Jusqu'a ce que la mort...

... nous reunisse

Genre : romance H/H, drame à la R&J Disclamer : tout un blablabla que personne ne lit. Résumé : Harry et Hermione sont amoureux l'un de l'autre, mais étrangement, Sirius et leurs professeurs vont s'opposer à ce qu'ils soient ensemble, et vont devoir révéler le lien qui les unit l'un à l'autre et les empêche de pouvoir s'aimer. Donnez-moi votre avis, bon ou mauvais, merci, et bonne lecture !

***

Harry sortit du château, un peu inquiet du trop calme qu'il y régnait. Ses amis n'étaient pas dans leur chambre, et il n'entendait pas un bruit. Il resserra son écharpe et ajusta sa cape d'hiver, car l'épais tapis blanc qui s'était formé la nuit lui indiquait qu'il devait faire très froid. Il continuait de marcher, vers le parc, en guettant le moindre signe de vie de ses amis.

Soudain, il fut sorti de ses pensées par une boule de neige qui vînt le frapper dans le dos, suivi d'éclats de rire. Il se retourna pour voir ses deux meilleurs amis, Ron Weasley et Hermione Granger, préparant déjà leur prochaine attaque. Et le temps de comprendre ce qui se passait, Harry reçu une rafale de boules de neige.

Her : T'es pas assez rapide mon pauvre Harry ! lui cria Hermione.

H : Pas assez rapide hein ? Attends, tu vas voir si je ne suis pas assez rapide ! s'amusa Harry.

Sur ce, il prépara de rapides boules de neige et couru après Hermione qui, le voyant faire, s'était déjà mise à courir vers le château.

Ils se couraient après, tout en rigolant, mais Harry la rattrapa rapidement et l'enlaça pour ne pas qu'elle s'échappe, pendant qu'il lui glissait de la neige dans le cou.

Her : Aaah ! C'est pas juste Harry ! protesta Hermione en souriant. T'es plus rapide que moi et . Eh ! C'est froid en plus !

H : C'est normal 'Mione, c'est de la neige !

Mais elle profita de ces quelques secondes d'inattention de sa part pour s'échapper. Une fois de plus, Harry était plus rapide et la rattrapa sans peine. Mais, et probablement dû à un sort lancé par Hermione, ses jambes se figèrent et il trébucha, emportant avec lui sa prisonnière. Il se retrouva allongé de tout son long sur elle, leur visage à quelques centimètres l'un de l'autre. Ils se regardèrent un instant, puis Harry caressa doucement le visage d'Hermione du bout des doigts, et un frisson lui parcouru tout le corps à ce simple contact.

Ils se regardèrent de nouveau, guettant chez l'autre une réaction quant à la suite, et Hermione pria pour qu'il ne s'aperçoive pas de son c?ur qui s'était soudainement accéléré.

R : Hum hum ! Vous le dîtes si je vous dérange ! lança Ron, un sourire espiègle devant l'embarras de ses amis.

Ce qui était le cas, car à la remarque de Ron, ils se relevèrent aussitôt, aussi gêné l'un que l'autre par la situation.

R : Bon, si on la finissait cette bataille de boules de neige ? proposa Ron.

Her : Euh. commença Hermione en regardant le sol. J'ai un devoir à terminer à la bibliothèque. Désolée, ajouta t-elle avant de partir en courant.

R : Mais qu'est ce qu'il lui prend ? demanda Ron.

H : Je voudrais bien le savoir, répondit Harry.
J'espère juste que c'est pas à cause de moi, ajouta t-il dans un murmure.

Hermione haletait. Jamais elle n'avait couru aussi vite, et surtout pour échapper à son meilleur ami.

Son meilleur ami.

Hermione ne comprenait pas ce qui lui était arrivé. Elle frissonnait sous les caresses d'Harry, mais ce n'était pas dû au froid, elle le savait. Elle frissonnait et son c?ur s'était emballé au contact de son corps contre le sien, de ses mains contre son visage, la mettant dans une sorte de malaise, plutôt agréable.

