Disclaimer : Les personnages et l'histoire de The Vampire Diaries ne m'appartiennent pas.
Sommaire : L'histoire se passe après l'épisode 15 de la saison 4.
Autres : Cette fic contiendra plusieurs chapitres, ceci est un prologue ! N'hésitez pas à m'écrire de jolies reviews, et bonne lecture !
Cette île était maudite. Belle et bien maudite.
Elle était là, à genoux, dans une clairière, le corps de Jeremy allongé devant elle. Elle chantait. Pas n'importe quel chant, non, c'était un sort. Depuis une demi-heure, elle essayait tous les sorts qu'elle avait sous le coude. Même l'Expression n'y changeait rien. Jeremy ne se réveillait pas. Et elle, elle continuait. Car elle était une battante, elle avait le courage de continuer, et elle avait de l'espoir. L'Expression lui avait sauvé la vie, et lui permettait de mettre n'importe qui à terre, mais à quel prix ? Elle n'en avait aucune idée, elle ne le savait pas. Non, elle était novice. Une sorcière très douée, très forte, mais novice. La plupart du temps, elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Elle mettait ses amis en danger pour les sauver ensuite. Elle sacrifiait des personnes pour sauver des gens qui comptaient pour elle. Elle pensa à April. Cette jeune humaine qui venait d'arriver à Mystic Falls, qui venait de perdre son père, et qui à présent était perdue dans le monde fascinant des créatures surnaturelles. Elle avait failli la tuer, elle aussi. Et à présent, elle aurait tout donné, TOUT, pour sauver Jeremy, même tuer quelqu'un s'il le fallait.
Elle sentit le pouvoir augmenter, dans ses poumons, dans sa tête, dans son cœur. Tout son corps était possédé par la magie noire qu'elle essayait de contrôler. Elle avait ses mains sur le torse du jeune homme, afin de faire passer sa magie dans son corps.
Mais bientôt, elle se sentit mal. Sa tête était prête à exploser, son cœur battait à tout rompre, ses poumons étaient contractés. Elle eu beaucoup plus de mal à respirer.
« Allez, Jeremy, réveille-toi. » murmura t-elle.
Puis elle chanta encore, et encore...Mais elle eu mal, affreusement mal. Mais...n'était-elle pas une battante ?
« BONNIE, NON ! »
