TITRE : Ca ne se refuse pas.
PAR : Nore.
RESUME: On est à la fin de la 7ème année du trio et Hermione à une mission de Dumbeldore. Mais convainre le professeur Rogue n'est pas quelque chose de facile.
DISCLAIMER : Tout est à JK Rowling, je ne fait que jouer avec ses merveilleux personnages !
"Pour qui vous prenez vous, Mademoiselle Granger ?"
Sa voix était douce, mortelle, pas une syllable qui soit mal prononcée, pas même la trace de la moindre hésitation.
Pas de colère gratuite dans la voix, alors que ses actes prouvaient le contraire. Il la tenait, épinglée contre le mur par les épaules. Dans son dos, elle pouvait sentir les pierres rugeuses des cachots.
Il la tenait pour que leurs yeux soit à égale hauteur.
Il énnonçait une simple question, mais elle, ne savait quoi répondre. Qui était-elle pour avoir voulu tenter de l'empêcher, d'avoir essayer de se mettre dans son chemin, de le faire changer d'avis ?
Maintenant, elle se demandait si elle n'avait pas tort.
Mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de se dire que ce qu'elle avait fait était juste et que si il passait encore quelques heures ici. Elle pourrait peut-être. Qui sait ?
"Cela ne compte pas pour qui je me prend, professeur. Ce qui compte, c'est qui je suis, pourquoi je suis là et qui vous êtes. " Elle prît un instant pour se ressaisir, le choc contre le mur avait été rude. "Vous savez pourquoi je suis ici, je ne vais pas vous laisser le faire."
Il se calmait, lentement. Le sol se rapprochait des pieds de Hermione. Mais il la tenait toujours fermement. "Au diable, mademoiselle Granger, ce que le Directeur vous à dit. Je ne resterais pas et vous ne m'empêcherez pas de partir." Hermione sentis le sol sous elle.
Rogue l'avait relâchée, se yeux se détachèrent des siens comme si il avait honte de ce qu'il avait fait. "Je n'ai pas de raison de rester" Ajouta-il faiblement. Les mots étaient douloureux et lourds de sous- entendus. Il se retourna, prêt à partir. Hermione pouvait le sentir dans l'air tellement c'était palpable. Il était prêt à affronter le mal, prêt à se sacrifier pour le pardon de ses pêchés.
Si seulement, il voulait bien comprendre que ceux-ci étaient depuis bien longtemps pardonnés. Que lui seul ne s'était pas encore pardonné. Il devait comprendre que son destin n'était pas là. Il n'avait rien à faire dans le duel final. Celui-ci ne concernait que Tom Elvis Jedusort et Harry.
Elle était là pour le lui faire comprendre, mais que tous les Dieux lui viennent en aide, l'homme était tétu.
"Si professeur vous avez des raisons de rester. " Il se retourna presque violament, les yeux remplis de dégout pour lui même. Et la question tomba.
"Lesquelles ?" Il la mettait au défi. Mais elle avait préparé sa réponse.
Et que le combat commence.
"Vos élèves ont besoin de vous !" Qui engrangerais le plus de victoires ?
"Vous rêvez Mademoiselle Granger ! Ils n'ont nul besoin d'un professeur qui les rabaissent à chaques cours, qui les terrorisent par un simple regard. Ils seraient bien contents si je venais à disparaître." La voix était dure, les propos encore plus. Ainsi, il savait ce qui se disait et malgrès cela il n'avait pas changé.
"Le monde sorcier a besoin de vous, de vos qualités de maître des Potions, de votre connaissance du Mal, de votre experience. " Continua Hermione avec passion. Il ne pouvait quand même pas réfuter tout cela..
"Le monde Sorcier, Mademoiselle Granger, le monde sorcier ! Tous dehors, ne veulent qu'une chose, que je finisse à Azkaban et que j'y meurt !" Dit-il en montrant la porte. "J'ai commis de crimes que vous n'oseriez même pas imaginer. Je suis un mangemort, ne l'oubliez jamais."
"Ex-mangemort, professeur et vous avez déjà été jugé pour ces crimes. Vous avez été pardonné par la société, vous vous êtes racheté par vos actions après."
"Cela ne compte pas ce que j'ai fait après, jeune fille. Ce qui compte c'est ce que j'ai fait, il ne peut pas y avoir de pardon pour cela. Personne ne peut le faire."
