L'avenir du passé

Auteur : Devinez...

Genre : Action, Aventure

Résumé : Deux hommes discutaient joyeusement, l'un blond et l'autre châtain. Un coup de feu retentit, un corps tomba, celui du plus jeune. Une vie morte, des centaines brisées. Ce sourire prédateur, ses crocs assoiffés de sang et ses yeux vengeurs. Cette phrase : "The curse is back." (Récriture en cours pour des textes plus long et plus approfondis).

Chapitre : 39

Manga : Kateikyo Hitman Reborn

Classement : Rating K+, évolueras peut-être en cours d'histoire.

Je vous présente donc ma nouvelle version de l'histoire, j'ai tenté d'écrire plus, et avec des textes un peu plus lourd, les derniers étant beaucoup trop léger à mon goût.

J'espère que vous serez toujours au rendez-vous et que cette nouvelle histoire vous plaira, ne vous fiez pas aux apparences du début de l'histoire... Je vous promets que par la suite l'histoire sera encore plus rechercher, juste que le début est un peu plus doux et amusant (et avouons-le moins bien écrit que le chapitre 5 à 39).

Du chapitre 1 à 13 = chapitres doux et calmes.

Du chapitre 14 à 39 = Chapitres plus approfondis dans l'intrigue, avec des combats et la connaissance d'un mystérieux personnage.

Je vous souhaites une bonne lecture !


Chapitre 1 : Le passé...


Deux jeunes hommes discutaient joyeusement, sous les rayons de soleil, qui illuminait le ciel, et leurs cheveux. Châtains pour le plus jeune, et ors pour l'autre. Leur éclats de rires à quelques anecdotes, de chacun. Ils profitaient tout les deux de la présence qui était à leur côté, sous une légère brise. Quelques fois, aucun sons n'étaient perceptibles et ils observaient tout simplement la plaine, immense et chatoyante, qui réchauffait leur cœur, heureux de se sentiment de bonheur. De loin on pourrais croire qu'ils étaient de la même famille, tant leur ressemblance était frappante.

Ils étaient observés par des regards affectifs de 14 personnes, éparpillés sur la plaine qui les regardaient tout en discutant joyeusement. Le seul mot bonheur, n'étant pas assez beau pour décrire ce qu'il ressentait. Joie s'approchait plus, mais ce n'était pas encore ça. Ils se sentaient tous léger après avoir vécus une chose aussi terrible, comme si il n'y rien ne s'était passé, que tout n'était qu'un mauvais rêve. Même si les horreurs qu'ils avaient vécus restaient toujours présent dans les mémoires. Depuis, quelques temps, ils avaient laissés tombés les barrières qui protégeaient les deux groupes, et ils s'étaient rapprochés. Peut importait ce fameux "avenir du passé" ou ce "passé de l'avenir", tout ce qui comptait était le moment présent, ce qu'il ressentait et le lien qui les unissaient à tout jamais. L''avenir attendrait et changerait surement, mais pour rien, au monde ce sentiment se dérobera.

Douce euphorie...

Un seul coup de feu, réussit à briser ce paradis en un véritable enfer. Ils ne possédaient plus que quelques jours maintenant pour changer la donne, et rien ne serait laisser au hasard. Peut importe les larmes, la douleur, les sacrifices et l'abandon qui risquerait surement de surgir, tel un loup qui s'attaquerait à sa proie, ne faisant aucun son, et aucune trace.

Ce corps qui était tombé inerte au sol, alors que tout allait si bien quelques secondes avant. Le jeune garçon au cheveux châtains ne bougeait plus comme si il était endormis. Son visage reflétant seulement un sourire et quelques larmes qui sillonnait encore ses joues, tel des diamants.

Toutes les personnes, qu'ils soient éloignées ou proches s'était précipités vers lui. Aucun n'avait pensé à aller s'occuper de celui responsable de cet acte, les esprits embrumés par la peur de perdre un être si cher aux yeux de tous. Les larmes coulèrent, mélangés aux cris de certains, reflétant leur douleur, la peine se lisait sur leur visage. La scène était une représentation de la douleur, et du désespoir, laissant les ténèbres s'emparer du cœur de chacun. Seul une question persistait encore et encore dans leur esprit, même des plus aguerris : "Comment ?! Comment avaient-ils pu laisser une telle chose se passer ?!". Un souhait était exaucé dans leur âme, "Faites qu'il survivre ! Si Dieu existe, faîtes qu'il nous reviennes en vie ! Et dîtes nous comment ? Comment ont en est arrivés là !".

