Bien le bonjour à toutes (Et à tous ! ^^).

Bon, ne nous perdons pas en vains bavardages hein... Je vous en ai longuement parlé, de mon projet. J'ai longuement cherché... Et j'ai trouvé ! =)

Oui, mes chères lectrices. Une fan fiction Yuri, ma première. Je vous avoue que je suis très stressée quand à me demander si elle va vous plaire... Et surtout si elle va plaire à une certaine personne qui se reconnaîtra en lisant ces lignes. Car ce qu'elle écrit est divin et je me suis dit que lui dédier cette fic serait le mieux que je puisse faire.

Considère ça comme une petite surprise, ma Ritsu. =$

Sinon, le rating : M. Oui, ça y est, on ose, on ose, mais ça va arriver, patience. ^^

Disclaimer : Ritsu, Azusa, Mugi, Mio, Yui et tout le reste ne m'appartiennent nullement. Ces demoiselles sont la propriété de Kakifly, et-ce à jamais quoi qu'on fasse.

Bref, je ne vois pas vraiment quoi dire de plus... Pas d'idées musiques là. Pour le moment... ;)

Bonne lecture. X3


Chapitre 1 : Envahissants songes...

La Lune projetait son halo, à travers les rideaux mal fermés. Deux filles. La plupart des vêtements qui couvraient leur nudité étaient au sol, comme s'ils désiraient se cacher de toute cette indécence, indécence qui rendait les jeunes femmes de plus en plus incontrôlables. Pourquoi étaient-elles là ? Hm. Qui sait ? Celle qui était allongée sur le lit, fixant avec intensité et envie l'autre qui, à quatre pattes sur elle, l'embrassait tendrement, n'en savait rien mais elle s'en moquait. Elle ne savait qu'une chose : Sa peau nue brûlait d'un désir sans limite pendant que les gémissements qui parvenaient à franchir la barrière rosée de ses lèvres résonnaient dans la petite chambre.

Les mains qu'elle aimait tant parcouraient son corps du bout des doigts, le détaillant avec précaution, ne faisant qu'accroître son excitation d'aller plus loin, jusqu'au point de non-retour. Et elle se sentait perdre pied, caressant avec passion le peu de peau que la chemise ouverte de sa partenaire lui permettait d'atteindre, cherchant par n'importe quel moyen à lui faire comprendre qu'elle la voulait là, tout de suite, à l'instant, dans cette chambre, dans ce lit qui était le sien. Elle la rendait folle ; mais était-ce une raison pour penser à une chose pareille à son âge ? Nul doute que bien des gens lui auraient dit que non. Mais la petite brunette s'en moquait, pour le coup. Le regard des autres ne comptait plus, ne restait plus que les lèvres rougies de plaisir de celle qu'elle aimait, ces courbes qui lui faisaient perdre tout ses moyens, ces mains qui lui arrachaient de petits cris alors que, passant sur ses cuisses, elles remontaient lentement sous les plis bleu pâle de sa jupe de lycéenne.

En cet instant, sa seule volonté était de laisser l'autre pénétrer son corps et de succomber aux nouvelles sensations qui l'assaillaient.

Hmmmm...

Une main trouva l'endroit qu'elle recherchait, appuya légèrement dessus, l'effleurant du bout de ses longs doigts fins. Malgré qu'elle eut encore un vêtement pour séparer leurs peaux, elle se cambra en arrière d'un coup, poussant un cri de plaisir et d'envie. C'était si bon...

Haan... S'il te plaît... Continue... Hnnnn...

La bouche qu'elle désirait vint se nicher dans son cou, la mordit sous l'afflux de désir qui les déstabilisait l'une comme l'autre. Les caresses au niveau de son entrejambe ne s'arrêtaient pas, au contraire, devenaient plus insistantes, rapides, ciblées à des zones si sensibles qu'elle en tremblait. La plus jeune n'était plus que luxure...

Ne me fais pas... Attendre... Haaaaa...

