HPMG : Livre 6 : La dernière Atlante :

Chapitre 1 : Severus et Lily :

Chapitre non-corrigé !

Aspect vieillissant, froid et humide. Ténèbres et terreur régnait. Rien n'était de trop dans cette pièce. Deux chaises, un bureau, une porte, une fenêtre et une cheminée. Voilà comment on pouvait décrire le bureau de Voldemort.

« Ton fils sera ma main dans Poudlard, sa mission est simple, tuer Dumbledore. » s'exprima une voix sifflante, dont on ne voyait à peine la silhouette.

« Bien, mon fils sera heureux de vous servir Maitre » répondit le père d'une voix soumise.

« J'ai quelques cadeaux qui pourront peut être l'aider dans sa tâche, veille à ce que cela lui soit remis dans les plus brefs délais une fois qu'il sera entre les murs de Poudlard. Le paquet est enchanté et Poudlard ne sentira pas les ondes noires qui en proviennent. » Expliqua le Lord avec malveillance.

« Bien Maitre, tout sera fait selon vos ordres. » dit le père.

« Parfait, alors tu peux partir. »

« Au revoir Maitre »

L'homme se leva, s'inclina profondément avant de se retirer. Un fin sourire étira les lèvres du sombre Lord. Il caressa alors son nouvel animal de compagnie, une créature qu'il avait eu bien du mal à trouver, et à domestique. Les chiens carnivores étaient de vraies armes de guerre, surtout entre ses mains.


Harry se réveilla aux caresses malignes de Fleur en ce matin de premier juillet. Finalement, ils avaient approché l'accident de près. Heureusement, Remus avait remis d'un coup de volant la voiture dans la bonne direction. Ensuite, Harry avait expliqué comment il pourrait remonter le temps, et surtout pourquoi il le faisait. Quand il finit son explication, Remus fit une remarque judicieuse.

« Tu vas aller à Poudlard, entre 1976 et 1977 ? »

« Oui, je ne compte pas la sauvée, car je ne peux pas faire de grands bouleversements, mais j'emprunterais ses connaissances pour pouvoir battre Voldemort et Dumbledore. » expliqua Harry.

« Fiston, l'année 1976/1977 à une évocation différente pour nous, c'était notre dernière année à Poudlard, nous, et tes parents. » dit Sirius qui avait compris où voulait en venir son ami.

Harry resta quelques secondes sans rien dire, il n'y avait pas vraiment pensé à vrai dire. Un argument de plus pour y retourner.

« Comme vous avez été à Poudlard en cette période, vous pourrez me décrire votre année, cela m'évitera les mauvaises surprises. » déclara Harry.

« Que veux-tu savoir, comment tes parents en sont venu à se mettre ensemble ? » demanda Sirius avec un petit sourire en coin.

« Si tu veux, mais c'est surtout les évènements graves comme une attaque, des morts, enfin ce genre de choses. » répondit Harry avec gravité.

« Ce fut une année chargé, cela vas nous occuper le reste du voyage » commença Remus. « D'abord, la première chose remarquable est le sorcier qu'on à eu en DCFM, il était entièrement camouflé sous une cape noire, que ce soit en hiver ou en été. Il porté aussi un masque blanc, on à jamais réussi à voir son visage, malgré toutes les tentatives de Sirius et de ton père. Enfin, le plus bizarre avant, c'est que tout le monde sait comment il est, car il était élève à Beauxbâtons précédemment. Ce denier nous a expliqué que pendant l'été, on l'avait attaqué et que son visage n'était plus beau à voir. »

« Comment s'appelait-il ? »

« Jean Khesse » répondit Sirius. « Apparemment, c'est très amusant en français. C'est lui-même qui nous l'avait dit. »

« Jean Khesse » répéta Harry avec un léger sourire. « Je pourrais facilement prendre sa place une année ou pas ? »

« Surement, il n'avait plus de famille, et il est mort à la fin de l'année d'une chute dans les escaliers, à la tour nord. Très surprenant, parce qu'il était vraiment compétant en DCFM. »

« Oui, il nous l'a prouvé pas mal de fois lorsqu'il nous a défendu lors de l'attaque du Poudlard express au début de l'année, à celle de Pré au Lard à Halloween et surtout quand il à attaqué Poudlard alors que Dumbledore fut ailleurs à cause d'une histoire avec son frère et d'une chèvre.

« Je crois que j'ai trouvé ma couverture. Aucune autre attaque ? » Demanda Harry.

« Non, mais c'était la première et seul fois que Voldemort à attaqué Poudlard. Et il à laissé un petit cadeau pour l'école avant de partir. Une maladie qui avait disparu il y'a près d'un demi-siècle. La professeur de Botanique à trouvé un remède, mais il y'a eu six morts, dont trois Gryffondor, deux étaient des amis à ta mère. »

« C'était quand ? »

« Voldemort à attaqué le premier avril, il à laissé un poisson contaminé au dessus de l'entrée de la salle commune des Gryffondors. La seule chose bénéfique de la mort des deux amis de Lily, c'est qu'elle en fut devenue plus proche avec James. Sans ça, tes parents ne seraient surement pas ensemble. » Dit Remus avec un regard triste derrière tant de souvenirs.