Pour répondre à ce souhait, il faut revenir en arrière.

Mais avant de nous intéresser directement à l'accident, dirigeons nous vers l'homme aux cheveux blonds.


C'était un après-midi calme au manoir Vongola, il faisait beau, et seul quelques nuages recouvrait le ciel d'automne. Un jeune homme observait ce ciel, désirant aller dehors profiter de ce repos qu'il aurait bien mérité, mais il n'en avait pas le droit. Il devait impérativement finir, tout les papiers qui recouvrait son bureau. Si il avait su que lorsqu'il serait devenu un peu plus connu, il aurait autant de paperasse, il aurait donné son rôle à son meilleur ami, tiens !

Je pense, que vous l'aurez compris, je parle effectivement de Giotto di Vongola, premier parrain de la plus grande Mafia au monde ! La famille Vongola, à traduire littéralement la famille Palourde ! De quoi en effrayer plus d'un. Mais je m'éloigne, je m'éloigne.

Le Primo, n'avait aucune motivation à travailler, normalement il faisait son boulot correctement pour profitez ensuite de son jardin et de son calme bienvenu. Mais non, là il fallait qu'il travail, simplement parce que ses compagnons ne pouvaient pas réfléchir deux minutes avant de commettre l'irréparable.

Mais quel idée, avait bien pu avoir G, d'envoyer une lettre d'amour, à une femme dont personne ne connaissait rien, pour énerver Elena. Bon, je reprends dans l'ordre, je vous sens perdus. Ce n'est pas compliqué, G à envoyer une lettre d'amour, sous le nom de Deamon, à une femme inconnu, qui lui a envoyé des tonnes et des tonnes de lettres, ce qui as, disons, énormément énervé Elena. Mais la goûte d'eau, qui avait fait déborder le vase, avait été, que cette femme, s'était ramené au manoir, en prétextant être enceinte de Deamon, et qu'il devait prendre ses responsabilités.

Deamon, avait été complètement perdu, d'une parce que cette femme inconnue, lui racontait n'importe quoi, et de deux, sa vraie femme, elle lui avait mené la vie dure pendant des semaines, et des semaines. Et donc le Primo, avait été obligé de réglé le problème à cette femme, qui n'était pas n'importe qui, c'était la femme du Boss d'une des mafias les plus puissante, qui était en cours de négociation avec Giotto. Ce dernier avait tenté de s'expliquer clairement, et cela avait mis du temps, avant de réussir à lui faire entendre raison. Surtout que cette femme, le menaçait ouvertement, lui et sa famille, ce qui lui avait pris plus d'un mois, pour régler ce problème. Et donc qu'il se retrouvait avec des tonnes de papiers sous les bras.

Heureusement, au final, elle avait accepter à une condition. C'était que l'on lui donne la personne qui avait répondu à toutes ses lettres, qui n'était autre que G. Ce qui l'avait outré sur le coup, mais Giotto, le fit taire en deux-trois mouvements.

"- Tu devrais réfléchir aux conséquences avant de refaire une conneries comme cela-ci. Et la prochaine fois que ça se passe, dis toi que tu n'aura plus de toit pour dormir, pendant une durée indéterminée.

- Mais, Gio-

- Suffit ! Tu sors et tu réfléchis au conséquences, tu reviendras dans un mois, et tu sera le serviteur de cette femme pendant cette période, est-ce clair ? Ah oui, et je ne veux aucun mauvais retour sur ton attitude !"

Et quand G, était revenu, il n'était disons plus le même, dès qu'une femme l'approchait, il s'enfuyait, la queue entre les jambes. Et dès qu'on lui posait la question, sur ce qu'il s'était passé, il se renfermait, et tremblait de peur, en disant qu'il ne s'était rien passé.

Un mystère de plus, dans ce manoir de fous. Un !


Mais comme un seul problème n'avait pas suffit, il avait fallu, que ses cher amis et Gardiens, lui détruisent encore une fois sa baraque. Tout cela à cause d"une histoire de fruit...