"Eux l'on déjà fait, le seul qui ne vous ait pas pardonné, c'est vous même, Professeur ! Il est temps que vous réalisiez cela. Vous voulez mourir, parce que vous vous détestez. Mais regardez autour de vous, il y a des gens qui vous aiment." Il fît un mouvement de rejet à cette pensé. Mais Hermione continua, il fallait qu'elle gagne, elle ne devait, ne pouvait pas perdre. "Oui, professeur qui vous aiment. " Dans ses yeux elle pouvait lire une question. Mais qui ? "Le professeur Dumbeldore vous aime comme si vous êtiez son fils. Remus Lupin, votre soit-disant ennemi vous aime, lui aussi même si il ne vous le dira jamais. Les élèves qui ont su voir au-delà de votre masque vous aiment et vous admirent. Le professeur McGonagall, elle aussi vous aime, à sa façon."
"Ils s'en remettraient, tous. Ma vie n'a aucune importance pour eux, ils vivrons très bien sans moi." Répondit-il, sur un ton de presque rigolade. Comme si il trouvait les arguments d'Hermione drôles.
Hermione sentit son c?ur se serrer, il parlait de perdre la vie, sa vie, en rigolant. Comme si cela n'avait aucune importance à ces yeux. Mais elle tenait trop à lui pour cela, il ne pouvait pas partir et ne jamais revenir. Elle avait encore besoin de lui. Les larmes lui venaient aux yeux, comment pouvait-il être si dur ? Elle avait envie de le faire réagir, de lui donner une gifle, qu'il reprenne ses esprits, de l'embrasser pour lui montrer son amour. Tout et rien !
Lui, le détestable professeur de Potions qu'elle avait fini par aimer, à force de passer ses étés dans la maison de l'Ordre. Elle avait vu autre chose, que ce qu'il montrait au monde. Quelque chose qu'elle s'était promise de réveler au monde entier ou du moins à quelques personnes. Ses mots sonnaient dans son esprit « Ma vie n'a aucune importance pour eux, ils vivrons très bien sans moi. »
"Pas moi." pensa-elle.
"Qu'avez vous dit ? " Demanda Rogue en se retournant au moment où il allait passer la porte. Mon Dieu ! je l'ai dit à haute voix. pensa Hermione.
"J'ai dit : Pas moi." Répeta Hermione. Son c?ur s'emballant dans sa poitrine. C'était le moyen de le faire rester.
"Pas moi quoi ? Mademoiselle Granger." Demanda-t-il est se raprochant d'elle et en s'éloignant de la porte.
"Vous avez dit que ceux qui vous aiment vivront très bien sans vous. Et moi, je vous dit que je ne vivrais pas sans vous. " Enonça Hermione comme si elle répondait à un problème posé en classe.
"Serait-ce ce que je pense ?" Demanda Rogue en avançant encore un peu plus.
"Cela dépends de ce que vous pensez, professeur." Répondis Hermione en sentant son c?ur s'emballer dans sa poitrine.
"Ne jouez pas avec moi, Hermione. Je n'en ai pas le temps, ni l'envie." Gronda Rogue.
"Ce que je veux dire est simple à comprendre. Je. Je vous aime." Lacha Hermione dans un souffle.
Rogue relacha sa respiration, il ne s'était même pas rendu compte qu'il la retenait. Il se détourna d'elle, il ne voulait pas de sa pitié.
"Je ne mérite pas votre pitié et je n'en veux pas."
Hermione revint se placer devant lui, il baissait les yeux évitant son regard. Doucement, elle avança sa main vers lui et caressa sa joue en le redressant pour que leurs yeux soit à nouveaux en contact.
"Il ne s'agit pas de pitié, il s'agit d'amour."
Il posa sa main sur celle d'Hermione et l'enleva de son visage comme si le contact lui faisait horreur.
"Je ne suis pas une personne que l'on aime, Hermione. Je n'ai pas droit à cet amour."
Mais la Gryffondor ne se laissa pas décourager pour autant.
"L'amour n'est pas quelque chose auquel on a droit, Severus. C'est quelque chose que l'on reçoit et cela ne se refuse pas."
Oh, que Hadès lui pardonne mais il aimait tellement la façon dont elle disait son prénom. Il avait l'impression de vivre à nouveau. Elle avait ses mains dans ses cheveux noirs et elle lui caressait le visage comme à un enfant que l'on console. Il ouvrit les yeux et son regard se posa sur ses lèvres. Elles étaient si proches, si désirables. Pour une fois dans sa vie, il ne contrôlait plus rien. Bercé par son c?ur, leurs lèvres se touchèrent, doucement. Et le monde autour d'eux disparaissait, tandis que la passion montait.
FIN.
C'est court, c'est clair, c'est un essai, c'est peut-être bien, à vous de me dire quoi ! J'attend vos remarques.
