Nda: Bonjour :D! Me revoilà avec un Two Shoot cette fois-ci, qui devait n'être qu'un O.S. mais finalement il était trop long x). J'ai essayé, je dis bien essayé de faire un lemon, j'espère ne pas m'être trop loupé... C'est le premier que j'écris, soyez indulgente s'il vous plaît T.T.
J'espère que ce premier chapitre vous plaira :3.
Précisions: Se passe avant les Shabondy. Les perso' ne m'appartiennent pas, mais viennent de l'imagination géniale de Eïchiro Oda, que j'admire vraiment.
Bonne Lecture :).
Chapitre 1.
Finalement, après plus d'un mois d'abstinence, Sanji allait enfin redécouvrir le plaisir de la chair. Il s'était trouver une petite brune un peu pompette, mais lui aussi avait un peu abuser de la boisson. Il avait d'ailleurs plusieurs fois cru apercevoir une touffe de cheveux vert, mais n'y avait pas fait attention.
Ils étaient tous les deux monter dans une chambre de l'hôtel situé au-dessus du bar où ils avaient passé la plupart de la soirée.
Ils n'en étaient qu'aux préliminaires, quand un énorme bruit d'explosion retentit dans tout le bâtiment. Le cuistot entendit une voix crier: "Roronoa Zoro et Kuro ashi no Sanji sont ici! Trouvez-moi ces deux pirates! Et faîtes évacuer les civiles! "
"Et merde..." pensa fort élégamment ce dernier, sans tilter au nom de son nakama. A peine récupéra-t-il sa chemise, seul vêtement qu'il avait eu le temps d'enlever, que la porte se fit défoncer, faisant crier la jeune femme qui ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Sanji choisit de faire la seule chose qui lui paraissait logique dans cette situation: sauter par la fenêtre (Cherchez pas, il est blond...). Erreur de calcul, il se retrouva à chuter de trois étages, pendant que plusieurs dizaines de marines le regardait lentement arriver au sol. A peine ses pieds touchèrent le sol que notre petit citron pressé se mit à courir en direction de la forêt qui entourait la ville, dans le but de s'éloigner de la base de la marine d'où arrivaient les soldats.
Soldats qui, trop choqué de l'avoir vu tomber littéralement du ciel, ne commencèrent à le poursuivre qu'après qu'il est pris une bonne avance. C'est qu'il court vite, l'animal! Il arrivait déjà aux abords de la ville, où il ne restait que des vielles maisons abandonné, quand il se sentit soudain attrapé par le bras et tiré à l'angle d'une de ces anciennes résidences.
Il se retrouva collé à un torse musclé, et regarda passer les marines sans qu'ils ne se rendent compte de son "kidnapping". Quand les bruits de course s'estompèrent, la prise sur le corps de Sanji se relâcha, et ce qui l'avait tiré ici se dirigea vers la rue, à l'abri de l'ombre que projetait le vieux bâtiment, pour y jeter un coup d'œil discret.
- Je crois qu'ils se sont éloignés, mais ils vont sûrement revenir quand ils ne trouveront pas par là.
L'ombre se retourna et le Cook se retrouva en face d'un Zoro aux cheveux décoiffer et torse nu.
- Qu'est-ce que tu fou là? Lui demanda-t-il plus surpris qu'énervé.
- J'étais aussi dans cet l'hôtel, t'es pas le seul qui ai dû refréner ses pulsions pendant le voyage.
- Ah. Comment ont-ils bien pu savoir que nous étions là?
Le blond s'était adossé au mur, et profita de la courte pause pour s'allumer une cigarette.
- Sûrement le barman, il me semblait louche ce gars.Répondit le vert en haussant les épaules.
- Ouais, c'est peut-être aussi parce que j'ai passé la soirée avec sa fille... répondit simplement le fumeur en tirant une bouffée sur son bâton de nicotine, goudron et autre cochonneries.
- C'est malin ça... grommela le bretteur.
