HHHEEEEEEEEELLLLLLLLLLLOOOOO ! Voici ma toute deuxième fiction! J'y crois pas! Je crois que je vais pleurer.

( -Epargne-nous ce spectacle déplorable, tu veux et présente nous

-Tu veux dire Moi.

- Non, NOUS.

-Bon, si tu veux: moi, c'est Kurea, mais appelez-moi Kurea-chan et l'autre, c'est ma petite voix intérieure, elle est assez chiante, désolée de vous l'imposer

-Salope. Tu vas me le payer un jour!

-Mais oui, mais oui…)

Suite à un pari de mon frère, je dois faire une fanfic sur Blue Exorcist. Voici donc, pour votre plus grand bonheur (ou pas) DDBSM ou, version longue :Dear Devilish Big Sister Momo. Sur ce, je vous laisse déguster ce chapitre et on se retrouve en bas de la page.

Kurea-chan ( et sa petite voix).

Blue Exorcist n'est pas de mon fait, et c'est bien dommage, je me serai bien amusée sinon

(Et moi aussi

- Toi la ferme).

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Dear Devilish Big Sister Momo

Grande sœur débarque

Une jeune femme se réveilla en bayant bruyamment et se redressa sur son siège. Arggh….ce qu'elle avait mal dormi. Elle passa une main distraite dans sa longue chevelure brune, cherchant des nœuds d'un air absent. Ah, vraiment, les êtres humains avaient véritablement le chic pour faire cohabiter les notions « inutile » et « désagréable » dans la même phrase. Son frère allait subir son courroux, ça, c'est sûr. Comment avait-il osé lui faire un coup pareil?!Par sa faute, elle avait été obligée de prendre le bus, elle! Lui qui savait pertinemment qu'elle n'aimait les transports en commun! Non mais, où allait le monde?! Et elle s'était trompée de bus, en plus! Elle avait du payer, DEUX FOIS! Et demander son chemin au chauffeur par-dessus le marché! Elle allait démolir son putain de bureau et l'obliger à la rembourser, il allait voir ce qu'il allait voir! Et s'il refusait, elle lui botterait les fesses jusqu'à ce qu'il ne puisse plus s'asseoir pour les mille ans à venir. Quand elle pensait qu'il lui avait caché ça… ça la mettait dans une rogne pas possible. Lui cacher qu'elle avait un frère…non… deux petits frères tout mignons… et qu'elle avait dû apprendre la nouvelle par la bouche de son petit frère Amaimon, qui s'était apparemment bien amusé avec eux… quelle honte! Il avait invité leur frère, même leur paternel le savait, et pas elle, sa frangine préférée, elle qui adorait les gosses et les réunions de famille, ce qui n'était pas arrivé depuis des siècles…bon, il fallait aussi dire que leur autre sœur était une véritable garce de la pire espèce, donc si y avait une sœur préférée , c'était forcement elle…mais ce n'était pas le sujet.

GGGGRRRRRRMMMMMMMBBBLLLLL!

Ah, et pour couronner le tout, elle avait pas mangée depuis hier… ah, vraiment, son très cher frangin allait s'en prendre une dans la gueule. Mais avant tout, elle devait se trouver un petit truc à grignoter. Elle attendit que le bus s'arrête à un arrêt et sortit en quête d'une superette ouverte. Elle vagabonda à travers les rues et trouva enfin la dite superette capable d'apaiser les cris de protestation de son estomac. Elle entra donc et son attention se porta sur des paquets de chips, qui était le seul article qu'elle connaissait ( Amaimon en avait ramener pour la narguer, cet abruti) et en pris une bonne cinquantaine, autrement dit tout le rayon puis se dirigea vers les caisses pour payer, sachant qu'elle enverrait la facturation à son frère, elle n'allait pas se priver d'un ou deux paquets. Mais elle ne connaissait pas franchement le mot « sac » et quand elle voulu partir, elle empila tous les paquets jusqu' à la faire ressembler à une montagne de paquets de chips ambulante, pris la direction de la sortie dont la plafond était terriblement bas et …tout lui retomba dessus. Ahh … décidément c'était pas son jour.

