Cette fanfiction est une suite de Tu ne pourras pas toujours me fuir plus axé sur le mariage merveilleux de Thomas et Shefa. Néanmoins les autres personnages apparaîtront au cours de leur fréquentation avec ce couple central.

Le monde et les personnages de card captor ne m'appartiennent pas.


Si on peut finir par arriver !

Shefa et Thomas n'avait pas prononcé un mot de tout le voyage. Le silence pesant qui régnait entre eux rendait tous les gens qui les croisaient mal à l'aise. Ils entrèrent dans un hall d'hôtel et s'approcher de l'homme qui tenait la réception.

Shefa – Prend deux chambres !

Thomas – Peu pas, j'ai fui trop rapidement et j'ai presque plus d'argent sur moi.

Shefa – T'es pas sérieux j'espères ?

Thomas – Tu n'as qu'à t'en prendre à toi ! Tu n'as pas cesser de nous retarder, je t'avais prévenu que nous ne serions pas à Tomoéda avant la nuit si tu ne mettais pas fin à tes bavardages inutiles !

Shefa – Je parlais avec MA MÈRE !

Thomas – T'aurais pu abréger !

Le ton ne cessait d'augmenter et ils offraient un spectacle digne d'intérêt au résident de l'hôtel lorsque l'homme de la réception émit un léger toussotement. Thomas se retourna vers lui le visage rouge de rage et trait complètement crispé.

Homme – Oh, je vois que ce n'est pas la joie. Un évènement malheureux ?

Thomas – Oui, je viens de me marier…

Homme – Je vois, la jeune dame n'a pas appréciée de ne pas être l'heureuse élue et vous fait des reproches.

Thomas – Pas du tout, c'est elle qui m'a forcé à me marié. Maintenant, je suis obligé d'endurer cette furie alors que je ne peux la supporter.

Shefa – THOMAS, je te ferai remarqué que c'est de ta faute, si nous sommes lié aujourd'hui.

Thomas – Oh non, madame. Moi, j'allais me rétracté et m'enfuir avant tes petites menace sentimentaLE.

Shefa – Parle moi en. Monsieur allait me planter devant l'égliSEEE.

Sans porter attention au gens qui les regardait, Thomas et Shefa continuèrent leur querelle pour déterminer qui était le fautif.

Homme – Euh tenez une clé.

Thomas – Oh merci, je vais pouvoir aller dormir et ainsi ne plus entendre ses hurlements.

Shefa – Hurlement ! Reviens ici, THOMAS ! Je ne hurle jamais, je suis toujours TOUJOURS POSÉ, TU M'ENTENDS !

L'homme de la réception les regarda s'éloigné en secouant vivement la tête. Il se demandait si la femme de chambre n'allait pas trouver un cadavre le lendemain et lequel des deux serait mort.

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Shefa répétait sans cesse la même litanie accroupie dans la salle de bain de leur chambre d'hôtel.

Shefa – Je vais te tuer Anthony, je vais te tuer Anthony, je vais te tuer Anthony. Oh non, c'est Thomas que je vais assassiner.

Celui-ci dormait paisiblement dans la chambre prenant toute la place dans le lit. Même dans son sommeil, il arrivait à détester Shefa qui commençait sérieusement à en être malheureuse. D'accord leur mariage avait été légèrement forcé mais était ce une raison pour faire de sa vie un enfer ? Thomas n'avait cessé de l'ignorer pour ensuite l'insulter ou se quereller. Lorsqu'elle était sortit de sa douche, il dormait paisiblement et Shefa n'avait pu s'empêcher de le trouver mignon lorsqu'il sommeillait. Elle s'était préparée et avait pris place dans le lit à ses côtés. À peine avait t'elle fermer l'œil que Thomas s'était retourné et l'avait éjecter du lit. Soupirant, la jeune fille s'était relevé et était aller s'étendre de l'autre côté mais le même manège s'était reproduit. Même inconscient, il l'envoyait balader le plus loin possible de lui. Énervée, elle avait trépigné sur place, secoué son époux dans le vain espoir de l'éveiller mais ses efforts étaient demeuré inutile. Elle était mariée à un lourdaud au mauvais caractère, un arrogant prétentieux, un antisocial qui ne savait partagé et qui haïssait sa femme. Shefa était complètement désespéré et geler lorsqu'elle s'endormit enfin avec une seule idée dans la tête : lui faire payer !

