De : Snapou Black

Disclam' : Rien n'est à moi, même si je ne dirait pas non pour un p'tit bout. Enfin si, par la suite il y aura mon très cher James Paterson (que vous avez dû voir dans "Theodore Nott") et mon unique Andrew Scott (que vous verrez prochainement -maintenant- dans "Andrew Scott" ... c'est fou ce que mes "longues" fics ont des noms qui ne laissent aucun doute quand au personnage principal)

Perso principal : Théodore Nott (Nooon pas possible :o) et Zacharias Smith

Résumé : "Tu sais Smith, si on m'avait dit que je finirais par t'apprécier... je pense que j'aurais liquidé la personne le disant et toi par la même occasion." "Et maintenant ?" "Maintenant j'ai juste envie de me liquider pour oser penser ça." "Imbécile." "Idiot.

Titre : A comme Association et comme presque amis

Chapitre : Chapitre 01

Année en cours: Fin de Poudlard

Divers: Début de la seconde partie et un chapitre chaque dimanche pour le moment

Review Anonyme : http:/ /snapou-black .kazeo. com/ [Même les autres ; Blog "complet" dans peu de temps]

Il est nécessaire d'avoir lu "A comme Association et comme abrutis" pour bien suivre le déroulement de cette partie.

- Nott, hurla le blond.
- Hein ? Quoi ? Sursauta le brun. Kékispace ?
- Tu m'as fait peur à ne pas te réveiller.

Le mangemort se laissa retomber en arrière. Les yeux fermés, la tête bien enfoncée dans l'oreiller : il soupira. Zacharias Smith pouvait être une vraie plaie, être un être impossible à supporter mais était en même temps une personne sur qui il ne pouvait râler et qu'il ne parviendrait pas à tuer.

Il se refusait à le dire à voix haute, plutôt mourir, mais il était bien conscient de devoir la vie à ce blaireau de pacotille. Et quoi que puisse en penser Smith : il avait un minimum de valeur. Tout du moins : il en avait eu dans un passé pas encore si lointain et lui en restait des bribes.

- Tu m'énerve, Smith, grogna Theodore. T'es chiant, casse pied et énervant. Je dormais moi.
- Je sais, sourit le blond. Mais tu ne peux pas me reprocher de m'inquiéter pour ta personne.

De stupéfaction, Theodore resta muet. Il s'était entre temps redressé pour fixer son interlocuteur. Depuis le début il trouvait Smith cinglé, anormal et légèrement masochiste : le voilà dorénavant certain. Zacharias devait forcément l'être pour être capable de s'inquiéter.

Rien que pour oser formuler cette phrase, il fallait l'être. Au moins un peu. Et Smith l'était bien plus que cela.

- Nott, appela le blaireau avec un timbre de voix qui trahissait une inquiétude légère. T'oublies pas de respirer hein, ce serait fâcheux.

Pourtant, le mangemort n'écoutait pas l'autre garçon qu'il avait à supporter. Ses pensées tournées dans une autre direction, rivées sur les pires souvenirs qu'il avait eu à revivre. L'effet d'un détraqueurs... sans détraqueurs.

Le visage à dix centimètres du garçon assis sur le matelas, Smith l'observait. Un œil fermé, la tête légèrement penchée, sa pose ridicule et habituelle était de retour. L'assassin n'eut rien à formuler, rien à dire : son silence et son regard le firent pour lui. Le Poufsouffle soupira.

Le serpent ne l'avait pas habitué à ça. Mis à part lorsqu'il avait été malade, ce dernier avait toujours su se montrer aussi casse-pied que possible, même lorsque faire profil bas aurait été une idée judicieuse. Pour tout dire : même la veille il n'avait su être calme alors qu'il était revenu avec Blaise suite à un court séjour à l'ombre.

- Tu veux du chocolat ?