Elle ne comprenait pas pourquoi elle réagissait ainsi, ou plutôt si, elle savait exactement ce qui lui arrivait, mais elle en avait peur. Elle savait au fond d'elle qu'elle était en train de changer, mais elle avait peur, peur de se l'avouer, peur de gâcher leur amitié, ou tout simplement peur de reconnaître qu'en réalité, elle avait toujours était amoureuse d'Harry, depuis leur première année, depuis qu'il l'avait sauvée.
***

Hermione entra dans la tour des Griffondors, puis se dirigea dans sa chambre. L'un des avantages d'être préfète, c'est qu'elle pouvait avoir sa propre chambre, sa propre intimité, et avait accès à une salle de bain qui leur était réservée. Elle alluma quelques bougies et vînt s'allonger sur son lit.

Elle ne savait quoi penser, comment agir. Elle était amoureuse de son meilleur ami, mais ne voulait pas gâcher leur amitié, ni même briser ce lien qu'ils s'étaient créé pendant les vacances. En effet, elle lui avait envoyé de nombreuses lettres pour s'assurer qu'il allait bien et qu'il n'avait aucun problème, et à chaque fois, il lui répondait et la rassurait. Il ne voulait pas qu'elle s'inquiète, et voulait avant tout la protéger.

Elle fut sortit de ses pensées par quelqu'un qui frappa à la porte de sa chambre, ce qu'il l'étonnait un peu.

H : Hermione, c'est moi, Harry ! Est-ce que je peux entrer, je sais que tu es là.

Hermione hésita quelques secondes, puis se précipita sur la porte pour lui ouvrir.

Her : Qu'est ce qu'il se passe ? demanda t-elle, surprise.

H : Tu n'étais pas sensée être à la bibliothèque ? lui répondit-il en souriant.

Her : Euh.. si, mais je devais passer prendre quelques affaires avant, se rattrapa Hermione.

H : Ouais, répondit-il, très peu convaincu.

Her : . Mais je suppose que tu n'es pas venu ici pour vérifier ce que je faisais, si ?

H : Non, bien sûr, je voulais juste. je voulais te parler à propos de tout à l'heure.

Her : De. de tout à l'heure, répéta Hermione, visiblement mal à l'aise.

H : Oui, et je . je voudrais m'excuser. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça, ajouta t-il en sachant pertinemment ce qu'il faisait.

Her : Oh mais. c'est pas grave tu sais. fit -elle, un peu déçue.

H : Tu es sûre ? je veux dire. je voudrais pas gâcher notre amitié.

Her : C'est bon Harry, je t'assure ! c'est déjà oublié.

Machinalement, elle était retournée à la porte et l'avait ouverte.

Her : Bon, c'est pas que je veuille me débarrasser de toi, mais j'ai plein de travail à faire, et donc.

H : Je comprends, à ce soir alors.

Puis il fit demi-tour et sortit de la chambre. Hermione ferma aussitôt la porte et dès qu'elle l'entendit faire quelques pas, elle se jeta sur son lit en sanglotant, regrettant déjà de ne pas lui avoir avouer qu'elle l'aimait, bien qu'elle s'était juré le contraire, et surtout de lui avoir mentit en lui disant que ce n'était pas grave, que c'était oublié. Soudain, elle sursauta en entendant frapper à nouveau. Elle essuya rapidement ses larmes et alla ouvrir la porte.

H : J'en ai marre de tout ça !

Her : De tout ça quoi Harry ? demanda t-elle, ne comprenant rien.

H : De tout ça, de notre attitude 'Mione. On ne joue pas, on ne joue plus. Je ne veux pas faire un pas en avant avec toi puis en faire deux en arrière. Je suis désolé mais je ne regrette pas du tout ce que j'ai fais ! J'en avais très envie, depuis longtemps, et si Ron n'était pas arrivé, je t'aurais même embrassée !

Hermione ne disait rien, mais intérieurement, elle était très heureuse de l'entendre dire cela.

H : . Maintenant, continua Harry, je ne sais pas ce qu'il va se passer, mais ça m'est égal. J'y suis pour rien, et je m'en veux d'être autant attiré par toi, car je sais que ça te mettrait en danger, mais j'y suis pour rien, c'est plus fort que moi. Tu sais tout maintenant.

