note auteur: bonjour tout le monde, ouais...je sais, j'était censé revenir avec le chapitre 5 de l'alphabet romantique, figurez vous que je n'y arrive pas, j'ai essayer plusieurs fois, sa ne me plais pas, je sais pas pourquoi, mais sa ne me plais pas! enfin, pour vous faire patientez je vous ai sortie un nouveau truc, j'espère que sa vous plairas en tous cas, je vous souhaite bonne année et un joyeux noël hyper en retard XD allez, enjoy les gens.
note: les personnages appartiennent a Shungiku Nakamura sauf Watara Aiko, c'est moi qui l'ai créée.
!ATTENTION!
!CETTE FAN FICTION A ÉTÉ ÉCRITE PAR UNE NULLE DE L'ORTHOGRAPHE!
L'amour est une chose précieuse et fragile, qui lie deux personnes pour la vie, sa, Misaki la savait. Il a aujourd'hui 24 ans, jeune éditeur à Marukawa, il a déjà édité quelques livres mais, tout ça ne semblait ne pas ravir le brun. Oui, cette nouvelle auteure avait un grand succès auprès des lecteurs, ses livres avaient déjà été traduits en plusieurs langues, preuve de son sa réussite. Misaki devait être fière de son auteur ou plutôt, il devrait mais, plus rien n'arrivais à le faire sourire. Le jeune homme vie désormais avec son frère qui surveille ses moindres faits et gestes, l'aîné avait finalement été mis au courant de la relation qu'entretenaient les deux amants et il n'avait pas du tout approuvé cela. Takahiro avait finalement arraché Misaki des bras de son « ami » et avais brisé son amitié avec l'écrivain ainsi que le cœur de son frère qui souffrais de la distance.
Le jeune éditeur souffla en repensant aux souvenirs de l'écrivain champion du manuscrit en retard –sa c'est sûr, c'est son dada- tous, il se souvenait de tous, du premier baiser qu'il avait échangé avec Akihiko jusqu'à leur séparation. Maintenant, combien de temps ne c'étaient-il pas vus ? Un an, peut-être un peu plus, il ne pouvait appeler Akihiko puisque son frère lui interdisait de passer des coup de fils sans qu'il soit là et Misaki obéissait, certes il pourrais mentir mais son frère fouillerais dans son portable à coup sûr :
-Takahashi-san ? Est-ce que tous vas bien ?
Le jeune homme releva la tête et vis son auteure dont il avait la charge depuis presque un an, une jeune femme, de seulement 22 ans, les cheveux cour et brun, aux yeux vert a l'allure féline. Cette femme avait un style androgyne ce qui surpris Misaki quand il apprit que ce n'était pas un auteur mais une auteure qu'il avait en charge. Son nom : Watara Aiko. Elle reposa sa question et cette fois, Misaki réagit :
-oui….oui, oui, ne vous inquiétez pas, je suis un peu fatiguer.
Elle approcha soudainement sa tête de celle de l'éditeur, plongeant ses yeux vert dans ce de Misaki et dit avec un sourire malicieux :
-oui c'est vrai que vous avait l'air fatigué mais, il y a autre chose.
Elle arracha son manuscrit des mains de Misaki qu'elle posa sur la table. La jeune femme partie dans la cuisine de son appartement ou ils se trouvaient et revenu avec deux tasses remplis de café, elle en tendis une au brun qui la pris volontiers, pensant qu'il est temps de faire une pause quand à Aiko, elle s'assis sur la table basse, en face du canapé et regarda intensément son éditeur ce qui mis mal a l'aise ce dernier :
-vous savez, sa fait presque un ans que vous êtes mon éditeur et, plus je vous vois, plus j'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui ne vas pas.
Le jeune homme resta silencieux face à ses paroles. Misaki n'était pas étonner, il s'avait que la brunette était très forte pour deviner ce qui n'allait pas mais, lui raconter ses problème ne servirais a rien dans tous les cas, puis, le jeune homme ne souhaitais pas embêter son auteure avec ses histoires. Pourtant, elle avait l'air d'attendre quelque chose :
-allez-si, vider votre sac, je vous écoute.
Le jeune éditeur resta perplexe devant cette demande. Aiko avait demandé sa avec faciliter et sans gêne, les japonais ne font pas sa habituellement mais, vu qu'elle est française, on peut dire qu'elle montre son respect différemment et qu'elle ose poser des questions gênante sans problème après, y a aussi son caractère assez audacieux qui s'ajoute a sa. Misaki ne répondis pas à sa demande, il ne souhaitait vraiment pas en parler mais, La jeune femme n'est pas du genre à laisser tomber comma ça :
-vous devriez me dire ce qui ne va pas, garder tout pour soi est un poison bien plus mortel que celui du serpent.