Theodore acquiesça d'un simple signe de tête puis, d'un coup de baguette, il alluma la radio installée sur le bord de la table basse. Entendre les nouvelles du monde extérieur était peut être une mauvaise idée mais entendre une voix autre que celle de Smith était absolument nécessaire. Il en avait besoin.

Savoir les nouvelles victimes : cela lui était égal. De qui avait-il à se soucier ? De lui, il était aux premières loges. De Blaise : sans doute qu'il n'aurait pas à écouter la radio pour être mis au courant. De Smith... il l'avait à l'œil. Non. Les nouvelles victimes n'étaient pas intéressantes.

Les mangemorts qui avaient été capturés ? S'il venait à y en avoir, il ferait une danse de la joie et irait se jeter au cou des sorciers qui les avaient arrêtés. Au risque de l'être à son tour.

Mais au moins aurait-il des nouvelles indirectes, détournées de l'actuelle situation. Des rares personnes qui comptaient... ou dont la disparition serait un Bien immense.

- ... vasion du mangemort Theodore Nott, livré à la justice le mois der...

Zacharias ne laissa pas l'objet en état de marche plus longtemps et l'éteignit d'un geste brusque avant de se tourner vers le sujet des informations qu'il venait d'écourter. Assis en tailleur sur son lit, le mangemort faisait rouler sa baguette entre ses doigts, les yeux rivés sur celle ci.

Un morceau de chocolat qu'il destinait à Nott dans une main, une tasse de thé encore brûlante dans l'autre : Smith soupira et s'approcha du brun.

- Tu devais sortir, expliqua-t-il en lui tendant la sucrerie. Tu serais mort là-bas... et t'es pas dangereux.
- Justement... si.

Le blaireau demanda à l'autre sorcier de lui tenir sa boisson un court instant dans le but d'aller se chercher une chaise et prendre ses aises. Après avoir rendu l'eau chaude à son propriétaire, Theodore pu enfin commencer à savourer son péché mignon.

- Nott, appela tout à coup Zacharias, osant rompre un silence rassurant. Je peux t'appeler Theodore ?

Surpris, il ne fût pas insulté en retour. Le mangemort n'eut même pas l'air d'éprouver le désir de lui faire goûter de son poing. Il se contenta de hausser les épaules et d'engloutir un carré de chocolat supplémentaire.

- Que je te dise oui ou non tu n'en feras qu'à ta tête, se justifia simplement le mangemort aux cheveux noirs. Mais pour moi : tu resteras Smith.
- Pour toi même Zabini est Zabini, rarement Blaise, répliqua le premier, tout sourire. Donc ça me va, Theodore.

Il termina ce que Smith lui avait donné quelques minutes plus tôt avant de se lever et passer devant le blaireau sans lui accorder un regard. Machinalement, Theodore se rendit près de la sortie, pour s'immobiliser devant.

- Si tu commences à m'apprécier, Smith, ça signifie qu'il est vraiment temps que l'un de nous parte.
- Ou au contraire : qu'il est temps qu'on reste.

Dans le prochain chapitre

Chapitre 2
- Maintenant tu peux partir : tu seras pas désarmé.

[...]

- C'est gentil quand même, Theodore. Mais je reste avec toi.

Une bonne dose de dialogues avaient été écris, dialogues entre Zacharias et Theodore (bien entendu) mais n'ont pas été inclus dans A comme Association et comme Abrutis pour diverses raisons.

Ils seront toutefois disponible sur kazeo.

Avec également des scènes entières (telle que la mort de Justin) et des alternatives (telle que Theodore partant de chez Justin sans Zacharias)

= http:/ / snapou-black. kazeo. com / (supprimer les espaces)

Il y a également bon nombres de fins que j'ai écrite mais je ne les mettrais sans doutes pas pour le moment, attendant de plus avancer dans la seconde partie ;) mais ils y seront...

= http:/ / harry-ko. harrypotterworld. fr / (supprimer les espaces)

https:/ / twitter. com / #! / Snapou_Black (pour suivre)

Verdict :B ?

SB