« Je dois donc les laisser mourir si je veux vivre… » Dit avec fatalisme Harry.

« Ouais » dirent Remus et Sirius.

« Sinon, si tu veux savoir des choses du côté Serpentard, demande à Severus, je pense qu'il savait des choses que nous, on a jamais su. » ajouta Remus après coup.


Ce souvenir lui rappela que c'était aujourd'hui qu'il allait voir Severus afin de savoir le passé, avant de s'y rendre soit même. Severus habitait non loin d'ici, mais comme les mangemorts venaient souvent le voir, ils convinrent d'un point de rencontre à l'épicerie, qui faisait aussi office de salon de thé. Harry se leva, donna un dernier baiser à Fleur avant d'entrer dans la douche. Il en ressortit quelques minutes plus tard, et Fleur prit sa place dans la salle de bain, pour une durée bien plus longue.

Il avait terminé de manger qu'elle sortait juste de la salle de bain, enveloppé dans une longue serviette.

« Bye »

« Bye »

Harry sortit de la maison, dépassa la barrière anti-transplanage, soit après la barrière et transplana. Il apparut dans une ruelle sombre qui jouxtait l'épicerie. Harry entra, salua le vendeur. Il acheta un paquet de cookie et prit un café avant de s'asseoir à une table. Severus apparut en parfait moldu, toujours en noir. Il salua d'un signe de tête le vendeur, avant de serrer chaleureusement la main d'Harry.

« Comment vas le Maitre » dit Harry avec un petit sourire.

« Très énervé, il à faillit tuer Bella pour son échec au ministère. » dit Severus, qui semblait jubiler. « Et toi, pourquoi m'as-tu demandé ? »

« Je compte faire un petit voyage pour rencontrer une Atlante morte en 1977, et apparemment, c'était ta dernière année de scolarité. J'aime savoir ce que l'on me réserve à mon arrivé. Au fait, je prendrais la place de votre professeur de DCFM, je m'imagine pas étudier, une perte de temps » ajouta Harry.

« J'imagine que Sirius et Remus t'ont révélé les attaques ainsi que ta mort. Bien sur on était au courant de l'attaque sur Pré au Lard, nos parents nous ont prévenu de rentrer avant dix-sept heures. Par contre, l'attaque du train a surpris tout le monde. Sinon, je n'ai pas grand-chose à ajouter. » Dit Severus.


SPOILER TOME 7
« Dis-moi Severus, pourquoi avoir trahi Voldemort et rejoindre Dumbledore, te connaissant, tu devais avoir une raison vitale pour le faire. » demanda Harry en posant son index sur sa tempe.

« Pour ta mère, et uniquement pour elle. Quand j'étais enfant, bien avant notre rentré à Poudlard, j'avais l'habitude d'observer Lily et sa sœur. C'est là que j'ai remarqué qu'elle était une sorcière. Je lui ai dit, et expliquer bien avant de recevoir sa lettre pour Poudlard ce qu'était la sorcellerie. A force de se parler, on est devenu ami, en faite, avec toi, Lily fut surement la seule véritable ami que j'ai eu. Ma présence à terni la relation entre sa sœur et ta mère je crois, elle a même écrit une lettre à Dumbledore pour suivre sa sœur à Poudlard. Ce qui lui fut révisé vu qu'elle n'avait aucun pouvoir magique dans ses veines. »

« Tu…tu veux donc dire qu'avant Poudlard, tu connaissais déjà maman. » déclara Harry, très surpris. « Dis m'en plus, on me parle souvent de papa, mais jamais de maman. » ajouta Harry avec un air triste dans les yeux, qui poussa Severus à continué.

« Oui, très amis, c'est Poudlard qui nous sépara, et particulièrement le choixpeau. Elle fut à Gryffondor, et moi à Serpentard. J'étais très déçu, car c'est à ce moment là que la relation privilégié que j'avais avec ta mère s'est effilé. On s'est souvent disputé par rapport aux relations que j'entretenais avec des élèves pro-mangemorts. Elle n'a jamais pu comprendre que si je montrais trop d'affection pour les autres, et surtout pour les né-moldu, je me ferais rejeter par les Serpentard. La dernière fois que l'on s'est vraiment parlé, elle m'a posé une question, question pour laquelle je m'en voudrais toujours de ne pas y avoir répondu… Pourquoi elle était différente à mes yeux des autres sangs de bourbe que je raillais quotidiennement. »

« Je comprends, c'est pour ça que tu as rejoins Dumbledore une fois que tu as dit la prophétie à Voldemort, tu craignais que ce dernier tuerais maman. Tu l'aimais ; pas vrai ? » Demanda Harry.

