Disclaimer: Les personnages appartiennent à Rowling, pas à moi!

Attention: Yaoi!!!!!

Bonne lecture!

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Salut à tous, jeunes sorcières et sorciers, et salut aussi aux quelques moldus qui verrons peut-être un jour ces pages bien qu'elles ne leur soient pas vraiment destinées.

Vous me connaissez tous bien sur, à part les moldus évidemment, moi, le jeune héro à la fin si tragique dans la retranscription si épique de l'histoire de mon petit Ryry par cette historienne moldue. Enfin, pas tout à fait historienne, et pas tout à fait moldue, mais passons.
Le fait est que cette... comment dire ça sans être grossier... cette ignorante dirons nous, a touvé ça de bon gout de me faire mourrir dans le quatrième tome, histoire de ne pas faire de vagues avec les histoires de coeur de mon petit ange qui pour le bon ton de l'histoire se devait d'être hétéro. Et bien je l'emmerde cette... cette... bon, je ne le dirais, ce serait bien trop outrageant, et je ne veux point troubler les oreilles chastes de mes lecteurs.

Sauf que je ne suis PAS mort dans ce fichu tournois. Si encore il n'y avait que ça! Mais cette moldu à carrément fait sa version des faits, pour mieux faire Légende comme elle a si bien dit.
Et bien moi je vais tacher d'y remédier, et je vais tout vous raconter comme cela s'est passé.

Bon, par contre, je pense qu'il sera préférable de retranscrire ça à la troisieme personne, vu que je ne veux pas passer pour un égocentrique, et encore moins parler de choses intimes avec un petit "je" innocent.

Allez, je vous laisse maintenant partir voguer sur la mer de mon récit. Pardonnez moi de bon coeur si dans mes égarement littéraire la griffe du poufsouffle en moi se laisse aller. Je précise aussi je je commence à raconter à partir de l'année du tournois, vu qu'avant, Harry et moi ne nous étions pas encore réellement rencontré à part pour un bref match de quidditch. Sur ce...

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Décidément, cette année se présentait plutot bien pour notre jeune et fier serdaigle (bon, ok, j'arrete). Cedric avait passé un été formidable avec son père, bien que la coupe du monde de quidditch se soit terminée de manière si noire. Mais à part cet écart désolant, il faut avouer que ça avait été le pied. Entre les chasses à cours en balais avec ses oncles et leur meute de chiens à deux têtes courrant après les stradots des bois, et les randonnées en pleine campagne avec son père, il avait écolté assez de bonnes histoires pour divertir sa maison au coin du feu de leur salle commune pour des mois.

Il arriva à la gare avec une bonne avance, et après avoir embrassé son père, il s'était glissé dans le train presque vide. Une fois sa valise bien calée dans le compartiment des préfets, il s'assit et attendit patiemment que les élèves commencent à combler ce vide, regardant vaguement par la fenêtre. Après avoir vu passer plusieur filles de l'école qui lui avaient adressé leur plus beau sourire, il décida de se lever et d'aller se réfugier dans un endroit où on irait pas lui chercher noise, dans les derniers compartiments. Il se ballada ainsi dans le train, évitant ses admiratrices au mieux, jusqu'au départ de celui-ci.
Il retourna alors au wagon des préfets pour faire le point avec ses collègues.

Une fois ces formalitées passées, il repartit en vadrouille dans cet éternel couloir sans fin... Il faut dire qu'il commencait franchement à s'ennuyer ferme. Perdu dans ses pensées, il percuta Cho, une fille de sa maison, qui bien sur en avait profité pour laisser tomber ses affaires sur le sol. Il connaissait le coup, mais ne voulant pas se la jouer salaud impoli, il l'aida à rammasser le tout en écoutant son babillage d'une oreille distraite. Une fois cette nouvelle corvée achevée, il la salua et continua à errer.
Il finit par échouer devant le compartiment des Griffondors, et il se décida à y faire un petit tour, histoire d'assurer un peu ses fonctions de prefet. Il salua les occupants avec sympatie, et avisant le Survivant qui regardait par la fenêtre avec lassitude, il ne put s'empécher de sourire en repensant qu'il avait fait la même chose quelques heures plus tot. Après être ressortit, désormais heureux possésseur de plusieur objets douteux confisqués aux jumeaux weasley,dont une sorte d'oreille étrange et plusieurs bonbons colorés, il s'en retourna paisiblement à son wagon.

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Aprés l'habituel chant du choixpeau et la répartition des nouveaux élèves, Dumbledore se leva et entamma un discourt des plus étranges. Cedric se rendit alors compte que cette année se présentait bien mieux que juste "bien". Le directeur lui même leur annonçait un peu de distraction. Car il faut avouer que le jeune Diggory avait tendance à s'ennuyer un peu au cours de l'année. Il avait toujours des résultats scolaires exeptionnels sans grand effort, il était chef de son équipe de quidditch, mais malgrès les entrainemments avait rarement atteint son quota de fatigue, et les filles ne l'interessaient pas.

Il esquissa donc un sourire carnassier en entendant parler de ce tournois. Seul hic, il n'y aurait qu'un seul champion par école. Il regarda avec défiance vers la table des Griffondors, connaissant les probabilitées pour que tout tombe toujours sur Le même gars, mais il fut vite rassuré quand il entendit la condition d'âge.
Il se sentit alors sur de lui. Aprés tout, il était dans les meilleurs élèves de l'école, et il avait toujours eut une certaine dose de chance.

Il se leva à la fin du repas, le ventre plein, la tête dans les nuages, et se dirigea vers les premières années pour les guider vers leur dortoir.

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Le nom résonna dans la grande salle comme une douce mélodie aux oreilles de notre beau poufsouffle. "Cedric Diggory" avait prononcé Dubledore. Il se leva sous les acclamations de tout poudlard et se dirigea vers l'arrière salle où s'étaient réunis les autres champions. Après avoir discuté brievement avec la française, histoire d'être courtois, ils virent arriver Harry Potter en personne. La franГçaise cru qu'on leur demandait de revenir, mais à la tête du Griffondor, Cedric devina qu'il y avait un problème. Le garçon paraissait à la fois secoué et anxieux.

C'est alors que les différents directeurs des écoles arrivèrent en trombe tout en se disputant. Comprennant la raison de la dispute, Cedric laissa leurs paroles devenirs des murmures à ses oreilles. Harry Potter était le quatrième champion. Le survivant venait lui piquer sa place. Cedric tourna un regard accusateur vers le jeune rouge et or, mais sa colère retomba net quand ses yeux se posère sur le garçon. Il semblait en cet instant si fragile et si jeune que le poufsouffle se rendit compte de ce qu'il avait osé penser. Harry n'y était évidemment pour rien. Qui plus est, il se retrouvait engagé dans un tournois dangereux pour un jeune garçon de son âge, vu que déja dangereux pour lui.

Il laissa glisser ses yeux vers ceux du Griffon qui leva les siens au même instant. Les émeraudes croisèrent l'acier, et ce fut Cedric qui baissa le regard le premier. Non, il ne pouvait décemment pas laisser le jeune Potter prendre autant de risques, surtout qu'il était sensé vraincre celui-dont-on-ne-pronnonce-pas-le-nom, et donc rester vivant d'ici là.

Cedric prit alors la décision la plus stupide et courrageuse de son existence: Il allait le protéger!