Alors bonjour bonjour ^.^! Alors voici la première fanfiction que j'ose publier ./.
Je ne sais pas trop ce que vous allez en penser alors si ce prologue vous plaît, laissez moi le savoir et je publierais la suite! Et même si c'est pour me dire ce que vous n'avez pas aimé laissez moi le savoir :D !
Bon je sais que je dois encore faire des progrès avec l'orthographe mais je fais mon possible! Et puis juste prévenir que non, le lemon ne sera pas avant un long moment et c'est un AU donc j'ai changé quelque détail.
Bref, allez,
ENJOY!
Les bras croisée sur son torse Stiles fixait l'homme devant lui. Sa gorge était nouée et il ressentait un certains dégoûts devant cette personne qui semblait plutôt imbus de lui même et ne pu s'empêcher de le détailler pour une énième fois. Il était grand et mince, une tignasse poivrée recouvrait sa tête encadrant se visage sévère aux mâchoires fortes qui ne laissaient passer aucun sentiment, ni positif, ni négatif.
Stiles avait toujours eu une certaine facilité à lire au travers des gens. Le jeune adulte n'aurait su comment l'expliquer. C'était comme s'il se retrouvait porté dans l'âme de ces personnes et pouvait les déchiffrer comme un bouquin. Ça lui paressait si clair quand les gens lui parlaient de leurs problèmes et inquiétudes. Sans même que ces personnes puissent se comprendre eux même, Stiles leur disait comment ils se sentaient. Chaque fois, ils lui souriaient, soulagés que quelqu'un les comprennent enfin. Ils faisaient erreur! Stiles n'avait jamais compris aucune de ces personnes. Ils l'avaient juste senti.
Alors, à ce moment il se demanda pourquoi il ne pouvait lire aucune émotion en ce type. C'était comme si quelque chose lui empêchait de lire comme il le voulait. Peut-être que son hyperactivité reprenait le dessus aussi. Combien cela pouvait-il bien faire de jours qu'il n'était pas sorti de cette foutue battisse? Deux? Trois? Dix? Aucune idée.
Depuis son arrivé, Stiles avait été obligé à passer une vingtaines de teste médical, physique, mental, etc. En fait, que faisait-il ici? Il en avait aucune idée. Il y avait eu ces deux hommes qui l'avaient embarqué pendant qu'il réparait sa Jeep. Évidemment, il s'était débâti corps et âme, tous pour ne pas se faire enlever. Un d'eux l'avait frappé à la tête et Stiles s'était évanoui. Il s'était réveillé dans cette foutue chambre au mûr d'un vert menthe à en rendre malade. Dès qu'on avait remarqué son réveil, on l'avait emmené faire leur examen. Stiles avait catégoriquement refusé. Qui savait ce que c'est fou pouvait lui faire? Mais on lui avait expliqué que s'il faisait tout ce qu'on lui demandait il serait rapidement délivré. Stiles avait immédiatement su que ces gens avait un quelconque rapport avec le surnaturelle. Il l'avait juste su. Sûrement par habitude d'être entouré de garous.
Cet homme devant lui, c'était Levi Parkinson. C'était l'unique information qu'il avait eu le droit.
- Stiles, nous avons décidé de te laisser une chance. Finit par dire Parkinson de la voix la plus monotone que Stiles n''avait jamais entendu.
- De quoi parlez-vous? Réussi à demander Stiles avec une assurance qu'il ne se connaissait pas.
L'homme rit et Stiles ressentit un frisson parcourir son corps. Le plus vieux se leva et alla remplir son verre à l'aide d'une cruche d'eau. Stiles sentait un stresse l'envahir et ne pu retenir sa jambe de gigoter, détestant qu'on le fasse languir.
- Personne t'a jamais prévenu que quelqu'un viendrait te chercher? Après tout, tu appartient au gouvernement du moment où qu'on voit que tu es quelque chose d'autre qu'un humain.
Stiles ne comprenait aucunement ce que Parkinson insinuait. Le prévenir? Quelqu'un viendrait le chercher? D'aussi loin qu'il pouvait se rappeler, non, on ne lui avait jamais dit quelque chose de tel. Stiles se rappelait bien de ces choses bizarres qui se passaient jusqu'à ce que sa mère meurt, de cette dernière lui disant de ne jamais suivre aucun inconnu quand il était petit, ou bien de cet homme qui les avait suivit lui et sa mère n'importe où où ils allaient. Il n'oublierait jamais ces nuits qu'il avait passé à écouter ses parents se disputer.
- John, on ne pourra pas les éviter indéfiniment. Je serais peut-être mieux de me rendre...
- Jamais! Je n'accepterais jamais que tu serves d'armes pour ces salauds de première classe!
- Et notre fils dans tout ça!?
Il y avait eu un long silence pesant, les deux mariés se foudroyant du regard. Stiles pouvait sentir tristesse, déception et rage dans l'air. Ce dernier s'était réveillé après avoir entendu sa mère crier. Comme à son habitude, il s'était assis dans la première marche qui menait vers le rez-de-chaussé. Stiles s'était accroché tenacement après le barreau, ne voulant pas démontrer sa présence à ses parents.
