Partie1 :
Une romance ne peut pas s'épanouir sur de mauvaise base
Elle faisait des vas et viens dans sa salle de bain. La jolie petite métisse était stressée tenant un petit bâtonnet dans ses mains. A chaque bruit de son horloge, son cœur battait très fort. Elle se répétait sans cesse que ça ne pouvait pas lui arriver. Cela avait commencé dans un moment de pur euphorie, les fête de rentrée de Caroline Forbes étaient les meilleurs. Champagne, vins et bières coulaient à flot ce soir là, l'objet de ses désirs profond était bizarrement accessible. Depuis ce soir là, elle n'arrivait plus à le quitter. Ils vivaient leur relation cachée loin des regards indiscret. Ils étaient comme même censé se détester et pourtant….tous les soirs, ils se rencontraient sur le pont Wickly juste pour s'enlacer s'embrasser tendrement et puis si l'envie leur prenait, il passait un moment intime et fiévreux dans la voiture de Damon.
La minuterie sonna, le moment fatidique arriva. Elle souffla fortement, les mains tremblante elle tourna le bâtonnet.
-« c'est partie…. » Elle baissa la tête, son souffle fut couper en voyant le résultat. Soudain le test tomba, une seconde plus tard elle fut plaquer contre le mur.
-« Tu ne sais pas comment tu as pu me manquer Bonnie » Il la souleva pour la poser sur le rebord du lavabo. Il ne se rendit pas compte qu'elle pleurait à chaude larmes. Tous ce qu'il voulait était de l'embrasser, être auprès d'elle. C'était une véritable souffrance d'être à la fois proche et à la fois loin d'elle. Il quitta ses lèvres pour poser sa tête contre le ventre de Bonnie. « Je suis le seul à mettre ennuyer aujourd'hui ? » elle ne le répondit pas« Bonnie ? » il releva la tête, c'est là qu'il vit son visage ravager par les larmes, tétanisés par la peur. « Dis-moi ce qu'il se passe »
-« Je crois… » elle n'arrive pas à trouver ses mots
-« Tu crois quoi ? »
-« Il faut que l'on arrête tout ça n'a pas de sens »
-« Le lycée est bientôt fini » « Soit patiente »
-« Désolée ma décision est prise » il sourit
-« Tu n'es pas sérieuse »
-« Bien sure que si Damon ! » le beau brun, passa sa main dans ses cheveux, il allait partir mais revint sur ses pas
-« Tu es à moi Bennett » il lui prit le visage « Je te laisse, demain tu seras surement mieux luné » « Je pensais que tu serais contente de savoir que j'ai obtenu les places pour le concert » Il fouilla sa poche « Tiens »
-« J'en veux pas »
-« Putain Bonniiiiiiiie ! » Il renversa tous ce qui était sur son passage.
-« Arrêtes tu me fais peur »
-« Alors ne me quittes PAS ! »
-« TU NE VOUDRAS PLUS DE MOI QUAND TU LE SERAS! »
-« QUAND JE SERAIS QUOI ! » Il s'approcha d'elle en buttant sur quelque chose. Il baissa les yeux et vit le test. Il regarda de nouveau Bonnie puis se baissa.
-« Je suis désolée Damon »
-« Il doit y avoir une erreur ! » « On sait toujours protégé» « Tu as due surement me tromper »
-« NON » elle secoua la tête « Il n'y a que toi, tu le sais »
-« Je ne suis pas le père ! » Il jeta le test puis tourna le dos à Bonnie sans jamais se retourner
-« DAMON ! » « DAMMMONNNNNNNNNNN ! » cria-t-elle. Elle le supplia courant après lui. Ses yeux étaient embuer de larmes quand elle s'arrêta en plein milieu des escaliers voyant la porte de sa maison grande ouverte. Bonnie n'arrivait plus a reprendre son souffle, le désespoir était à son comble. Elle se sentait vidée, épuisée, elle s'assit sur l'une des marches. « Je suis désolée, je t'aime tellement… » prise d'une douleur fulgurante en bas du ventre, elle se leva brusquement. Si violemment que sa tête se fit plus lourde.
