~ Auteur : Yuuri Tsukiya.
~ Titre : Mon cœur entre 2 identités.
~ Genre : Romance / School-fic.
~ Pairing : SasoDei (Sasori x Deidara). Autres couples possibles...
~ Disclaimer : Les personnages de cette fanfic sont la propriété exclusive de Masashi Kishimoto... Les fans absolus de Naruto excuseront donc ma personne pour cette histoire que mon pauvre petit cerveau dérangé et pervers à créer de toute pièce (lol).
~ Rating : M (R-18) : /!\ Yaoi /!\.
~ POV : Sasori.
« Exister, c'est répondre aux attentes du monde environnant.
C'est, plus d'une fois par jour, et plus d'une fois par heure,
Oublier ce qu'on a juré d'être et ce qu'on est réellement,
Pour se laisser porter par l'image que les autres se font de nous.
Il y a une grande différence entre «exister» et «vivre».
Car vivre, c'est s'accepter soi-même et ignorer la futilité du monde...»
[Emile-Auguste]
MON CŒUR ENTRE 2 IDENDITÉS
- Epilogue -
Si j'avais du résumé ma vie en deux mots, j'aurais très certainement dis qu'elle était monotone et ennuyeuse... Contrairement à ce que la plus part des gens pensaient – si ce n'était tout le monde – être populaire, beau et riche comme je l'étais n'avait absolument rien de distrayant. Bien au contraire, j'avais plutôt tendance à considérer ça comme une fatalité. Depuis mon entré en primaire, j'avais eu l'impression de n'être qu'un pantin forcé de répondre aux attentes de ceux qui m'idolâtraient, et ce sentiment s'était concrétisé lors de mon arrivée au lycée, il y a deux ans de cela. A force de jouer la comédie en dissimulant mes véritables sentiments au plus profond de moi-même, j'avais finit par perdre ce semblant d'humanité qui faisait de moi qui j'étais réellement. Il y à quelque temps, je n'étais plus que le mec populaire à qui tous les élèves de l'école, fille comme garçons, souhaitaient ressembler. J'avais en quelque sorte perdu mon nom et même si les gens m'admiraient, je savais très bien qu'ils ne m'aimaient pas pour qui j'étais mais bel et bien pour ce que j'étais devenu.
J'étais conscient aussi qu'à ce jour, si j'avais réussis à rester Sasori Akasuna, C'était avant tout grâce aux amitiés que j'avais pu forger avec certaines personnes dignes de confiance... Tout d'abord, celui qui fut mon premier ami : Pein, un étudiant presque aussi populaire et admiré que moi. J'avais beau être le type que tout le monde aimait, il n'en avait fichtrement rien à faire. C'est lors de cette rencontre que le petit pantin que j'étais avait fini par redevenir Sasori. Il s'en était suivi de sa meilleure amie Konan. Au début elle était comme toutes les autres : Superficielle et amoureuse, quoi que beaucoup plus posée. Avec du recul elle avait fini par ôter mon masque elle aussi et était devenu une amie et surtout ma plus intime confidente. Quelque mois plus tard Hidan et Kakuzu nous avaient eux aussi rejoint. Grâce à eux j'avais appris une chose fondamentale : Ce n'était pas ma véritable personnalité qui devait disparaître aux yeux des autres mais la stupidité des autres qui devait disparaître à mes yeux.
J'étais donc resté Sasori, le mec populaire et cool, sans pour autant m'obliger à passer du temps avec des gens qui ne m'estimaient pas pour ma vraie valeur. Et c'était bien ainsi. Pourtant, quelque chose manquait dans ce nouveau tableau. Dans mon esprit j'étais satisfait et heureux, mais un vide s'était initié en plein centre de mon cœur. J'avais besoin de le combler, mais je ne savais pas comment m'y prendre... Jusqu'au jour où je l'ai rencontré.
Chapitre 1 : Le contact de nos yeux.