Puis il se dirigea vers la porte pour repartir, n'écoutant même pas ce qu'elle pourrait répondre. Mais au moment d'attraper la poignée, elle lui retint le bras en posant sa main dessus.

Her : Attends. lui murmura t-elle.

Il s'arrêta net, attendit quelques secondes puis elle le força à se retourner. Ils se regardèrent un instant, puis elle l'embrassa, d'un baiser passionné qu'elle refoulait depuis si longtemps.

A bout de souffle, ils se séparèrent, leur front appuyé l'un contre l'autre, se scrutant du regard, attendant une réaction de l'autre. Cette fois-ci, ce fut Harry qui prit l'initiative du second baiser. Il captura ses lèvres, jouant avec, et passa son bras autours de sa taille, la rapprochant de son corps, et elle enroula ses bras autours de son cou.

Il avançait, toujours en l'embrassant et s'approchant dangereusement du lit d'Hermione, où il l'allongea délicatement. Rien ne se passerait ce soir là, mais il voulait être près d'elle, pouvoir la toucher, la caresser, et la sentir près de lui. Il lui prie le visage entre ses mains et se recula légèrement, de manière à pouvoir l'admirer tout en gardant le contact, ses lèvres effleurant les siennes. Il caressa son visage, comme il l'avait fait quelques instants plus tôt, dessinant le contour de ses lèvres avec son pouce, puis il l'embrassa de nouveau.

De son côté, Hermione se laissait faire, sachant qu'ils n'iraient pas plus loin ce soir. Elle répondait à ses baisers avec fièvre, puis le laissa lui prendre ses mains et les plaquer de chaque côté de sa tête, tout en croisant leurs doigts. Il l'aimait, il en était plus que sûr maintenant. Jamais il ne s'était senti aussi bien qu'à ce moment là, aussi heureux et aussi sûr de lui.

H : Je t'aime. lui murmura t-il entre deux baisers.

Mais elle s'arrêta net, le regarda une seconde, puis un large sourire fendit son visage, rosi par la proximité de leur corps et de l'effet que cela avait sur elle.

Her : Je t'aime. lui murmura t-elle à son tour, avant de capturer ses lèvres de nouveau.

Ils étaient restés là, à s'embrasser pendant plusieurs heures, oubliant d'aller dîner. Heureusement, ils étaient en vacances, parce que sinon, ils auraient manqué pas mal de cours, mais ils s'en moquaient. Le soir était arrivé, très vite, et il était l'heure d'aller se coucher. Harry se sépara d'Hermione à regret, et se leva pour aller dans son dortoir, mais de nouveau, elle le retînt par le bras.

Her : Reste avec moi.

Son ton était plus suppliant qu'elle ne l'aurait voulu, mais ça lui était égal.

Her : S'il te plait. reste avec moi. cette nuit.

H : Si tu insistes. je vois pas comment je pourrais te refuser quoique ce soir, répondit-il en s'asseyant sur le lit, et en l'embrassant.

Elle se changea rapidement et enfila un pyjama, puis vint se glisser sous les couvertures. Harry, lui, avait gardé sa chemise et avait juste retiré son pantalon pour dormir. Elle lui fit signe de venir près d'elle, et il se glissa aussi sous les couvertures, pendant qu'elle se collait contre lui, posant sa tête sur son torse et sa jambe entre les siennes. Epuisée, elle s'endormit presque aussitôt, suivi par Harry.

Le lendemain, Harry se réveilla un peu plus tôt qu'Hermione et en profita pour la contempla. Il la trouvait vraiment belle, avec son visage d'ange et ses cheveux bouclés qui lui retombaient en cascade sur ses épaules.

Her : Ne me regarde pas comme ça, ça me met mal à l'aise. souffla Hermione en se réveillant.

H : Je ne peux pas m'en empêcher, tu es si. c'est moi qui t'ai réveillée ?