« Heu… excusez-moi…vous avez besoin d'aide? »

Super, un pathétique humain lui proposait de l'aide. Qu'est-ce qu'elle avait fait pour mériter ça?! Mais pas question de faire un scandale, enfin pas tout de suite. Pas la peine d'alerter ces putains d'exorcistes de sa présence et de les avoir aux basques. Elle pourrait faire un bain de sang plus tard. C'est donc avec un faux sourire qu'elle se tourna vers le nouveau venu et demanda avec son air le plus charmeur possible:

« Heu… oui…je veux bien. »

L'inconnu se baissa et commença à ramasser les(nombreux) paquets au sol. Il était pas mal du tout, il était plutôt jeune, les cheveux bruns aux reflets bleutés avec des yeux bleus lapis-lazulis très vifs, mais au vu de son air d'imbécile fini, ça devait être un enthousiaste de première catégorie. Peut-être qu'elle pourrait lui soutirer quelques infos . Après tout, elle n'avait rien à perdre.

« Dites, excusez-moi de vous dérangez… mais je suis fraîchement arrivée ici et je ne connait pas bien la ville… pourriez-vous m'indiquez le chemin de l'Académie de la Croix Vraie? »

L'inconnu cligna des yeux et un grand sourire s'étira sur ses lèvres.

« Ben, c'est simple, l'Académie se dresse sur le mont, juste en face, c'est le bâtiment le plus haut, vous pouvez pas le rater. »

HAHAHA! Elle le tenait enfin, son frère allait souffrir.

« Vous voulez que je vous accompagne? »

Ça, ce n'était pas prévu. Elle lui avait tapé dans l'œil ?

« Oh non, ce n'est pas peine, je ne voudrais pas abuser de votre temps.

-Mais non, voyons, je suis un des élèves. »

Oh. Par le paternel, ça sentait le fromage.

« Non, je vous assure que ce n'est pas nécessaire. »

Dégage, abruti de gamin. Si tu tiens à la vie.

« Bon, ok, au revoir alors.

-Oui, c'est ça, au revoir. »

Ouf, il était parti. Pas trop tôt. Un peu plus et elle lui dévissait la tête. Bon, maintiennent, direction l'Académie. Après le déjeuner bien sûr.

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Une fois rassasiée, elle se débarrassa des nombreux cadavres ( de paquets de chips) autour d'elle , elle les lança en l'air, avec sa puissance, ils atterriraient dans une autre ville et on penserait que des idiots les avait lançaient pour s'amuser ou pour polluer encore un peu plus les villes humaines , et pas que c'était l'ex déjeuner d'un démon. Bon, dans son cas, c'était une démone mais elle n'allait pas en faire tout un … c'était quoi déjà, le mot? Oui enfin, bref, ce n'était important. Et ses flammes étaient bien trop reconnaissables, c'est vrai qu'un feu violet avait tendance à attirer l'attention, et il était hors de question d'avoir les exorcistes au cul. Bon, le gamin avait dit que l'Académie était le bâtiment le haut de ce trou à rats. Il fallait donc trouver un endroit d'où on puisse voir tous les sommets de la ville. Donc il fallait monter sur le toit. Et une fois montée sur le toit de la superette, elle la vit. L'Académie. Son frère était fini.

Dans sa joie immense, la jeune femme s'élança en direction de l'académie et… se scratcha sur la barrière de protection. Non, il n'avait pas osé installé un truc pareil, quand même?! Oh le salaud, il avait osé! C'était un homme mort, désormais. Elle était vraiment, mais alors vraiment très, très, très en colère. Et sa colère était telle que même les exorcistes, dont elle tenait pourtant à rester hors de portée, allaient sentir la tempête passer. Il était grand temps de se faire annoncer. Et elle n'allait passer par la porte d'entrée.