« Oui » répondit seulement Severus en soupirant légèrement.

Ils discutèrent encore un peu entre eux, du voyage et de comment Harry allait faire et ce qu'il y ferait, bien que lui-même ne savait pas comment, il savait juste quoi faire. Il improviserait s'il arrivait à traverser le temps, et Harry était certain qu'il en avait les capacités.

« Possible qu'on ne se revoit pas avant longtemps, juste une chose, continue ton travail comme tu le fais si bien, et surtout, j'aimerais que tu essayes de découvrir des choses plus précises sur les Horcruxes. Voldemort m'en as parlé, ainsi que Dumbledore. Je sais juste que cela sert à arracher une partie de son âme, et qu'il permet à celui qui jette le sort de rester sur terre, et comme nous l'as si bien démontrer Voldemort durant ma quatrième année de ressusciter. »

« Ok, sinon, Dumbledore m'a fait une bonne surprise, je suis professeur de DCFM, apparemment, les professeurs de potions sont plus facile à trouver que ceux de DCFM, et Dumbledore m'a dit qu'il avait besoin de quelqu'un en connaissant un rayon sur les forces du mal pour préparer les élèves à cause de Voldemort. » déclara Severus, pas peu fier de son nouveau statut.

« Félicitation, et profite-en pour torturer les Gryffondors. » dit Harry avec un éclat de rire.

« Je note Harry. Au revoir. »


FIN SPOILER TOME 7
Severus se leva et sortit par la porte, saluant le vendeur une nouvelle fois. Harry en profita pour transplaner de l'intérieur du magasin, au cas où un mangemort ou un auror attendrait dehors pour voir avec qui Rogue pouvait bien rester aussi longtemps. Il fallait prendre des précautions pour pas que Severus gâche sa couverture, aussi bien auprès de Voldemort que de Dumbledore, même si rien n'empêchait techniquement la rencontre d'un professeur et d'un élève hors de la période scolaire, sauf quand le professeur et l'élève étaient des espions bien sur.

« Tu comptes faire comment pour disparaître ici, sans que personne ne le sache. » demanda Sirius un jour de beau temps.

« J'ai reçu mes résultats de BUSES ce matin, et en gros, il me dise que j'ai parfaitement le niveau pour passer en septième année. Mais je pense plutôt prendre une année scolaire sabbatique et partit loin d'ici, si tu vois ce que je veux dire. Mais comme je sais que Voldemort cherchera à me retrouver, je pense plutôt mourir dans une tragique explosion lorsque je monterais dans la voiture, en sortant du ministère. Il me faut juste un cadavre d'à peu près ma taille et cela fera l'affaire. » Déclara Harry avec un grand sourire.

« Rien que ça, et tu comptes le trouver où ton cadavre ? » demanda Sirius.

« Dans une morgue moldue je pense. De toute façon, les polices magiques ne connaissent pas l'ADN, donc faut juste veiller à ce que la corpulence soit identique. » Répondit Harry en s'allongeant dans l'herbe.

« Je me charge de cette partie du plan avec Remus. Tu comptes faire ça quand ? »

« Le jour de mon anniversaire. Une fois dans le passé, il me faudra un peu de temps pour me laisser un créneau afin de tuer Jean Khesse et de prendre sa place. Et préparer aussi la fausse attaque là-bas. » Expliqua brièvement Harry.

Il y'eut un flash dorée, et Fumsek se posa à ses côtés. Parfait, il avait besoin d'un peu plus de renseignements sur l'Atlante, son nom déjà, ainsi que où elle se trouverait quand il arriverait dans le passé. Et puis, autant se documenter sur les atlantes avant. Il avait quelques questions sur la cité mythique de l'Atlantide. Harry caressa les plumes rouges feu du phénix tandis qu'il terminé sa conversation avec Sirius. Il emmena Fumsek dans la cuisine, seul pièce un peu fraîche et à l'ombre sous ce soleil de plomb.

« J'ai oublié de te poser quelques questions lors de notre dernière rencontre, » commença Harry en parlant mentalement avec l'animal. « Tu sais le nom de l'Atlante et où elle se trouvait avant que Dumbledore ne la tue. » demanda Harry.

« C'était la professeur de Botanique, et elle n'as jamais donné son véritable nom, même Albus ne l'a jamais appris. Les atlantes ont la coutume de donner leurs noms qu'aux personnes auquel ils font confiance. Tout le monde l'appelé donc Mademoiselle ou Professeur… »

« Je vois, donc c'est la professeur de Botanique, cela explique pourquoi elle à réussi à trouver un moyen pour guérir la maladie qu'avait propagé Voldemort, avec plusieurs millénaires d'existence, elle à surement déjà rencontré la maladie. » pensa tout haut Harry. « Et pour l'Atlantide. »