-« Bonnie tu peux m'expliquer pourquoi ce crétin de Salvatore viens de sortir d'ici » Bonnie répondit pas « Ah je vois, il est venue avoir sa dose de pique pour la journée parce qu'il ne t'a pas vu au lycée » Elle s'avança et ne rendit pas compte que sa meilleure amie allait mal « Ah les hommes, en tout cas son pote Klaus est vraiment canon » « Il m'a embrasser aujourd'hui et il veut que l'on sorte un de ces soirs » elle fit tomber son sac puis se dirigea vers la cuisine « Je te prend….. » elle ne finit pas sa phrase en entendant un grand bruit « Bonnie qu'est-ce qu'il se passe ? » elle se précipita vers l'entrée et ce qu'elle vit l'horrifia : Bonnie était inconsciente au sol
Quelques mois auparavant, le 15 août 2007
Chez Caroline, la fête ne pouvait pas mieux se passer. Presque tout le lycée était présent, il ne manquait plus que le groupe le plus détestable. La jolie blonde soupira d'aise, elle ne voulait pas d'eux chez-elle. C'était surtout qu'elle ne voulait pas que Damon emmerde Bonnie toute la soirée. Il faut croire que son jeu favoris était de trouver comme mettre en rogne son amie en moins d'une seconde. Un sourire, une phrase bien incisive et le tour était jouer. Ce soir, il ne devait pas avoir de tension, la jolie métisse devait s'amuser pour oublier l'été merdique avec ses parents qui venaient juste de divorcer. Damon Salvatore, ne devait pas foutre son plan à l'eau. Mais, rien n'arrêtait le beau brun aux yeux bleus, ils étaient suivis de près par ses acolytes il sillonnait la foule jusqu'à arriver près d'elles.
Damon sourit en les voyant, il s'approcha de Bonnie pour lui prendre son verre de punch. Il avala d'un trait sur le regard noir de Bonnie
-« Ne sois pas fâcher Bennett, cette boisson n'est pas faite pour toi » « Va voir si une boisson non alcoolisé t'attends là-bas » Bonnie lui sourit, elle prit un verre dans les mains d'un passant pour le jeter sur le trouble fait
-«Prends ça enfoiré » « Il faudrait peut-être que tu grandisses un peu, la fin du lycée approche » Elle prit le bras de Caroline « Allons-y »
-« A plus tard, petite juge » « c'était un plaisir de te voir » disait-il en se léchant les lèvres. Klaus se trouvant à ses côtés rigola
-« Tu t'y prends très mal si tu veux la mettre dans ton lit »
-« Arrêtes de raconter n'importe quoi ? »
-« Damon, je suis ton meilleur pote, je sais que tu aimes quand les filles te résiste mais là c'est une erreur de calcule »
-« Arrêtes ça tout de suite »
-« Je dis ça pour toi ! Ton taux de popularité est à son comble depuis que tu as quitter l'autre cruche d'Elena Gilbert » « Il ne manquerait plus que tu fiches tout en l'air en te mettant en couple avec l'intello de service » « Tant que tout le monde crois que vous vous détestez à mort ça me va, mais ne va pas visiter son jardin secret »
-« On se déteste »
-« Fait croire ça à d'autre » « Il y a une tension sexuelle entre vous c'est omniprésent et presque gênant » « Tu ne te demande pas pourquoi Elena refusait que tu l'invité à tes fêtes » Damon était agacé
« La popularité, je m'en contre fiche, je veux juste passer une bonne soirée à lancer des piques à Bennett »
-« Tu sais qu'elle n'est pas n'importe quelle fille, tu l'essayes une fois et tu es accro » « Choisit une fille dans l'équipe de pom-pom girl mais pas elle » « C'est ta dernière chance d'être présélectionner pour rentrée à la time de l'université de ton choix. »
-« Je suis beau riche et très intelligeant, je peux m'offrir n'importe laquelle »
-« On avait un rêve mon pote allez à Harvard toi et moi quater back, ne gâche pas tout » Il lui donna une tape sur le dos « Des filles comme elle, il n'y aura pas mal à l'université » « On s'en foutra de notre popularité mais cette année non » « Et puis qu'est-ce que va penser ton père quand il sera que tu as le béguin pour la fille de son concurrent sur le marché »
-« Elle ne m'intéresse pas ! toi arrête de faire les yeux doux à Forbes »
-« Moi ce n'est pas pareille !Nos familles ne pèse pas de tonne de million comme les vôtres » « ça fera polémique et pas que dans le lycée » « Et dit toi c'est la dernière année où tu pourras sans complexe butiner de fleur en fleur »
-« Et qui t'a dit que je ne pensais pas me poser » Il laissa Klaus sans voix. Il alla prendre l'air et ne s'attendant pas à voir Bonnie.
-« Maintenant, tu me suis ! »
-« Ne crois pas que tu es le centre de mon attention » Bonnie sourit
-« Dès fois, je me pose des questions » Elle allait s'enfuir mais Damon la retint
-« On peut se parler pour une fois, sans pique » disait d'un ton lasse
-« Sans façon, j'ai décider de m'amuser ce soir » « Alors reste loin de moi »
-« Attends »
-« Non, je suis sérieuse Damon » « Laisses-moi tranquille, j'ai besoin de m'amuser » Il souffla, Damon aurait aimé lui parler avoir enfin une conversation avec une personne qui serait susceptible de le comprendre.
