Chapitre 1

C'était une chaude nuit d'été et tout était calme à Privet Drive.

Tout le monde dormait. Sauf une personne.

En effet, on pouvait voir depuis la rue, une faible lueur vacillante émaner d'une chambre du numéro quatre qui permettait d'apercevoir la silhouette d'un adolescent penché sur un bureau.

Il écrivait.

Cet adolescent aurait pu paraître normal à quiconque le croiserait, par hasard, dans une rue, mais il était loin de l'être car, hormis le fait qu'il soit entrain d'écrire sur un parchemin à cette heure avancée de la nuit, il était sorcier.

Et oui, un sorcier.

Mais pas n'importe quel sorcier, non, un des sorciers les plus célèbres dans le monde entier.

Et s'il était connu, il y avait une bonne raison :

Quand il était âgé d'environs un an, sa famille s'était faite attaquée par Voldemort, le plus grand mage noir de tout les temps, celui dont personne n'ose prononcer le nom.

Ses parents, Lily et James Potter, avaient été assassinés cette nuit-là, d'un seul sortilège.

L'Avada Kedavra.

Le sortilège de la mort immédiate.

Mais quand Voldemort s'en est pris à Harry, le sortilège n'avait pas marché.

Il s'était retourné contre son expéditeur, et avait réduit le puissant mage à l'état d'esprit.

De cette attaque, Harry ne garde aucune séquelle, sauf une mince cicatrice en forme d'éclair sur le front ainsi que d'horribles cauchemars.

C'était d'ailleurs une des raisons qui faisait qu'il ne dormait pas en ce moment.

Car, depuis la résurrection de Voldemort, dont il avait été le principal moins de deux mois plus tôt, ses cauchemars revenait le hanter à chaque fois qu'il fermait les yeux.

Soit il revoyait la mort de ses parents, soit celle de Cédric qui avait été exécuté sous ses yeux en juin dernier ou soit la renaissance de son pire ennemi.

Mais il y avait aussi une autre raison au travail nocturne d'Harry :

La nuit était le seul moment où il avait la possibilité de faire ses devoirs de vacances.

Des devoirs sur la magie, bien entendu, car comme tous sorcier, Harry se devait d'aller dans une école de sorcellerie.

Lui, allait à Poudlard, l'école anglaise.

Mais vous vous demandez certainement pour quelle raison Harry ne pouvait faire ses leçons que durant la nuit ?

Et bien c'est simple, les Moldus (c'est comme ceci que les sorciers appellent les personnes totalement dépourvues de pouvoirs magiques) chez qui il habitait, c'est-à-dire son oncle, sa tante et son cousin, détestait tout ce qui touchait de prés ou de loin à la sorcellerie.

Sa tante, la sœur de sa mère, avait depuis qu'elle avait appris que Lily était une sorcière toujours détester cette dernière. Elle la considérait comme un monstre et elle et son mari avait toujours, pour cette raison, détesté et maltraité Harry.

Il lui avait aussi caché la vérité en lui racontant que ses parents étaient morts dans un accident de voiture.

Ce n'est que depuis qu'il a onze ans que Harry connaît sa véritable nature.

Il l'a appris de la bouche de Hagrid, un demi-géant travaillant à Poudlard qui est venu le chercher cette année là pour l'emmener pour la première fois de sa vie à la fabuleuse école de sorcellerie où il s'est fait les deux premiers vrais amis qu'il ait eu :

Ron Weasley et Hermione Granger.

Ron descend d'une famille de sorciers, il a les cheveux roux, une caractéristique de la famille Weasley et a cinq frère plus âgé que lui et une jeune sœur.

Hermione, quant à elle, à des parents Moldus, c'est une élève très brillante, très travailleuse qui au début ne s'entendait pas du tout bien avec les deux garçons, mais une fois que ceux-ci lui eurent sauvé la vie au péril de la leur, et qu'elle ait pris toute la faute sur elle quand les professeur leur avait demandé ce qu'il s'était passé, ils sont devenus tout les trois inséparables.

