrêtait sur ce genre de détails mais là la testostérone était tellement présente que je m'en sentais oppressée.
Je vis au loin le maire qui parlait avec trois autres hommes que je ne connaissais pas. Je m'approchais et lui fit un signe. Il me toisa surpris, puis je lui fis un geste qui lui fit comprendre qui j'étais. Il ouvrit de grands yeux d'étonnement puis délaissant ses compagnons, vint à ma rencontre.
« Bon sang, c'est prodigieux, vous êtes méconnaissable ! » s'enthousiasma-t-il en me dévisageant.
« Merci mais il faut que cela le reste, pouvez-vous me présenter aux membres ? » souriais-je, amusée par son air ahurit.
Encore sous le choc de ma transformation, Bob finit par me dire.
« Bien sûr suivez-moi euh … » hésitât-il en m'interrogeant du regard.
« Johan, Johan Adams » l'informais-je discrètement pour que lui seul entende.
« Bien, venez par contre faites attention Castle est là, il s'est rendu au bar et… » M'apprenait le maire en m'invitant à le suivre.
« Hey Bob, tu t'es trouvé un nouvel ami ? » l'interrompait une voix que je n'eus aucune difficulté à reconnaître.
Nous nous retournâmes le maire et moi dans une synchronisation parfaite. J'avais reconnu la voix de mon partenaire mais je ne l'avais pas vu et lorsque mes yeux tombèrent sur lui, mon cœur s'emballa. Il était tout simplement sublime. La cravate défaite, la chemise ouverte de plusieurs boutons laissant entrevoir son torse. Il ne portait pas de veste et ses cheveux étaient légèrement défaits ce qui lui donnait un air sauvage qui m'émoustilla. Mon cœur battait la chamade et je perdais quelque peu mes moyens lorsque son regard bleuté se posa sur moi. Il me détailla de haut en bas et fronça les sourcils, intrigué. M'avait-il reconnu ?
« Tu me présente ton jeune ami, Bob ? » Demanda Castle sans détacher son regard de moi.
Une étrange lueur brillait dans ses yeux. Je n'arrivais pas à la définir à ce moment mais c'était plus que troublant.
« Rick voici Johan Adams. Johan, Rick. »
Il me serra la main tout en fixant ses yeux d'acier dans les miens. Nos mains restèrent un moment l'une dans l'autre puis comme s'il avait été électrocuté Castle retira sa main. Il tourna la tête vers Bob, évitant mon regard. Et là enfin l'illumination se fit en moi. Mon partenaire venait de flasher sur moi. Mais j'étais un homme. Je me retenais de rire à cette constatation. Pas étonnant qu'il soit si perturbé. Pour Richard Castle flasher sur un homme revenait à se tirer une balle dans le crâne.
Je pouvais en être plus que flattée car malgré mon apparence, il était toujours attiré par moi. Etait-ce cette connexion qu'il y avait toujours eu entre nous ? Ou bien autre chose ? Toujours est-il que je sentais que j'allais m'amuser ce soir.
Voila c'est à vous les amis ! Chouquette lol