Tout avait commencé, lors du déjeuner, la table était animé comme d'habitude. Giotto, mangeait tranquillement, en regardant ses Gardiens de façon attentive. G, lui discutait tranquillement avec Elena. Asari, lui profitait simplement de son repas. Knuckkles lui parlait à Lampo, en lui disant qu'il fallait qu'il mange plus légumes et que cela lui ferait du bien, et que cela l'aidera à s'endurcir. Mais ce dernier, ne voulais pas absolument en manger, proférant que c'était des aliments abjectes, et qu'un prince comme lui ne pouvait pas en manger. Deamon, et Alaude se laissait des regards noir, sans rien tentés, le courroux de Giotto, était parfois bien plus effrayant qu'une salle d'interrogatoire avec les deux Gardiens de la brume et du nuage dans la même salle.

Quand arriva le moment du dessert, Lampo, voulu manger un melon, et on le lui fit apporter. Lampo, voulait montrer que seul lui avait le droit de manger du melon, car seul lui pouvait en exporter. Sa famille étant dans l'exportation des objets venus d'ailleurs. ( Le saviez-vous ? Le melon était très cher, il y a des années de cela).

Lampo agissait comme un bien-heureux, tellement content de montrer que lui pouvait avoir des melons à volonté, faisant partit d'une famille, maintenant "morte" dans notre époque. (1) Il prit donc le melon, poser sur un plateau d'argent que tenais l'un des serveurs du manoir. Il attendit quelques instants, en regardant intensément le serveur, pour que ce dernier décide enfin à se bouger. Ce dernier avec un soupir non dissimulés, prit l'un des couteaux de la table et commença à coupés le melon, en petites tranches, comme il le ferrait pour un enfant de 4 ans. A ce niveau, ce n'était même plus de la flemme, mais juste de l'arrogance pur et dure, enfin du point extérieur, car si on connaissait bien Lampo, c'était surtout qu'il avait confiance en cette personne, pour qu'il l'autorise à toucher à sa précieuse nourriture, de sa précieuse famille.

Quand le serveur eu fini son boulot, il demanda congé, qu'on lui accorda avec un sourire aimable de la part de Giotto, qui mangeait ses précieuses fraises des bois.

Lampo, remarqua certains regards envieux sur cette nourriture venant d'ailleurs, et sourit mesquinement, oui, parfois, il était sadique, la faute à qui ?

Il commença à se couper un morceau, de l'une des tranches, et l'enfourna dans sa bouche, tout en s'exclamant qu'il était succulent, et qu'il tellement goûteux et bon, que jamais il n'en donnerait. A cette exclamation, il ne remarqua pas deux yeux de couleurs bleutées, le regarder avec une mauvaise aura, atour de lui.

"Hum...Si cet enfant, ne lui en donnait pas un morceau... non tout. Il allait le regretter amèrement."

Lampo, ne remarquant même pas cette aura sombre, qui pourtant recouvrait maintenant la totalité de la pièce, coupa son melon, avec envie, sans jeter un seul regard à ses compagnons. Croquant dans ce fruit juteux et sucré à souhait, sous l'œil acéré d'un melon. Puis, puis d'un coup, Lampo recracha tous son melon, exactement en même temps qu'une certaines laissait fleurir, sur son visage, un sourire sarcastique.

Lampo, jeta un regard dégoûter au fruit qu'il venait de manger. Et lorsqu'il reprit en main, pour mieux observer la raison, pour laquelle il avait un goût aussi infect, il recula par peur et jeta le fameux fruit loin, très loin de lui, trop loin de lui.

Effectivement, la peur qui se lisait sur le visage, interrogeaient ses comparses, et lorsqu'ils remarquèrent pourquoi Lampo avait agit de la sorte, ils comprirent facilement. Le melon, était remplis de vers de farine, gluants, bougeant dans tous les sens, et sortant de tous les côtés. Et tout le monde connaissait la phobie de Lampo pour tous ce qui était insectes.

Et pourtant, ce dernier n'était pas au bout de ses peines. Effectivement lorsque Giotto remarqua où le melon avait atterri, il commença vraiment à avoir peur pour sa salle à manger. En effet, le fruit avait décider dans un élan de lucidité de pure bêtise, d'atterrir dans l'assiette pleine de sauce du français... Pour ceux qui n'aurait pas comprit, oui, on parle bel et bien d'Alaude.

