Oui, oui, je sais, je devrai écrire le chapitre 2 de mon autre fiction mais là … J'ai eu une idée et il fallait que je poste pour ne pas oublier ! Bon, go. Et évidemment, c'est un UA (en y passant, mon autre fanfic va me déprimer donc ça, c'est pour ne pas bouffer des pilules).

Salut, personne qui lisent dans ma tête pour une raison inconnue ! Ici Stiles Stilinski, brun coiffé comme je me réveille, un mètre soixante-seize, blanc comme neige avec quelques grains de beauté partout sur mon corps maîgrichon et en somme, génie de seize ans ! Et aussi bigleux par dessus le marché …

Enfin bref, parlons de mon entourage.

Le plus important j'imagine … Ah oui, mon père, John Stilinski, la quarantaine, cheveux châtains ou brun délavé, yeux clairs - un genre de bleu/gris bizarre qui est sûrement la preuve que je suis une erreur génétique vu que mes iris à moi sont brunes/miellés à la lumière - , et un petit mètre soixante quinze – petit car je le dépasse, niark ! - et homme blanc qui a, contrairement à moi, connu le soleil. C'est le shérif dans notre petit comté, Beacon Hills, et c'est de loin le meilleur shérif que la ville aie connu. Il faut dire que cette ville compte des tas y d'enquête non-résolu et il est le seul à avoir élucidé autant d'enquêtes en sept ans en tant que Shériff. Vous voyez d'où je tiens mon génie, hein ? Hein ?

Enfin, après mon père … La femme la plus importante de ma vie, Lydia Martin. Seize ans tout comme moi, cheveux blonds-vénitiens, yeux verts qui tournent parfois au kaki, un mètre soixante-cinq – agrandie par un port constant de talons hauts – et blanche mais pas craie comme moi, ni bronzée, mais d'un joli laiteux. C'est la plus belle fille du lycée, du monde-même et … C'est ma meilleure-amie ! Laissez-moi vous expliquer : il se trouve que Lydia est un génie au même titre que moi, et vu le fait que ce soit une perfection ambulante – belle, intelligente et avec une personnalité de meneuse – elle pourrait être très populaire. Petit hic, Lydia a certes une personnalité de meneuse mais aussi et surtout une personnalité détestable. Elle est extrêmement hautaine et calculatrice, et refuse de ne serait-ce que de partager son oxygène avec des gens au Q.I inférieur au sien. Et malheureusement, il n'y a que le mien qui puisse l'égaler donc elle est forcée de se farcir Stiles, moi, le grand hyperactif à déficit de concentration.

Et … C'est tout, ce sont les seuls personnes importantes pour moi …

Enfin, presque, car il y a des personnes qui m'importent royalement – ils pourraient crever dans un accident, rien à foutre quoi – mais qui par leurs conneries ont tout de même un certain impact dans ma vie, j'ai nommé couille droite et couille gauche : Scott McCall et Jackson Whittemore.

Le plus grand con reste McCall. Brun coiffé comme un hipster, un mètre soixante-dix-neuf – pas encore un mètre quatre-vingt, et j'espère jamais!-, blanc avec un bronzage que les filles décrivent comme étant « parfait » - faut dire qu'à Beacon Hills, fait pas très beau alors son bronzage de véritable californien, c'est … Canon – yeux chocolats et une mâchoire de travers reconnaissable entre mille ! Ce mec est une véritable bite, je le hais de un pour sa connerie – c'est à cause de ce genre de personnes que je comprends la façon de pensée de Lydia – et ensuite car il ne sait parler qu'avec les poings. Et la raison pour laquelle c'est une bite : y'a qu'à voir comment il se comporte avec Allison Argent – une nouvelle que Lydia semble apprécier mais dont je connais rien.

Jackson lui est un autre type de con. Blond, yeux clairs, sportif et un mètre quatre-vingt – doux Jésus je le hais – et blanc avec un teint qu'on dit « de pêche ». Et c'est le mouton de McCall. Il est son meilleur ami et partenaire de crime depuis le bac à sable et il adore martyriser tout le monde ensemble. Et leur seconde passion à deux c'est le Lacrosse. Ils sont tout deux co-capitaines et nous ont fait remporté le championnat national. Et perso, j'aime pas le sport, je trouve ça chiant et douloureux. Ah oui, et il est fou amoureux de Lydia mais vu que c'est une bite comme McCall, il couche avec toutes les filles du lycée en croyant que ça la rendra jalouse sauf qu'il n'a pas compris que Lydia ne s'intéressera jamais à lui car de : il est mais vraiment, vraiment débile et ensuite, Lydia a horreur des gens qui sont susceptible de la tromper.

Bon, je crois que j'ai fait le tour, quoique, je pourrai parler de Danny, un gars avec qui je fais quelques devoirs en chimie mais il a l'air de me détester depuis que je l'ai harcelé pour qu'il me donne des cours d'informatiques – et au passage si je plais aux gays car Danny est gay.

Sinon … Pourquoi j'ai pas parlé de ma mère ? C'est simple, elle est morte.

Autre … Ah oui, pourquoi vous lisez mon histoire, j'oubliais. Enfin, comme je l'ai dit plus tôt, Beacon Hills, c'est une ville assez mystérieuse. Des meurtres non-élucidés, des témoignages troublants et surtout : des animaux serial-killer.

Car oui Mesdames et messieurs, Beacon Hills est la seule ville au monde où les animaux sont soit des psychopathes, soit des suicidaires pour tuer ou mourir de manière on-ne-peut-plus étrange.

Seule explication logique que j'ai trouvé : ce serait des humains qui contrôlent des animaux avec des flûtes – no comment, je viens de regarder Shrek !

… Enfin bref, je me suis fixé comme but de résoudre ce bon gros WTF avant mes 30 ans et je me suis déjà pas mal avancé car j'ai remarqué que dans ces affaires, il y avait un nom qui revenait souvent : Hale.

Une famille qui devait avoir des membres qui cherchaient sacrément la merde car on les retrouve trop souvent en tant que victimes, témoins, trouveurs de cadavres ou passés par là – et même leurs amis d'ailleurs.

Sauf que ce n'était jamais en tant qu'accusé, donc … Rien.

Mais ça reste une piste.

Petit hic, le « devait » car oui, un bon nombre de Hale sont morts il y a quelques années de cela dans un incident – criminelle évidemment, une famille qui cherche la merde à ce point et comme vous vous en doutez non-résolu. Et le reste de la famille s'est barrée au quatre coin du pays

Mais vous savez quoi ? Il se trouve que le destin m'adore et veut me laisser une chance d'exaucer mon souhait. Comment ? C'est simple, car récemment, deux personnes de la famille Hale sont revenus à Beacon : Derek et Laura Hale.

J'aime cette impression qui me dit que je viens de créer le diable.

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