« J'ai déjà vu cette cité, et je n'ai jamais vu une construction aussi magnifique. Tellement moderne pour l'époque, malgré que leurs technologies datent de plusieurs milliers d'années, elle surpasse encore la notre à l'époque actuelle. La cité est assez uniforme, elle possède cinq branches sur lequel s'élèvent de haut gratte-ciel, ils sont très effilés et en pointe. Au milieu, il y'à la plus grande tour de la cité, elle culmine à près de 500 mètres de hauteur. La nuit, la cité est tellement magnifique que même Poudlard en devient fade. Il y'à un mélange de jaune reflétant avec le bleu de l'océan qui donne une atmosphère envoutante. J'espère que tu verras cette cité un jour, tu en tomberas tout de suite amoureux. Mais le point le plus important, c'est que la cité peut s'envoler et se déplacer, c'est en fait la raison pour laquelle on n'as jamais su son emplacement précis, car elle bougeait sans cesse. »

« Hé bien, cela à l'air formidable. » déclara Harry, épaté par l'éloge de la cité faite par Fumsek. « Tu peux dire que tu m'as donné envie de découvrir cette cité dans la réalité. »

Fumsek poussa un trémolo joyeux, déploya ses longues ailes rouges flamme et s'envola par la fenêtre. Harry se leva, et prit un soda dans le frigo. Pas de doute, il était impatient de remonter le temps. La seul inconnue était Chronos, est ce que le dieu le laisserait passer, ou le renverrais sur terre, et y'avait peu de chance que dans ce cas, ce serait en excellant état. En fait, il pourrait très bien mourir, mais ça, il s'était bien gardé de le dire aux autres, et surtout à Fleur et Sirius, les êtres les plus proches de lui.

Le jour de son anniversaire, Harry se dit qu'il serait peut être temps de commencer ses valises, enfin, Harry pensa ne pas avoir réellement besoin de ça. Pas besoin d'argent, il braquerait avec facilité le coffre des Lestranges ou d'un autre mangemort comme Yaxley. Ensuite, pour les vêtements, Harry avait bien deviné que l'homme qu'il avait vu, ce n'était surement point Jean Khesse, car la tenue qu'il portait ressemblait bizarrement à celle qu'il voulait porter pour ne pas effectuer de métamorphose, très couteuse en magie. Surtout sur le masque blanc, que lui-même utiliser souvent, lorsqu'il était en homme d'émeraude. Il s'habilla donc d'un complet noir, choisi par Fleur. Il remarqua qu'elle n'avait pris que du cuir, et plutôt serré…

« Surement pour se rincer l'œil » pensa Harry avec amusement.

Il enfila donc le pantalon en cuir (avec de grande difficulté au niveau des reins.) puis une chemise en satin, un polo en laine et un immense manteau qui lui descend jusqu'au cheville. D'ailleurs, c'était très pratique car ainsi, il pouvait dissimuler facilement son katana, son épée, d'autre arme diverse et varié, de nombreuses potion, une baguette de secours, quelques portoloins ainsi que sa cape d'invisibilité ou la carte des maraudeurs. Il glissa ensuite son masque blanc dans une poche, qui ne laissait, une fois mis, la seule partie gauche de son visage, celle qui ne possédait pas sa cicatrice tristement célèbre.

L'hypothèse selon laquelle les vêtements très collant permettraient à Fleur de bien regarder fut rapidement vérifiée dès qu'elle revint de son travail. Il lui fit un petit clin d'œil, lui démontrant qu'il n'avait pas été dupe avant d'éclater de rire, tandis que les joues de Fleur se coloraient de rouge.

Ils entrèrent main dans la main dans la cuisine, où Sirius, Remus, Draco, Maria et Luna Lovegood l'attendait, un sourire plaqué sur les lèvres.

« Joyeux anniversaire ! » crièrent d'une même voix les 6 personnes présentes.

Ensuite, la fête fut découverte de cadeau, pour la plupart inutile, mais c'était ceux dont Harry était le plus fier, comme la petite peluche en forme de Lion offert par Sirius, tandis que Remus lui avait donné un serpent en peluche, Dur Anor fut d'ailleurs très suspicieux, car il siffla doucement :

« Un concurrent… »

Harry éclata de rire et fit de longue caresse à Dur Anor qui siffla de bienséance. Fleur offrit des fleurs à Harry, de belles roses noirs, tout simplement magnifique. Draco fut l'un des plus sérieux, car il offrit une petite chaine en or avec incrusté en lettre d'argent Fleur et Harry. C'était d'ailleurs le cadeau de Draco et de Maria. Luna lui offrit quelque chose à sa mesure, des lunettes pouvant effectuer des zooms à plus d'un kilomètre, enfin, selon la notice de son père.

Ensuite, des personnes inattendues, mais bienvenue entrèrent. Severus en premier, qui lui offrit une fiole avec marqué « Véritasérum ». Gad El'Malleh lui offrit de la pare des nains une magnifique chope, qui était selon lui parfaite pour la bière et la conserver bonne et fraiche. Harry trouva cela très amusant, comme tous les autres. Marcus lui offrit des doses importantes de sang de vampires, deux fois plus concentré en élément nutritif que le sang d'un humain ou d'un animal, en omettant celui de la Licorne. Le dernier cadeau vint d'Almaguë.

