Kon'nichiwa mina ! Et bienvenu pour ma toute première fiction qui portera sur notre bon vieux Ereri *w*

J'espère que l'histoire vous plairas, et je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes, souvent, je ne fais pas attention, mais j'essayerais d'en faire le moins possible.

Bref, assez blablaté, je vous laisse découvrir mon histoire.

Ja !

Mes pas résonnèrent dans le lieu où je travaillais. Courant à droite, à gauche afin de répondre aux besoins de tous les clients présents qui étaient, aujourd'hui, relativement nombreux. A croire qu'ils c'étaient tous donné le mot ! Je fini de prendre la commende d'une table, souriant, je m'excuse et cours donner la commande aux cuisiniers qui sont débordés, tout comme moi qui suis seul pour gérer la salle entière tout ça parce que monsieur tête de cheval est en retard ! La poisse ! Le jour où on a le plus de monde en plus. Je suis sur qu'il a fais exprès ! Je vois dans le fond de la salle une famille qui vient d'arriver et qui attend de passer commande. Sans perdre une seconde, je marche vers elle à toute allure, mon bloc-notes en main, et arrivant à leur table, j'affiche mon plus beau sourire en leur demandant ce qu'ils désirent. Notant ce qu'ils désirent, je souris et repart donner la commande. En même temps, je prends les entrées d'une table, ainsi que les plats d'une autre et part donner leurs repas aux clients. Souhaitant bonne appétit, je prends ensuite un pichet d'eau, du pain et des amuses bouches et les amènes à la famille dont je viens de prendre la commande pour les faire patienter. Je leur demande ce qu'ils veulent comme boisson, avant de répondre au désir de chacun en leur apportant ce qu'ils souhaitent boire. Je repars ensuite en cuisine pour prendre d'autres assiettes que j'amène aux clients, et ainsi de suite. Je vois un couple qui a fini, alors que je débarrasse leurs assiettes, leur demandant si ils ont bien mangé. Satisfait, ils se lèvent et partent. Je nettoie la table, remet des couverts propres, une serviette, et je repart courir dans toute la salle.

Et je dois tenir jusqu'à ma débauche, soit à dix huit heures, sachant qu'il n'est que 11h25 ! Si Jean ne ramène pas son cul de suite, je jure que je vais chez lui ce soir et le tue !

Donnant leurs plats à une table d'amis, l'un d'eux me demande si je suis seul aujourd'hui, ce à quoi je réponds par l'affirmatif.

-Vous avez bien du courage mon garçon.

Lui souriant, je le remercie, avant de retourner au travail, m'occupant des autres clients. Puis, alors que je fini de prendre une commande pour un dessert, qui je vois passant tout frais la porte du restaurant comme si de rien était ? Jean. Et il ne se presse même pas. Se figeant pour constater le monde qu'il y a, il me voit et s'empresse d'aller se changer. Lorsqu'il revient, je le fusille du regard.

-C'est pas trop tôt ! T'es au courant que tu devrais être là depuis une heure ! J'ai de la chance de n'avoir eu aucune plaintes de la part des clients pour le moment !

-Au ça va Jäger ! Me répliquât-il avant d'aller commencer son boulot.

Je lève les yeux au ciel, exaspéré. Attend, c'est lui qui est en retard d'une heure, et c'est moi qui dois fermer ma gueule ? Il se fou de moi là c'est pas possible. Gardant cela dans un coin de ma tête cependant, je me re concentre et retourne au travail. Toutes la journée fut sans repos. Chaque client qui repartait était remplacé par un nouveau qui arrivait. Vers quatorze heures en revanche, le rythme commença à ralentir, avant de repartir en trombe vers seize heure sans pour autant nous laisser le temps de souffler. Si avec ça, je ne perdais pas du poids, à moi la peur, même si je n'en prends pas plus que ça. Arrivé pour moi l'heure de partir, je vois mon collègue arriver. Celui-ci vient me voire, et m'informe que je peux rentrer chez moi. Le remerciant, je lui informe cependant du retard d'une heure de Jean, et celui-ci doit donc rester une heure de plus pour rattraper.

Laissant tous à ma relève, je pars dans les vestiaires, et soupire un bon coup, heureux que la journée soit enfin terminé pour moi. D'autant plus que je dois aussi faire mes devoirs. Je sens que je ne suis pas prêt de dormir moi. Ôtant ma tenu de serveur soit une chemise blanche, une cravate noir, un pantalon de même couleur, un tablier noir également et des chaussures cirées noires, je les remplacent par un haut à manches courtes noir, un jean, des baskets usées, une veste légère verte foncée, et je prends mon sac pour partir. Retraversant la salle, je vois Jean me tuer du regard, alors que je lui lance un regard l'air de dire : Et oui, la prochaine fois tu arriveras à l'heure du con. Passant les portes du restaurant, je souris en sentant l'air frais qui me fit un bien fou, avant de faire les gros yeux en voyant mon bus me passer devant. Entament un sprint à la Usain Bolt afin d'arriver à temps à l'arrêt de bus qui, heureusement pour moi, n'est pas bien loin, je remercie mon patron de m'avoir pris dans son restaurant en tant que serveur, ce qui me permet d'avoir une bonne endurance maintenant et d'avoir amélioré ma vitesse de course. Arrivant pile poile avant que le transport ne parte, je monte à bord, validant ma carte d'abonnement et je pars m'asseoir au fond, là où il reste des places.

Ouvrant mon sac, j'en sors mon agenda afin de voir les devoirs que j'ai à faire pour demain. Bien que je sois encore au lycée, et que je n'ai que dix sept ans, je suis obligé de travailler pour payer mon petit studio. Cela fait maintenant trois ans que ça dure, depuis la mort de ma mère, et la disparition de mon alcoolique de père quoi. Comme je ne pouvais pas garder la maison à cause des dettes de mon père, j'ai dû la vendre pour les payer, et avec l'argent de mère, je me suis acheté un petit studios, un minimum pour le décorer, ayant récupérer par mal de truc de ma maison, de quoi vivre la première semaine, le temps que je trouve un travail. Et c'est comme ça que j'ai fini par travailler au restaurant de M. Pixis, bien qu'habituellement il ne prend pas de mineur, il a fait une exception pour moi en vu de ma situation, et je lui en suis très reconnaissant.

Arrivant à mon arrêt, je descends, et marche un moment dans les rues du centre ville. Arrivant devant un bâtiment qui a été construit il y à même pas cinq ans, je sors mon badge pour ouvrir l'entrée, et je monte les trois étages, se bâtiments n'ayant pas eu l'option ascenseur. En temps normale, je m'en fiche, mais quant je reviens du boulot où que je dois monter avec les courses, là je l'envie cette boite de ferraille !

Arrivant devant ma porte d'entrée, je sors mes clés, et ouvre la porte me séparant de mon nid douillé. Pénétrant les lieux, je referme la porte à clé derrière moi, et pose mon sac contre le mur près de l'entrée. Lorsque l'on entre, on tombe directement sur un salon avec une minuscule cuisine ouverte. Puis, ouvrant la seule porte de l'endroit, on tombe sur la salle de bain avec toilette. Bref, un studios pour étudiant quoi, mais ça me suffit amplement.

M'affalant dans mon canapé lit, j'enlève mes chaussures ainsi que ma veste, et je prends ma télécommande pour allumer mon écran plasma, l'une des choses que j'ai récupéré de ma maison, et soupire en zappant un moment pour au finale l'éteindre et me mettre à mes devoirs espérant finir avant le dîner au moins.

Et voilà pour vous ce premier chapitre !

Dites moi ce que vous en pensez ; )