Misaki la regarda, surpris, pour une jeunette, elle semblait bien plus mature que son éditeur. Il était vrais que Misaki souhaitais mourir par moment tellement il ne supportait pas la distance et sa « dépression » semblais vraiment lui empoisonner la vie. Il baissa la tête sur sa tasse de café, mais, devrait-il lui expliquer ce qu'il ne va pas ? Aiko savait écouter mais, serait-elle comprendre ?
Deux main chaude vinrent se posées sur les joues de Misaki et releva sa tête afin que c'est yeux émeraude croise les saphirs vert de Aiko :
-allez-si, dites-moi tous, je garderais tout secret, vous pouvez me faire confiance, je fais psychologue pendant mes heure de pose, puis, ce n'est pas comme si j'étais une inconnue non plus et je vous promets que je ne prendrais rien de votre histoire pour faire mon bouquin. Affirme-t-elle.
-Et bien, commença Misaki hésitant, j'ai effectivement un problème mais je ne pense pas que vous ayez déjà eu affaire à ça…
-quoi ? Vous êtes gay ?demanda Aiko pour plaisanter.
Misaki rougie violemment, oui, elle est vraiment doué pour deviner les choses, même les plus improbables. Le jeune éditeur affirma du hochement de tête mais, Aiko ne semblais pas étonner, est-ce qu'elle avait remarqué depuis le début son orientation sexuelle :
-punaise, dit-elle, sa fait le cinquième cas comme ça, mais toute la boite est remplis d'homo ou quoi ?
Bien qu'elle ne s'adressait pas particulièrement à Misaki, il ce vexas un peu, qu'est-ce qu'elle voulait dire ? Qu'elle a toujours des gens de ce bord la a s'occuper et que c'est une banalité pour elle ? La jeune brunette demanda à Misaki de raconter tous depuis le début, ce qu'il fit en abréger bien sûr, sinon, ils en auront pour toute la nuit et il fit aussi attention à ne pas prononcer le nom « Akihiko Usami » autant qu'elle ne sache pas avec qui il sort :
-putain, dit-elle à la fin du récit, un an ! Sa doit faire long ! Et vous ne pouvais pas le voir en secret ?
-et bien non, puisque mon frère me surveille, il sait à quelle heure je rentre en général et il m'empêche de téléphoner sans qu'il soit a coter de moi pour écouter la conversation puis, même si j'appelais mon amant avec mon téléphone portable, mon frère fouilleras surement dedans, je suis même sûr qu'il l'a déjà fait. Explique Misaki.
-je vois…
La brunette ne trouva rien à redire, pendant plusieurs minute, elle ne parla pas, elle semblait être dans une profonde réflexion, prend-t-elle vraiment à cœur son problème ? Après deux cigarettes et une vingtaine de minute, elle tourna la tête vers l'horloge qui affichait 15h39, le jeune femme afficha un sourire sur son visage et dit sans quitter l'horloge des yeux :
-pourquoi ne pas aller le voir maintenant ?
-quoi ?! dit Misaki surpris par sa proposition, et le manuscrit, je dois vous dire ce qui vas et ce qui ne vas pas sur la fin et je dois aussi corriger les fautes !
-écouter, Aiko pris un air grave et un ton sérieux, je ne supporte plus de vous entendre soupirer et de vous voir déprimer alors, sacrifiez cette journée pour aller le voir et, en ce qui concerne le manuscrit, il peut attendre, je l'ai fini une semaine l'avance, je pense que vous avez largement le temps pour vous en occuper.
Elle avait raison, Il pourrait passer la fin de la journée avec son amant mais, son travail? Il est censé rentrer pour au moins déposer le manuscrit d'Aiko et, son frère ? Misaki lui avait dit, qu'il rentrerait plus tôt que d'habitude. Alors qu'il était dans ses pensées, la jeune femme partie prendre le téléphone et tapas un numéro que Misaki ne vis pas. Il revint à lui quand il entendit son auteure parler :
-Watara-san a l'appareil….hm…..non, il n'y a pas vraiment de problème avec le manuscrit, si je vous appel c'est à propos de Takashi-san, il a fait un malaise et rentre chez lui pour le reste de la journée afin de se reposer …oui, j'avais déjà remarquer aussi…oui, il seras la demain….non, pas la peine de prendre des nouvel dans la journée, il souhaite se reposer sans être déranger…..bien, je lui dirais…oui, au revoir .
Elle raccroche le sourire aux lèvres, vient-elle de mentir ? Alors que cette histoire ne la regarde pas du tout ! Mais quels auteurs prend autant part pour une histoire qui leur est indifférent ? Aiko se tourna vers son éditeur et dit :
-il vous souhaite un bon rétablissement et espère que vous irez mieux demain.
