Auteur: It's me ! Mario ! (en fait, c'est Ptirt)
Titre: FINAL DISTANCE de UTADA Hikaru (宇多田ヒカル)
Type: un drama, I think...
Warning: Je serai tentée de mettre M de façon à attirer les YaoiCrazyFanGirls ...Le truc, c'est que c'est pas ça...So, T.
Disclamers: Naminé, c'est ma soeur et Riku mon mari...'Fin, je convoite ! Autrement, personne ne m'appartient.
Otreblablainutil: En l'honneur de la plus magnifique des chansons de la plus magnifique des chanteuse, c'est-à-dire Final distance de Utada Hikaru. La chanson a été écrite en hommage aux enfants d'Osaka retenus prisonniers dans une école. Ils ont été abattus par la suite. Un des otage (une fille) avait gagné un concours avec comme thème "je veux devenir un chanteur comme Utada". Utada fut terriblement choquée et bouleversée par cette tragédie et a transformé sa chanson "DISTANCE" par "Final Distance".
Dans le clip, on parle de deux filles totalement différentes, vivantes dans deux mondes totalement différents. Mais malgré ça, elles vont chacune essayer de se trouver pour finalement fusionner et ne former qu'une seule personne.
Vous croyez aux coïncidence ? Moi, oui ! Mais là, je dirai que l'histoire est franchement comme Kingdom Hearts, avec Kairi et Naminé (d'ailleurs, pas mal de fan font des remakes de la chansons avec ces deux petites).
Voilà voilà. Pour finir, je vous conseille franchement d'aller voir le clip. Un seul mot: Sublime. Allez sur youtube et taper "Final distance Utada Hikaru". Il devrait y avoir une vidéo avec une fille en blanc. Bonne lecture !
« Je suis anxieuse mais je ne peux rien dire. Je suis fatiguée de nager, même si tu es…
-devenue silencieuse… »
Dans ce monde où les murs reflètent la lumière, où le miroir est blanc, les dessins sont aux pastels. Les morts ressemblent à des pantins et où l'oublie est le maître.
De l'autre côté, les fruits ont la forme d'une étoile, la terre devient la mer, les palmiers ne cherchent pas le soleil et il n'y a que des enfants.
Il est tout à fait naturel que lorsqu'on nait, il y a une autre personne qui nous ressemble et qui se met à la vie au même moment. Personne ne peut rester seul toute sa vie et si cela est vrai, chacun doit trouver lui-même la personne qui lui ressemble et dont le destin a été rédigé de façon à ce que l'un fasse forcement partie de la vie de l'autre. Seulement, nous commençons le chemin seul et personne ne sait si la personne désirée s'y trouvera , ni quand nous la retrouverons, ou si c'est la première fois, quand nous la rencontrerons. En tant normal, les humains pensent que croire ne sert pas à grand-chose, car les chances d'avoir ce que l'on souhaite son mince. Pourtant, si nous ne croyons pas, il ne sert à rien de désirer, n'est-ce-pas ?
« Je suis sûre qu'il y a une personne faite pour moi, ou peut-être juste une personne qui m'accepte et qui veut bien de ma présence… »
Les mots ne traversent pas les murs blancs. Ils ne sont là que pour qu'ils se percutent et reviennent au néant, comme la personne qui les prononce. Cet être qui ne fait ni parti des ténèbres, ni de la lumière.
« Tu ne devrais pas te torturer comme ça, lui répondit un homme de noir vêtu, visiblement plus grand que la demoiselle.
-Oui, tu as raison. Je pense que je devrais rester seule pour la sécurité de cette personne. Mais…
-…Mais ?
-…, en guise de réponse. Visiblement, la jeune fille ne savait quoi répondre et se contenta de regarder vers le bas, les mains croisées.
-…
-J'aimerai vraiment la voir, au moins une fois.
-Est-ce que tu connais son nom ?
-…Non. Mais je l'ai déjà vue, dans mes rêves. Je pense qu'il s'agit de mon ancienne vie.
-…»
« Je n'arrive pas à me souvenir de son nom. C'est triste ».
Par delà des cheveux grenats se cachait une tête, pleine de réflexion, accrochée à un corps contenant un cœur empli de rêves. Depuis son retour chez elle, ses rêves n'ont pas bougés. Pourtant, quelque chose n'allait pas. Elle avait le sentiment d'avoir oublié une chose très importante. Ce n'était pas un rendez-vous avec le dentiste, pas une tâche comme sortir le linge, ni un devoir à faire pour le lendemain. Qu'était-ce ? C'était quoi encore ?
« S…S…Ciel…Le ciel…il y avait un lien, je crois, main contre tête, réflexion intense. »
Poursuivre la vague de l'oublie. Le nom de la personne que la jeune fille a oublié avait un quelconque rapport avec la mer se trouvant au dessus de nos têtes. Mais quoi ? Pas le vent, pas les nuages. La pluie ? Non plus.
Pourtant, elle savait qu'elle et l'autre cœur avait fait une promesse : ils se retrouveraient. Alors, que faire ? Attendre ? Mais si jamais cette personne revenait, comme ça, et qu'elle ne se souvenait même plus de son allure, ou de sa voix…C'était une fille ou un garçon ? Un S…un … Quelle lettre ?
« Je sais que j'étais avec lui, ou elle, avec un garçon. Tous les trois, on jouait ensemble sur l'île. L'autre, c'était Riku. Je m'en souviendrai toujours. Mais…ah… »
Si jamais elle continuait de chercher, elle perdra sûrement ce qui lui reste de son souvenir.
« Il ne faut pas que j'aille sur l'île. Je vais perdre ce qu'il me reste de lui… 'Ciel' »
Dans sa lutte contre ce qui ne peut être vaincu, elle prit un papier afin de pouvoir écrire les derniers informations sur cette petite âme.
« Personne ayant fait la promesse de revenir. Ami de Kairi et Riku. Jouaient ensemble sur l'île. Son nom à un lien avec
Il s'appelle »
Ou sans doute était-il trop tard. Après quelques réflexions intenses, des souvenirs revenus, mais n'ayant aucun rapport avec le but, la feuille a fini sa vie dans une poubelle, vu le contenue ne servant à rien en somme. Le bout de papier déchiré en corbeille laissa place à une feuille d'écriture blanche sur laquelle une imprimante déposait délicatement l'encre de ses cartouches violettes en laissant au passage la douce chaleur de 'nouveau sorti de la machine'. Assise à son bureau, doigts contre clavier, elle avait finalement opté pour tout recommencer, à l'aide d'un poème. De toute évidence, la personne convoitée est trop lointaine d'elle. La seule possibilité pour qu'un message lui parvienne, c'est la mer. C'est-ce qui avait été prévu. A présent, que taper ?
« Peut importe que tu sois loin, tu… - A la personne qui tient mes souvenirs… - Qui que tu sois, ou que tu sois…- »
Déjà, il fallait le contexte. La personne, on ne peut plus dire son nom. Alors…
« Loin de moi, qui que tu sois - Dans mon esprit, n'importe où - Je pense à toi, où que tu sois- A la lumière appelée "toi"»
Un petit jeu : j'ai placé certaines paroles des chansons de Utada dans la fic, avec certains sous-entendus. Vous saurez les trouver ? Les réponses dans le prochain chapitre !
Bon...Entre ça et la fic totale délire (Break à l'hôtel KH), ben, ça va écrire (encore que, je suis rédac', en plus !).
Mmm...Reviews ?
