L'auteure :Saluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut !
*regard consterné de l'assistance, composée de Grimm, d'Ulquiorra et de Némésis (OniKage est en vacances)*
Némésis : Je vais la buter…
Ulquiorra : …
L'auteure : Bon, je vous sens pas motivés, là…on va manger ?
L'assistance : ON S'EN BRANLE !
Le quatuor va s'installer à une table quand :
L'auteure : Non, pas ici, y fait chaud, y fait froid, c'est trop sec, c'est humide, y fait noir, y fait clair et ça pue !
Ulquiorra : Et bah t'a qu'à aller ailleurs !
L'auteure : J'ai déjà été ailleurs, c'est hyper crade !
Grimmjow et Némésis (pour une fois que ces deux là s'entendent) : Fais ce que tu veux mais arrête de faire chier !
La pauvre auteure va pleurer dans son coin
Némésis : Vous êtes prêt les gars ?
Ulquiorra (lugubre) : On voit bien que c'est pas toi qui va coucher avec ce sagouin ! *haussement de sourcil moqueur de Grimmjow*
Némésis : Bon…pour expliquer aux lecteurs, cette fiction sera une série de drabbles sur le couple Grimm/Ulqui. Le premier sujet à été choisi par notre auteure vénérée (tu parles -_-) mais nous vous laissons le choix dans la suite de ces one shots. Donnez nous vos thèmes, situations, des mots que vous voudriez leur faire dire, et autres…
Je rappelle que l'auteure ne fais pas dans l'explicite pour le moment, elle à dit qu'elle s'y remettrait quand Shonette aura retrouvée le lemon (elle à dit qu'elle y était presque o.O, souhaitons lui bonne chance).
Merci et laissez nous des rewiews SVP ! On compte sur vous ! Bah…chiale pas Ulqui !
La fiesta della promo ! En bon français « enfin, on va pouvoir se tirer du bahut ! » et ça donnait lieu à des quasi-émeutes pour les étudiants, à cause des buveries et des drogues.
Dans une chambre du deuxième étage du campus, un garçon aux cheveux bruns soupira et s'assis sur son lit. Le raffut de la fête en bas lui retournait l'estomac. Il ferma lentement ses grands yeux verts en imaginant que, le lendemain, l'endroit où il avait vécu quatre ans, où il s'était senti bien et où il avait découvert l'amitié, le lendemain, cet endroit serait loin. Il avait le blues, même s'il le cachait assez bien. Pour les autres, il était le bon élève, froid et distant. Tout le contraire de son voisin de chambrée, qui était explosif, avenant, bref, le profil type du type bien dans sa peau. Ils étaient le jour et la nuit.
Ulquiorra saisit un livre dans sa valise, le feuilleta et le reposa. Une dizaines d'autre subirent le même sort. Il était très nerveux. Sa famille le haïssait, lui préférant largement sa petite sœur, Sun-Sun et cherchaient tous les prétextes, même les plus futiles, pour le virer de la maison familiale. Heureusement qu'il était diplômé avec mention et qu'il avait été correct durant ses études. De toute façon, il était incapable de se comporter autrement. Il songeait à ses quelques amis…Chad, Ichigo, Inoue, Tatsuki et, bien sur, Grimmjow, son coloc'. Rien que de penser à leur amitié, il sentait son cœur froid se réchauffer. Mais celui-ci se gelait de peur rien que de penser à certaines personnes, comme son professeur de maths, Aizen Sôsuke. Celui-ci avais le regard baladeur et le brun avait souvent surpris le regard de l'homme se balader sur son postérieur. Il détestait ça, et c'était la seule chose qu'il était ravi de quitter. Enfin…il se leva et descendit à la cafétéria. Le raffut ambiant était insupportable et le petit brun se dépêcha d'aller chercher un truc à grignoter.
-Tiens…mais…mais ché Ul…Ulquiorra…kestu fé là ?
-Grimmjow…
Le bleu, apparemment bourré comme un coing, venait de le coincer au détour d'un attroupement qui contemplait le streap-tease de Renji Abarai (un pote de buverie de Grimmjow). Il passa un bras autour du cou du jeune brun.
-A…alors…tu viens…te…t'éclater ?
-Dis moi…combiens de verres as-tu bu ?
L'autre le regarda en louchant et hésita :
-Heu…des v…verres de…de kwaaaaaa ? Wiski, vodka, cognac…u ot' chose ?
Ulquiorra déglutit. Grimmjow était un sacré trou quand il s'agissait d'alcool.
-Combien de verres en tout. Et sache que c'est toi qui nettoieras la salle de bain s'il y a la moindre saleté !
-Boah…tu sais…tu devrais te dé…décoaincer mon…pote.
-Je ne suis pas comme toi, je ne peux pas me permettre ce genre de…délires.
Grimmjow ricana.
-Hé…tu sais, mon…mon pote…
-Si je peux me permettre, pourrais tu cesser de m'appeler « mon pote » ?
