CHAPITRE 1

Clarke sourit en voyant le panneau du quartier dans lequel elle souhaite habiter. Elle le dépasse et regarde autour d'elle les numéros de maisons. Elle aime bien l'environnement de ce quartier, ça la change complètement de tout ce qu'elle avait connu jusque-là. Sa mère risque d'avoir des cheveux blancs.

Elle arrête sa voiture devant une jolie petite maison blanche, qu'elle observe immédiatement. La maison rentre tout à fait dans le style de Clarke. Elle semble très confortable, sans aucune fioriture inutile. Il y a un petit perron sur le devant. Clarke s'imagine très bien prenant son café tous les matins sur ce même perron, à regarder les personnes passant dans le pavillon. Elle regarde sur le côté de la rue et voit des enfants jouer au basket entre amis, comme s'ils ne s'intéressaient à rien d'autre. Elle se sent chez elle ici, elle ne sait pas pourquoi. Ce n'est pas comme si elle allait être obligatoirement choisie par la propriétaire de la maison, ou même qu'elle allait rester très longtemps.

Elle souffle un coup et ouvre la portière de sa voiture. Elle essaye de démêler ses cheveux alors qu'elle pousse la petite clôture devant la maison. Elle s'avance le long de l'allée de fleurs et s'arrête devant la porte d'entrée. Elle prend une grand inspiration et frappe trois fois de suite à la porte. Celle-ci s'ouvre seulement deux petites secondes après.

— Clarke Griffin ? demande la jeune fille devant elle avec un sourire chaleureux.

Clarke hoche la tête. Elle regarde la jeune fille devant elle. Elle semble avoir son âge. Elle est assez grande, brune avec de longs cheveux lisses et quelques taches de rousseur parsemant légèrement son nez. Elle semble être très joyeuse et pleine d'énergie.

— Oui, répond Clarke en souriant. Je suis ravie de te voir. Octavia Blake, c'est ça ?

— Oui, répond-elle rapidement. Tu peux rentrer.

Clarke entre dans la maison en compagnie d'Octavia. Elle regarde autour et sourit en voyant le salon devant elle. Il y a un petit canapé avec une table basse devant ainsi qu'une télévision. Octavia lui fait visiter le salon et ouvre une porte située sur le mur de gauche.

— Voici la cuisine, lui dit-elle. J'ai toujours voulu détruire ce mur mais mon frère m'a dit que c'était une très mauvaise idée. Je n'ai donc jamais osé.

— C'est peut-être un mur porteur, lui dit Clarke. Mais j'aime beaucoup ta cuisine, elle est très spacieuse.

— C'est la pièce la plus importante d'une maison !

— Avec la chambre, rectifie Clarke alors qu'Octavia commence à rire.

Octavia explique à Clarke que toutes les chambres se trouvent en haut, avec la salle de bain. Elles montent toutes les deux les escaliers et Octavia ouvre la porte d'une des chambres.

— C'est la chambre de mon frère, lui dit-elle. Il ne revient que dans cinq mois donc tu pourras dormir ici, puisque tu restes pour deux à trois mois. J'espère que ce n'est pas dérangeant.

— Non, pas du tout, répond immédiatement Clarke. Sa chambre est très sympathique, j'aime beaucoup.

Clarke analyse les murs bleus et blancs ainsi que la grande bibliothèque dans le fond de la pièce. Elle sourit lorsqu'elle voit que c'est un lit double. Elle n'aurait pas supporté de devoir dormir à nouveau dans un lit une place. Clarke et Octavia reviennent dans le couloir.

— Ma chambre se trouve en face de la tienne et la chambre d'ami se trouve juste à côté. J'imagine que je n'ai pas besoin de te montrer la salle de bain, tu dois te douter de ce que c'est, lui dit Octavia en riant.

Elles retournent toutes les deux dans le salon et Octavia propose à Clarke de s'asseoir à côté d'elle, sur le canapé. Elle prend une feuille posée sur la table basse et la montre à Clarke en lui disant que c'est le loyer qu'elle aurait à payer si elle acceptait de venir vivre avec elle.

— Donc tu veux bien que je vienne vivre avec toi ? lui demande Clarke en commençant à sourire.

