L'Amour Immortel

Salut à tous !

Voilà, peut-être que certains d'entre vous me connaissent déjà car cette fiction a déjà été publiée sur un autre site mais pour les autres, bienvenue !

Donc le sujet premier de cette fic est une histoire d'amour… Avec qui… ? Legolas… !

C'est ma toute première fiction, donc vous remarquerez que les premiers chapitres sont assez courts mais par la suite ça s'allonge… !

Voilà, les review, c'est vous qui voyez, je ne vais pas faire une crise si je n'en reçois pas…

Au cas ou ! mon adresse ( Whah la vieille feinte, bon en fait, si ça vous plait, faites fonctionner vos dix petits doigts siouplait !)

Donc pour les tomates ou les bravos c'est là :

just_for_you_orli@hotmail.com

Disclaimer :  Les personnages et le monde fabuleux de la Terre du Milieu appartiennent bien sur à JRR Tolkien hormis quelques personnages originaux que vous découvrirez au fil de la fiction !

Je me base également sur le physique des personnages employés dans les deux films la Communauté de l'Anneau et les Deux Tours.

Allez, j'arrête de parler, je suis déjà en train de vous décourager ! Donc bonne lecture, en espérant que ça vous plaise !

Dernière indication, la fiction débute après la fin du premier film, alors que Legolas, Aragorn et Gimli ont reçu les chevaux des Cavaliers du Rohan.

Chapitre 1 :

A la poursuite de Merry et Pippin, Aragorn, Legolas et Gimli chevauchaient à travers les plaines. Cela faisait trois jours qu'ils chevauchaient, sans repos, et, seule la vue perçante de Legolas parvenait à percer la monotonie du paysage. Leur marche était rythmée par le pas souple des chevaux et les lamentations de Gimli, peu habitué à ce mode de transport. Ils ne parlaient pas, las de cette interminable chevauchée, et le silence des plaines ne faisait qu'accroître leur sentiment de malaise quand soudain, ils s'arrêtèrent. Un cri venait de percer le silence, un cri mêlé de rage et d'effroi, accompagné de grognements inhumains. Descendant prestement de leurs montures, Gimli brandissant sa hache, Aragorn dégainant son épée et Legolas bandant son arc se précipitèrent vers la direction d'où venait ce sombre présage. Leurs hypothèses furent confirmées quand, arrivant sur un rocher surplombant une vallée, ils découvrirent un cavalier au prise avec des Orques. Plusieurs cadavres jonchaient le sol mais le mystérieux cavalier semblait en mauvaise posture ; son cheval, dont la robe d'un blanc étincelant était maculée de sang, reçut une flèche au poitrail et se cabra. Le chevalier tomba lourdement sur l'herbe tendre et ne se releva pas.

Les trois compagnons, habitués à de telles situations, se précipitèrent dans la mêlée. Faisant tournoyer sa hache, Gimli envoya balader plusieurs Orques tandis qu'Aragorn, maniant avec habilité son épée, tranchait têtes et bras. Le dernier Orque qui se précipitait sur le cavalier inconscient fut arrêté par la flèche précise et meurtrière de Legolas. Le lieu du combat était désormais chaotique : l'herbe verte était souillée par le sang noir des créatures et, une odeur de putréfaction commençait déjà à se répandre.

- Immondes créatures. Cracha Gimli avec une grimace de dégoût. Comment va t-il ? Continua t-il en désignant le cavalier.

- Je ne sais pas, Legolas s'en occupe dit Aragorn.

Legolas s'approcha du cavalier, redoutant une chose bien probable. Mais, en s'approchant, il constata que la poitrine du blessé se soulevait régulièrement. Quelque peu rassuré, Legolas s'agenouilla et, avec une infinie douceur, enleva le casque du guerrier. Mais, en découvrant son visage, sa surprise et son admiration furent telles qu'il en eut le souffle coupé. Aragorn et Gimli, constatant l'émoi de leur compagnon, accoururent et eurent la même réaction.

Le mystérieux cavalier était une femme, une jeune femme d'une beauté éblouissante. Son visage, aux lignes fines et parfaites, reflétait une sorte de calme et de torpeur. Une légère estafilade marquait sa tempe droite. Ses joues étaient légèrement rosies par l'action passée. Sa peau, blanche et translucide, contrastait avec la rougeur de ses lèvres charnues. Ses yeux fermés étaient bordés de longs cils foncés. Ses longs cheveux blonds dorés étaient retenus par une lanière sur sa nuque blanche mais quelques mèches encadraient son visage. Aragorn et Legolas, contemplant cette beauté d'apparence si fragile, ne savaient que dire. Ce fut Gimli qui rompit le silence de sa voix tonitruante :  

- Par la grande Moria !

Legolas, en proie a des émotions aussi vives que complexes était stupéfait mais, avec cette sagacité commune aux elfes, il déclara :

- Que fait cette jeune femme ici ? Encore une énigme à laquelle il nous faudra répondre .

- Ne restons pas ici fit Aragorn en jetant un regard circulaire. Transportons la hors de ce carnage. Où est son cheval ?

- Il s'est enfuit, n'espérez pas le revoir dit Legolas.

- Bon répondit Aragorn en soulevant délicatement la blessée, Trouvons un point d'eau et établissons le camp.

A suivre...