D'un claquement de doigts, elle conjura ses flammes qui se ruèrent sur la barrière et l'anéantirent totalement. À l'instant où la barrière cessa d'exister, une alarme retentit, et des pas précipités se firent entendre. Hé bien, dire que dans la Géhenne, il existait une rumeur selon laquelle les exorcistes n'étaient pas rapides, elle ne pouvait que constater que ce n'était pas franchement le cas. Apparemment, ceux-là ne devaient pas avoir déjà entendu parler d'elle, ou alors ils étaient vachement téméraires, pour ainsi braver son feu couleur lilas. Au vu de leur apparence, ils n'avaient pas l'air très balèzes. Son frère était à cours de recrue ou quoi? Ou il se foutait de sa gueule encore une fois? C'est vrai qu'il ne prenait (presque) jamais rien au sérieux…. À part peut-être la colère de leur vieux. Mais tout le monde prenait la colère de Satan au sérieux. Enfin, ceux qui avaient un minimum d'intelligence, bien sûr.

Elle fit mine de réfléchir trente secondes, passa la main dans ses longs cheveux bruns ondulés et décida qu'une petite dérouillée s'imposait. Histoire que son frangin comprenne bien l'étendu de son mécontentement. Ses ongles s'allongèrent, ses oreilles pointues s'allongèrent, ses canines s'aiguisèrent et elle découvrit sa vraie nature de démon, parée au combat. Un des idiots qui se tenait devant elle, un homme aux cheveux moutonneux et à lunettes s'avança d'un peu trop près avec une espèce de gourde remplie d'eau bénite et il reçu, pour correction, une magnifique flammèche couleur prune sur le popotin et son magnifique sourire de crocodile. Un de ses compagnons se précipita sur elle afin de lui faire payer l'affront qu'avait subi son compagnon, elle se décala légèrement sur le côté et le saisi dans le dos avant de le lancer vers l'horloge de l'Académie. Elle rigola en le voyant s'écraser sur les tuiles du toit. Les humains avaient toujours un gros problème avec l'atterrissage. D'autres essayèrent de l'immobiliser avec une barrière , mais elle la fit rapidement voler en éclat et la presque totalité de ses adversaires avec. Ils étaient vraiment pitoyable, ils étaient bien trop faibles pour contenir sa puissance, pour qui se prenaient-ils ? Mais un éclat métallique vint perturber la belle vision qu'elle avait de la scène. Elle dut se baisser pour éviter la lame et entraperçut une espèce de rouquine aux cheveux décolorés et au look….assez …heu…léger… la menaçant d'une épée. Une épée reptilienne à deux lames, pourvue d'yeux de serpents. Elle connaissait cette épée. La rouquine chargea à nouveau et la brune esquissa un sourire. Elles enchaînèrent plusieurs passes rapides avant que la brune, visiblement lassée par ce petit jeu, ne choppe le poignet de la rousse, l'immobilisant totalement et se mit à glousser:

« Cette lame, les crochets reptiliens, t'a été transmise dans la contrée d'Osaka. Tu viens de l'école Kirigakure.

-Que… Comment…

-Règle numéro deux dans un combat: ne jamais donner le moindre signe de faiblesse à l'adversaire, sinon ça pourrai se retourner contre toi», termina-t-elle en envoyant l'exorciste de première classe Shura Kirigakure valdinguer avec une facilité déconcertante, une plaie béante lui barrant sur le ventre.