La renommée chemise grise du leader du CEDEF, était maintenant d'une couleur brune foncée, la sauce ayant sautée sur cette première. Lorsqu'il remarqua le changement de température sur son corps, il ne mit que quelques millièmes de secondes pour comprendre ce qui s'était passé, et s'énerva donc, sur le champs.

Il se leva avec une étonnante lenteur, et lorsqu'il releva la tête, un sourire de pure folie était dessiner, et- Attendez, un sourire ? *Vérification* En effet, le français souriait, fait le plus étonnant qui soit, et extrêmement effrayant, soit dit en passant...

Il était vrai qu'une des règles d'or du code "Alaude" était de ne jamais touché l'un de ses vêtements, au risque de subir la pire des morts...

Et lorsque le fauve, fut lâcher dans l'arène, il prit pour cible l'innocent Gardien de l'Orage. Pauvre bête... et que fait une bête pour se défendre, lorsqu'elle ne peut pas s'enfuit ? Elle supplie.

- Alaude ! Je te jure ! J'ai rien fait !

- Tu es celui qui a commander et jeté le melon, tu es donc coupable.

- Techniquement oui. Déclara Lampo avec un hochement de tête. Et lorsqu'il regarda Alaude prêt à le tuer, il trouva vite une excuse. Mais, c'est pas moi qui est fait venir les vers, c'est le melon !

- De qui parles-tu, gamin ? Demanda Deamon.

- Toi ! Enchéri G. Même quand Lampo, ne fait rien à part manger un melon, tu te sens toujours viser !

- Gardien de la Tempête, tu joue avec le feu... Déclara Spade, tout en sortant son trident de nul part.

- Je me suis déjà brûlé plusieurs fois, mais toi tu es trop froid, pour me faire quelque chose.

- Sache, Gardien de la Tempête, pour ta gouverne, que la glace brûle parfois, si elle est trop froide.

Elena soupira et se leva, pour sortir dans le jardin, là où Lampo avait voler. Car pendant que Deamon et G se disputaient de sur des réactions thermiques, Alaude avait profiter de cette confusion pour envoyer valser ce pauvre Gardien de l'Orage.

Bizarrement, c'est comme si tout le monde avait attendu, le fait qu'Elena soit partit de la salle pour commencer à se battre.

Deamon, commença en premier à crée des pilonnes de glaces, extrêmement froid, ce qui eu, pour effet, de refroidir la salle à une température avoisinant le Groenland, sauf pour Giotto, qui avait l'air de faire fit de cette illusion. G esquivait tant bien que mal, les flèches de glaces qui tentaient de le transpercer de toute part. Le Gardien de la Tempête, avait pris son arc, et tentait, tout en esquivant, de tirer des flèches enflammées au bout, vers le Gardien du Brouillard.

Alaude, avait sortit un bouquin et lisait tranquillement dans son coin, tout en détruisant les flèches ou les pilonnes qui s'approchaient trop de lui à son goût. Knuckles, lui était en train, de continuer à manger sa côte d'agneau, faisant fit des bruits à ses côtés, pestant contre ses camarades, déclarant qu'aucun ne savait se conduire à table et qu'ils n'avaient aucune éducation. Asari lui était énervé, même si au début, il avait agit comme Knuckles, lorsqu'une flèche avait fait tombé sa nourriture par terre plus de cinq secondes, il s'énerva, sortit son sabre, et s'attaqua à ses camarades, proclamant le fait qu'aucun des deux n'avaient le droit de gâcher la nourriture et que certains enfants, eux, n'avaient même 1/16 de ce que, eux, ils avaient.

Elena était dehors à profiter du soleil, et à soigner Lampo, qui avait l'air d'être dans un état comateux. Giotto, quand à lui, commençait à s'énerver, car sa salle à manger commençait vraiment, mais vraiment à devenir n'importe quoi, et ça, ça le mettait dans une colère vraiment noire.

Il observa, cette salle, des pilonnes de glaces avaient détruit la table et les murs était parsemer de flèches de glace et normal. Certains chaises et tableaux qui entreposer dans la salle à manger, avaient commencer à brûler à cause des flèches enflammées de G. Rien n'avait été épargné.

