Bien sur tout ce qui et du thème appartient à JKR!=D

Salut! Voilà c'est ma première histoire, alors j'attends vos impressions, critiques (constructives) et suggestion!

Bonne lecture!

18 Août 1976

Le jour commencé à pointer à l'horizon, les rayons du soleil filtraient à travers les rideaux épais de la chambre, montrant au grand jour la mystérieuse danse de la poussière. Au fur et à mesure que les minutes défilaient, la lumière se rapprochait sournoisement du visage de la jeune endormie. Tout était calme, paisible et silencieux. En même temps à onze du matin, plein mois d'aout la chaleur commencé à être étouffante, et le moindre geste faisait suer.

« Johaaaaaaaaanne! Debout! »

J'avais dis calme et tranquille? Oups, désolée! J'avais oublié de préciser que la nourrice était arrivée un peu plus tôt. Juste le temps de poser son éternelle ombrelle et son chapeau tresser, et elle criait déjà. En même temps, elle n'avait pas tout à fait tord. Mais marquons une courte pause. Je vais vous présenter ma nourrice!

Jany, la soixantaine, et une pèche d'enfer. Elle est même des fois plus speed que moi. C'est ma nourrice depuis... 16ans. Depuis ma naissance quoi. Mes parents sont tout les deux des historiens renommé, et donc très souvent en voyage. Ma Nyny est comme ma maman. Et ce matin, elle est en pétard. Nous devons absolument aller au chemin de traverse, pour faire les courses pour la rentrée, mais si vous savez, robes, livres, plumes et autre ustensiles indispensable pour toute bonne sorcière en devenir. Comme moi elle est passionné de danse et d'histoire, c'est ma première confidente et je l'ai plus que tout!

« Johanne Laurie Marie Pleester! » Hurla-t-elle en tirant la couette qui me tenait chaud, provoquant chez moi le réflexe de la position fétale.

« Nyny... » dis-je en me couvrant la tête de mes bras, pour protéger mes pauvres yeux de la lumière aveuglante de l'astre solaire, lorsque la mégère ouvrit grand les rideaux et la fenêtre. Ah, j'ai dis que je l'aimais plus que tout? Oui bon enfin, sauf quand elle ne vas pas dans le sens de ma fainéantise.

« Allez Johanne, lève toi, sinon il y aura beaucoup trop de monde! Ton petit déjeuner t'attendant bas et tu as reçu une lettre de tes parents. »

A cette dernière phrase, je me rendis totalement, se qui n'échappa pas à ma maman bis.

« Allons ma chérie, tu sais bien que ce n'ai pas de leur faute s'il nous pas pus-être là pour ton anniversaire...

- Ils ne sont jamais là de toute façon. »

D'un élan brusque je me levai, et partait en courant dans la salle de bain. Une fois mon pyjama enlevé je me réfugié sous l'eau brulante et me laissé tomber au fond de la douche. Là, l'eau ruissela le long de mon corps et toute ma frustration s'en alla avec elle. J'avais fini par m'habituer à l'absence continuelle de mes parents, mais je ne pouvais m'empêcher de regretter leur absence. Nyny me rappela à l'ordre et je m'empressai alors de finir ma douche et de me préparer. J'enfilais un chemisier à manche courte blanc, légèrement broder et une jupe vert pale, et pour finir je chaussé une paire de sandale blanche. J'étais en train de finir d'attacher mes cheveux en une natte serré dans les escalier, lorsque je la vit débouler, rouge pivoine et hurler mon prénom, encore une fois. Je lui souris et leva les main en signe d'apaisement.

« Je suis là, je mange un bout vite fait et on peu y aller. »

Elle ne dit rien et se contenta juste de me regarder manger deux tartines beurré et avaler un verre de jus de pomme. Une fois toute le deux prête, elle me tendis la main, que j'attrapai, en dans un pop sonore nous disparaissions toute les deux.

Au chemin de traverse, une cohue du tonnerre nous attendait, et je gémissait de voir tant de monde. Jany me lança un regard torve, qui signifiait je t'avais prévenue. Toujours en me tenant la main comme si j'étais une petite fille, elle se fit un chemin dans la foule et nous fit faire nos corse au pas de course. Je voulus m'attarder un peu chez Fleury et Bott pour trouver de nouveau livre, quand un ricanement gras et sonore se fit entendre derrière moi.

« Tien mais qui voilà! »

Je me figeait, un exemplaire de métamorphose avancée dans les bras, et deux autre rires s'unirent au premier.

Oh non pas eux!

« Mais oui, c'est bien notre petite souris! Alors tu as passé un bon été? Riche en bouquin je suis sur!

-Oh mais on dirait qu'elle à fini sa réserve et qu'elle vient pour refaire un stock! »

Le plus grand des trois, un brun qui ne laissait presque aucune fille indifférente, s'approcha de moi et m'arrache le livre des bras.

« Métamorphose humaine avancée, de Gilberta Changelin. C'est que ça ne rigole plus! »

Tous les trois se mirent à rirent.

« Vous êtes ridicules. Si vous n'avez rien de plus intéressant à faire, je vous suggère d'essayer de trouver votre cerveau. »

Johanne fulminait, ils avait fallut qu'ils viennent au même moment qu'elle, et n'avait réussit qu'a se ridiculiser, encore une fois. Sirius, James et Remus la persécuté depuis la première année. Elle ne leur avait rien fait et n'était même pas dans leur maison. Ils étaient à Gryffondor, et elle, a Serdaigle. La jeune fille, ne comprenait pas cet acharnement. Ils étaient tous les 4, elle comprise dans le Top 5 des meilleurs élèves de leur promotion. La dernier faisant partie du top était Lily Evans. Johanne ne connaissait pas exactement leur classement, juste que ce n'était pas elle la cinquième. En tout cas ils prenaient un malin plaisir à ce moquer de son obsession pour les livres. Elle commencé à être fatigué de leur enfantillages et ils ne s'en rendaient même pas compte. Lorsqu'elle s'en alla, un des trois lui cria quelque chose.

« A bientôt à la bibliothèque petite souris! »

Elle ne leur répondit que d'un signe de la main. Ce qui l'étonna, avait elle rougissant, pleurait, fuyait hurlait, enragé... Mais aujourd'hui ça l'ennuyait. Pas plus.

La fin du mois d'août passa trop rapidement à son goût, et il fallut bientôt se rendre au quai 9 ¾ et bien sur recroiser les Maraudeurs. Dès qu'elle était arrivée sur le quai Sirus et Remus l'approchèrent un grand sourire carnassier sur leur visages. Mais elle n'était plus d'humeur, aussi leur fit elle un signe de la main et passa son chemin. Pour la première fois de sa vie, le train la menant à Poudlard se fit tranquillement. Du moins jusqu'à plus de la moitié du voyage.

Alors? Reviews!=D