Il la regarda partir puis se retourna pour regarder la vue qui s'offrait à lui. Soudain, il sentit une main lui caresser l'épaule. Doucement il se retourna puis se crispa
-« Alors la belle Bonnie Bennett t'a rembarré » « Tu as eu ta chance Damon, maintenant retourne auprès de moi »
-« Sans façon Elena ! Elijah voudrait peut-être te reprendre » elle se colla à lui
-« 1005 est le numéro de la chambre que j'ai réserver, je t-y attendrais toute la nuit si il le faut » elle posa délicatement ses lèvres sur la commissure de ses lèvres puis partit. Et deux heures plus tard, il était toujours à la fête. L'idée de rejoindre son ex ne lui avait pas traverser l'esprit. Ses pensées étaient tournées sur le jolie bout de femme qui dansaient avec trois mecs à la fois. Elle avait du boire des tonnes et des tonnes de verres. Il l'observait entrain de se dandiner, un des mec en profitait pour faire un collé serrer, un autre lui dégagea la nuque pour lui embrasser la nuque. Damon n'en pouvait plus, il poussa les trois gugusses et éloigna Bonnie de la fête en montant à l'étage.
-« Qu'est-ce que tu fais ? »
-« Je m'amuse »
-« Je ne pense pas que t'envoyer en l'air avec trois mecs s'est s'amuser »
-« Ce n'est pas tes affaires » s'emporta Bonnie
-« Désolé d'avoir mit les plans de madame à l'eau »la tête de Damon partit sur les côtés
-« Tu l'as bien mérité, si j'ai envie de me faire trois mecs, je n'ai aucunement besoin de ton approbation » Damon s'approcha d'elle
-« Tu mérites beaucoup mieux que ça »
-« Tu ne me connais pas »
-« Oh que si ! » Il fit quelque en avant Bonnie se trouva bloquer contre le lavabo
-« Ne fais pas ça »
-« Quoi ? »
-« Briser notre équilibre » « Toi et moi, on est sensé de détester » Damon avait envie de l'embrasser mais elle le poussa et partit au loin.
Damon souffla, il l'a trouvait tellement craquante. Il se léchait les lèvres puis descendit en bas pour prendre un verre car il avait très chaud.
Ses yeux la suivirent encore et encore. Elle se trouvait avec Caroline et Klaus. Il en profita pour se joindre à eux
-« Blondie tu devrais dire à ton amie de limité la boisson » répliqua Damon
-« Mêle toi de tes affaires Salvatore ! » Elle finit son verre par provocation « Care, excuse-moi je vais prendre l'air »
-« Tu veux que je vienne avec toi ? »
-« Non ça ira, mais si dans quinze minutes je ne reviens pas appel les urgences » Caroline sourit. Klaus vit le manège de Damon, il lui donna un coup de coude
-« Moi aussi, j'ai besoin de prendre l'air » il leurs sourit
-« Ton pote est incorrigible, quand il arrêtera de l'embêter »
-« Quand, il aura eu dans son lit » il but cul sec son verre puis partit. Caroline ne comprit pas Klaus puis réalisa. C'était impensable pour elle que Damon soit enticher de Bonnie.
A l'extérieur, Bonnie essaya de calmer les battements de son cœur. Damon lui faisait un drôle d'effet. Il était plus attirant que d'habitude, plus disposer à l'écouter et à parler. Elle trouvait ça étrange mais le pire était les papillons qu'elle avait ressentit dans la salle de bain. Ce soir, il était dangereusement tentant, il s'offrait à elle et pourtant elle le repoussait. Bonnie n'était pas prête à bouleverser leur petit équilibre et son père ne serait pas d'accord qu'elle cède même si c'était pour quelque mois. Et au fond elle, elle avait le pressentiment que c'était au delà d'une aventure. Son cœur avait repris une vitesse normale, sa tête embrumer, elle ne se rendit pas compte qu'il était derrière elle.
Son souffle chaud caressa son cou, la réveilla et la rendit toute pantoise. Le souffle de nouveau couper, elle le laisse la retourner. Elle n'avait aucune force pour le rejeter, elle en avait tout autant qu'envie de lui, de l'embrasser en plus ils étaient seuls.
Il se pencha vers ses lèvres tant désirés. Il prit du temps avant de poser ses lèvres sur les siennes. C'était beaucoup trop long selon Bonnie, elle initial le baiser. Ils ressentirent un choc électrique puissant. Cela ne les décourageait aucunement, ils approfondirent et vint très vite intense et profond. Leur langue se cherchèrent et se gouttèrent. Bonnie en perdait l'équilibre, Damon la maintenait fortement contre lui puis recula contre un mur pour que personne de les déranges.
Le souffle leur manquait, ils se détachèrent loin de l'autre.