Her : Non, c'est pas toi, je me réveille toujours à cette heure là.
Bonjours quand même, ajouta t-elle en l'embrassant.

H : Tu sais à quel point j'aimerais rester là avec toi, mais sauf erreur, notre préfète adorée doit aller réveiller tout ce p'tit monde, et je dois aller envoyer une lettre à Sirius. Et ensuite, j'ai un entraînement de quidditch.

Après un léger grognement qui montrait son mécontentement de devoir sortir du lit, Hermione s'habilla rapidement, et après un dernier baiser, elle sortit de sa chambre, bientôt suivi par Harry. Il se dirigea rapidement vers son dortoir, sans trop faire de bruit pour ne pas réveiller personne, puis redescendit les escaliers, tout doucement.

R : C'est moi ou tu es habillé exactement comme hier ? fit une voix derrière lui qui le fit sursauter. Et c'est moi, ou tu viens de sortir de la chambre de Miss Granger, notre préfète ? ajouta t-il en appuyant sur le « préfète ».

H : Ron ! le coupa Harry. On t'a jamais dit qu'il était impoli d'espionner les gens ?

R : Je n'espionnais pas, j'observais, c'est différent.

H : Ah ouais ? Et, tu observais quoi dis-moi ? l'interrogea Harry en souriant.

R : Je ne t'ai pas entendu te coucher hier soir.

H : Et tu en as tout de suite conclut que j'avais passé la nuit avec Hermione, termina Harry.

R : Quoi ? sursauta Ron. Tu as passé la nuit avec Hermione ?

H : Euh. De toute façon, tu ne me croirais pas si je te disais que non !

Puis, devant les yeux ébahis de son ami, il ajouta :

H : . Mais il ne s'est rien passé, rassures-toi. On s'est juste embrassés, et ensuite elle ne voulait pas rester seule cette nuit, alors je suis resté avec elle et on s'est endormi, rien de plus. Bon, faut que je te laisse, je dois aller envoyer un hibou à Sirius, j'te laisse.

Sur ce, Harry était partit assez vite. En réalité, il ne voulait pas devoir raconter sa nuit avec Hermione à Ron. Même s'il ne c'était rien passé, et même si Ron était son meilleur ami, il y avait des choses qu'il souhaitait garder pour lui, des souvenirs, des sentiments, des caresses et baisers échangés. il ne voulait partager cela qu'avec Hermione. Mais il devait quand même prévenir Sirius de ce qu'il se passait, ne serait ce que pour lui donner des nouvelles.

« Cher parrain, Je voulais juste t'écrire une lettre pour te dire que tout allait bien ! Il n'y a eu aucune manifestation de Voldemort, aucun moldu tué depuis des semaines, et même Rogue semble être un peu plus gentil. Mais le plus important de tout, c'est que pour la première fois depuis longtemps, je me sens bien, heureux, et sûr de moi. Tu dois te demander ce qui se passe, et je n'ai qu'un nom à te dire, Hermione.

Dès notre première année, j'ai su qu'elle était différente, et qu'elle possédait quelque chose de particulier, une sorte de lien entre nous, sans que je puisse savoir quoi. C'est d'ailleurs ce pressentiment qui m'a poussé à être gentil avec elle, même si elle était un peu trop prétentieuse et sûre d'elle à mon goût, je me sentais proche d'elle, et je voulais la protéger, de tout, la protéger du troll, puis des diverses attaques de Malefoy. J'ai toujours ressenti le besoin de la protéger, de veiller sur elle, de faire attention à ce que rien ne lui arrive.

Et en deuxième année, quand elle a été pétrifiée, j'ai eu tellement peur pour elle. j'ai cru l'avoir perdu et j'avais la sensation de revivre la mort de mes parents. C'était atroce. Mais depuis l'année dernière, ce lien s'est renforcé, et je suis tombé amoureux d'elle petit à petit. Et cet été, nous l'avons passé à nous envoyer des lettres, elle pour s'inquiéter pour moi et moi pour la rassurer.