PAR : Nore.
RESUME: On est à la fin de la 7ème année du trio et Hermione à une mission de Dumbeldore. Mais convainre le professeur Rogue n'est pas quelque chose de facile.
DISCLAIMER : Tout est à JK Rowling, je ne fait que jouer avec ses merveilleux personnages !
"Pour qui vous prenez vous, Mademoiselle Granger ?"
Sa voix était douce, mortelle, pas une syllable qui soit mal prononcée, pas même la trace de la moindre hésitation.
Pas de colère gratuite dans la voix, alors que ses actes prouvaient le contraire. Il la tenait, épinglée contre le mur par les épaules. Dans son dos, elle pouvait sentir les pierres rugeuses des cachots.
Il la tenait pour que leurs yeux soit à égale hauteur.
Il énnonçait une simple question, mais elle, ne savait quoi répondre. Qui était-elle pour avoir voulu tenter de l'empêcher, d'avoir essayer de se mettre dans son chemin, de le faire changer d'avis ?
Maintenant, elle se demandait si elle n'avait pas tort.
Mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de se dire que ce qu'elle avait fait était juste et que si il passait encore quelques heures ici. Elle pourrait peut-être. Qui sait ?
"Cela ne compte pas pour qui je me prend, professeur. Ce qui compte, c'est qui je suis, pourquoi je suis là et qui vous êtes. " Elle prît un instant pour se ressaisir, le choc contre le mur avait été rude. "Vous savez pourquoi je suis ici, je ne vais pas vous laisser le faire."
Il se calmait, lentement. Le sol se rapprochait des pieds de Hermione. Mais il la tenait toujours fermement. "Au diable, mademoiselle Granger, ce que le Directeur vous à dit. Je ne resterais pas et vous ne m'empêcherez pas de partir." Hermione sentis le sol sous elle.
Rogue l'avait relâchée, se yeux se détachèrent des siens comme si il avait honte de ce qu'il avait fait. "Je n'ai pas de raison de rester" Ajouta-il faiblement. Les mots étaient douloureux et lourds de sous- entendus. Il se retourna, prêt à partir. Hermione pouvait le sentir dans l'air tellement c'était palpable. Il était prêt à affronter le mal, prêt à se sacrifier pour le pardon de ses pêchés.
Si seulement, il voulait bien comprendre que ceux-ci étaient depuis bien longtemps pardonnés. Que lui seul ne s'était pas encore pardonné. Il devait comprendre que son destin n'était pas là. Il n'avait rien à faire dans le duel final. Celui-ci ne concernait que Tom Elvis Jedusort et Harry.
Elle était là pour le lui faire comprendre, mais que tous les Dieux lui viennent en aide, l'homme était tétu.
"Si professeur vous avez des raisons de rester. " Il se retourna presque violament, les yeux remplis de dégout pour lui même. Et la question tomba.
"Lesquelles ?" Il la mettait au défi. Mais elle avait préparé sa réponse.
Et que le combat commence.
"Vos élèves ont besoin de vous !" Qui engrangerais le plus de victoires ?
"Vous rêvez Mademoiselle Granger ! Ils n'ont nul besoin d'un professeur qui les rabaissent à chaques cours, qui les terrorisent par un simple regard. Ils seraient bien contents si je venais à disparaître." La voix était dure, les propos encore plus. Ainsi, il savait ce qui se disait et malgrès cela il n'avait pas changé.
"Le monde sorcier a besoin de vous, de vos qualités de maître des Potions, de votre connaissance du Mal, de votre experience. " Continua Hermione avec passion. Il ne pouvait quand même pas réfuter tout cela..
"Le monde Sorcier, Mademoiselle Granger, le monde sorcier ! Tous dehors, ne veulent qu'une chose, que je finisse à Azkaban et que j'y meurt !" Dit-il en montrant la porte. "J'ai commis de crimes que vous n'oseriez même pas imaginer. Je suis un mangemort, ne l'oubliez jamais."
"Ex-mangemort, professeur et vous avez déjà été jugé pour ces crimes. Vous avez été pardonné par la société, vous vous êtes racheté par vos actions après."
"Cela ne compte pas ce que j'ai fait après, jeune fille. Ce qui compte c'est ce que j'ai fait, il ne peut pas y avoir de pardon pour cela. Personne ne peut le faire."