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Thomas appuya sur l'accélérateur et serra la mâchoire de rage. Il n'avait qu'une hâte, arrivé chez lui pour abandonner sa femme chez son frère et enfin avoir la paix. Il lui suffirait ensuite d'attendre 6 mois et de demander une ANNULATION. En attendant qu'il puis ce réaliser se rêve, Thomas essayait de résister à l'envie de serrer le cou de la peste ambulante à ses côtés qui ne cessait de lui casser les oreilles. Lorsqu'ils n'avaient pu se mettre d'accord sur le poste de radio, Thomas dans son énervement avait arraché celle-ci. Depuis, le monstre à la voie cassante à ses côtés chantait étonnamment faux. L'atroce concert s'interrompait seulement le temps des incessantes demandes de la bécasse qui occupait le siège passager. Arrête toi, je dois aller aux toilettes. J'ai faim ou encore j'ai besoin de me dégourdir les jambes le pire était le nombre de fois incalculable ou elle lui demandait…

Shefa – Thomaaaaas, est ce qu'on est bientôt arrivé ?

Thomas – Non on n'est pas arrivé ! Est-ce que tu reconnais le cartier ?

Shefa – Euh non…

Thomas – Alors c'est qu'on est pas arriver et continu ainsi et tu n'arriveras jamais.

Shefa – Pourquoi ?

Thomas – Fou moi la paix Shefa…

Shefa – Ok, mais est ce qu'on arrive bientôt ?

Thomas grogna de rage et s'arrêta sur le bas côté. Il se pencha sur sa femme et ouvrit sa portière. Il défit la ceinture de sécurité et poussa Shefa à l'extérieur. Celle-ci trop choqué regarda Thomas refermer la portière et redémarrer sans réagir.

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Thomas était tranquillement assis à savourer le calme devant un délicieux café. Jamais silence ne lui avait semblé plus agréable et plus exquis. Les pas d'une serveuse qui s'approchait lui fit relevé la tête. Cauchemar vivant cette serveuse ressemblait autant à un homme qu'à une femme. Charpenté comme un foot baller, un nez que même Séverus Rogue ne pourrait lui envier elle ne semblait posséder qu'un seul sourcil. Elle lui fit néanmoins un sourire ravageur et se pencha outrageusement devant lui.

Lola – Dit moi beau brun, tu désire autre chose ?

Thomas ravala péniblement sa salive lorsque la charmante serveuse passa une main indiscrète le long de sa jambe.

Thomas – La présence de ma femme !

Il se leva brusquement et se précipita au comptoir. Il demanda rapidement un deuxième café pour emporter et régla sa facture. On lui apporta se qu'il avait demandé et il regarda à nouveau derrière lui. Lola lui fit a nouveau un sourire qui se voulait séducteur et avança dans sa direction. Thomas gémit, prit ses effets et courut littéralement vers la sortie.

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Shefa était assise sur le bord de la route et se questionnait sur ses actes. Pour mériter un sort pareil, elle avait du commettre un crime abominable. Pourtant, elle avait le souvenir d'avoir toujours été enjoué, sympathique, quelques fois énervante mais elle avait toujours eu des intentions louables. Alors pourquoi les dieux lui avaient donné un destin aussi merdique ? Un coup de klaxon la fit sortit de ses pensée et relevé la tête. Devant elle, la portière ouverte, Thomas attendait qu'elle monte. Soulagé de ne pas dormir sur le bas côté d'une route elle s'empressa de prendre place auprès de son irritable époux. Toutefois, elle ne daigna pas le regarder ou le remercier. Après tout, il l'avait abandonné sur une route déserte pendant une heures et demi.

Thomas – Tiens pour toi, mais maintenant plus un son jusqu'à notre arrivée.

Shefa se retourna pour voir se qu'il lui tendait et prit avec avidité la tasse de café. Elle en but une gorgé et due faire un effort pour ne pas le recraché.

Shefa – Assh, infecte, il n'y a pas de lait et une tonne de sucre !

Thomas – Six sucres en faites.

Shefa – Tu n'aurais pas pu le prendre comme je l'ai aime ?

Thomas – Non, ça t'aurait trop fait plaisir et je n'aime pas le lait.

Shefa – Tu n'aimes pas le lait, non mais quel défaite idiote pour me refuser un café buvable.

Thomas – Shefa, tu me donnes mal à la tête, bois se maudit café et tait toi !

Shefa – Comme toujours monsieur à parler.

Thomas – Et si tu continues, tu vas marcher pour le reste de tes jours !

Shefa se tue aussitôt lorsqu'elle vit le regard de Thomas se porter avec envie sur la portière passagère. Elle prit hâtivement une gorgée de café qui la fit grimacer se qui sembla ravir son sadique de mari. Néanmoins, elle ne fit aucun commentaire. Elle était résolue à ne plus prononcer un mot du trajet. Vivement la fin de se voyage éprouvant.


J'espère que ce commencement vous a plu. N'hésitez pas à m'envoyer des reviews. Je saurai ainsi si je dois poursuivre sur ma lancée ou changé de voie.