Aujourd'hui était une journée comme une autre. A vrai dire, ici, tous les jours se ressemblaient. La Gakuen high school de Konoha était une école tout ce qu'il avait de plus banal. Et comme tout lycée qui se respecte, elle avait ses groupes, ses coutumes, ses professeurs et aussi ses stars – dont je faisais parti... Néanmoins, cette journée s'annonçait quelque peu différente des autres car la venue d'un nouvel étudiant, transféré en cours d'année, agrémentait les ragots de tous les élèves de ma classe. Personne ne savait s'il s'agissait d'une fille ou d'un garçon. On ne connaissait pas non plus son ancien lycée ni la raison pour la quelle il avait changé d'établissement en plein milieu du deuxième trimètre. L'excitation et le doute qui précédait l'arrivé de ce nouveau venu se faisait ressentir de tous les côtés. Les discutions allaient donc bon train, mais comme toujours, mes amis et moi-même ne nous mêlions pas aux autres.
Vint alors le moment de rentrer en cours lorsque la cloche teinta enfin. Quelques minutes plus tard, Kakashi-sensei, notre professeur de mathématiques et de biologie, nous annonça, comme nous l'avions prédit, l'intégration d'un nouvel élément dans la classe.
« - Bonjour à tous. Avant que nous commencions le cours j'ai une nouvelle importante à vous annoncer. Aujourd'hui nous accueillons un nouvel élève dans notre établissement. Il fera dorénavant parti de votre classe. Soyez gentil avec lui. Tu peux entrer, viens et présente-toi. » Annonça-t-il en faisant un geste de la main vers la porte.
Toutes les têtes se tournèrent dans un même mouvement vers la porte d'entrée. Je ne regardais qu'à peine. Cet élève serait très certainement tout aussi banal et inintéressant que les autres. C'est bien entendu ce que je croyais avant de le voir car je ne pus m'empêcher d'hausser un sourcil en l'apercevant. Apparemment je n'étais pas le seul à m'étonner du physique de ce nouveau venu car plusieurs de mes camarades de classe lui lancèrent – tout comme moi – des regards stupéfaits.
Il ne portait pas de jupe, donc c'était sans conteste un garçon. Pourtant, sa silhouette fine et élancé lui conférait la fragilité que l'on attribuait la plus part du temps aux jeunes lycéennes de notre âge. L'uniforme lui allait d'ailleurs beaucoup trop grand, renforçant cet aspect chétif et mince de sa personnalité. Son visage quand à lui, était partiellement dissimulé derrière une grande mèche blonde, qui voilait son œil gauche dans sa totalité. A vrai dire, il était le stéréotype parfait de l'élève timide et mis à l'écart. Cela laissait à présager qu'il allait avoir beaucoup de mal à s'intégrer. Mais après tout ce n'était pas mon problème.
« - Bonjour, hm... Je m'appelle Deidara Iwa. Enchanté, hm » Déclara le nouveau venu.
Sa voix était douce et tremblante. L'assurance lui manquait. Plusieurs garçons étouffèrent un ricanement suite à sa déclaration : étant donné le timbre clair et limpide de ses propos, il n'avait pas encore mué. Son accent, quelque peu étrange, n'aidait pas beaucoup non plus. Cela eu pour effet de le rendre encore plus mal à l'aise qu'il ne l'était déjà. J'avais, en quelque sorte, un peu pitié de lui.
« - Très bien Deidara-kun. Il y a un bureau de libre au fond près de la fenêtre. »
« - Merci, hm... »
Il traversa la salle de classe à toute vitesse pour aller s'assoir à l'endroit indiqué. Les cours furent très vite terminés et la cloche annonçant le temps de midi sonna. Les élèves semblaient avoir totalement oublié l'existence du nouveau. J'étais un peu mal à l'aise pour lui, mais ce n'était pas un simple sentiment de compassion qui m'aurait poussé à aller l'aborder. Après tout il ne tenait qu'à lui de se faire des amis. Ce n'était pas mon problème. Je partais donc de mon côté rejoindre Pein et les autres au self.
