'José Gonzalez - Heartbeats'

"Une nuit pour être confus

Une nuit pour accélérer la vérité

Nous avons fait une promesse

Quatre mains et puis loin"

Une nuit de bonheur. Une nuit qui à jamais serai en moi. Graver. La meilleur nuit de toute ma pauvre vie.

"Tous deux sous l'influence

Nous avons eu le parfum divin

Pour savoir quoi dire

L'esprit est une lame de rasoir"

Nous étions jeune et amoureux, insouciant. L'instant d'après, il n'y avait plus rien de joyeux.

"Pour réclamer des mains d'en haut

Pour se pencher dessus

Ne soit pas assez bon

Pour moi, non"

Tu as tellement fait pour moi. Ce n'était pas ce qui devait arriver. Jamais.

"Une nuit d'assaut magique

Un début, un simple contact

Une nuit pour pousser et crier

Et puis l'apaisement

Dix jours d'airs parfaits

Les couleurs rouges et bleues

Nous avions fait une promesse

Nous étions amoureux"

Tu avais cru en nous. En notre avenir. Tu m'avais convaincus pouvoir vivre dans un monde meilleur. Etre enfin heureux. Tout les deux.

"Pour réclamer des mains d'en haut

Pour se pencher dessus

Ne soit pas assez bon

Pour moi, non

Pour réclamer des mains d'en haut

Pour se pencher dessus

Ne soit pas assez bon

Pour moi, non"

C'était grâce à toi que j'avais réussi tout ça. Comment puis-je faire pour continuer sans toi ? Mon amour.

"Et toi,

Tu as connu les mains du diable

Et toi,

Nous maintenir éveillés avec dents de loups

Partageons de différents battements de coeur en une nuit ?"

Tu es le seul à avoir le mérite, de te faire appelé Héro. Parce que tu en étais un. Un vrai.

"Pour réclamer des mains d'en haut

Pour se pencher dessus

Ne soit pas assez bon

Pour moi, non

Pour réclamer des mains d'en haut

Pour se pencher dessus

Ne soit pas assez bon

Pour moi, non"

Chaque jour qui passe loin de toi, m'enfonce un peu plus dans la douleur. Je ne peux vivre dans un monde ou tu n'es plus. Je te veux tellement à mes coté, pensé à toi deviens difficile, la souffrance est tellement assommante. Je ne peux plus continuer. Je ne veux plus continuer.

Mon amour. Edward. Je t'aime, plus que ma propre vie.


La jeune femme au longues boucles brune rapprocha dangereusement la lame près de son bras. Le rasoir se posa sans un bruit sur sa peau fine et blanchâtre, proche de son poignet délicat. Un gémissement étouffé de douleur résonna dans la petite salle de bain. Les derniers accords de la guitare se jouait sur la radio posé non loin de là. L'eau de la baignoire se teintant de rouge, petit à petit. Un dernier souffle. Un dernier souhait. Celui de retrouvé celui qu'elle avait tant aimé.