Donc, depuis que Harry sait qu'il est un sorcier, son oncle et sa tante l'enferme durant toute les vacances, pour ne pas que les gens apprennent son anormalité, allant même jusque à raconter aux autres que le jeune garçon va dans une école pour délinquants récidivistes.

Et il n'est pas question de parler de tout ce qui rapport à la magie sous leur toit et s'ils apprenaient que Harry profitait de leur sommeil pour travailler une grande partie de la nuit avec des grimoires et des rouleaux de parchemins, il ne fait aucun doute qu'il serait très sévèrement puni.

Et le comble pour lui, c'est qu'il ne pouvait en aucun cas utiliser ses pouvoirs pour les remettre à leur place car toute pratique de la magie en-dehors de Poudlard était totalement interdite sous peine d'être renvoyé du collège, du moins tant qu'il était un sorcier de premier cycle.

C'est pour ça que seule la flamme vacillante d'une bougie éclairait d'une douce lumière la pièce.

Harry ne voulait prendre aucun risque et évitait de faire quoi que ce soit qui pourrait réveiller les Dursley.

Il mettait finissait d'écrire son devoir lorsque un léger « toc toc » retentit en direction de sa fenêtre.

Il se retourna et vit que quatre chouettes voletait de l'autre côté de la vitre.

Le jeune homme se leva précipitamment pour ouvrir la fenêtre avant que le bruit ne réveille ses tuteurs.

Les chouettes entrèrent et Harry reconnu son propre animal qu'il avait appelé Hedwige, coquecigrue dit coq et Errol qui appartenait respectivement à Ron et Percy Weasley.

La dernière, il ne la connaissait pas, mais son pelage était couleur crème.

Chacune portait une lettre et un paquet, chacun de taille différente.

Il décida de d'abord ouvrir la lettre que portait la chouette qu'il voyait pour la première fois et détacha donc, avec précaution, l'enveloppe de la patte du volatile.

Dès qu'il eu ouvert la lettre, il put, à son écriture soignée, reconnaître son expéditeur, ou plutôt expéditrice car elle ne venait de nul autre personne que d'Hermione.

Hermione.

Depuis le début des vacances, il ne cessait de penser à elle et comme à chaque, une étrange torsion se fit sentir dans son estomac.

Il savait très bien que depuis quelque temps déjà, ses sentiments envers la jeune femme avait changés.

Petit à petit, ils étaient passés de l'amitié à quelque chose de beaucoup plus fort, de beaucoup plus sérieux.

L'amour.

Oui, il devait bien se l'avouer, il était amoureux d'elle.

Et il avait vraiment peur, peur qu'il lui arrive quelque chose, peur que Voldemort s'en prenne à elle pour l'atteindre, lui.

Il arrêta de penser à des choses sinistres et revint à la réalité et regarda à nouveau la lettre de sa meilleure amie.

Il commença sa lecture :

Cher Harry,

Joyeux anniversaire, tout d'abord ! J'espère que tu va bien et que tu ne fais plus de cauchemars.

Si c'est encore le cas, prévient Dumbledore ou Sirius.

Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai peur que Voldemort vienne s'en prendre à toi chez les moldus car il ne saurait pas te protéger.

Mais je m'inquiète sûrement pour rien car Dumbledore doit te protéger à distance.

En tout cas, envoie-moi vite de tes nouvelles et aussi de celle de Sirius, si tu en as bien sûr. J'espère qu'il va bien, lui aussi.

On se reverra sûrement bientôt parce que je suppose que Ron va (ou t'a) t'invité à passer la fin des vacances chez lui.

                                                        Bon, prend bien soin de toi

                                                                                Je t'embrasse

                                                                                        Hermione

PS : Tu as vu, je me suis acheté une chouette, elle s'appelle Vénus, comme la déesse grecque de la lumière et de la beauté.

Harry reposa la lettre de son amie, très surpris de ses salutations, « Je t'embrasse », jamais elle n'avait été aussi proche dans ses propos, d'habitude c'était toujours « bonne salutation » ou encore « Amitié ».

Se pouvait-il qu'elle ressente la même chose que lui ?