Et c'est à ce moment là que j'ai su que je l'aimais vraiment. Et cet après midi, je l'ai embrassée. J'en avais tellement envie. mais le plus étrange, c'est qu'elle ressent exactement la même chose que moi. Et je suis vraiment heureux ! Pour la première fois depuis longtemps, j'ai l'impression de vivre ! Elle est devenue mon oxygène, et je ne peux plus me passer d'elle ! J'aurais jamais cru pouvoir aimer quelqu'un comme je l'aime elle. Je dois te laisser, ton filleul Harry. »

Ps : j'ai oublié de te demander de tes nouvelles ! Comment vas-tu ? Et Buck ? As tu des nouvelles à propos de Petitgrow ? Réponds-moi vite.

Après avoir écrit sa lettre, il l'accrocha à la patte d'Edwige en lui demandant de faire le plus vite possible, puis il lui donna quelques graines.

Quand sa chouette fut partie, Harry se dirigea vers le terrain de Quidditch, mais il passa tout d'abord dans son dortoir pour récupérer sa tenue, puis il sorti et se dirigea vers l'escalier, quand il fut tirer en arrière.

Avant même d'avoir compris ce qu'il se passait, il fut plaquer contre le mur, et dans la surprise, il se laissa faire, puis fut agréablement surpris en sentant le souffle d'Hermione contre sa peau et ses lèvres brûlantes contre les siennes.

Il prie son visage entre ses mains et répondit à son baiser.

Her :Ils sont tous réveillés. murmura Hermione entre deux baisers.

H : Désolé. mon. ange. mais . je. dois. y. aller. je. suis. en . retard, répondit Harry, chaque mot étant entre coupé d'un long baiser. Her : Ce qui veut dire que le quidditch est plus important que moi ? demanda Hermione, mi amusé, mi vexée.

H : Tu sais bien que non ! Mais dans quelques jours nous devrons affronter Serpentard et leur équipe est sans faille. On doit s'entraîner, surtout, et je te le rappelle, je suis leur nouveau capitaine. Et le capitaine ne doit pas être en retard, et encore moins « sécher » l'entraînement pour rester avec sa jolie p'tite amie. Aussi belle soit elle, et bien que la proposition soit plus qu'alléchante, je dois refuser. Désolé.

Her : C'est bon, je comprends, tu peux y aller, fit-elle, un peu déçue.

H : J'y vais. mais n'oublie pas que je t'aime, et que tu es bien plus importante pour moi que n'importe quel sport ou n'importe qui d'autre.

Avant de partir pour de bon, il se retourna et l'embrassa passionnément, ses mains caressant son dos dans de douces caresses, puis il la quitta, pour revenir quelques heures plus tard.

Evidemment, il arriva en retard pour son entraînement, sous l'?il amusé de Ron, leur nouveau gardien, qui se doutait pertinemment de la cause de ce retard. Ils firent quelques exercices, des courses, lâchèrent plusieurs fois le vif d'or et les cognards, puis terminèrent par un match.

C'est complètement épuisés qu'ils rentrèrent dans leur dortoir, après avoir été prendre une douche.

Quand il entra dans leur salle commune, Harry s'aperçu qu'elle était vide, sauf une personne, qui semblait travailler, prés du feu. Harry souria. Tous les autres élèves étaient partis déjeuner, mais seule Hermione était capable de sauter un repas pour travailler. Elle ne l'avait pas aperçu, et il en profiterait pour se venger de la frayeur qu'elle lui avait faîtes le matin. Il s'approcha tout doucement d'elle par derrière, mais fut surpris de l'entendre :

Her : Ca fait dix bonnes minutes que je t'attends. lui lança t-elle sans se retourner.

Harry était sidéré. Comment savait-elle qu'il était ici, alors qu'il avait veillé à ne faire aucun bruit.

H : Comment est ce que tu as su que j'étais là ? lui demanda t-il.

Her : J'en sais rien. c'est comme si je sentais ta présence, ou que tu sois. comme un lien qui nous unis. et ce, bien avant. hier. Je crois que depuis notre première année, je ressens ce lien, sans trop pouvoir l'expliquer.