— J'ai un bon pressentiment avec toi, Clarke Griffin. Si le loyer n'est pas trop cher pour toi, je pense qu'on pourrait bien s'entendre. De toute façon tu n'es pas là très longtemps, c'est bien ça ?

— Oui, répond Clarke en hochant la tête. Seulement jusqu'à ce que je trouve un appartement, ne t'inquiète pas. Et pour ce qui est du loyer, ça me va tout à fait.

— C'est parfait alors ! s'exclame Octavia en tendant sa main vers elle. Je te déclare ma nouvelle colocataire !

Clarke rit en serrant sa main alors qu'Octavia se lève et court chercher deux flûtes de champagne. Elle les pose devant elles sur le canapé et verse l'alcool dans les deux coupes. Elles trinquent et Octavia commence à parler à Clarke de sa vie.

— Tu n'arrêtes pas de me parler de ton frère, lui dit Clarke avec un léger sourire. Où est-ce qu'il est en ce moment même ?

Octavia lui dit d'attendre deux secondes alors qu'elle se lève et court vers l'un des meubles dans la pièce. Elle sort une photo qu'elle tend immédiatement à Clarke en se rasseyant dans le canapé. Clarke sourit en la voyant. Sur la photo, un homme brun sourit à côté d'Octavia. Il la tient par la taille.

— Il s'appelle Bellamy, lui dit Octavia. Il est en ce moment même en Irak. Il est militaire et c'est sa deuxième tournée. J'ai tout fait pour le convaincre de ne pas y retourner mais il a voulu le faire une dernière fois. Lorsqu'il rentrera, dans cinq mois, il abandonnera sa carrière militaire et essayera de devenir policier. C'est sa destinée.

— Est-ce que vous êtes proches ? lui demande Clarke en continuant à regarder le grand sourire qu'ils possèdent tous les deux sur la photo.

— Il n'y a pas plus proches que nous, confirme Octavia. Nous ferions tout l'un pour l'autre. Il m'a toujours protégée, surtout après la mort de notre mère. Nous sommes très fusionnels.

Clarke hoche la tête et sourit en tendant la photo vers Octavia. Elle a toujours rêvé d'avoir un frère ou une sœur avec qui tout partager. Heureusement qu'elle a Wells dans sa vie. Ce dernier fait presque partie de sa famille. Il a toujours été là pour elle, qu'elle soit malheureuse ou non. Il est d'ailleurs le seul à savoir où elle est en ce moment, elle n'a toujours pas prévenue sa mère.

— Pourquoi es-tu venue dans cette ville et ce quartier ? lui demande Octavia. Tu n'as pas l'air de venir d'ici.

Elle sourit doucement en regardant de haut en bas la tenue de Clarke. C'est vrai qu'elle n'aurait pas dû mettre ses chaussures Louboutin pour la visite. Elle n'y avait pas vraiment pensé.

— Je m'éloigne, répond Clarke en s'installant plus confortablement. Je n'ai plus envie de vivre près de ma mère, et surtout avec son argent. J'aimerais vivre ma propre vie, sans avoir besoin de son aide.

— Est-ce qu'elle sait que tu comptes emménager dans cette ville ?

— Elle le sait mais elle ne comprend toujours pas pour quelles raisons. Elle pensait que ça n'allait pas être définitif mais je lui ai dit que j'avais trouvé du travail à l'hôpital. Elle n'a plus qu'à accepter ma décision.

— Donc tu vas travailler à l'hôpital ?

— Oui ! s'exclame Clarke en souriant. Cela faisait des semaines que je les contactais et ils m'ont finalement acceptée !

— C'est seulement à une quinzaine de minutes en voiture, tu as vraiment de la chance.

— Le problème c'est que je n'ai pas de voiture, répond Clarke en se grattant la nuque.

La voiture avec laquelle elle est venue chez Octavia se trouve être celle de Wells. Il faut qu'elle lui rende juste après être sortie de chez Octavia sinon il risque de la tuer. Il tient à la voiture comme à la prunelle de ses yeux. Elle l'explique à Octavia alors que celle-ci hoche la tête, compréhensive.

— Et toi ? demande Clarke. Où est-ce que tu travailles ?

— Je suis journaliste, répond Octavia en souriant. C'est pour ça que je risque d'être peu à la maison les week end. On m'envoie toujours à des centaines de kilomètres d'ici pour couvrir des événements.