« Voici une cuirasse, confectionné par les forgerons nains et protégé par les enchantements elfe, puisse cette cuirasse te protéger efficacement contre les armes naturelles et les sortilèges dangereux. » dit Almague en tenant dans ses paumes ouvertes un gilet blanc, au maillage très serré, qui brillé légèrement quand on y faisait attention. « Et sache que quelque soit l'époque, nous serons là, l'anneau parlera pour toi. » ajouta plus bas, pour sa seule attention personnelle.

Harry la remercia chaleureusement, et remercia une nouvelle fois tout le monde d'être venu :

« Je sais que c'est mon anniversaire, mais j'ai moi aussi un cadeau avant mon départ, un cadeau pour ma petite chérie que j'aime. Fleur, si tu veux approcher, j'ai une petite surprise pour toi. » Déclara Harry avec la gorge noué par les sentiments. Elle prit place à ses côtés. Harry se laissa tomber à genoux et dit :

« Quand la guerre sera terminé, voudra tu me prendre pour époux, Melle Fleur Delacour, moi, Harry Potter. »

Harry ouvrit une main dans laquelle se trouvait loger une bague faite entièrement en diamant, avec une perle rouge au milieu. Une bague de fiançailles splendide. Fleur releva Harry, les larmes aux yeux, Harry sentait son cœur battre à la chamade, attendant la réponse de Fleur. Cette dernière sourit légèrement, ferma les yeux et….l'embrassa fougueusement. Des applaudissements bruyants éclatèrent dans le petit salon du 4 privet Drive, et la fête commença réellement. Au plus grand plaisir de Gad El'Malleh, l'alcool coula à flot cette nuit.

Tôt dans la matinée du premier aout, les premiers à partir fut les derniers arrivés, à savoir Almaguë, Marcus, Gad ainsi que Severus. Ensuite, ce fut au tour des plus jeunes, Draco, Maria et Luna de s'en aller, souhaitant à Harry un bon voyage. Finalement, il ne resta que lui, Fleur, Sirius et Remus dans la maison de sa dernière famille.

« Bon, allons mettre le cadavre dans la limousine, il est déjà huit heures, et je dois être à neuf heures au ministère pour consulter la bibliothèque, enfin, c'est ma raison d'y aller. Je vais surement en profiter pour feuilleter les journaux datant de 1976/1977. » Déclara Harry.

Sirius et Remus allèrent donc chercher le cadavre à la cave, dans le congélateur et le placèrent dans la limousine. Le seul ennui serait le chauffeur, mais Harry, qui avait tout prévu, avait demandé à ce que Sirius, qui devait lui, participer à une réunion du conseil des Lords, interpellent le chauffeur pour ainsi l'éloigner de l'explosion. C'était plutôt bizarre de mettre en scène sa mort.

Tout se passa comme prévu, il arriva devant le ministère, passe une petite demi-heure la tête dans des journaux qui n'avait pas été lu depuis des décennies avant de retourner à la limousine, le chauffeur, qui s'appeler Rupert, lui ouvrit la porte en s'inclinant. Il la referma avec douceur. Enfin, Harry entendit Sirius interpellé le chauffeur. Harry déplace le corps qui était caché sous un drap et le plaça assis sur la banquette arrière. Il mit une baguette magique dans sa poche. Harry, courbé en deux dans la voiture, transforma sa propre baguette en bâton magique et tape deux fois sur le sol. Le premier coup le fit disparaître dans un scintillement bleuté, le second fit exploser la voiture.

La déflagration fut telle que les vitres des immeubles alentour explosèrent, tandis que Sirius et le chauffeur, ainsi que les nombreux aurors qui protéger l'accès le plus à découvert du ministère, furent couché au sol par le souffle de l'explosion. Les alarmes moldus des voitures se déclanchèrent, Sirius fut le premier à se relever et à courir vers la limousine en flamme. Il fut rapidement intercepté par les aurors, l'empêchant de sauter dans les flammes. Ils se retirèrent rapidement dans le ministère tandis que les pompiers moldus étaient déjà à l'œuvre, tandis que des agents sorciers de Scotland Yard arrivés en nombre dans de grosses berlines noires, toutes sirènes hurlante.

Le corps fut rapidement retrouvé, et son identification immédiate, Harry Potter était mort, le lendemain de son anniversaire, le lendemain après sa demande de mariage avec Fleur Delacour. Harry avait prévenu tout ces proches qu'il devrait jouer la comédie de la tristesse pendant quelques mois avant de retrouver progressivement leurs états normaux pour ne pas éveiller la méfiance de Dumbledore, et surtout de Voldemort et de ses mangemorts.