Il arrêta de se faire des illusions, elle était tout simplement inquiète pour lui.

Il arrêta de s'interroger pour s'intéresser au cadeau que son amie lui avait envoyé.

Il défit précautionneusement le papier d'emballage du paquet et découvrit un médaillon qui se balançait au bout d'une chaîne en or.

Sur le devant de la médaille, un phœnix était gravé et sur le derrière, il y avait une inscription.

Un mot.

« Expelliarmus »

ce mot, Harry le connaissait bien, c'était la formule d'un sortilège.

Plus précisément, le sortilège désarmement.

Mais quel rapport entre le sortilège et ce médaillon ?

Harry ce le demandait.

Mais à première vue, Hermione avait bien pensé qu'il s'interrogerai car elle lui avait laisser une note sur lequel elle expliquait tout :

« Quand on le porte, ce collier protège du sortilège de désarmement, j'ai pensé que ça pourrait t'être utile ».

Harry sourit en mettant le collier autour de son cou.

Au moins, comme ça, il ne risquera pas de se retrouver sans baguette devant un mangemort où même Voldemort.

Il dirigea ensuite son attention sur Hedwige

Il était prêt à parier qu'elle lui apportait une lettre de Sirius Black, son parrain qui était toujours rechercher par le ministère de la Magie pour des meurtres qu'il n'avait pas commis.

Il détacha la lettre de la patte de sa chouette et l'ouvrit. Il sourit en constatant qu'elle venait effectivement de Sirius.

Salut Harry,

J'espère que tu va bien et que tes moldus se comportent correctement avec toi, sinon appelle moi et je viendrai arranger la situation.

Harry sourit, il imaginait facilement son parrain entrain de s'amuser à jeter toute sorte de sortilège à l'intérieur de la maison.

Sinon, chez les sorciers, Voldemort fait encore des ravages.

A tel point que Fudge a fini par reconnaître son retour.

Mais bon, parlons de choses plus joyeuses à présent.

Je te souhaite un joyeux anniversaire et j'espère que mon cadeau te plaira.

Sinon, ne te fais aucun soucis pour moi, je loge en ce moment chez Lunard (Rémus Lupin). D'ailleurs il te salue bien et te transmet ses vœux pour ton anniversaire.

On te rendra sûrement visite au cours de l'année.

Mais en attendant continue de m'avertir de tout ce qui se passe autour de toi et donne-moi souvent de tes nouvelles.

                                                                A bientôt

                                                                                Sirius, ton parrain

Harry reposa la lettre, soulagé.

Il avait constamment peur que le ministère finisse par rattraper son parrain et lui fasse subir le pire sort possible :

Le baiser du Détraqueur.

La personne reste en vie, mais son âme est aspirée.

Alors penser qu'il était en sécurité chez son meilleur ami depuis l'enfance lui apaisait considérablement l'esprit.

Il prit alors le paquet qui accompagnait la lettre de son parrain et l'ouvrit.

Il y découvrit deux livres.

L'un était intitulé « Quidditch : les techniques les plus difficiles à réaliser » et sur l'autre, il était inscrit, en lettres dorées « Transplanage : théorie et pratique ».

Harry fronça les sourcils.

Il se demandait bien pourquoi son parrain lui envoyait un livre sur le transplanage alors que, selon la loi, il est formellement interdit de transplaner avant sa majorité.

Il souleva le livre pour le regarder de plus près et aussitôt, un morceau de parchemin plié tomba, mettant fin à toute ses interrogations.

Le mot était écrit de la main de son parrain :

« le premier livre appartenait à ton père, il y a fait toute sorte de commentaire et a aussi ajouté certaine de ses techniques personnelles que tu pourras tester.

Le second, je te l'ai envoyé pour que tu apprennes à transplaner mais je n'ai pas l'accord de Dumbledore ni du ministère pour ça, alors, s'il te plais, n'en parle à personne sauf à Hermione et Ron bien entendu. »

Harry en resta abasourdi.

Son propre parrain lui demandait d'apprendre à transplaner alors que c'était formellement interdit.

Et en plus de ça, il lui demandait de la cacher à Dumbledore, le directeur de Poudlard.