Un coup de feu se fit entendre derrière elle et elle eut juste le temps de se baisser tandis qu'une balle la frôla de justesse. Tskk , elle ne pouvait même pas s'amuser tranquillement. Elle fit face à son tout nouvel adversaire , un gamin aux cheveux bruns comme les siens, avec le visage constellé de grains de beauté et des lunettes rectangulaires. Il avait l'air assez coincé. Et des gamins se trouvaient derrière lui. Des apprentis, vu que leur uniforme n'était pas celui des exorcistes. Son frère n'avait-il pas honte d'envoyer des enfants sur le champs de bataille? Derrière le binoclard, se tenaient quatre garçons et deux filles. L'une avait de longs cheveux violets… à quelle belle couleur… avec un regard assez froid et l'autre était légèrement plus petite, blonde et avait l'air terrifiée. Les garçons, quant à eux, avaient l'air plus décidés à se jeter dans la bataille. Un avait des cheveux bizarrement roses avec un bâton de moine, un tout petit maigrelet tondu (ou chauve) et à lunettes également, qui voulait apparemment prier, un grand avec une tête d'andouille et une coiffure évoquant légèrement un poulet et enfin…

« Hé, qu'est-ce tu fais ici, toi?! , fit le garçon de la superette, en la pointant du doigt.

-Pointer du doigt n'est pas très poli, mon garçon. » réplica la démone.

Le premier binoclard aux flingues se retourna et … hurla sur le gamin, sous les airs ébahis de la démone et consternés de leurs compagnons.

« RIN,!QU'EST QUE CA VEUT DIRE?! TU LA CONNAIS D'OÙ?!

-Ben j'l'ai vu à la superette et comme elle avait besoin d'aide pour ramasser ses paquets de chips, je…

-TU L'AS AIDE?!

-Ben oui, mais…

-NON MAIS T'AS PAS VU QUE C'ÉTAIT UN DEMON?!

-NON MONSIEUR, J'AI PAS VU! Y AVAIT PAS ECRIT « DANGER!JE SUIS UN DEMON » SUR SON FRONT! SATISFAIT, YUKIO?!

-SATISFAIT?! JE SUIS CONSTERNE, OUI!

-Heu… dites, si on vous déranges, vous nous le dites, histoire qu'on ne poireaute pas pour rien… »fit la démone, avec flegme.

Tous les yeux se braquèrent sur elle. Comment allaient-ils s'en sortir face à elle? Chacun consulta l'autre du regard, pour se sentir soutenu et préparer la contre-attaque, puis tous regardèrent leur ennemie… qui venait de franchir une porte secondaire qui donnait directement sur le hall de l'établissement. Mais le temps qu'ils arrivent vers la dite porte, elle avait déjà disparue.

« Bon, on se sépare, fit Yukio Okumura, légèrement fâché d'avoir laisser l'ennemie lui échapper, Miwa-san*, prenez l'aile gauche du le rez-de-chaussée. Moriyama-san , chargez vous de l'aile droite. Suguro-san, allez au premier étage. Shima-san, allez voir du côté du deuxième. Kamiki-san, cherchez du côté du troisième. Je vais vérifier le quatrième et les combles. L'unité des guérisseurs est en route pour secourir les blessés, donc vous n'avez pas à nous inquiéter pour eux.

- Et moi, qu'est-ce que je fais?!demanda Rin.

-Toi, tu vas voir le directeur pour lui annoncer que nous avons un démon supérieur dans l'enceinte de l'école par ta faute.

-Mais j'ai déjà dit que…

-Allez-y. Et si vous vous retrouvez face à elle, surtout fuyez. Ne cherchez pas à l'affronter seuls. »

Sur ces paroles, ils se séparèrent, ne prêtant même pas attention aux lamentations de ce pauvre Rin, qui du coup, se trouva encore plus à plaindre. C'est en râlant qu'il alla vers le bureau de Méphisto Pheles, dont il était sûr qu'il allait rigoler et lui passer un savon pour la forme ( du genre « plus d'argent de poche pendant trois mois », déjà qu'il ne lui donnait quasiment rient, ce radin…). Il était arrivé en haut du premier escalier lorsqu'il sentit une main se poser sur sa bouche et un bras le projeta sur le mur d'en face. La démone approcha son visage du sien et, bien qu'elle ait repris la forme dans laquelle il avait rencontré la première fois, il put enfin remarquer les similitudes avec les autres démons qu'il avait déjà rencontrer. Comme eux, ses oreilles étaient légèrement pointues, mais cachées sous ses longs cheveux marrons ondulés, il n'avait rien remarqué. Il y avait également ses canines, bien trop longues pour être normales, et ses yeux, ils ressemblaient beaucoup à ceux d'Amaimon, si ce n'était qu'ils tiraient plus sur le violet que le bleu. Mais il n'eut pas le loisir de s'attarder davantage sur les caractéristiques physiques de sa geôlière car celle-ci amena ses lèvres tout près de son oreille, et lui demanda:

« Où est le bureau du directeur? Je sais que tu y vas, je vous ai entendu en parler dans le hall, tout à l'heure.

