Hey ! Voici un petit recueil de longs Drabbles, ou alors de courts One Shot, appelez ça comme vous voulez, sur Prince du Tennis. Le contexte est simple. C'est ce qui se passe Un Jour, d'où le nom de ce recueil xD
Bref, ce recueil regroupe tout et n'importe quoi de ce que je peux écrire sur PoT quand je m'ennuie, ou lorsque j'ai une grosse envie de Pairing crack ou autre. Enfin soit ! C'est dans l'ensemble du Yaoi, du WTF, ou encore des trucs qui ne servent strictement à rien.
Pour commencer, voici mon premier drabble avec un couple crack et pour le moins… frustrant ?!
Les personnages ne sont pas à moi mais à maître Takeshi Konomi
Drabble 1 :
Assit sur un banc, il remuait frénétiquement ses jambes, ses pieds battaient le rythme, et ses écouteurs vissés dans ses oreilles, Kamio était dans un autre monde. Rien ne pouvait l'en sortir, à l'exception de son capitaine Tachibana, ainsi qu'une autre personne, tout aussi imposante, infligeant un respect que l'on ne pouvait feindre et dont il n'était que très mauvais d'ignorer. Une personne très cher à Kamio, ce qui pouvait parfaitement surprendre et il y avait de quoi. Leurs points communs ? Il y en avait deux le tennis, et leur rôle de vice-capitaine. Tandis que le rouquin ne cessait de gigoter sous l'entrain de sa musique, une ombre menaçante s'éleva devant lui, mais en aucun cas il ouvrit les yeux. Néanmoins, l'autre personne n'était pas prête à repartir bredouille. Elle approcha sa main du visage du joueur de Fudomine, se risquant à lui enlever un écouteur, ce qui, évidemment, attira tout de suite l'attention de Kamio qui leva le nez pour tomber directement sur le visage trop sérieux de son actuel petit copain. Celui-ci, saisissant sa chance pendant que son compagnon avait son attention rivée sur lui, il se pencha sur son visage dans le but non discret de l'embrasser. Cependant, alors que leurs lèvres allaient se toucher, un cri raisonna au loin :
« Akira ! Que fais-tu ? C'est à toi !
-Oui, capitaine ! »
Se levant d'un bord en faisant reculer son vis-à-vis, Kamio regarda son petit-ami et s'excusa avant de filer sous les ordres de son capitaine. Laissé pour compte devant le banc vide, l'autre adolescent était dépité. Une voix beaucoup plus aiguë fit son apparition alors qu'une nouvelle personne approchait :
« Qui a-t-il ? Ça ne va pas, Sanada ?
-Parfaitement, répondit le dénommé en passant devant son propre capitaine qui se mit à rire en le voyant si énervé.
-Oh je vois. Problème de cœur.
-Pas du tout !
-Hi ! Hi ! »
Et c'était dans ses moments là que l'on pouvait souhaiter les condoléances aux futurs adversaires du brun à la casquette.