- Je... je le voix, John. Il est exactement comme moi.
- Tu veux dire... Comment peux-tu en être certaine? Claudia, Stiles n'a même pas sept ans.
- Je le sais, c'est tout. Si je me rends, je pourrais éviter qu'il se fasse prendre lui aussi. Tu pourras t'enfuir avec, aller vivre dans une de ces resserves.
Stiles avait retenu des larmes. Quoi? Sa maman voulait l'abandonner? Aussi simplement, comme si son père et lui n'étaient rien de plus que des déchets. Il avait senti son cœur se briser en des milliers de morceaux. Il ne voulait pas être un fardeau.
- Pour quelle raison tu ne viendrais pas avec nous? Ton fils a besoin de toi. J'ai besoin de toi. Comment veux-tu que j'élève cet enfant tout seul? Tu vas venir avec nous, on... on trouvera un moyen. Ça durera le temps qu'on pourra.
- Je t'aime tant John.
Stiles n'avait jamais parlé de ce qu'il avait entendu à personne. Pas qu'il ne voulait pas savoir de quoi il avait été question, mais il l'avait su : c'était un tabou.
Quelques temps après, ils avaient déménagé à Beacon Hills. Stiles s'était rapidement fait des amis comme l'avait toujours souhaité Claudia, John était rapidement devenu shérif et Claudia avait essayé toute sorte de métiers. Stiles pouvait se rappeler que ça avait été la plus belle période de sa vie. Elle n'avait durée qu'un an, certes, mais ils avaient tous été si heureux. Sa mère avait décédé l'année qui suivit. Son père avait lentement tomber dans la dépression après cet événement. Ce que Stiles avait entendu cette nuit-là, il n'en avait jamais parlé avec son père. Il avait finit par conclure qu'il parlait tout simplement de son hyperactivité. Ce n'était pas réaliste, il le savait, mais ça faisait moins mal. Parfois, Stiles se demandait si sa mère était toujours vivante, si elle pensait encore à eux. Tant de question qu'il n'avait jamais pu demander à cause de ces fichus tabous.
- Stiles?
Ce dernier releva la tête pour regarder l'inconnu. Il attendait clairement une réponse, mais Stiles n'en avait pas. Quoi dire? Qu'il soupçonnait que la mort de sa mère n'était rien d'autre qu'une escroquerie? Que tous avaient évité de lui dire la vérité, et de ce fait, il n'avait aucune idée de quoi il pouvait bien lui parler?
- Non on ne m'a jamais dit que quelqu'un viendrait me chercher, finit par répondre l'hyperactif.
- C'est bien ce que je croyais.
Stiles n'ajouta rien. Habituellement, il parlait sans arrêt, mais Parkinson le dégouttait de plus en plus. Il espérait au plus profonds de son être que Scott allait se rendre compte de son absence. Que lui et la meute allait finir par venir le chercher.
- Allez-vous me tuer? demanda-t-il franchement.
- Et voilà où tu fais ton choix, Stiles. Sois tu nous aides, sois tu refuses et ta vie s'achève de ce fait.
Stiles ne compris pas vraiment. Il n'était qu'un simple humain. Le seul de sa meute. Pourquoi c'était lui qu'il voudrait? Il n'osa pas demander, attendant la suite.
- On veut que tu nous remmène Derek Hale.
- Pourquoi? Et meilleure question, pourquoi moi?
- Tout simplement parce que tu as le pouvoir de lire au travers des gens. On a remarqué que depuis que tu as été possédé, ton don s'est déclenché à pleine capacité.
- J'ai pas de don... je suis un simple humain...
Stiles aimait de moins en moins la situation. Cet homme savait beaucoup trop de chose. Déjà, le seul fait qu'il sache qu'il avait été possédé, était de trop.
- C'est ce que tu crois. Mais si tu te concentrais, tu l'aurais remarqué il y a bien longtemps.
- Pourquoi vous savez tous ces trucs sur ma vie?
- Ça ne te regarde pas. Tu n'as qu'à obéir.
- Derek ne m'écoutera jamais. Rit amèrement Stiles
- Trouves un moyen. Tu as un mois, 31 jours. S'il n'est pas à nos porte le quinze Janvier à minuit, tu seras mort, et Hale en même temps. Si tu informes quelqu'un de cette entente, vous serez mort aussi. Si tu ne dérive que d'un peu de ta mission, vous êtes finit.
Stiles déglutit difficilement. Parkinson se leva, ouvrit la porte et dit de sa voix sans vie: Le décompte commence à partir de demain.
Stiles sortis presque en courant. Quand il fut enfin sorti du bâtiments, l'adolescent respira avec joie l'air fraîche de l'hiver. Il commença à marcher tranquillement, récapitulant ces derniers jours plutôt désastreux. L'hyperactif ne savait pas encore ce qu'il allait faire pour Derek, mais une chose était certaine, il n'allait pas remettre les pieds ici, mort ou vivant.