Un autre cri résonna dans la chambre aux murs bleus.

Et le réveil sonna.


Azusa n'avait, comme depuis maintenant un bon mois, aucune envie d'aller en cours. Pourtant, elle y était obligée. Prétexter la maladie ? Pourquoi pas mais ses parents ne lui permettraient pas ça... Dire tout simplement la vérité, qu'elle voulait dormir encore un peu pour terminer son rêve ?

Hm. Là aussi, ça n'avait pas l'air d'une bonne idée.

Elle s'assit à sa place, en silence, la tête baissée. Elle demeurait pensive. Ses songes avaient pris de drôles de tournures ces derniers temps... De vraiment drôles de tournures. En soit, les rêves érotiques, c'était propre à tout adolescent qui se respectait ! Mais pas pour elle, Azusa Nakano. Elle, ses rêves, avant, c'était de faire de grandes salles de concert à guichets fermés, comme ses parents le faisaient parfois. Pour elle, jeune fille qu'elle était, son subconscient s'appelait Musique, pas Pornographie Homosexuelle ! Car c'était ça le pire... !

- Azusa ? Tout va bien ? l'interrogea Ui en la voyant perdue dans ses pensées, toujours assise à sa table alors que les autres avaient quitté la salle.

- Oui, s'empressa de répondre cette dernière d'une voix qu'elle espérait assez convaincante. Mais, où sont les autres ?

Un silence s'installa, et la petite sœur de la guitariste du groupe de musique légère, Yui, croisa les bras au niveau de sa poitrine.

- Tu me dis ça et tu espères me convaincre que ça va ? C'est la fin des cours, tu devrais être au club de musique d'ailleurs...

... Oups...

- Ah... Ah ah ah... J'avais pas remarqué... J'y vais.

- Attends.

Azusa s'arrêta dans son geste pour se lever de sa chaise, le rouge soudain aux joues de se rendre compte que ses rêves l'envahissaient au point de la couper du réel.

- Qu'est-ce qui ne va pas ? Tu sais, tu peux tout me dire.

Ui la fixait de ses grands yeux, lui souriant avec douceur comme pour lui intimer la confiance. Mais c'était tout le contraire : De toute manière, Azusa pouvait-elle "tout lui dire" ? Non, sûrement pas !

- Non, rien. Tout va bien ! La petite aux longues couettes noires se leva précipitamment et prit son sac ainsi que sa guitare, préférant filer prendre l'air plutôt que de rester là. Tu m'excuses, mais je vais aller voir les autres, elles doivent m'attendre !

Trop précipitée dans ses gestes. Trop artificielle dans ses intonations. Pour le coup, il fallait le dire, elle avait pas réussi à trouver la bonne mélodie, les notes justes pour que son mensonge fonctionne convenablement. Mais bon... Elle aurait le temps d'y penser plus tard. Plus tard ; Pour le moment, elle avait tout autre chose en tête.

Ses quatre amies, comme à leur habitude, prenaient le thé quand elle entra, complètement débraillée d'avoir couru. Remarquant que les autres la fixaient avec surprise, elle prit le temps de réajuster sa veste et de refaire ses couettes avant d'aller vers elles, posant sa guitare dans un coin.

- Un peu de thé, Azu-nyan ? Lui proposa aussitôt Mugi en levant la théière en porcelaine blanche dans sa direction.

- Oui, merci. Bonjour, excusez-moi du retard, je devais faire un truc avant...

- Hé, c'est bon, t'es là, c'est le principal !

Ritsu, comme à son accoutumée, était assise sur sa chaise, appuyée avec son dossier contre le mur. L'air décontractée, comme d'habitude...

La voyant, Azusa ne put s'empêcher de lui lancer un sourire timide, intimidé, avant de s'asseoir aux côtés de Mio qui lui tendit une assiette avec une part de gâteau au chocolat et une petite fourchette. Elle s'en empara et porta aussitôt une bouchée à ses lèvres, espérant faire passer la soudaine coloration de ses joues pour la conséquence du goût, absolument délicieux, de la pâtisserie.