-« On n'aurait pas du »
-« Je ne suis avec personne Bonnie et toi non plus à ce que je sache » « Personne ne nous oblige à ne pas continuer »
-« Je ne suis pas une fille de plus sur ton tableau de chasse »
-« On est bien d'accord » Il lui caressait le visage « Tu es bien plus » lui disait-il en la dévorant des yeux. Il s'apprêtait à s'emparer de ses lèvres rosies par le premier baiser mais Caroline arrivait à ce moment là
-« A te voilà » « J'ai un mec à te présenter, il est canon » Elle prit Bonnie sans faire attention à Damon.
-« Merde » « Elle me rends dingue »
-« Qui te rends dingue ? » Demanda Stefan qui passait par là
-« Bennett » il ne laissait Stefan répliquer qu'il partit déjà la chercher. Heureusement pour lui, elle était près de la porte. Il lui prit la main la fit entrer et ferma la porte « Tu restes avec moi » Il lui caressa son visage, simple geste la fit frissonner
-« Ok » chuchota-t-elle. Il l'embrassa fiévreusement. L'un et l'autre ne pouvait plus attendre, ils voulaient beaucoup plus. Cet endroit était exiguë mais cela n'avait pas d'importance. Les jambes croisées sur les hanches de Damon, le dos contre le mur, Damon s'enfonçaient en elle avec beaucoup de douceur. Elle étouffait ses gémissements en mordant l'épaule de Damon. Encore habiller, ils étaient humide très en chaleur. Ils ne souhaitaient pas quitter cette position. Longtemps sans bouger Bonnie lui chuchota « Continue » cela le rendait fou, il fit ses va et viens de plus en plus vite tout en continuant à l'embrasser ses lèvres et son cou. Ses ongles plantés dans son dos, elle contrôlait ses papillons dans le ventre. Elle ne voulait pas que quelqu'un les entendent. Bonnie quitta le dos de Damon pour ébouriffer ses cheveux et l'embrassa sa bouche si exquises. Ils gémirent en même temps dans un baiser, oubliant qu'il y avait du monde autour. Un sourire esquissa leur visage. Ils avaient terriblement aimé leur acte même si Bonnie aurait préférer d'autre circonstance un autre endroit mais Damon avait été prévenant comme si il savait que c'était sa première fois. « Sers-moi fort, Damon » chuchota-t-elle « Ne me lâches pas »
Damon la pressa contre lui, lui aussi ne voulait pas la quitter. Il aurait aimer poursuivre, lui parcourir de baiser toute la nuit s'il le pouvait. Il embrassa le front, vit une fenêtre en haut.
-« Je paris, que ne souhaite pas qu'on nous voit sortir tous les deux d'ici » toujours en elle.
-« Oui mais pas maintenant » Elle lui caressa la nuque, se cambra un peu plus. Damon sourit
-« Moi aussi, mais j'aimerai avoir un lit » Bonnie sourit
-« Alors on fait quoi ? »
-« On sort pas la fenêtre et je te faire rentrée en douce chez moi »
-« Même si c'est dangereux, je suis partante » Damon l'embrassa puis la fit descendre.
Quelques minutes après,
-« Je suis prête »
-« Allons-y »
Temps présent
Caroline attendait dehors de la chambre de Bonnie avec Monsieur Bennett. Elle vit Damon sortir de l'ascenseur, très vite elle lui prit la main pour rentrer avec lui dans l'engin de malheur.
-« Qu'est-ce que tu fou ici ? » demanda Caroline
-« Là voir »
-« Elle n'a pas besoin de toi ici » « Tu es bien la dernière personne qu'elle veuille voir » puis appuya sur le bouton 0
Les portes s'ouvres « Si tu la respectes un tant soit peu et bien laisse la tranquille »
-« Comment va-t- elle Blondie »
-« Pourquoi tu t'inquiète tant pour elle »
-« On couche ensemble s'a crée des liens »
-« Quoi ? »
-« Comment elle va ? »
-« Mal »
-« Dis- lui que sait fini tant qu'elle ne règle pas le problème »
-« Quel problème et qu'est-ce-qui est fini ?»
-« Demande lui » il sortit de l'ascenseur pour quitter l'hôpital. Malencontreusement il entendit une conversation d'une infirmière.
-« Toi occupe toi de la patiente de la chambre 205 moi j'irai voir la 210 »
-« Pourquoi ? »
-« C'est une fausse couche, je suis plus expérimenter que toi » le cœur du jeune homme manquait un battement. Pour en être sur qu'il s'agisse d'elle, il alla à leur rencontre.
-« Désolé, j'ai cru comprendre que vous parlez de Bonnie Bennett »
-« Vous êtes qui ? » demanda l'infirmière
-« Son petit ami »mentit-il. Il ne savait même pas s'il sortait encore ensemble
-« Désolée mais votre enfant n' a pas survécu » « Excusez-nous »