Harry quant à lui, s'était retrouvé dans une pièce fort riche en décoration. En faite, cela ressemblait à un immense temple, bordé de géantes statues, et au bout de l'allé se tenait un trône d'or, où se trouvait un Homme, un Dieu, celui du temps. Il était grand d'environ huit mètres, portait une longue tenue blanche comme les grecs d'autrefois, avec des lettres grecques sur les manches et le bas de sa tunique. Autour de lui, deux grands sabliers laissaient filtrer un grain de sable. Des trompettes sonnèrent dans le grand temple vide et une voix venant de nulle part s'écria :

« Lord Harry James Potter, Magie Gris, demande audience auprès de la sainteté Chronos, Dieu du temps »

Chronos se leva, tandis que le son des trompettes s'élevait une nouvelle fois, pour clore l'intronisation d'Harry dans le temple. Chronos ressemblait à un vieil homme à longue barbe, il tenait de sa main gauche une faux, et dans sa main droite un sablier. De grandes ailes étaient repliées derrière son dos. Sa puissance écraser littéralement l'atmosphère, et malgré que Harry soit proche des deux mètres, il était complètement dominé par la taille titanesque du Dieu antique. Harry avait pris le temps d'étudier les Dieux. Il courba donc le dos, et tendit ses bras devant lui, pauvre ouverte vers le ciel.

« Relève-toi mon enfant, et entend mes paroles. Ta demande est accepté, mais de respecter le monde céleste dans sa rotation éternelle tu dois, et d'aucune façon, tu pourras tuer les personnes sur cette liste. Pour conserver la ligne du destin, voici une seconde liste, sur la prédestination de tout les autres hommes à allé soit en enfer, soit au paradis. Si jamais tu tues une personne de la première liste, le chaos règnera et le monde n'existera plus. Si tu tues quelqu'un présent sur la seconde liste, tu devras tuer son opposé. » Déclara d'une voix intransigeante Chronos.

La première liste (un long parchemin) que lui tendit Chronos était empli d'une cinquantaine de noms. Il put rapidement lire le nom de ses parents ainsi que les parents de Draco. La seconde liste était en faite un petit livré divisé en deux parties, les hommes foncièrement mauvais d'un côté, et foncièrement bon de l'autre. Harry comprit rapidement que si il tuer quelqu'un qui devait se retrouver à sa mort en enfer, il devrait rééquilibrer l'équation en tuant quelqu'un qui devait monter au paradis.

« Je vois que tu as tout compris. Voici l'objet qui te permettra de traverser le temps, au début de l'année 1976. »

L'immense homme plia un genou et posa son sablier, qui arrivait au menton d'Harry, un peu encombrant, pensa Harry.

« Entre dedans, et fais un bon voyage. » lui souhaita Chronos.

Le sablier se mit à scintiller d'une couleur or. Harry s'approcha lentement, une main devant lui. Il traversa la paroi du sablier sans difficulté. Il se trouvait désormais dans l'un des triangles du sablier, il était entièrement plongé dans ce sable complètement doré, et bizarrement, il arrivait sans aucun problème à respirer. Une secousse troubla le silence. Chronos reprit le sablier et le tourna dans l'autre sens. La gravité fit le reste, le sable s'échappa vers le seul accès possible, et Harry fut entrainé à sa suite. Il ferma les yeux, tandis qu'il commencé une chute sans fin, le sablier n'avait aucune fin, car c'était le sablier du temps…

Froid

Glacée

Eau

Harry releva soudainement le dos. Il était sur une plage, sable terne, empli d'algue. L'eau glacée et froide l'avait brutalement réveillé. Il tourna la tête de tous côté mais ne vit aucun sablier. Il eut une soudaine brulure au torse, Harry releva son pollo et sa chemise et vit que sa peau était toute boursouflée, comme si une tige de métal chauffé à blanc avait tracé deux triangles opposés par le sommet sur son ventre et sa poitrine. Le sablier était toujours avec lui. Harry passa sa main et serrant les dents, c'était assez peu esthétique, et cela semblait prendre du temps à guérir. Harry sortit de l'eau et pensa que pour accélérer la guérison, rien ne prévalait que contre une petite douceur. Harry fouilla dans son long imperméable et en sortit une fiole de sang. Il arracha d'un coup de dent le bouchon en liège et bu d'un trait le liquide.

La douleur au niveau de son torse disparut progressivement alors qu'il buvait. Harry vérifia, et en effet, les boursoufflures avaient disparu, ne laissant que de fines cicatrices rouge sang. Harry transplana, à l'adresse du futur mort, Jean Khesse.

Il habitait dans un petit cottage moldu, sa maison était à l'écart, couverte de végétation, cela aurait pu paraître pour une maison abandonné si la lumière en cette fin de journée ne traversait pas les fins rideaux. Harry sauta par-dessus le portail et frappa à la porte. Il mit son masque blanc, et rabattit son capuchon sur lui.

« Oui, c'est pourquoi ? » demanda l'homme en ouvrant la porte.