— Est-ce que tu as un copain ?

— Oui, lui dit Octavia avec des yeux rêveurs. Il s'appelle Lincoln. Je suis en couple avec lui depuis plus de deux ans. Au début, Bellamy n'était pas très pour mais il a dû rapidement s'y habituer.

— Tu as 25 ans, c'est normal. Tu es assez grande.

— Oh, tu ne connais vraiment pas mon frère…

Clarke rigole en chœur avec Octavia. Elle sait qu'elle ne rencontrera jamais Bellamy, puisqu'il revient deux mois après son départ de chez Octavia. Cependant, elle espère garder Octavia en contact. Elle semble réellement être sympathique et c'est la première personne à qui elle parle depuis son arrivée dans cette ville.

Elle regarde sa montre et soupire en voyant l'heure. Il est temps pour elle de partir. Il faut qu'elle retrouve Wells. Elle le dit rapidement à Octavia.

— D'accord, dit-elle en se levant en même temps que Clarke. Donc tu veux bien partager cette maison en ma compagnie ?

— Bien-sûr ! s'exclame Clarke en souriant. Mais tu es sûre ? C'est seulement le temps que je trouve un appartement dans le centre, le temps que je me familiarise avec cette ville.

— Aucun problème, ça me fait plaisir. Tu pourras venir dans deux semaines pour commencer le déménagement ?

— J'ai hâte.

Octavia s'avance vers elle et l'entraîne dans une longue étreinte. Clarke est surprise au tout début par l'enthousiasme de sa nouvelle colocataire mais se reprend et l'enlace à son tour. Elle est heureuse d'avoir trouvé une ville qui semble très accueillante. Elle dit au revoir à Octavia et sort de la maison en respirant doucement l'air frais. Elle se sent bien.

Elle grimpe dans la voiture et démarre. Elle tourne le volant jusqu'à quitter la rue et s'engouffre quelques minutes après sur l'autoroute. Elle fredonne l'air à la radio en regardant le paysage défiler sous ses yeux. Elle se sent enfin libre comme l'air, sans plus aucune attache affective. Elle aime énormément sa mère mais elle avait besoin d'être loin d'elle, du moins durant quelques temps. Elle a 24 ans, elle devait réellement prendre son indépendance. Elle sait que ce sera compliqué pour elle au tout début de vivre avec son propre argent et ne plus demander celui de sa mère mais elle sait qu'elle en est capable. Lorsqu'elle était plus jeune, toutes les personnes venaient la voir parce qu'ils savaient qu'elle venait d'une famille de riche. Maintenant, elle veut repartir de zéro. Cela va lui faire un grand bien.

Deux heures plus tard, elle gare la voiture devant la maison de son meilleur ami. Elle coupe le contact et sort, pressée de le revoir. Elle ouvre directement la porte de sa maison, sachant que ses parents ne sont toujours pas rentrés du travail. Elle monte les escaliers et ouvre immédiatement la porte de la chambre.

— WELLS ! crie-t-elle pour lui faire peur.

Wells, qui était allongé sur son lit, sursaute violemment en mettant l'une de ses mains contre son cœur. Clarke éclate de rire alors qu'il lui fait un regard noir.

— J'arrête de te parler, lui dit-il. C'est définitif. Je te déteste.

— Je sais que tu m'adores, répond-elle en levant les yeux au ciel.

Il soupire alors qu'elle grimpe sur le lit à côté de lui en enroulant ses bras autour de son corps. Elle sourit lorsqu'il lui rend l'étreinte, tout en regardant son téléphone. Elle se penche par-dessus son téléphone et regarde la personne avec qui il semble converser par messages.

— Sacha ? demande-t-elle en souriant. C'est bon, vous avez concrétisés ?

— Mais qu'est-ce que tu racontes ? demande-t-il en cachant son portable. Je lui demandais juste quelque chose, ce n'est rien.

— Je sais quand tu mens, Wells. Je te connais par cœur.

Wells la pousse violemment alors qu'elle éclate de rire sur son lit. Il prend l'oreiller à côté de lui et l'appuie sur le visage de Clarke, la faisant encore plus rire. Il abandonne finalement en riant et en s'allongeant à ses côtés. Il lui demande comment l'entretient avec Octavia s'est passé.

— Très bien. Elle semble être une bonne personne, je suis tombée sur la bonne.