Mais bon, Harry devait avouer que ça lui plairait bien de savoir transplaner.

Il se sentirai plus en sécurité s'il savait que quand la situation deviendrait critique, il pourrait tout simplement se téléporter à un autre endroit.

Après avoir enfin réussi à assimiler cette information, il reporta toute son attention au deux hibou restant.

Les deux venait de chez les Weasley mais il décida de d'abord décharger Errol de son fardeau, car il pouvait facilement voir qu'il commençait à fatiguer.

Il commença par ouvrir la lettre et put ainsi voir qu'elle venait des jumeaux.

Hello Harry,

Joyeux anniversaire !

Comment tu vas ? J'espère que tes moldus te traite bien.

Sinon, le paquet rouge est pour toi, et tu pourra tester le contenu du jaune sur ton cousin.

Ce sont quelques nouvelles inventions de notre cru.

En tout cas, on voulait encore te remercier pour tes milles gallions, et on a acheté une nouvelle robe de bal à Ron, comme tu nous l'a demander.

Il a sauté de joie.

Bon, on te laisse, Percy vient de rentrer et on a de nouvelles inventions à tester sur lui.

                                                                        A bientôt

                                                                                Fred & Georges

Harry commença à ouvrir le paquet rouge et y trouva des bonbons de toutes les couleurs.

Il en prit un pour le goûter, pas trop rassuré, mais il constata vite qu'il n'était pas encore recouvert de plumes.

Heureusement pour lui, les jumeaux n'avaient pas l'intention de tester sur lui les produits qu'ils avaient mis au points durant les vacances.

Par contre, il ne se risquerait pas à goûter l'un des caramels que contenait le paquet jaune, le souvenir des pralines longues-langues que les deux frères avaient donné à son cousin étant encore gravé dans sa mémoire.

Il se dit qu'il les testera au moment où il partirai, pour ne pas avoir droit à une fin de vacances plus infernale qu'elle ne l'est déjà.

Il nota mentalement de ne pas oublier de le faire et reporta toute son attention sur Coq qui était, comme à son habitude, surexcité.

Il lui fallut au moins cinq bonne minute avant d'arriver enfin à l'immobiliser.

Il détacha la lettre de la patte de la minuscule boule de poils qu'était le hibou de son meilleur ami et l'ouvrit.

Comme il s'en doutait, la lettre était écrite de la main de Ron.

Salut Harry,

Joyeux anniversaire !

J'espère que tu vas bien et que tes moldus te traite convenablement.

Sinon, ici, tout va bien.

Ton cadeau d'anniversaire t'attend à la maison.

Maman à réussi à convaincre Dumbledore que tu serais plus en sécurité chez nous que chez ton oncle et ta tante et tu es donc autorisé à venir passer le reste de tes vacances au Terrier.

On viendra te chercher le 3 août à 14h que tes moldus soit d'accord ou non !

On viendra en voiture volante parce qu'après ce qu'il s'est passé l'année dernière, papa n'a pas trop envie qu'on vienne par la poudre de cheminette.

Bon, sinon, as-tu des nouvelles de Sirius ? J'espère qu'il va bien.

Ah aussi, maman est au courant en ce qui le concerne.

Après qu'elle l'ait vu à l'infirmerie, j'ai été obligé de tout lui raconter. Mais ne t'en fait pas, elle n'en a parlé à personne, même pas au reste de la famille.

En tout cas, ici, tout le monde se réjouit de te revoir et Hermione arrivera juste un jour avant toi.

                                                        Au 3 août

                                                                Ron

P.S. : Fred et Georges m'ont acheté une nouvelle robe de bal.

Je me demande vraiment où ils ont trouvé l'argent ?

Harry reposa la lettre, réellement heureux.

Plus que trois jours et il quitterait les Dursley pour une année entière.

Rien ne pouvait lui faire plus plaisir, surtout que ses amis commençaient à beaucoup lui manquer.

Surtout Hermione.

Il rangea les lettres de ses amis ainsi que ses cadeaux et ses manuels scolaires un des tiroirs de son bureau.