Harry ne répondit rien, et le prit aussitôt à la gorge, avec la force animal, il souleva facilement l'homme et le colla contre le mur du fond du petit hall d'entrée. L'homme battit des pieds et essaya de se soustraire à la poigne d'Harry, ce qu'il ne réussit jamais à faire. De longues secondes plus tard, son cadavre reposait au sol. Harry lui chipa sa baguette qui était sur la petite table de la cuisine et l'entera dans son jardin, derrière la maison. Harry ouvrit son petit livret, et écrivit sur la première page le nom de l'homme qu'il venait de tuer avec une plume fournit, et qui ne demandait aucune encre, à part celle du sang de l'écrivain.

Jean Khesse, mort et enterré, enfer.

Harry n'aurait jamais pensé que cet homme fut mauvais, mais apparemment, la prédestination n'avait aucune valeur. Enfin, cela lui facilitait la tâche. Il suffirait d'appeler les auror pour les prévenir d'un vol dans la maison, pour ce genre de mission, un seul auror, et souvent débutant venait, pour voir de quoi il en sortait, faudrait juste qu'il lui demande son nom, après tout, les aurors étaient pas tous gentil. Trente minutes plus tard, la carillon se fit entendre, Harry ouvrit la porte, avec toujours son masque sur le visage, ce qui intrigua de suite l'auror, qui comme le prévoyait Harry, semblait juste sortir de l'académie.

« Saori Huygens, vous nous avez signalé un vol. »

« Suivez-moi » dit Harry en se retournant, il en profita qu'il était dos à l'auror pour écrire le nom de l'auror.

Saori Huygens, bientôt mort et enterré, paradis.

« Monsieur Huygens, merci de vous êtes proposé pour venir équilibrer l'ordre cosmique. » dit Harry en claquant son livret d'un mouvement sec de la main.

L'auror n'avait bien sur rien comprit, Harry disparu soudainement, sans bruit, et apparut derrière l'auror, l'Argolas dans la main, qui avait une forme de longue dague curviligne. Il trancha rapidement la gorge de l'auror en attirant la tête de l'auror sur l'épaule, avant de faire courir sa lame sur sa gorge. Il rejoignit le corps encore chaud de Jean Khesse. Harry poussa un soupir et prit une chaise. Il lut rapidement le courrier de celui dont il devait prendre la place. L'une d'entre elle venait de Poudlard :

Cher Mr Khesse,

Suite à notre entretien du 15 juillet et à l'étude de vos compétences, j'ai la joie de vous nommer professeur à Poudlard, dans la matière de défense contre les forces du mal. Je vous informe que la réunion des professeurs aura lieu le 29 aout, d'ici là, je vous souhaite une bonne fin de vacances.

Albus Dumbledore, Directeur de Poudlard.

« Bien, il est temps de remplir mes poches vides » déclara Harry en se levant.

Il sortit de la propriété en humant l'air, et transplana sur le chemin de traverse. La nuit était désormais bien avancé, mais la banque de Gringott's ne semblait toujours pas fermé. Harry salua le gobelin sur le perron, et entra dans la banque. Sans difficulté, il se fondit dans le noir de la pièce et passa une porte quelconque. Un wagon se proposa, mais Harry préféra sauter dans le vide. Il se rétablit rapidement dans l'air et se dirigea vers les profondeurs, où la légende voulait que des dragons gardent les coffres les plus précieux de toute l'Angleterre.

La légende disait vrai, pensa Harry en passant devant deux immenses dragons, bien plus que celui qu'il avait combattu lors de sa quatrième année. Il passa près d'eux avec lenteur, retenant son souffle avant de regarder devant des coffres, sur lesquels étaient inscrit en toute lettres à quel famille appartenait chaque coffre. Celui des Lestrange l'intéressait beaucoup, d'abord parce qu'il était bien fourni, et surtout parce qu'il n'aimait pas du tout les Lestrange. Harry créa un clone de soi-même avant de passer sa main sur la porte. Il fut emporté à l'intérieur, à travers la porte. Il n'avait jamais vu autant d'argent, de bibelots et d'autres choses surement très couteuses rassemblé en un seul endroit.

Harry commençait à remplir sa bourse sans fonds quand, alors qu'il plongeait profondément son bras dans le tas d'or, il subit une intense brûlure. Harry retira soudainement sa main et écarta avec précaution les pièces d'or. Il découvrit alors une petite coupe en or, Harry approcha sa main le plus près possible sans toucher la coupe et ferma les yeux. Il laissa sa magie enveloppé sa main. Des ondes lui parvinrent, et ce n'était pas très gai. Cet objet était empli de magie noire, et Harry semblait déjà avoir sentit ce genre de dégagement magique.

« Le journal… » Lui murmura Merlin à travers la bague.

« Bien sur, et le journal est un Horcruxe, donc…cette coupe en est surement une aussi. Autant la prendre tout de suite, cela m'évitera de cambrioler deux fois le même coffre. » Pensa Harry tout haut.