H : . Un peu comme si tu devais me protéger et veiller sur moi, et te sentir perdu quand je suis pas là, et triste quand il m'arrive quelque chose ? poursuivit-il. Her : Un peu.mais comment.

H : Comment je le sais ? je le sais parce que je ressens exactement la même chose 'Mione. Et comme tu l'as dit, bien avant que je sois amoureux de toi.

Her : Ah parce que tu es amoureux de moi ? plaisanta Hermione en le rejoignant dans le fauteuil où il venait de s'installer.

H : Je crois, en effet, répondit-il en entrant dans son jeu.
Mais je crois que je devrais vérifier, tu penses pas ? ajouta t-il en
l'enlaçant tendrement, leur regard se croisèrent pour ne plus se quitter,
et leurs mains se trouvèrent tout naturellement, croisant leurs doigts.

Her : Je crois, en effet que c'est à vérifier, répondit-elle en souriant, avant de l'embrasser, aussi tendrement qu'il l'enlaçait.

Après de longs baisers, il décidèrent d'aller déjeuner, ayant déjà rater le petit déjeuner et leur ventre criant famine.

Ils passèrent la journée ensemble, terminant leur partie de boules de neiges avec Ron, puis jouant tous les trois à divers jeux moldus et sorciers, puis ils finirent la journée Hermione dans les bras d'Harry, et Ron assis dans le fauteuil d'en face, et tous trois parlèrent, de tout et de rien, avant qu'Hermione prétexta être fatiguée pour pouvoir monter dans sa chambre, suivi un peu plus tard d'Harry, ce qui amusa beaucoup Ron, qui décida lui aussi d'aller se coucher, mais pour de vrai.

Cette nuit là, Harry et Hermione la passèrent encore dans les bras l'un de l'autre, échangeant rien de plus que de simples baisers et quelques caresses, puis ils s'endormirent.

Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner, le courrier arriva. Hermione reçu son éternel exemplaire de « la gazette des sorciers », Ron une lettre de sa mère lui demandant de ses nouvelles, et Harry reçu une lettre de son parrain, qu'il s'empressa d'ouvrir.

« Cher Harry, Je suis très content de savoir que tout semble aller bien pour toi, sans attaque de Voldemort, mais fais bien attention quand même. S'il n'attaque pas, c'est qu'il nous prépare quelque chose de très important, alors ne baisse pas ta garde.

Ensuite, et en ce qui concerne ta relation avec Miss Granger, je suis désolé Harry mais tu ne peux pas et tu ne dois pas sortir avec elle. Je sais que cela peut te paraître étrange alors que je ne l'a connais qu'à peine, mais fait moi confiance, tu ne peux pas l'aimer. Ce lien, dont tu m'as parlé dans ta lettre, ce lien explique pourquoi tu ne dois pas l'aimer, pas de cette façon.

Harry ne prie même pas la peine de lire la suite, il était trop en colère. Comment pouvait-il lui interdire d'aimer Hermione ? De quel droit lui disait-il de ne pas l'aimer, il ne la connaissait même pas ! Il ne voulait pas la quitter, et peut importait ce lien, il aimait Hermione, c'était tout ce qui comptait.

Il prie une dernière fois la lettre, la relue pour voir s'il ne s'était pas trompé, puis la chiffonna et la jeta par terre, sans prendre la peine de répondre à ses deux amis qui lui demandaient ce que son parrain lui disait. Il se leva et partit vers leur tour, sans finir son petit déjeuner.

Quoique ait pu raconter cette lettre, Hermione devait savoir ce qui le mettait dans cet état là. Elle se leva et ramassa la feuille, la lu rapidement, puis eu la même réaction que Harry, et partit en courant.

A suivre..

Voilà, c'est la fin de ce 1er chapitre, j'espère que ça vous a plu ! je mettrai la suite et fin d'ici quelques jours, si je reçois des reviews ! Et même si j'en reçois pas, je la mettrait quand même ! j'adore le chantage, mais je ne suis pas sadique au point d'imposer un nombre de reviews ! Masi j'en veux quand même ! ! ! ! Alors vous savez ce qu'il vous reste à faire. Gros bisous