Il allait se coucher quand il se rappela qu'il aurait meilleur temps de répondre d'abord à ses amis, s'il ne voulait pas que son oncle lui hurle dessus parce qu'il y aurait quatre chouettes au lieu d'une à l'intérieur de la chambre.

Au moment où Harry allait commencer à rédiger ses réponses, une autre chouette s'engouffra dans la chambre par la fenêtre que Harry avait oublié de refermer.

Elle vint se poser sur le bureau, permettant ainsi au jeune homme de détacher la lettre de sa patte.

Il identifia aussitôt la lettre comme venant de Poudlard, en reconnaissant le sceau de son école.

Il l'ouvrit et la lu.

Cher Monsieur Potter,

Nous vous informons que le Poudlard Express partira sur la plate-forme 9 ¾ de la gare King Kross le 1er septembre à 11h. précise.

Nous vous informons aussi que, pour des raisons de sécurité, le tournoi de Quidditch n'aura pas lieu cette année.

Harry assimila avec étonnement cette nouvelle.

En temps normal, Dumbledore faisait tout pour que les élèves ne se sentent pas menacé.

Et ce n'était sûrement pas en interdisant la pratique du Quidditch que tout le monde allait se sentir en sécurité.

Vous trouverez ci-joint la liste des fournitures nécessaires.

Veuillez croire, cher Monsieur Potter, en l'expression de nos sentiments les plus distingués.

                                                                Minerva MacGonagall

                                                                        Directrice adjointe

Il prit la deuxième lettres et consulta la liste des fournitures.

Livre des sortilèges et enchantement, niveau 5

Levez le voile du futur, niveau 3

        ………

La liste entière comportait une dizaine d'ouvrage de toutes les matières enseignées dans la fabuleuse école de sorcellerie, tel que la métamorphose, la défense contre les force du mal, les potion, la divination et j'en passe.

A la fin de sa lecture, Harry reposa la lettre et pu constater que le chouette qui lui avait apporté sa lettre était déjà repartie.

Il prit quatre morceaux de parchemin et commença à griffonner les réponse pour ses amis.

Il décida de commencer par Hermione:

Chère Hermione,

Comment vas-tu ?

Merci beaucoup pour ton cadeau. Ce collier est magnifique et c'est vrai que ça pourra m'être très utile.

Tu sais vraiment choisir les cadeau qui conviennent.

Moi je vais bien et Sirius aussi, je t'en parlerai quand nous serons chez Ron.

En attendant, prend bien soins de toi.

                                                                        Bisous et à bientôt

                                                                                        Harry

Il répondit ensuite à Ron, en lui confirmant la date de rendez-vous.

Cher Ron,

Merci pour ton invitation, que j'accepte d'ailleurs avec plaisir.

Je serai prêt à partir.

Autrement, je vais bien et Sirius aussi.

Je t'en dirai plus quand je serai chez toi, comme ça je pourrai en parler à Hermione en même temps.

                                                                        A bientôt

                                                                                Harry

Il écrivit la lette pour les jumeaux

Salut les gars,

Merci beaucoup pour vos bonbons et je testerai les autres sur Dudley au moment où je partirai.

Je le ferai bien avant mais je risque de gros ennuis.

                                                                A bientôt

                                                                        Harry

Et pour finir, il termina par la lettre de Sirius.

Salut parrain,

Merci pour ton cadeau, et je te promets que j'apprendrai à transplaner le plus vite possible.

Transmet mes amitiés au professeur Lupin, d'ailleurs, j'espère qu'il va bien.

Sinon, moi, je vais bien et il ne s'est rien passé de spécial, à part que je continue à faire des cauchemars.

Au fait, Ron viendra me chercher le 3 août et ne t'en fait pas, il a tout expliquer à sa mère et elle a promis de ne rien dire à personne.

Même pas à son mari.

Je suis impatient de te revoir, ainsi que le professeur Lupin.

                                                                A très bientôt

                                                                            Harry

Il attacha les lettre aux pattes des chouettes et les renvoya d'où elle venait.

Il éteignit la lampe et alla se recoucher.