Le blond allait lui répondre, quand ils entendirent des bruits de course se rapprocher. Ils se dirigèrent silencieusement vers l'arrière-cour de la maison, qui n'était pas visible depuis la rue principale. Des cris se firent entendre:
- Fouillez-moi tous les environs! Ils ne peuvent pas être loin!
Après s'être consultés du regard, ils entrèrent par la porte arrière de l'ancienne bâtisse pour s'y planquer le temps que les soldats cessent leurs recherches. A l'intérieur, plusieurs directions étaient envisageables: les escaliers menant au premier étage, la cuisine situé sur leur gauche ou le couloir qui permettait d'accéder à l'avant de l'habitation.
- Par là.
Ils avaient murmuré en même temps, mais ne montrait pas du doigt la même direction. Petits pois semblait vouloir continuer tout droit dans le couloir, tandis que Boucle d'or voulait monter à l'étage.
- On va par là. Grogna le sabreur en lui jetant un regard noir.
- Idiot! Si on va par là, ils auront juste à ouvrir la porte pour nous retrouver!
- C'est toi l'idiot! Il faut aller à l'arrière de la baraque!
- On est à l'arrière de la baraque. Siffla le cuisinier d'un air excédé. Tss, t'as vraiment un sens de l'orientation à la con, même pour une algue tu bats les records!
- Répète un peu?! S'énerva la-dite algue en l'attrapant par le col.
Ce que le blond allait faire avec plaisir, quand ils entendirent des cris lointains:
- J'ai entendu des bruits de voix ici! Ils sont peut-être à l'intérieur?
- Allons voir!
(Sûr que de s'engueuler en hurlant c'est pas le summum de la discrétion...) Sanji attrapa le manieur de sabre par le bras et l'entraîna à sa suite dans les escaliers qu'ils montèrent en courant. Il ouvrit la première porte qu'il trouva et s'engouffra dans la pièce, toujours en tirant son nakama derrière lui.
A peine eut-il fermé la porte qu'ils entendirent celle du rez-de-chaussé s'ouvrir. Ils écoutèrent en silence l'écho des pas et des conversations des soldats, espérant qu'ils ne décident pas de fouiller l'étage.
Un bruit se fit entendre sur la gauche, et ils aperçurent dans la pénombre ce qui semblait être un hibou, qu'ils avaient apparemment dérangé. Ils essayèrent de lui chuchoter le plus silencieusement possible de ne pas faire de bruit, mais il faut croire que ce n'était pas leur jours de chance parce que l'oiseau lança un "Hou-hou" (Bah oui, il va pas faire cui-cui non plus!...) bruyant et qui retentit dans tout le bâtiment.
Les deux pirates attendirent nerveusement la réaction de leurs ennemis.
- T'as entendu?
- Ouais, ça venait d'en haut.
- Tu crois que c'est eux?
- Sûrement un animal errant.
- Ouais, j'vais quand même aller voir.
- Comme tu veux, je t'attends dehors.
La porte se rouvrit pour laisser passer le soldat, tandis que l'autre montait les escaliers. Zoro et Sanji cherchait comment se sortir de la, mais la pièce n'offrait que peu de cachette, car mis à part un matelas défoncé posé au sol et recouvert d'une couverture, une table basse retourné dont il manquait deux pieds et une étagère bancale et poussiéreuse (Comme mon cerveau quoi xD), la salle était vide. Et impossible de sortir par la fenêtre, cette dernière étant obstruée par des planches en bois.
Les pas se rapprochèrent, pour se stopper devant l'entrée de ce qui avait dû être une chambre.
La poignée s'abaissa, et Zoro, dans une incroyable poussée d'intelligence, plaqua le blond au mur derrière la porte, ce qui lui fit lâcher la chemise qu'il tenait encore dans la main sous le coup de la surprise.