Grâce à la magie, il plaça la coupe dans son imperméable, poche qu'il ferma grâce à un sceau magique, empêchant quiconque d'autre que lui d'ouvrir cette poche, mieux valait prendre de précautions, il devrait trimbaler sur lui une partie de Voldemort, il fallait être prudent. Harry continua à remplir sa bourse, emprunta aussi quelques livres forts intéressant sur la magie noire avant de penser à sa sortie…

Tout le monde savait que c'était impossible de sortir d'un coffre de Gringott's, pourtant, Harry avait trouvé un moyen très facile, enfin, facile pour lui, se dit Harry. Il se fixa sa propre image, son clone, qu'il avait créé avant d'entrer dans le coffre. Une fois sur de lui, il passa à la phase délicate résumé par un mot :

« Transmutation ! »

Harry forma un triangle à l'aide de ces deux mains, les deux pouces et les deux index joint. Il plaça le triangle au niveau de son front, et l'éloigna rapidement. Ce fut comme si il passait sous une douche froide. Il ouvrit les yeux, il se trouvait devant le coffre, tandis que son clone se retrouvait à l'intérieur de la porte du coffre (sa tête dépassé). C'était tout juste, voilà pourquoi Harry devait un peu améliorer sa technique, ce n'était pas très concluant, et cela aurait pu facilement être lui qui soit coincé ainsi.

Ce que fit Harry pendant un mois, et bien rien. Harry avait tout simplement décidait de prendre quelques vacances, avant de se plonger dans de nouvelles aventures où il risquerait surement à chaque fois sa tête. C'était donc la tête reposé qu'il aborda le chemin de traverse, toujours habillé de cette curieuse façon, qui attirait plus les regards qui les repoussé. Cette après-midi, il allait rencontrer les autres professeur, et une seule l'intéressé, c'était la professeur de Botanique, Harry se demandait bien comment elle était, et comment il allait tout lui expliquer. Surement dire la vérité serait le plus simple.

Alors qu'il se dirigeait tranquillement vers une taverne pour prendre une petite collation, il fut durement bousculer par un jeune homme. Harry se massa les abdominaux et attrapa d'une forte poigne le bras de celui qui l'avait bousculé. Il relâcha tout de suite le bras quand il se rendit compte que devant lui se tenait une photocopie de lui, avec quelques imperfections. Son père. La rentrée approché, il aurait du s'en douter.

« Vous n'êtes pas dans un champ de blé Potter, mais dans une rue commerçante, où des gens important circule. » dit Harry avec un petit sourire, un peu comme Severus.

« Excusez-moi monsieur, mais comment savez-vous mon nom ? » demanda James.

Il avait peut être gaffé sur ce coup là.

« On m'a parlé de vous, et pas qu'en bien, la prochaine fois que nous nous reverrons, je parierais que vous n'apprécierez pas la sentence. » déclara Harry avant de disparaître alors que son père regardait autre part. C'était dur de parler avec quelqu'un de mort, enfin, pour lui.

Alors qu'il repartait vers le chaudron baveur en cette fin de matinée, Harry croisa deux personnes en train de parler, près de l'allé des embrumes. C'est deux personnes étaient Severus…et Lily. Décidément, il n'avait pas de chance, il fallait qu'il les rencontre tous avant la rentré, il s'était pas fait vraiment à l'idée de voir ses parents.

« …Pourquoi tu es sortis de cette allé Severus. C'est de pire en pire, ne les suis pas… » Chuchota faiblement Lily à Severus, qui semblait plutôt gêné de parler avec elle, surtout devant autant de passant.

« On en parlera à Poudlard, il y'à trop de monde ici, trop de risque… » Déclara Severus en regardant partout autour de lui, il accrocha alors le regard transperçant d'Harry, à moitié dissimulé par son masque. Il fait une personne parfaitement suspecte. Harry s'approcha d'eux, Severus recula légèrement tandis que Lily se retournait, et allait prendre la parole.

« Je ne veux rien savoir Evans, je ne crois pas que les listes de Poudlard contiennent des éléments qui demande à être chercher sur l'allée des embrumes. C'est aussi valable pour vous Se…Rogue » se rattrapa à temps Harry. « Allez donc continuez vos courses plus loin, ce n'est pas bon de trainer ici, surtout maintenant. »

« Bien monsieur, mais comment savez-vous… » Demanda Lily, mais ce dernier avait déjà disparut dans un battement de cil.

TO BE CONTINUED…

NDA : Et voilà un premier chapitre pour cette nouvelle fiction, dans la série HPMG, j'espère que vous apprécier la tournure que cela prend. Malgré qu'Harry est beaucoup d'info sur le passé, il y'aura tout de même quelques surprises, car Harry ne fait pas partie de ce temps. Enfin, je n'en dis pas plus, et vous donne rendez vous au prochain chapitre. N'hésitez pas à me prévenir d'erreur dans ma part dans ce chapitre non corrigé.

Plein de review et ++

Mellon.