Imaginons que Camus est la France, et que les autres chevaliers sont les représentants eux aussi de leurs pays.
Ce jour-là, la France reçut un coup violent dans le cœur, la France s'écroula sur le sol tapisser de sang.
La France versa des larmes, des larmes de douleurs, d'incompréhension, de souffrance.
La France crachait du sang, beaucoup de sang, trop de sang.
Mais la France releva la tête et fixa son assaillant.
La France se releva.
Oui, elle se releva !
Elle fixa des yeux son assaillant, sans haine, ni mépris, mais avec force.
Plus les coups donnés se faisaient forts, plus la France se relevait.
Elle se releva encore et encore.
Non ! La France ne se laissera pas démonter ! Jamais !
Elle regarda son assaillant, et lui envoya une violente attaque avec toute la force des coups que son ennemi lui avait envoyé.
Son ennemi gisa là, sur le sol.
Maintenant, c'était lui qui saignait.