« - Alors Saso ce nouvel élève il est comment ? » me demanda Konan lors du repas.
« - C'est un raté. Il n'a rien de plus que les autres. » Répondis-je d'un air las.
« - Oh... je vois. »
« - Et puis de toute façon c'est pas mon problème. » Ajoutai-je sans plus attendre.
« - Oui, bien sur je comprends. »
Les cours s'apprêtaient à reprendre. Nous n'avions que deux heures de sport avant de pouvoir enfin rentrer chez nous. Cela me permettrait de me défouler un peu. Le bon côté de la chose était que les garçons ne courraient jamais avec les filles – C'était donc un des rares moments où j'avais la certitude de ne pas avoir à supporter leur simagrées. Une fois encore j'arrivais premier. L'éducation sportive était mon point fort. Notre professeur, Gai-sensei, m'avait permis de rentrer plus tôt étant donné ma performance plus que remarquable. J'allais donc dans les vestiaires pour me laver et me changer.
Lorsque j'arrivais, quelqu'un utilisait déjà les douches. Mais après tout cela n'avait rien d'étonnant. Nous étions dans des vestiaires publics, et il n'était pas rare de se retrouver à cinq ou six sous les jets d'eau. J'ouvrais donc la porte à la volé, sans faire attention à qui pouvait bien être cet occupant. Mais à peine fus-je entré que je stoppais mon geste. Une femme !! Oui il y avait bel et bien une femme dans les vestiaires pour hommes... Et je dirais même plus une femme nue ! Tandis que mes joues s'empourpraient de manière abusive, je détournais avec empressement le regard, m'excusant au près de cette demoiselle.
« - Hu.... Je... Désolé. Normalement seuls les hommes ont le droit de venir ici. J'aurais du faire plus attention. » Déclarai-je pour me justifier.
« - He ?! Mais je suis aussi un homme, hm ! »
Cette voix... Elle me rappelait étrangement quelque chose. Je portais de nouveau mon attention sur mon interlocuteur, et vis alors devant moi ce qu'on aurait pu qualifier d'un ange. Je le reconnu tout de suite : C'était ce garçon. Seulement il semblait différent. La vu de son corps ainsi dévoilé, recouvert d'un mince filet d'eau était tellement... tellement... Sexy ! Ces yeux étaient grands ouvert et je cru bien m'y perdre pendant un instant. Ils étaient d'un bleu cristallin surréaliste ! Jamais encore je n'en avait vu de tel. Ce simple contact entre nos deux regards me fit vibrer au plus profond de mon être. Il le remarqua certainement car ses pommettes rougirent presque autant que les miennes.
Il baissa sans plus attendre ses yeux sur le carrelage humide, tandis que je m'avançais vers un autre jet d'eau. Pour dire la vérité, j'étais incroyablement angoissé à l'idée de me doucher avec une telle personne. C'était un homme, certes, mais avec un corps semblable au siens, n'importe qui aurait pu se laisser aller à des pensées un peu trop... Érotiques. Je réglais donc la température de l'eau à son minimum pour être sur de ne pas me faire emporter par des songes inappropriées dans pareille situation. La morsure du flot glaciale sur ma peau me permis d'oublié la personne se tenant à mes côtés... Ou tout du moins durant quelques minutes.
C'est dans des instants comme celui-ci que je maudissais ma curiosité naturelle. Car la curiosité était très certainement le plus gros défaut qu'un Akasuna fut susceptible d'avoir ! Et par manque de chance, j'avais hérité de ce travers... La tentation me poussa donc à jeter un coup d'œil discret à mon voisin. Coup d'œil que je regrettais sans plus tarder, car il était en train d'appliquer un savon mousseux et délicieusement odorant sur la totalité de son corps ! Ses gestes fluides et sensuels m'hypnotisaient d'une façon incroyablement divine, si bien que j'étais incapable de détourner mon regard... Les bulles laiteuses et translucides coulaient le long de ses cheveux de miel, glissaient dans son cou, parcouraient lascivement son dos halé, retraçaient les fines courbes de ses hanches, puis finissaient leur course le long de ses jambes vénusienne. Le spectacle étai tel, que même la brûlure du froid sur ma peau ne suffisait plus à enlever les pensées délicieusement érotiques qui se profilaient dans mon esprit.
