...me revoilà de nouveau à 200 fics archivées sur ce site. 'comprends pas comment je les laisse autant s'accumuler, c'est dingue ! mais avec un peu de chance, personne ne viendra lire celle-ci... hm ?


Titre : la couette salée
Auteur : ylg
Fandom : Les filles de Caleb
Couple : Ovila et Émilie Pronovost
Rating : R / M pour cause de blowjob (pas décrit graphiquement, mais bon... pour l'idée, quoi)
Disclaimer : les personnages sont à Arlette Cousture, qu'elle et tous ses fans veuillent bien me pardonner ce que je viens de faire.

fic écrite pour le thème "couette" sur 31 jours (13 juillet)... sauf que je n'ai pas eu le courage de l'y publier. Heh, on dirait que c'est la première fois que j'ai vraiment honte d'avoir détourné un classique.

oOo

Pour sûr, Émilie aime son mari. Ovila a ses défauts, elle ne peut le nier, mais elle l'aime malgré tout. Et quoiqu'elle puisse dire, elle aime quand ils font l'amour ensemble. Si seulement il ne la mettait pas en famille à chaque fois…
Émilie aime ses enfants aussi, tous, et ne regrette pas qu'ils soient venus au monde, aucun d'eux. Elle ne se pardonnera jamais pour Louisa, d'ailleurs. Mais une famille nombreuse est bien dure à entretenir, ils devraient faire plus attention.

Quand Ovila propose une manière « sans risque » de se faire plaisir, son cœur bondit. Quand il lui montre de quoi il retourne, elle est vite moins enchantée.
« Charles Pronovost, tu n'es qu'un dégoûtant. »
Il faut beaucoup de persuasion et d'encouragement à son mari pour faire céder sa « belle brume ». Elle s'y essaie à contre-cœur.

Et le résultat, comme elle le craignait, s'il n'est pas un fiasco, en est bien proche… Elle ne veut pas savoir si c'est lui qui s'est écarté, voulant lui épargner un final trop déplaisant pour elle, ou si c'est elle qui a fait une fausse manœuvre au mauvais moment. Quoi qu'il en soit, la décharge d'Ovila s'est perdue sur le visage d'Émilie.
Les mots « tu es un dégoûtant » reviennent à ses lèvres, mais cette fois elle n'arrive pas à les cracher, trop interdite par ce qui vient d'arriver autour.

Ovila se confond en excuses et tente de l'aider à essuyer le « désastre ». Avec pour seul résultat d'empirer les choses : il lui reste entre les mains une version sale de la « couette sucrée ».
Et Émilie, folle de rage, répète encore une fois qu'il ne la touchera plus.