Les nerfs de Giotto commençaient à danser un flash-mob, mais l'une tomba, entraînant toutes les autres à sa suite. Ce fut, ce choc, qui le réveilla de sa torpeur, et d'un seul coup, son corps n'était plus là, mais au milieu du champs de bataille. Un flash puissant et lumineux apparu, comme si c'était la porte du paradis (2), quelques uns essayèrent d'attraper cette fameuse lumière, intouchable, proche et pourtant si loin. Le chant des anges (3), qui les accompagnaient dans leur action, commencèrent à leurs parlés, pour les réveillés.

Le fait qu'un de ses anges se séparent de ses amis, pour aller parler à des anémones blanches, et qu'il s'en alla après avoir prit une petite tasse de thé, avec ses dernières, leur fit comme un choc.

Ils mirent un peu de temps à réaliser leur situation, sous l'œil ironique d'Elena, le regard courroucer de Giotto et les yeux fatigués de Lampo, qui dormait sur le banc qui ornait le jardin. Ce retournement, réussi à énerver G, déjà en colère contre Deamon.

- Primo ! Explique-toi !

Giotto se retourna de ce spectacle, essayant de ne pas rire. Il lui fallu quelques secondes pour se calmer, et lorsque ce fut fait, il se releva un sourire ironique scotché au visage. Il tourna la tête dans tous les sens, comme à la recherche de quelque chose d'introuvable.

- C'est étrange...

- Que ce passe t-il, Primo ?

- J'étais pourtant sûr d'avoir entendu quelque chose, pas vous ma chère Elena ?

- Je n'ai rien entendu. Ce doit être des vibrations du vent. A moins, que vous ne deveniez Jeanne d'Arc.

- Ça me ferait une belle paire de jambes, tiens ! Comme si être le Primo de la Vongola Famiglia ne suffisait pas, il fallait que je devienne la réincarnation de cette femme... Je n'ai vraiment pas de chance...

- Hum... C'est vrai, que ça n'arrangerait le cas de personne que vous vous changiez en une femme... Mais cela me tiendrait parfois compagnie.

- Je suis sincèrement désolée, il est vrai que le manoir est plus rempli d'homme que de femmes. Je devrais peut-être changé, cela ? Qu'en pensez-vous ?

- Je-

- Hum ! Hum ! Toussota une voix derrière les deux jeunes gens.

- Ah ! Oui, effectivement, cette fois-ci j'ai bel et bien entendu quelque chose, Primo.

- Vous voyez, je ne suis pas Jeanne d'Arc !

- Navré, de vous dérangez en plein débat sur la personne de Giotto, mais j'aimerais quelques explications, Giotto. Je ne vois pas pourquoi, moi aussi je suis pris dans cette chose, alors que je n'ai rien fait... Déclara Knuckles.

- Oh, excuse-moi, Knuckles, je t'avais pas vraiment remarqué avec tout ce bor... capharnaüm. J'arrive tout de suite.

Et il se dirigea vers son gardien du soleil, pour le sortir de cette fameuse chose. Il le libéra et se retourna pour poursuivre sa discussion avec Elena, lorsque un bruit d'un nerf qui explose se fit entendre sur sa gauche. Knuckles qui séchait ses vêtements, releva la tête, surpris par ce son, et lorsqu'il remarqua qui avait ce son, si particulier, il retourna à son occupation.

- Giotto, pourrais-tu m'expliquer, veux-tu, c'est quoi ça ?!

- Veux pas. Déclara Giotto, d'un ton enfantin, avec un visage boudeur.

- Fais pas l'enfant !

- Vois pas d'quoi tu parles...

- Il m'énerve... Il m'énerve... Il m'énerve... Il m'énerve...

- Calme-toi G, rassura Asari, Giotto a vraiment l'air de nous en vouloir.

- Nan, j'crois que j'avais pas remarqué... Merci de ton aide Asari, ça m'a vraiment été utile !

- Oh, mais de rien.

- M'énerve tous... Tuer tous... M'énerve... Tuer...

- Je pense qu'on l'a perdu. Affirma Elena, avec un regard blasé sur G, qui murmurait des incantations dans une langue inconnu.

- Ça va être compliqué de le ramener là... Assura Asari. Giotto, tu pourra quand même expliqué pourquoi tu nous as tous transformer en glaçon, à l'exception de toi, Elena, Lampo et Knuckles ?

- J'avoue ! Je vais tous vous avouer ! En fait, dit-il avec une petite moue enfantine, j'ai l'étrange sentiment que vous avez, encore, détruit ma salle à manger, mais je ne vois vraiment pas pourquoi, je pense ça...