Le jeune homme ne sembla pas se formaliser du ton froid de son vis-à-vis et continua sa tirade :
-Tu sais…ce con de prof, là…j'ai cru que j'allais le démolir…
Ulquiorra leva les yeux au ciel. Grimmjow cherchait la bagarre avec tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un prof. Il soupira et dirigea son condisciple à travers la foule d'élèves bourrés pour le ramener dans leur chambre. Une fois arrivés sur place, le bleu s'avachit sur son lit en grognant de contentement.
-Quel professeur allais-tu démolir ?
-Aizen. T'a vu comment il te reluquait ?
Ulquiorra senti son cœur tomber plus bas que ses chaussettes.
-A…Aizen était là ?
-Nan…mais quand t'sortait de cours, il te matait le cul, ce con !
-En quoi ça te regarde ?
Le bleu eut un grand sourire et attrapa le brun par le col de sa chemise. Leurs lèvres n'étaient séparées que par quelques millimètres. « Trop courts», songea Ulquiorra, paniqué
-Et en quoi ça ne me regar'drais pas ?, souffla le bleu avant de combler la distance entre eux.
Le brun fut tellement surpris qu'il n'eu pas le réflexe de repousser son colocataire. Au contraire, il répondit au baiser tandis que le bleu le poussait doucement vers son lit.
Ulquiorra s'éveilla doucement. Il était tout contre Grimmjow (lequel roupillait comme un sonneur) enlacé dans l'étreinte possessive de son amant. Il soupira et fit mine de bouger avant de grimacer de douleur. Grimmjow n'y était vraiment pas allé de main morte. Mais le jeune brun ne regrettait rien. Ni la douleur, ni le plaisir qu'il avait ressenti et qu'il ressentait encore, rien qu'à être là, dans les bras de cet homme. Les yeux de Grimmjow s'ouvrirent d'un coup et le dévisagèrent. Ulquiorra se senti rougir alors qu'un grand sourire naissait sur le visage de son amant.
-Salut Ulqui…bien dormi ?, lança le bleu, moqueur
-Pas assez.
Grimmjow eut un grand sourire avant de saisir le menton de son amant et de poser ses lèvres sur les siennes, l'entrainant dans un langoureux baiser.
-Si tu savais depuis quand je rêvais de ça…lui murmura le bleu à l'oreille quand ils furent séparés.
-ULQUIORRA !, glapirent deux voix scandalisées à l'entrée de la chambre.
Le brun lança un regard horrifié à Grimmjow, lequel trucidait de regard la femme et la jeune fille brune qui les avaient interrompus.
-Grimm…ce sont ma mère et ma sœur, bredouilla le brun.
Autant dire que le reste de la matinée avais été merdique : Ulquiorra s'était fait passer un savon magistral par sa mère et son père, sans compter les remarques perfides de sa sœur. Il n'avait pas réagit, trop habitué à ses engeulades. Mais quand sa mère lui hurla qu'elle préférait qu'il disparaisse plutôt que de devoir s'avouer qu'elle avait enfanté un « sale pédé* », il s'était levé calmement, avais saisis sa valise en murmurant un « très bien » audible et avais quitté la salle sous le regard médusé de sa famille. Dehors, avachi sur un banc, Grimmjow l'attendait. Ce dernier se leva d'un bond en le voyant arriver.
-Hey, Schiffer !
Il hâta le pas pour rejoindre le petit brun.
-Alors ? J'les ai entendus te massacrer d'ici ! Ca va ?
-Je…ils ne veulent plus de moi dans la famille. Moi non plus d'ailleurs. Mieux vaut l'enfer qu'eux !
Le bleu eut un tic gêné.
-Et t'a plus nulle part où aller ?
-Non…je verrais bien.
Il y eut un silence embarrassé.
-Bah…Ulqui, t'a qu'à venir vivre chez moi ! Mes parents sont opens, y'a pas de danger.
Le brun lui lança un regard surpris.
-Pourquoi ?
-Bordel, Ulqui, j'ai attendu quatre ans. C'est très long, alors crois moi, j'vais pas te lâcher de sitôt.
Le jeune homme hésita un instant. Son cœur vide s'emplissait de joie et, pour la première fois, il vit la fin du tunnel. Sans trop réfléchir, il se jeta au cou de son amant, enfouissant sa tête dans la poitrine du bleuté.
Après tout, pourquoi pas ?
Némésis : O.o
Grimmjow : Je trouve la fin trop guimauve, moi.
Ulquiorra : Beh…l'auteure, je te hais ! Comment à tu osée ?
L'auteure : Héhée. Et encore, Ulqui, grâce a nos lecteurs, vous risquez fort de vous retrouver encore ensemble.
*Regard dégouté d'Ulquiorra*
Némésis : Bon…heu…laissez nous des rewiews svp. Donnez nous aussi vos idées svp !
Merci encore !