- Sinon, vous avez répété quoi ? "Mon amour est une agrafeuse" ?

- On t'attendait.

Comme d'habitude. Si je ne les pousse pas un peu, elles ne font rien...

Azusa sourit. Après tout, elle commençait à s'habituer à tout ça, au flegme légendaire de Yui, à la timidité maladive de Mio, à la nonchalance de Ritsu et à la passion envahissante de Mugi pour ce qui touchait de près ou de loin à l'heure du thé...

Enfin, presque à tout.

Une demi-heure plus tard, elles passèrent enfin aux répétitions. Le fête du lycée approchait, après tout... Et une nouvelle chanson prenait forme, sous la mélodie enjouée qu'elles construisaient petit à petit et sous les paroles de la talentueuse mais timide Mio. Azusa, d'ailleurs, admirait Mio. Parce que malgrè sa peur de chanter, elle le faisait parfois, osant ainsi affronter la foule comme lors du concert d'ouverture où elle avait découvert le club de musique. Parce qu'elle était celle qu'on écoutait aussitôt, même s'il lui arrivait d'être radicale par moment avec Ritsu, lui assénant des coups sur le crâne pour la rappeler à l'ordre. Parce qu'elle inspirait confiance et était très gentille, comme une sœur qu'Azusa n'avait pas. Bref ! Elle admirait Mio et celle-ci l'appréciait aussi, parce qu'elles se ressemblaient sûrement et qu'elle voyait en elle son reflet...

Néanmoins, et cela la chagrinait énormément, Mio possédait une chose qui rendait Azusa folle de jalousie, elle qui se voulait si calme et prompt à céder aux moindres caprices de ses amies : Une amitié fusionnelle et exclusive qu'Azusa ne possédait pas à ce point -là.

- Azusa ! Le solo !

La jeune brune fut violemment tirée de ses pensées et se rendit compte qu'effectivement, elle avait raté le début de son solo de guitare, s'arrêtant de jouer. Elle se concentra à nouveau, recommençant à faire courir ses doigts sur les cordes de son instrument, essayant de ne pas prêter attention à qui appartenait la voix qui l'avait interpellée. Il ne fallait pas y penser, non...

Le morceau finit. Et les filles se précipitèrent vers elle, soudain inquiètes :

- Azu-nyan, qu'est-ce qu'il s'est passé ?

- Rien, j'ai juste eu une seconde d'inattention...

- Pourtant, tu y arrives tout le temps d'habitude ! s'étonna Mugi en posant amicalement une main sur l'épaule de la plus jeune du groupe HTT. Tu es malade ?

- Non, je...

Une fois encore, elle faillit avouer l'inavouable. Elle se mordit la langue très fort, au point que la douleur lui fasse venir les larmes aux yeux. Non, elle ne devait pas céder...

- Azusa ?

- Je crois que je suis juste fatiguée, leur dit-elle en se frottant les yeux pour que ses amies ne voient pas ses larmes. Je rentre, continuez sans moi...

- On ne peut pas, tu soutiens tout le morceau, tu le sais bien ! Protesta gentiment Mio en la détaillant du regard. Elle n'aimait pas voir Azusa, sa "petite sœur de cœur", dans cet état qui ne lui ressemblait pas : Mais bon, si tu ne te sens pas bien, rentre à ta maison et repose-toi. On comprend, t'en fais pas pour nous !

- Vraiment... ?

- Mais oui ! Yui s'approcha d'elle et lui tapa dans le dos, comme elle le faisait parfois. Allez, file !

- Je te raccompagne.

Mio, Azusa, Mugi et Yui se tournèrent d'un même mouvement vers Ritsu qui n'avait pas bougé de son tabouret, les baguettes toujours à la main.

- Toi, tu restes là, lui lança Mio avec autorité. Tu as voulu ce groupe, tu assumes ! Ça suffit de se défiler, tu es la leader...