- ... Et c'est pour ça que tu nous as bloqués dans cette glace ? Quémanda Deamon.

- Effectivement, mais ce n'est pas tous, tous les quatre, vous allez réparer la salle à manger de vos petites mains, sans utiliser vos flammes et surtout en payant de votre poche. Pour cela vous n'aurez plus recours à l'argent que vous avez gagné, et votre salaire sera réduit de... voyons voir... 7/8. Pas d'objection ?

- Je-

- Pas d'objection. Redemanda Giotto, sur un ton plus froid et plus dangereux.

- ... Non.

- Bien ! Vous allez encore resté un peu dans cette glace. De toute façon, elle ne fondra que lorsque j'en aurais la volonté et l'envie.

- Mais c'est quoi ce truc ?! Hurla G, se réveillant de son choc, dû à sa baisse de salaire.

- Ce "truc", comme tu l'appelle, ce nomme la percée du point zéro.

- Excuse-moi, Primo, mais pourquoi "zéro" ? Quémanda Elena.

- De quoi ?

- Oui, je me demandais pourquoi zéro... A ce que je sais tu est le 1er parrain, pas le zéro... Affirma Elena.

- Bah... A dire vrai, je trouvais que le position ressemblait plus à un zéro qu'à un un...

- Moi, j'aurais plutôt dit un triangle ou un rectangle. Avisa Alaude.

- Pour tout te dire, j'avais songé à cela, mais je trouvais que la percée du point triangle ou la percée du point rectangle, sonnait beaucoup moins bien que percée du point zéro.

- C'est vrai.

- Quelqu'un peut-il me dire pourquoi est-ce que l'on parle de ça, alors que l'on est complètement congelé ?! Hurla G.

- ...

Finalement, plus par insistance d'Elena, pour que ces hommes fassent le ménage, que par envie, Giotto libéra les cinq hommes de leur congélateur personnel. Mais, le Primo, changea vite d'avis, en voyant, ces gardiens, avoir du mal, à nettoyer, à ranger, chaque recoins du manoir. Il en profita très bien, lui aussi assis dans son transat avec Elena et Knuckles, tandis qu'Alaude devait leur faire du vent avec une feuille de bananier. Et si seulement l'un des cinq, venait à se révolter, il subirait la colère et de Giotto et d'Elena. Donc, à ses risques et périls...

Mais toute les bonne choses ont une fin, malheureusement, et ce fut la même chose que ce petit bonheur. Lorsque toute la maison fut parfaitement brillante, Alaude fut congédier par Elena, et Giotto du aller rejoindre sa paperasse qui l'attendait.

Et donc voilà, maintenant, vous savez pourquoi Giotto, pestait contre ses gardiens. Car si ils n'avaient pas fait autant de bordel, il n'aurait pas eu tant de paperasses, car oui, pendant qu'il devait surveillé ses gardiens, ses autres hommes de mains, avaient rendus leur rapport.

Giotto soupira, et du se remettre au boulot, ressassant encore et encore ce petit moment de bonheur. Il lisait, mettait le papier dans une pile si il jugeait qu'il n'était pas convenable, ou apposait sa signature et sa flamme de dernière volonté et mettait la feuille dans une autre pile.

A bout d'un moment, il tomba finalement sur une lettre, il allait la mettre de côté avec les autres lettre qu'il lirait après avoir finit le rapport. Mais, sa couleur le surprit... Elle était noire ! Oui, belle et bien noire, signe d'une déclaration de guerre? D'une menace ? De mort ? Ou autre ? (Lorsque tu es boss de la mafia, et que tu reçoit une lettre de couleur noire, cela revient (souvent) à faire une déclaration de guerre ou quelques chose qui y ressemble. En fait c'est une sorte de défis, qui implique non seulement le boss, mais aussi toute la famille, du plus innocent au gardien.) Intrigué, il l'ouvrit et la lu. Ouvrant les yeux, il ne comprit pas ce qui était écrit. Cela n'avait aucun sens, ce n'était pas comme tous les autres lettres noires qu'il avait reçu, qui se comptait sur les doigts d'une main. Dans un sens, c'était plus effrayant, mystérieux... Il n'y avait qu'une seule phrase, et unique phrase, dénié de tous sens :

" Avez-vous déjà rêvez de voir l'avenir du passé ?"