J'avais cessé tout mouvement afin de me concentré sur le spectacle de luxure que m'offrait la vu de ce corps. Il sembla le remarquer, car quelques secondes plus tard, il tourna son visage dans ma direction et me fixa avec désapprobation. Ses joues étaient rosies par la chaleur ambiante et ses yeux semblaient exprimer une véritable gêne. C'est alors que je pris conscience de mon erreur : J'étais en train de mater un homme sous la douche ! Le fait en lui-même était déjà profondément déplacé, mais dans pareil cas, il l'était encore plus car ce n'était non pas une fille, mais bel et bien un garçon. Mes joues s'empourprèrent de nouveau tendis que je me retournais sans plus attendre en direction du mur. Je plaquais alors mes mains sur le carrelage glacé et fermais les yeux, comme si cela m'eut permis d'oublier toutes les idées malsaines qui venaient de me traverser l'esprit.
« - Hum... Ca ne va pas, hm ? » Me demanda une voix derrière mon dos.
Je senti une main incroyablement brulante se poser sur mon épaule. Cette chaleur qui contrastait fermement avec ma peau glacée me donna des frissons dans tout le corps. Je me retournais sans plus attendre pour découvrir une tête blonde aux yeux inquiets à quelques pas de moi. Son air innocent et sincèrement soucieux me fit perdre pied. Je le fixais avec des yeux ronds et interloqués. Il en fut apparemment gêné car il baissa les siens au sol, une fois encore. C'est alors que je remarquais quelques bulles de savons dans ses cheveux. Sans y prendre garde, je levai ma main et balayai d'un geste souple les intruses de cette forêt dorée. Il releva la tête, réellement surpris par ce que je venais de faire.
« - Tu... Tu avais du savon dans les cheveux. » Expliquai-je d'un air gêné
« - Oh... Hm, et bien... Merci, hm. » Répondit-il en souriant faiblement.
« - De rien... »
Il me fixa un instant. J'en profitais pour admirer discrètement son visage d'ange à l'expression si adorable. C'est vrai qu'il était incroyablement beau. Non pas comme un homme aurait du l'être, mais plutôt parce qu'il possédait les traits doux et agréables d'une femme.
« - Tu... Tu es Sasori Akasuna, n'est-ce pas, hm ? » Me demanda-t-il quelque peu hésitant.
« - Heu... Oui. Comment le sais-tu ? »
« - Tu es... populaire ici, hm. Les élèves parlent de toi comme si tu étais un héros, hm. » Admit-il en esquissant un léger sourire.
Je connaissais ma popularité mieux que personne. Mes richesses, mon physique et mes fréquentations avait joué un grand rôle dans la création de ma réputation et il faut dire que j'en avais souffert au cours de nombreuses années. J'avais en horreur cette image que les gens se faisaient de moi, mais comment aurais-je pu changer cela ? Pein et les autres s'étaient eux aussi forgé une sérieuse renommée et traîner avec eux n'aidait pas à effacer la mienne. Mais ils étaient les seules personnes aptes à comprendre ce que l'on pouvait ressentir lorsque notre entourage nous créait une personnalité toute définie. Et c'est bien pour ça que je ne pouvais me passer de leur compagnie. Pein était le mafieux au look de Bad Boy et à l'humeur changeante. Kakuzu le riche millionnaire à l'allure effrayante et à la force titanesque. Konan la chanteuse gothique qui apportait une touche féminité dans la bande. Hidan le rebel au physique musclé et au comportement insolent. Et moi j'étais le démon riche et indiscipliné au caractère impénétrable... Nous vivions avec ces portraits depuis deux ans déjà, et le temps nous avait permit de ne plus y prêter une trop grande attention. Mais honnêtement, je détestais que l'on me rappelle à quel point j'étais populaire. Mais il ne pouvait le savoir, ce pourquoi je gardai mon calme du mieux possible.