Le marine entra dans la pièce, l'inspectant du regard pour trouver l'origine du bruit qu'il avait entendu. Le hibou, qui s'était perché en haut de l'étagère, fonça droit sur lui pour sortir, le forçant à se baisser en se protégeant la tête avec ses mains. L'OVMI (Objet Volant Malheureusement Identifié) partit, il se releva en se murmurant à lui-même: "Finalement ce n'était vraiment qu'un hibou... Tiens c'est quoi ça?". Il avait repéré le vêtement tombé au sol, et le ramassa en l'examinant. Il dit enfin "Elle est pas trop en mauvais état, je pourrais sûrement la revendre!", puis il repartit, sans s'interroger sur sa provenance.
Le cuisinier, toujours plaquer contre le mur par le vert, soupira en entendant enfin le soldat redescendre et sortir de la maison. Il attendit que le bretteur se décolle de lui, mais au contraire ce dernier se rapprocha encore plus, enfouissant sa tête dans son cou.
- Qu'est-ce qu...
Il avait commencé à parler, mais c'était figé en sentant une langue parcourir sa jugulaire.
- Désolé, mais j'en peux plus...murmura le manieur de sabres d'une voix rauque.
- Que... Quoi? Nan mais tu fais quoi là? Le Cook était mortifié.
- Je me suis retenu trop longtemps, et vu que les marines m'ont empêché de me soulager, c'est toi qui vas y passer.
Ses mains se faisaient maintenant plus baladeuses, et le blondinet mit du temps avant de recouvrer ses esprits et de répondre.
- Mais j'ai pas envie moi!
Il avait commencé à se débattre, mais la force physique de Zoro était bien plus forte que la sienne. Ce dernier passa sa main dans son pantalon, provoquant des frissons au cuistot qui se sentit tout d'un coup trop serré dans ses vêtements. Il serra les dents pour éviter que des bruits qu'il jugeait inconvenant sortent de sa bouche.
- Ça a pourtant l'air de te plaire... murmura sensuellement le Marimo à son oreille avant de la mordiller.
Puis il redescendit ses lèvres pour parsemer la chair de son cou de baiser et de morsure, descendant lentement vers son torse, pendant que sa main appuyait par intermittence sur son entrejambe. Sanji n'avait même plus la force d'essayer de le repousser, n'arrivant qu'avec peine à retenir ses gémissements et sa respirations se faisant haletante tant il était submergé par les sensations que lui procuraient les caresses du bretteur. Après tout, lui aussi avait dû subir la longue période d'abstinence, ce qui expliquait qu'il y soit si sensible.
- … Arrête ça... parvient-il à articuler.
- Non. Répliqua résolument le sabreur en continuant sa descente.
Il baissa le pantalon du cuisinier, passant sa main sur la bosse qui s'était formé sous le dernier vêtement qui l'empêchait d'accéder à ce qu'il recherchait. Il retira finalement le caleçon, et se mit à lécher sur toute sa longueur le membre dur de son futur amant.
Amant qui n'en pouvait plus, n'arrivant plus à retenir ses gémissements et cachant son visage avec son bras. Le bretteur le pris finalement en bouche, tout en introduisant un doigt dans l'intimité du blond, qui s'en rendit à peine compte, totalement concentré sur le plaisir qu'il lui procurait.
- ...Plus... plus vite...
Le vert s'exécuta, en introduisant un deuxième doigt, ce qui cette fois-ci fit se crisper son Uke. Il tenta de lui faire oublier la douleur, et commença à faire des mouvements en ciseaux dans son intimité. Finalement, Sanji se décontracta, et sous le double plaisir procuré se déversa dans sa bouche.
Zoro retira ses doigts, sous les grognements du Cook, et l'entraîna vers le matelas où il l'allongea sous lui.
- Désolé, ça va sûrement faire mal...lui dit-il en se déshabillant à son tour.
- Espèce d'enflure, t'as pas intérêt à... Grogna avec difficulté le blond. Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase que le sabreur le pénétra avec force, ce qui faillit le
faire crier de douleur. Les larmes lui montèrent aux yeux, et il s'agrippa aux épaules de son Seme en y plantant ses ongles.
- Détends-toi, ça ira mieux après.
- J'aimerais bien... t'y voir... articula-t-il difficilement en grimaçant.