L'avenir du passé ?

Qu'est-ce que cela voulait dire ?

L'avenir ? Est-ce le futur ?

Et le passé ? L'ancien-temps ? Le temps de ses ancêtres ?

Ou autre ?

Mais alors, pourquoi cette phrase "l'avenir du passé" ?

Et surtout pourquoi, l'avait-il reçu ? Lui ?

Pourquoi lui ?

Puis d'un coup, son hyper-intuition, lui murmura, susurrant, un malheur, tel la mort, tel le malheur qui allait s'abattre sur eux. Il partit rejoindre ses gardiens, qui étaient tous dans le salon, sans l'autorisation de sortir de cette salle, pour les faire réfléchir un peu sur leurs bêtises. Quelque de chose d'énorme, allait leur tomber dessus, mais avec aucun moyen de s'enfuir, voila se ce que lui chuchotait, maintenant, son intuition.

Il dévala les marches de l'escalier, sautant les dernières marches pour ne pas perdre de temps, et se récupérant, après avoir sauté par dessus la rambarde. Il releva la tête, accroupis, puis repartit en courant, se dirigeant vers ses précieux amis. Il arriva, vers eux, mais se fut trop tard, une fumée noirâtre explosa dans la salle, étouffant les toussotements, laissant prise à la panique.

Mais que se passait-il donc ?!

Giotto malgré que la fumée lui brûlait la gorge et que ses yeux pleuraient, il chercha ses compagnons. Remarquant qu'ils allaient tous bien, malgré que la plupart tentait d'évacuer la fumée qui s'était immiscé dans leurs poumons.

Lorsqu'il fut enfin rassuré, par rapport à ses compagnons, il regarda son environnement, cherchant la cause de cette étrange fumée, il ne voyait rien, cette dernière encore trop présente. Il entendait seulement quelques bribes de sons, des cris inaudibles, incompréhensibles, comme lorsque Asari parlait trop vide en japonais. Il croyait même entendre un enfant pleurer...

La fumée se dissipait peu à peu, pour laisser place à un groupe de jeunes personnes, ne laissant pas encore leur visage se dévoilés. Il voyait seulement, un homme tenir quelque chose dans ses bras, et le reste des personnes entourant ce premier. Était-ce vraiment quelque chose ? Non ! C'était quelqu'un ! Un jeune homme, qui avait l'air affaiblis et grièvement blessé.

Sans réfléchir aux conséquences, Giotto, partit vers certes personne, comme pousser par une puissance inconnu, qui le dirigeait automatiquement vers lui.


The end !


(1) Je vous rappelle que Lampo est un "Ore-sama", comme il aime s'appeler. Ce qu'il fait qu'il est "prince", ou fils d'une famille très puissante, j'en ai donc conclu qu'il pouvait bien appartenir à une famille (un peu comme Lambo), mais qu'il a préféré être avec Giotto pour des raisons x ou y. Contrairement à Lambo, c'est plus parce qu'il s'ennuyait beaucoup trop dans sa famille, qu'il est aller avec Giotto (d'où sa flemme légendaire).

(2) Je tiens à préciser que ce n'est en aucun cas, une position dans une religion. Je n'appartiens à aucune religion, mais était française, il est vrai, que l'on nous as plus appris à connaître la religion chrétienne, donc j'ai donc cité le paradis, même si c'est vrai que j'aurai très bien put parler d'une autre religion. Tout cela pour dire, qu'en France, que la plupart des gens sont chrétiens ou connaissent cette religion (je dit bien que cela est mon point de vue), j'ai donc utiliser le mot "paradis", pour parler au plus grand nombre. Je ne prends en aucun cas partit de l'une des religions existant dans le monde.

(3) C'est exactement la même chose que le (2), je ne possède pas suffisamment de connaissance en matière de religion, les seules choses que je connaisse, ce sont les idées reçus de la société et j'avoue que je me déçoit moi-même, c'est pour cela que si certains veulent me parler de leur religion, je suis tout ouïe et ouverte pour les écoutés. Ça me ferrait extrêmement plaisir de connaître de nouvelles choses et de nouvelles personnes.


Dragonne : Yaho ! Alors, comment c'était ? En fait, je suis vraiment contente de changer mon style d'écriture, je trouve l'histoire plus approfondis, plus plaisante. Et tu sais quoi. J'ai fais exactement 5.105 mots en tout !