-Comment t'es au courant?!

-Ton supérieur est peut-être assez intelligent pour mettre en places de bons plans de recherches, mais il devrait penser à regarder le plafond d'abord avant de les énoncer. J'étais juste au dessus, c'était impossible de ne pas entendre. Alors, je repose ma question, chaton: Où . Est. Le. Bureau? »

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Samael, aussi connu sous le nom de Méphisto Pheles dans le monde des vivants, buvait tranquillement son thé quand il entendit qu'on frappait à la porte. Qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit la tête de son demi-frère, Rin Okumura, passait par l'entrebâillement de la porte. Il ne lui avait pourtant pas demandé de venir.

« Tu as un problème? Lui demanda t'il , un peu curieux de cette soudaine visite.

-Heu… oui… quelqu'un demande à vous voir…

-Qui ça?

-Quelqu'un… »

Et sur ce, la porte s'ouvrit en grand, laissant passer deux silhouettes. La première était celle d'Okumura et la deuxième était plus petite, il s'agissait d'une femme, avec de longs cheveux couleur marron glacé qui tombait en boucles souples, des oreilles légèrement pointant à traves, une tunique ancienne, datant a première vu du moyen-âge, de couleur lilas et qui lui cachait les jambes et les pieds. Elle avait un nez assez fin, pointu comme le sien, des yeux indigo mi-clos dont on percevait l'éclat psychotique des prunelles et un sourire forcé qui dévoilait des canines proéminentes. Samael blêmit, de la sueur coulait de son front rien quand la voyant. C'était…

« Momo..nee-san*.. »

La concernée ouvrit les bas en grand, comme pour l'accueillir, mais son air de psychopathe contrastait avec l'apparente tendresse de ce geste.

« Sammy nii-san*…

Méphisto n'attendit pas la suite de la phrase et fit la seule chose qui pouvait lui sauver la vie.

- … tu as été tttttrrrrrrrèèèèsss VILAIN! »

Prendre ses jambes à son cou.

Pendant le reste de la journée, les étudiants passèrent leur temps à rigoler , ils avaient vu leur directeur assez excentrique se faire poursuivre par une femme en tenue assez ringarde à travers toute l'Académie, le menaçant de mourir castré s'il ne revenait pas immédiatement.

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Et voilà le premier chapitre terminé. Alors qu'est-ce que vous en avez pensé? C'était pas trop mal? Y avait-il pas trop de fautes?

( C'était merdique en fait?

-Mais retournes dans ma tête, toi!

- J'ai blessé ton ego?

-Un peu.

-VENGEANCE!)

Je vous revois au prochain épisode

Kurea-chan.

( Et sa voix intérieure.

- Mais reste couchée au fin fond de ma cervelle, toi!

-Non.)

PS: Une petite review, s'il vous plait?

Vocabulaire japonais:

San = C'est un titre de politesse. On peut le traduire très souvent par « Monsieur », « Madame », « Mademoiselle » en fonction de la personne ( ex: Dupon san= Monsieur Dupont). En général, on l'utilisera pour marquer une distance relationnel, comme lorsqu'une personne rencontre pour la première fois quelqu'un.

Nee-san = Signifie grande sœur.

Nii-san = Signifie grand frère. On réalise que Méphisto et sa sœur s'appelle tous les deux Grand-frère et Grande sœur. J'expliquerai ce passage dans mon prochain chapitre . Donc, un peu de patience.