La tête de mousse prit son pénis en mains et fit des mouvements de vas-et-viens dessus pour tenter de le détendre. Cela fonctionna, et au bout de quelque minutes il commença à bouger à l'intérieur du cuistot, faisant peu à peu partir la douleur pour laisser doucement place au pure plaisir. Il accéléra la cadence, s'enfonçant toujours plus loin en lui.
Sanji n'en menait pas large, il n'aurait jamais cru pouvoir ressentir autant de plaisir en couchant avec un homme. Il avait enroulé ses jambes autour de la taille de l'escrimeur, et ne pouvait s'empêcher de crier à chacun de ses coups de rein.
Après plusieurs minutes pendant lesquelles la cadence s'accélérait de plus en plus, le blond se répandit entre leurs deux corps, vite suivi par le vert., qui s'écroula sur lui après s'être retirer de son intimité. Quand il eut repris son souffle, il s'étala au côté du cuisinier, qui lui peinait encore à reprendre ses esprits. Alors que Zoro commençait à s'endormir, le Love-Cook s'installa à califourchon sur lui, et lui murmura en rapprochant son visage du sien:
- Ne crois pas t'en sortir si facilement...
D'abord surprit, le bretteur lui adressa un sourire carnassier. La nuit promettait d'être longue, très longue...
o*o*o*o*o
Le lendemain matin...
Quand Sanji ouvrit les yeux, il fut surpris de voir en face de lui une touffe de cheveux verte. Il se redressa, quand une douleur aux creux de ses reins lui fit se rappeler les événements de la veille. Il se rallongea, se sentant d'un coup exténuer. Il entreprit de réfléchir à la situation, mais un mouvement à sa droite attira son attention. Il semblait que son amant se soit finalement réveillé lui aussi, ouvrant les yeux avec difficulté, quelque peu peu aveuglé par les quelques rayons du soleil qui passait entre les planches obstruant la fenêtre.
- Ah, t'es réveillé. Marmonna l'escrimeur qui n'était définitivement pas du matin.
- Ouais.
Le silence s'installa dans la pièce, puis qu'aucun des deux ne savaient quoi dire. C'est vrai, ils avaient aimé cette nuit passé ensemble, mais maintenant? Faire comme si de rien n'était? Ou en parler, même s'ils ne savaient pas comment aborder le sujet.
Finalement, le blondinet se leva et entreprit de rassembler ses vêtements éparpillés au sol, essayant d'ignorer le regard qu'il sentait peser sur lui. Il commença à s'habiller, même s'il n'avait plus de chemise maintenant, cette dernière ayant été prise par le marine. Zoro se décida enfin à se lever pour faire de même, en grognant quand la douleur dans le bas de son dos se réveilla elle aussi. Quand il fut de nouveau à peu près présentable (Autant que l'on peut l'être torse-nu et les cheveux en batailles.), le cuisinier se dirigea vers la sortie, mais le vert le retient par le poignet.
- Hm...?
Il le lâcha rapidement, et ne trouva pas quoi lui dire, ayant plus agi par instinct qu'autre chose.
- Écoute... euh...
Ça ne ressemblait vraiment pas au bretteur d'hésiter comme ça, ce qui l'énerva d'autant plus.
- J'ai bien aimé la nuit qu'on a passée... Et si t'as envie qu'on recommence... Bah juste que moi ça me dérangerait pas. Après tu fais comme tu veux.
Il avait dit ça en essayant de paraître nonchalant et en haussant les épaules à la fin de sa tirade.
Le blond se retourna vers la sortie, ouvrit la porte mais lâcha en passant le seuil:
- On remet ça quand tu veux.
Puis il partit en laissant un Zoro plus qu'étonné de sa réponse.
Il sortit finalement lui aussi, un léger sourire aux lèvres.
Et voilà :)... T.T J'ai vraiment galéré pour la fin, j'arrivais pas à choisir x). Et sur le lemon aussi, j'ai du le réécrire un bon paquet de fois °.°"
'Fin bref, la suite au prochain chapitre, où le genre Hurt/Comfort va prendre tout son sens :).
Laissez-moi vos avis, critiques et remarques :).