Yukkin : Je dois avouer, que le fait de réécrire toute ton histoire était une idée judicieuse. Ton histoire est beaucoup plus intéressante. Mais j'espère que tu ne vas pas mettre autant de temps à réécrire les autres chapitres.

Dragonne : Ça c'est pas dit... Parce que vu la longueur que je dois réécrire et le temps que j'ai pour le faire, ça va être short mais vraiment short !

Yukkin : Ouais, c'est sur, c'est pour dire le bac tecno... Surtout les stages... Mais peut-être pendant les vacances ça ira.

Dragonne : Je vais tenter, mais je ne promets rien... Bon, je pense que l'on a tout dit, j'espère que cette nouvelle histoire vous plaira ! Allez, je vous lai-

Yukkin : STOP !

Dragonne : Quoi ?! Qu'est-ce qui se passe ?! On cambriole la maison ?! *sors ses paires de ciseaux*

Yukkin : Hein ? Non, mais non. Mais t'as déjà vu des personnes cambrioler une maison en pleine journée ?

Dragonne : Vu comme ça, ça ruine le rêve.

Yukkin : Et tu voulais faire quoi avec tes ciseaux, là ?

Dragonne : *sourire sadique* T'as vraiment besoin de poser la question ?

Yukkin : Non, je connais déjà la réponse.

Dragonne : Et je peux savoir pourquoi tu m'as empêcher de laisser mon commentaire la-dessus ?

Yukkin : Parce que t'as pas parlé du nouveau concept des citations et le fait que tu maintenant tu parlera toujours avec moi, à la fin de chaque chapitre.

Dragonne : Ça ? Ah ! D'accord, oui, ben excuse-moi, mais j'étais trop a fond dans le chapitre que je t'ai oublié.

Yukkin : Quoi ?! *Soupir* Un jour mon arme te tuera.

Dragonne: Et tu mourra avec moi.

Yukkin : Je te déteste.

Dragonne : Moi aussi je t'aime.

Yukkin : Je- Attends quoi ? Tu m'as dit "je t'aime" ?!

Dragonne : Je t'aime ? Ah pardon, je rectifie quelque chose. Moi aussi je m'aime.

Yukkin : Je me disais aussi. Et pour les citations ?

Dragonne : Oui, oui... En fait, pour faire cours, je vais, au fur et à mesure utiliser des citations, connu ou non dans chacun de mes chapitres.

Yukkin : Bien, et maintenant moi !

Dragonne : A la fin de chaque chapitre, vous aurez nos commentaires à toutes les deux !

Yukkin : Même si on est une seule et même personne...

Dragonne : Exact...

Yukkin : T'imagines on ferait un spectacle toutes les deux, on pourrait gagner des millions !

Dragonne : Tu peux toujours rêvée.

Yukkin : Ben, pourquoi ?

Dragonne : T'imagines parler à une personne que je suis la seule à voir, pendant tout un spectacle ?

Yukkin : ... Je capitule.

Dragonne : 1 - 0 Pour Dragonne !

Yukkin : ...

Dragonne : La prochaine fois, je crois que je crois que je vais laisser "l'autre" rester avec toi...

Yukkin : Non ! T'es sérieuse, je suis d'accord pour qu'une personne qui as des idées psychopathes me parle, mais pas une personne qui les mets à exécution...

Dragonne : Va falloir t'y faire tant que je suis au lycée, ce sera "elle" et non Dragonne au commande...

Yukkin : Je veux mourir.

"Elle" : *Changement de personnalité* *Voix plus grave et corps qui changent* Je peux t'aider, si tu veux...

Yukkin : Oublie, si ça aurait été Dragonne, j'aurais peut-être du oui, mais vu qui tu es on oublie.

"Elle" : Dommage.

Yukkin : Psychopathe.

"Elle" : De quoi ?

Yukkin : Oh, un oiseau !

"Elle" : Je pourrais peut-être utiliser ma nouvelle paire de ciseaux. *joue avec cette dernière*

Yukkin : Non, ça ira, je vais m'en passé *rigole nerveusement* je suis vraiment désolée.

"Elle" : Tant mieux.

Yukkin : Par contre Dra, il faudrait mieux qu'on s'en aille, le commentaire est assez long, non ?

Dragonne : *retour personnalité* ... Bye-Bie !