Et elle rit, tout cela l'amuse beaucoup, pourtant, elle n'a pas l'air de prendre sa pour un simple jeu puisque la jeune écrivaine semble garder une part de sérieux dans ses geste enfin, c'est ce que Misaki crois ou plutôt espère. Elle s'approcha du brun et dit, toujours ce sourire malicieux aux lèvres :
-bien, je viens de vous libérée de vos charge, il manque plus que je me débarrasse du frère poule et le tour est joué, j'ai déjà une petite excuse en tête en plus, si j'arrive à lui faire croire que vous restez ici cette nuit à cause de moi, vous pourriez rester avec votre amant toute la nuit si vous voyez ce que je veux dire.
Misaki rougi soudainement et fit non de la tête même s'il avait parfaitement compris, Aiko n'insista pas et demanda a son éditeur de lui passer le numéro de son frère pour qu'elle mette en œuvre le mensonge, que Misaki pensait, plein de sous-entendu :
-bonjour, je suis une des auteurs de Takahashi-san….hm…..non, il va bien enfin, il est juste sur les nerfs à cause de moi…..pourquoi ?...et bien, je n'ai pas respecté mes délai et du coup, c'était pour prévenir qu'il dormirait ici cette nuit, il ne souhaite pas vous réveiller si jamais il rentrait à 2 heures du matin.
La jeune brunette ce mis a gribouillé quelque chose sur un papier et le tandis a Misaki avant de s'éloigner de nouveau. Le brun le lu :
Sensei ! Dépêchez-vous !
î
Criez sa quand je vous ferais signe.
Elle allait même mettre en scène le mensonge avec son aide, elle a vraiment tous penser, sa valais bien 20 minutes de silence embarrassant, alors qu'elle continuais a parlez a Takahiro, elle fit un geste de la main et Misaki ce mis à crier comme s'il était énerver, bon, il n'était pas vraiment doué pour la comédie, mais il espérait vraiment que son frère croiras tout ça. Le ton d'Aiko avait changé, elle semblait plus affoler et raccrocha en vitesse. Est-ce que ça a marché ? Est la seule question qui trottait dans la tête du pauvre Misaki. Elle souffla un bon coup et finit par sourire, signe que tout allais bien :
-le tour est joué, dit-elle fière comme un enfant qui venait de faire une blague.
Misaki n'en revenais pas, son frère y avais cru, il n'a même pas posé de question sur « pourquoi c'était l'auteur qui appelait au lieu de lui ? » non, rien, Takahiro avais tout gobé, oui, il était naïf, sa c'est sûr mais, depuis un moment, il ne croyait plus Misaki, il ne lui faisait plus confiance alors, pourquoi avoir crue a tous sa, parce que le mensonge a été mis en scène ? Ou parce que c'est justement Aiko qui l'a prévenu ? Un sourire illumina le triste visage de Misaki, tout cela n'avait pas d'importance, il avait tout le reste de la journée libre pour aller voir Akihiko et ça, c'était une chose qu'il ne pensait pas possible :
-alors ? On dit quoi ? demanda Aiko sans gêne.
L'éditeur s'inclina avec tout le respect qu'il avait pour cette femme qui n'a pas hésiter une seul seconde a mentir pour lui, elle a pris son histoire très aux sérieux et l'a aider sans se soucier de ce qui pourrait lui arriver si on découvrait cette mascarade, il murmura un « merci ». Sa voix était étouffée par des sanglots de joie qui risquaient de faire surface à n'importe quel moment. La brunette tapa dans ses mains et dit :
-pas le temps pour les politesses ! Tu pars sur le champ et au pas de cours !
Misaki acquiesça d'un hochement de tête, il prit ses affaires, mis c'est chaussure, remercia encore une fois Aiko qui le réprimanda d'être trop lent et de perdre du temps en la remerciant puis, Misaki partie en courant de l'appartement retrouver l'amour de sa vie. Tellement de questions lui passaient par la tête, comment allait-il ? Avait-il supporté mieux la distance que lui ? Avait-il réussi à se nourrir correctement malgré sa longue absence ? Alors que Misaki courait vers le métro, bousculant par moment des gens sans s'excuser, le surnom de l'écrivain lui revint en mémoire et résonna dans sa tête, oui il voulait le revoir maintenant, il ne pouvait plus attendre, il était a bout.
Auteur: voila j'espère que sa vous a plus cette nouvelle histoire me semble bien, j'ai passer toute la soirée pour l'écrire
Baka: ouais, je me demandai pourquoi tu était encore debout a 00h30 ben, maintenant je le sais. dit?
Auteur: oui il y auras du lemon T_T
Baka: cool! combien?
Auteur: je sais pas...enfin bref, je vous souhaite une bonne année et laisser un commentaire SVP, sa m'encourage a continuer