- Et je refuse de laisser partir quelqu'un du groupe si c'est pour qu'elle fasse un malaise au coin de la rue. Azusa n'est pas bien, je ramène Azusa chez elle. C'est ma responsabilité.

Mio lui jeta un regard suspicieux.

- Dix-neuf heures chez moi, hein ? Soit pas en retard où je verrouille la porte.

Un grand sourire lui vint pour réponse.

- Bien évidemment !


La vérité était qu'Azusa aurait préféré qu'une autre la raccompagne. Pas qu'elle n'était pas contente que ce soit Ritsu, qu'elle admirait pour sa capacité à faire face à toutes les situations avec sang-froid... Mais là, en l'instant présent, avec de telles circonstances, elle aurait préféré que ce soit n'importe qui d'autre !

Elles marchaient dans la rue, en silence. Enfin presque, Ritsu lui racontait avec passion qu'elle avait vu une vidéo sur Internet où le batteur jouait comme un dieu. C'était tout Ritsu ça, parler sans cesse avec ce regard qui pétille et cette certaine provocation dans la voix... Et Azusa appréciait ça. A vrai dire, ce n'était pas la seule chose qu'elle appréciait, chez la jeune Tainaka Ritsu...

"Ses mains aux longs doigts fins caressaient avec beaucoup de douceur son ventre, lui faisant contracter ce dernier en lâchant un gémissement."

Azusa se mit mentalement une gifle et pressa le pas, voulant rentrer chez elle et se retrouver seule avec elle-même le plus vite possible.

- Azusa, pourquoi tu accélères ? lui demanda soudain Ritsu, s'arrêtant net dans le récit qu'elle faisait jusqu'alors, en la rattrapant.

- Je veux rentrer, je me sens pas très bien...

- Ah. Vraiment ? Je croyais que ça avait un lien avec ce que je venais de te dire.

Azusa s'arrêta le temps que le feu pour les piétons passe au vert et traversa. Une fois de l'autre côté, elle cessa de marcher, le temps de répondre :

- Non, ne t'en fais pas.

- Hmm... Et alors ? C'est ça ?

Un ange passa...

- Euh... De quoi tu parlais, au fait ?

Et voilà, je suis passée pour une imbécile, encore une fois... pensa amèrement Azusa en reprenant sa route pour cacher à l'autre adolescente sa honte de ne pas l'avoir écoutée, l'esprit ailleurs. Ailleurs ! Le traître ! Les nuits ne lui suffisaient plus maintenant ? Non, bien sûr ! Ça allait la dévorer de l'intérieur, au point qu'elle ne veuille plus pointer le bout de son nez en cours... Et l'année prochaine arriverait, et elles quatre, elles ne seraient plus là.

Et subsisterait cet âcre goût de déception.

- Tu me rappelles Mio par moment, tu sais, lui dit Ritsu pour adoucir l'ambiance, parce qu'elle n'était pas aveugle non plus et avait bien remarqué qu'Azusa n'était pas dans son état d'esprit actuel. C'était pas récent en plus : A être dans la Lune au point de se déconnecter complètement de la réalité.

- Hm. Je ne savais pas qu'elle était comme ça. Froussarde oui... Très gentille et compréhensive, aussi... Mais ça...

- Je la connais depuis un moment, c'est pour ça. Et c'est ma meilleure amie d'enfance, on passe beaucoup de temps ensemble.

Ritsu lui sourit, se voulant créatrice de sourire chez sa cadette ; mais cela ne fonctionna pas.

- Ça se voit, vos disputes rappellent celle d'un vieux couple.

Rester détachée sur ses mots, ne pas laisser transparaître. Bientôt seule...

- Me faire prendre des coups sur la tête, c'est pas forcément un privilège, tu sais ! Bref, pour en revenir à ce que je disais, c'est que Mio, justement, se faisait du souci pour toi depuis quelques temps...

- Ah ? Et pourquoi ?