"Eux l'on déjà fait, le seul qui ne vous ait pas pardonné, c'est vous même, Professeur ! Il est temps que vous réalisiez cela. Vous voulez mourir, parce que vous vous détestez. Mais regardez autour de vous, il y a des gens qui vous aiment." Il fît un mouvement de rejet à cette pensé. Mais Hermione continua, il fallait qu'elle gagne, elle ne devait, ne pouvait pas perdre. "Oui, professeur qui vous aiment. " Dans ses yeux elle pouvait lire une question. Mais qui ? "Le professeur Dumbeldore vous aime comme si vous êtiez son fils. Remus Lupin, votre soit-disant ennemi vous aime, lui aussi même si il ne vous le dira jamais. Les élèves qui ont su voir au-delà de votre masque vous aiment et vous admirent. Le professeur McGonagall, elle aussi vous aime, à sa façon."
"Ils s'en remettraient, tous. Ma vie n'a aucune importance pour eux, ils vivrons très bien sans moi." Répondit-il, sur un ton de presque rigolade. Comme si il trouvait les arguments d'Hermione drôles.
Hermione sentit son c?ur se serrer, il parlait de perdre la vie, sa vie, en rigolant. Comme si cela n'avait aucune importance à ces yeux. Mais elle tenait trop à lui pour cela, il ne pouvait pas partir et ne jamais revenir. Elle avait encore besoin de lui. Les larmes lui venaient aux yeux, comment pouvait-il être si dur ? Elle avait envie de le faire réagir, de lui donner une gifle, qu'il reprenne ses esprits, de l'embrasser pour lui montrer son amour. Tout et rien !
Lui, le détestable professeur de Potions qu'elle avait fini par aimer, à force de passer ses étés dans la maison de l'Ordre. Elle avait vu autre chose, que ce qu'il montrait au monde. Quelque chose qu'elle s'était promise de réveler au monde entier ou du moins à quelques personnes. Ses mots sonnaient dans son esprit « Ma vie n'a aucune importance pour eux, ils vivrons très bien sans moi. »
"Pas moi." pensa-elle.
"Qu'avez vous dit ? " Demanda Rogue en se retournant au moment où il allait passer la porte. Mon Dieu ! je l'ai dit à haute voix. pensa Hermione.
"J'ai dit : Pas moi." Répeta Hermione. Son c?ur s'emballant dans sa poitrine. C'était le moyen de le faire rester.
"Pas moi quoi ? Mademoiselle Granger." Demanda-t-il est se raprochant d'elle et en s'éloignant de la porte.
"Vous avez dit que ceux qui vous aiment vivront très bien sans vous. Et moi, je vous dit que je ne vivrais pas sans vous. " Enonça Hermione comme si elle répondait à un problème posé en classe.
"Serait-ce ce que je pense ?" Demanda Rogue en avançant encore un peu plus.
"Cela dépends de ce que vous pensez, professeur." Répondis Hermione en sentant son c?ur s'emballer dans sa poitrine.
"Ne jouez pas avec moi, Hermione. Je n'en ai pas le temps, ni l'envie." Gronda Rogue.
"Ce que je veux dire est simple à comprendre. Je. Je vous aime." Lacha Hermione dans un souffle.
Rogue relacha sa respiration, il ne s'était même pas rendu compte qu'il la retenait. Il se détourna d'elle, il ne voulait pas de sa pitié.
"Je ne mérite pas votre pitié et je n'en veux pas."
Hermione revint se placer devant lui, il baissait les yeux évitant son regard. Doucement, elle avança sa main vers lui et caressa sa joue en le redressant pour que leurs yeux soit à nouveaux en contact.
"Il ne s'agit pas de pitié, il s'agit d'amour."
Il posa sa main sur celle d'Hermione et l'enleva de son visage comme si le contact lui faisait horreur.
"Je ne suis pas une personne que l'on aime, Hermione. Je n'ai pas droit à cet amour."
Mais la Gryffondor ne se laissa pas décourager pour autant.
"L'amour n'est pas quelque chose auquel on a droit, Severus. C'est quelque chose que l'on reçoit et cela ne se refuse pas."
Oh, que Hadès lui pardonne mais il aimait tellement la façon dont elle disait son prénom. Il avait l'impression de vivre à nouveau. Elle avait ses mains dans ses cheveux noirs et elle lui caressait le visage comme à un enfant que l'on console. Il ouvrit les yeux et son regard se posa sur ses lèvres. Elles étaient si proches, si désirables. Pour une fois dans sa vie, il ne contrôlait plus rien. Bercé par son c?ur, leurs lèvres se touchèrent, doucement. Et le monde autour d'eux disparaissait, tandis que la passion montait.
FIN.
C'est court, c'est clair, c'est un essai, c'est peut-être bien, à vous de me dire quoi ! J'attend vos remarques.
