Dramione: One-shot
Bonjour ou bonsoir (=
Durant deux semaines je suis parti en vacances et j'ai fais plusieurs OS Dramione, dont celui-ci. C'est le point de vue d' Hermione.
J'espère qu'il vous plaira.
Bonne lecture !
« On le voulait, on le rêvait...»
On le voulait, on le rêvait...
Tu le pensais, je le pensais aussi...
Pourquoi cette guerre ? Pourquoi ces sangs coulés, ces corps inertes ?
Tu le rêvais tellement, tout comme moi au fond...
Tu voulais être libre, et sortir à jamais de cette prison doré.
Je voulais être enfin être comme je suis, et assumé mes origines..
On était forcé à se battre, à donner tout ce qu'on a , pour des idéaux différents qui sont en fait semblables: vivre mieux...
Tu ne voulais pas, tu t'en foutais, je le savais dans le fond, j'avais réussi à lire ce désespoir dans ton regard.
On en voulait, on en rêvait.
On aurait pu rire, se parler, vivre des moments fabuleux ensemble. On aurait pu être amis, peut-être même qu'on aurait pu s'aimer d'un amour fou.
Ce n'est qu'un rêve, qu'une illusion qui nous torture, un semblable à une vie synonyme de joie.
Derrière les insultes, les gestes dérisoires, on le savait...
J'aimerai tant te libéré, te rendre la vie meilleur...
Quelque part, on pensera qu'on aura mérité tout ce qu'on endure...
La déprime nous étouffe,nous rend dingue.
On résiste encore, on veut survivre à cette bataille incomprise, à cette folie qu'on doit subir comme des pantins que la vie tire les ficelles, où le destin a su nous faire chantage.
On essaie de bien vivre, et d'essayer d'oublier d'exister, dans ce monde de guerres brutales...
On le voulait, on le rêvait, ce monde où la haine est détruite, là où toi et moi au pourrai se lier, et s'accepter, tel qu'on est. On aimerai tant vivre, dans une liberté où on se sent nous-même, dans notre vraie nature, et ne plus avoir d'étiquette accroché à nos ombres.
Le temps passe et rien ne change. Nos pas, nos paroles semblent répétitifs, la monotonie à fait place et arrive à détruire nos songes. Les envies nous déprime...
Lors d'un détour d'un couloir, on s'est laissé faire par les réactions. Je te regarde, tu me regardes, on n'arrive plus à se décrocher. Que ce passe t-il ?Les bruits qui nous entourent semblent se réduire en silence.
Les émotions passent, les voix se dégagent, seul toi et moi compte.
Je continu de marcher, en essayant de t'éviter mais jamais rien ne se passe comme on veut n'est-ce pas?
Alors Granger, le balafré et Wesmoche t'on laissé tomber ?
Va te faire Malfoy !
Fait gaffe à ce que tu dis sang-de-bourbe...
On s'arrête. On se rapproche peu à peu. Ton regard m'hypnose...
Les injures se défilent, mais restent transparents. Tes insultes ne me touchent pas, et tu le savais cela se voyait dans tes yeux. Tu ne veux pas me faire souffrir, non, tu n'as plus envie, tu ne veux pas.
Alors qu'est-ce qu'on attend pour franchir le pas ? Quand est-ce on pourra passer cette frontière où les serpentards et les griffondors peuvent se lier enfin.
En tout cas, ce jour, on avait frôlé cette limite... Un jour on prouvera qu'une née moldue et un fils de mangemort seront invincible ensemble...
=D Alors qu'est ce que vous en pensez ?
J'espère à bientôt pour une autre one-shot,
et merci de l'avoir lu.