Elles entrèrent dans le quartier résidentiel où vivait les parents d'Azusa, une rue en pente où se succédaient de relativement belles maisons. La petite brune apercevait déjà sa maison de là où elles étaient.

- Parce qu'elle trouve que tu n'es pas vraiment très motivée, alors que d'habitude c'est presque toi qui nous tire jusqu'à nos instruments. Je t'avoue que j'avais remarqué ça, moi aussi. Du coup, comme tu avais tout le temps cet air mélancolique, rêveur ou du même genre au moins, elle a commencé à penser que tu avais un petit copain...

- Oh non non, Ritsu, dis-lui que ce n'est pas ça ! Je ne veux pas qu'elle pense une chose fausse de moi, s'il te plaît...

- Explique-moi alors ce qui ne va pas. C'est quoi ? Ta famille ? Un problème avec un de tes amis ?

Elles s'arrêtèrent devant le numéro 125, une maison blanche à étage et aux fenêtres en papier de riz, un matériel qui coûtait plutôt cher. Azusa hésitait à répondre, elle ne savait quoi dire...

- Non, rien de grave, crois-moi, elle essaya de sourire, se voulant convaincante.

- Alors pourquoi ce sourire triste sur ton visage ?

Ritsu semblait réellement inquiète. Si elle savait... Oh oui, si elle savait, elle partirait en courant ! Et c'était ça, le problème.

Azusa sortit son trousseau de clé, alla vers la porte, son amie derrière elle. Elle ouvrit la porte, toujours en silence puis lui répondit dos à elle, en évitant de la regarder :

- Ne t'inquiète pas. Je vais bien.

Soudain, elle sentit une main frôler la sienne. Elle se tourna.

- Tu es sûre ? Ritsu s'approcha encore d'elle, jusqu'à avoir son visage tout près du sien, prenant sa main dans la sienne avec douceur. Ses grands yeux hypnotisaient littéralement Azusa, qui sentit son coeur battre plus vite dans sa poitrine.

Non il ne fallait pas...

"Ses baisers avaient un goût de paradis."

- Oui... Euh, Ritsu, recule s'il te plaît...

- N'ai pas peur... Tu sais bien que je ne te ferai jamais de mal. Mais...

Elle replaça doucement une mèche de cheveux derrière son oreille, effleurant sa joue rougie au passage. Rouge de leur proximité. Azusa déglutit, gênée.

- S'il te plaît, n'ai pas peur, Azu-nyan...

Elle la considéra un instant, pendant qu'elles étaient toutes les deux dans l'expectative. Puis elle bougea... Et ce qu'elle fit coupa net la respiration de la guitariste.

Cette sensation était agréable, infiniment plus agréable que dans ses rêves les plus fous. Ses lèvres avaient un goût sucré, sûrement encore celui du thé ou du gâteau, et étaient douces, chaudes. Brûlantes même. Son souffle était brûlant. C'était si bon...

Azusa sentait son corps trembler comme jamais.

C'est alors que sa raison reprit le contrôle : Il ne fallait pas ! Elle s'en rendit compte lorsqu'elle vit les yeux de son amie fixer les siens avec une profonde tendresse... Quoi ?

Elle se recula, soudain paniquée, poussant doucement Ritsu hors de la maison :

- Hm... Tu devrais rentrer chez toi, Sempai. A demain...

Ritsu voulut esquisser un geste mais la porte se referma avant qu'elle n'ait pu prononcer le moindre mot. Normal...

Mais qu'ai-je fait... ?

Ritsu, restée seule devant la porte, se rendit soudain compte de ses actes. Une rougeur se propagea sur ses joues. Elle avait osé...


Voilà voilà... *Toute timide* Alors ?

N'hésitez pas à me donner votre avis, ça me permettrait de savoir si je dois améliorer quoi que ce soit. =$

La suite très prochainement (Et oui, Miyuki en vacances, juste les épreuves anticipées à passer et c'est farniente jusqu'à Septembre ! Mouahaha ! XD). X3

'Vous n'aime. =)