« - Ah... Oui plutôt. Et toi tu es... hm... Deidara ? C'est bien ça ? » Demandai-je à mon tour.
« - Oui. Deidara Iwa... L'élève transféré, hm. » Confirma-t-il en rajoutant son nom de famille.
« - Oui, je me souviens de toi. Nous sommes dans la même classe après tout... Alors ? Cette école te plait ? »
Il garda le silence durant quelques minutes. Je cru un instant que ma question le gênait... D'après ce qu'il m'avait été donné de voir, Deidara ne s'était pas encore fait d'ami. Je ne l'avais pas vu fraterniser avec d'autres élèves de la classe et il ne s'était pas présenté au self à l'heure du déjeuner... Lui demander si cette école lui plaisait était sûrement la chose à ne pas faire et pour une quelconque raison, je m'en voulu un peu. Cependant, il afficha bientôt une mine ravie et je le vit sourire explicitement pour la toute première fois.
« - Oh oui ! Cet endroit est génial, hm ! » S'exclama-t-il en riant à moitié.
« - Ah... Et bien tant mieux. Oh fait, puis-je te poser une question ? » Demandai-je poliment.
« - Bien sur, hm » Répondit-il d'un air serein.
« - Pourquoi as-tu quitté ton lycée en plein milieu du second trimestre ? » Continuai-je après avoir reçu son autorisation.
Son sourire s'effaça presque aussitôt. Si lui demander s'il aimait cette école était acceptable, lui poser cette question n'était apparemment pas une bonne chose à faire. Il sembla réfléchir tristement pendant quelques secondes. Je possédais une nature très impatiente et attendre ainsi qu'il se décide à parler était quelque peu agaçant. Cependant, je me refusais à le brusquer. A vrai dire, je ne m'étais jamais gêné pour faire des remarques vipérines à tous ceux qui me faisaient trop patienter... Mais avec lui c'était différent. Peut-être parce qu'il avait soudainement l'air si triste et mélancolique.
« - Hm... Et bien en fait... J'ai eut quelques problèmes avec certain élèves et professeurs, hm... Ca devenait trop pesant pour moi de rester là-bas alors... J'ai décidé de partir, hm. » Expliqua-t-il vaguement.
Je compris facilement qu'il ne souhaitait pas en parler plus que ça. Surement avait-il eut de sérieux ennuis par le passé et ne voulait-il pas que des rumeurs désobligeantes se propagent à son sujet dans ce nouveau lycée. C'était intelligible... Je me contentais donc d'hocher silencieusement la tête pour lui montrer mon approbation. Il me sourit faiblement du nouveau et nous restâmes durant plusieurs minutes à nous fixer dans le blanc des yeux.
Puis des pas se firent entendre dans les vestiaires, signe que le cours avait pris fin et que les autres élèves ne tarderaient pas à venir ici. Deidara sorti précipitamment des douches et enfila en vitesse son uniforme avant de partir en courant vers le portail. Etait-il pudique au point de ne pas vouloir être vu par d'autres personnes ? La question me trotta dans l'esprit durant ne nombreuses minutes, jusqu'à ce que je retrouve Pein et les autres...
Voilà pour ce premier chapitre ! J'espère de tout coeur que vous avez appréciez et que vous viendrez lire la suite ! Laisser un petit commentaire pour me donner votre avis : Je prend autant les bons que les mauvais. Une bonne critique encourage à continuer et une mauvaise aide à progresser ! A très bientôt pour le prochain chapitre =)