— Ne tombe pas amoureuse, Clarke.

— Abruti, dit-elle en ricanant. C'est vrai qu'elle est jolie mais elle est en couple, figure-toi ! De toute façon, je n'ai pas du tout la tête à avoir une relation amoureuse, que ce soit avec une fille ou un homme. Je viens à peine de trouver une maison dans laquelle habiter…

— Tu l'as dit à ta mère ?

— Non, pas encore, dit-elle en soupirant. Je vais passer chez elle juste après. Il faut qu'elle soit dans de bonnes dispositions.

Ce n'est pas qu'elle ne s'entend pas avec sa mère. C'est faux. Seulement, depuis la mort de son père, Clarke n'a plus envie de faire d'efforts. Elle a toujours eu quelques problèmes avec sa mère lorsqu'elle était adolescente alors que son père l'a toujours soutenue dans tout ce qu'elle faisait. Lorsque Clarke est sortie pour la première fois avec une fille, sa mère avait dit que ce n'était qu'une « passade ». Cela avait grandement énervé Clarke. Sa mère faisait preuve d'irrespect envers sa petite amie, et c'est ce qui était le plus dérangeant pour elle.

Sa mère a enfin compris qu'elle était bisexuelle, même si elle n'a pas caché le fait qu'elle préférerait que Clarke sorte avec des garçons. Clarke étant sa seule enfant, cela pourrait se comprendre.

— À quoi est-ce que tu penses ? lui demande Wells.

— Au fait qu'il va falloir que j'annonce tout ça à ma mère, répond-elle en soupirant. Il faut que j'y aille.

Wells hoche la tête et embrasse sa tempe pour lui dire au revoir. Clarke se lève de son lit et dévale ses escaliers, en déposant ses clés de voiture sur la table de la salle à manger. Elle sort de la maison et marche le long de la rue, les bras croisés. Elle regarde autour d'elle toutes les maisons dignes de la série Desperate Housewive. Elles sont toutes parfaites, avec des clôtures blanches et des allées remplies de fleurs. Tout est parfait autour d'elle et ça l'a toujours agacée. Elle a besoin d'autre chose, elle ne veut pas être déterminée par la vie. Elle a besoin de changement.

Au bout de cinq petites minutes, elle arrive devant son ancienne maison. Elle souffle un grand coup et appuie sur la sonnette tout en actionnant la poignée de porte. Elle entre dans le salon en appelant sa mère et tombe nez à nez avec son compagnon, Marcus.

— Clarke ! s'exclame-t-il. Qu'est-ce que tu fais ici ?

— Je cherche ma mère, répond-elle en souriant.

— Elle est dans le salon, répond-il en lui faisant un léger clin d'œil.

Elle le contourne en le remerciant. Elle aime bien Marcus, même si elle ne s'est pas encore habituée à sa présence. Il n'est pas en couple depuis longtemps avec sa mère, seulement quelques mois. Elle sait qu'il la traite correctement et c'est le principal pour elle.

Elle entre dans le salon et sourit alors que sa mère tourne la tête vers elle. Elle se précipite vers sa fille en l'enlaçant tendrement. Clarke attend quelques secondes avant de tapoter doucement le dos de sa mère. Elle n'est pas non plus habituée à l'enlacer de cette façon. C'est beaucoup trop étrange pour elle.

— Comment tu vas ? demande sa mère en se reculant.

— Très bien, répond Clarke. J'ai trouvé un endroit où habiter.

— Dans ta nouvelle ville ?

— Oui, répond Clarke en serrant les dents.

Elle n'aime pas le ton qu'emploie sa mère mais elle ne peut rien dire pour l'instant. Abby lui dit de s'asseoir avec elle sur le canapé, ce qu'elle fait immédiatement. Elle regarde sa mère quelques instants. Elle sait qu'elle lui ressemble beaucoup. Elle possède la même fureur qu'elle dans ses yeux, la même intensité.

— C'est une très jolie maison, lui explique Clarke. La propriétaire s'appelle Octavia et semble réellement sympathique. Normalement elle vit avec son grand frère mais il n'est pas là pour encore cinq mois. Je resterai là-bas le temps de trouver un appartement décent près de l'hôpital.

— Est-ce que tu es vraiment sûre de ta décision ? lui demande calmement sa mère. Tu sais que c'est très dur de vivre seule.

— Cela fait deux ans que j'ai quitté le domicile familial, maman.

— Je le sais, mais ce sera dans une autre ville que la mienne, à plus de deux heures d'ici. J'espère que tu fais la meilleure des décisions.

Clarke sourit en regardant sa mère s'inquiéter pour elle. Elle sourit d'autant plus parce qu'elle est, pour la toute première fois de sa vie, sûre de son choix.

— Tout va bien se passer, assure-t-elle à sa mère.

— Laisse-moi au moins te payer une voiture, lui supplie Abby. Tu ne peux pas être dans une ville inconnue sans voiture.

— Je veux vivre par moi-même. Je m'en achèterai une lorsque j'aurai mis assez d'économies de côté. En attendant, je prendrai le bus et Octavia m'emmènera peut-être là-bas.

Sa mère prend une grande inspiration alors que Clarke croise les doigts derrière son dos. Marcus rentre soudainement dans la pièce, tandis que Clarke laisse échapper un soupir de soulagement. Il a toujours réussi à détendre l'atmosphère lorsque ça n'allait pas entre sa mère et elle, surtout après la mort de son père.

— C'est d'accord, dit finalement Abby. Vole de tes propres ailes.

— Merci, maman.

— Mais dès que tu as un problème d'argent, Clarke, n'attend pas pour me le dire. Je t'aiderai le plus possible. J'espère que ton quartier ne craint pas trop.

— Non, mentit rapidement Clarke. Il est très classe.

— Cela me va alors. Est-ce que tu restes avec nous pour diner ?

Clarke accepte la proposition de sa mère et se lève pour l'aider à mettre la table. Elle essaye de profiter au maximum de cet instant avec sa mère, parce que dans deux semaines ce sera très rare. Elle sort son téléphone portable et décide d'envoyer un message à Octavia, pour lui confirmer sa venue.

Clarke G. : « Je viendrai dans deux semaines pour le déménagement. Je dois venir vers quelle heure ? »

Octavia B. : « N'importe quelle heure, dans tous les cas je serai à la maison. Je suis pressée d'avoir une colocataire qui n'est pas mon frère ! »

Clarke repose son téléphone portable sur la table et essaye de s'intéresser à la conversation entre sa mère et Marcus. Tout ira bien.


I'M BACK, BITCHES !

Que ça fait du bien de commencer une nouvelle fiction Bellarke, que ça m'avait manqué… Franchement, je suis contente de publier cette fiction puisqu'elle me tient vraiment à cœur, autant que Plus qu'un jeu, devrais-je dire. Ce chapitre est assez court mais c'est parce qu'il met toute l'histoire en place. J'avais vraiment envie d'une fiction posée, où on suit la relation entre Bellamy et Clarke de la haine à l'amitié, puis l'amour.

Alors, je tiens à remercier Liberty qui m'a donné l'idée de cette fiction. Elle m'avait simplement proposé une idée pour Nuances de Bellarke et, finalement, je lui ai demandé l'autorisation de la prendre pour une nouvelle fiction ! Je tiens aussi à dire que je me suis inspirée d'une fiction anglaise pour le résumé et quelques événements, qui s'appelle Three Months ! On a beaucoup parlé avec l'auteur et elle m'a aidé à mettre au point cette histoire selon son schéma ! :)

Je remercie surtout GoodGame, puisqu'elle est la Beta Reader de cette fiction ! C'est elle qui a lu mes chapitres et m'a conseillé à beaucoup de moment, donc merci Gégé ! Sans toi je ne sais pas ce que j'aurais fait... D'ailleurs, BON ANNIVERSAIRE ! Ce chapitre est pour toi, mon cœur.

Je fais aussi un petit clin d'œil à ma team Bellarke : Vanille, Aloïse, Juliette et Estelle. Je vous aime toutes, j'adore parler de la série avec vous, et de nos vies personnelles. Vous êtes devenues de véritables amies donc merci.

Dans le prochain chapitre : L'amitié entre Clarke et Octavia, sa rencontre avec les amis de celle-ci et surtout… la première rencontre Bellarke ! Elle sera tout à fait explosive (eh oui, encore une fiction où ces deux-là n'arrivent pas à s'entendre...)

- Amandine.