Disclamer : L'histoire et l'intrigue ne m'appartiennent pas. Cette fanfic est une traduction de The Serpent's Bride de venusmercurysunev. Et bien sûr tous, l'unviers, les personnages et le reste appartiennent à J.K Rowling.
The Serpent's Bride
Novembre 1981; Manoir Lestrange
Rodolphus Lestrange marchait à travers le couloir de son ancestral maison, en fixant ses boutons de manchettes en argent, sur les manches de sa chemise de soie noire qui était rentrée soigneusement dans son pantalon de cuir sombre. S'élevant derrière lui, ses vêtements de mangemort qu'il avait oubliés d'attacher, traînaient telle de la fumée noire. Caché dans la profondeur de l'une de ses poches, se trouvait son masque d'argent sculpté de vignes, la petite fente verticale où se situait la bouche était en dessous. En chemin pour aller quérir sa femme, il souriait en entendant ce son qui était devenu à ses oreilles, plus doux et plus beau que la musique: le son du rire de son enfant alors que sa femme le divertissait tandis qu'il se préparait. Alors qu'il était en train de donner un bain à son enfant, Bella avait reçu une missive de Barty Croupton Jr, les invitant tous deux à participer à une mission ce soir. Bella s'était habillée la première, puis elle lui avait pris l'enfant afin qu'il puisse changer ses habits mouillés contre ses vêtements de mangemort, mouillé comme il l'était toujours après avoir donné un bain à leur enfant .
Bellatrix avait été très désespérée pendant quelques semaines, à cause de la chute du Seigneur Noir Voldemort. Ils avaient été de loyaux partisans depuis que Son nom n'avait été simplement qu'un chuchotement dans le vent. Il avait vraiment été un loyal partisan, en prouvant tout spécialement sa valeur quand Bellatrix, trop enceinte ne pouvait plus participer aux missions, alors qu'elle aurait tant voulu y aller. Devenir père lui avait permis d'ouvrir les yeux, en lui faisant réaliser qu'il pouvait y avoir quelqu'un qu'il aimait plus que sa femme et auquel il pouvait être encore plus loyal qu'à son Seigneur. Au moment où il avait tenu son enfant dans les bras, il savait qu'il ferait n'importe quoi pour lui. N'importe quoi.
Il ouvrit la porte alors qu'il finissait d'arranger ses manches pour être le plus à l'aise et être plus libre de ses mouvements. S'appuyant contre le bois de la porte, il regardait avec un sourire sa femme aider leur fille – oui, fille! ( Quand tous les mangemorts avaient eu des garçons, ils l'avaient tous instantanément demandée en mariage, mais Bellatrix les avait très vite fait taire avec le bout de sa baguette et avec des regards furieux; une Bellatrix, qui avait donné naissance, seulement une heure plus tôt, était peut être plus terrifiante qu'une Bellatrix normale) – disposer des cubes en bois avec des lettres peintes en formant un petit mot qu'ils lui apprenaient. La petite fille, avec ses boucles brunes lumineuses et vêtue d'un pyjama recouvert des lunes , prenait le bloc que lui offrait Bellatrix et le mit à la fin de la ligne de blocs et puis frappa dans ses mains, rit bruyamment d'avoir correctement épeler le mot «table». Bellatrix sourit , frappa dans ses mains avec elle et puis rit tandis que leur fille commençait à pousser les lettres plus loin et en cherchait de nouvelles à utiliser.
Détestant interrompre cette belle scène, Rodolphus s'éclaircît la gorge, et ainsi sa femme, à genoux sur le sol, le remarqua de sa place.
«Bella, chérie? Il est temps d'y aller.»
Leur fille regarda en l'air, en tenant un bloc avec la lettre «F» qui paraissait immense dans ses petites mains. «Où vous allez, papa ?» Son discours fut long à venir, mais elle ne pouvait encore pas prononcer certaines lettres.
Son cœur fondit comme il regarda sa magnifique fille avec ses grands yeux marrons alors qu'elle portait l'adorable pyjama que la sœur de Bellatrix, Narcissa – qui était aussi le deuxième prénom de sa fille – lui avait donné, mais il se fit courageux. S'approchant de sa fille, il s'agenouilla et attrapa sa main avec douceur. «Maman et papa vont sortir avec certains amis.»
«Je ne peux pas venir ?» Elle fronça les sourcils tristement. « J'ai été méchante ?»
«Non, chérie, bien sûr que tu n'as pas été méchante.» roucoula Bella , prenant sa fille dans une étreinte et en lui embrassant le haut de la tête.
«Alors pourquoi...?»
«Joue avec tes cubes, chérie.» Rodolphus traversa la distance, prit la main de Bella et la leva. La petite fille fronça les sourcils au début mais continua à arranger les lettres pour épeler 'feu'. Il remarqua qu'il poussait Bella hors de la chambre, elle semblait être hésitante. «Qu'est-ce qu'il y a ?»questionna-t-il gentiment comme ils passaient par la porte.
Elle gardait ses yeux sur leur petite fille. «Je suis juste...»
Rodolphus supposa: «Je pensais que tu étais impatiente pour ce soir...»
«Je l'étais, je le suis! Mais...»
Son cœur se ramollissait encore. S'il se ramollissait plus il se transformerait en beurre! «Tu ne veux pas la laisser?»
Elle sourît tristement. «Je ne veux jamais la laisser.» Il hocha la tête comprenant bien sa réaction. Ils l'avaient laissée plusieurs fois auparavant: qu'est ce qui était différent ce soir? «J'ai juste cette horrible sensation que quelque chose pourrait se produire »
Il prit sa main. « Bella, elle était bien quand nous l'avons laissée auparavant. C'est juste pour quatre heures. Rappelle toi quand nous l'avons laissée pour un week-end?» Au moment où ils étaient rentrés à la maison, Bellatrix avait presque tué Voldemort, lui-même, désespérée qu'elle était de n'avoir pas vu son bébé! «C'est juste pour quelques heures. Elle sera endormie dans sa chambre, les elfes sont prêts à tuer quiconque la regarde trop... Elle ira bien.» murmura-t-il rassurant, serrant la main de Bella sur son cœur.
Elle souffrait mais Bellatrix acquiesça. «Laisse moi lui dire bonne nuit.»
Il acquiesça. «Vite. C'est l'heure de partir.»
Bellatrix se précipita vers leur fille et la souleva dans ses bras, en versant presque des larmes quand la fille riant bruyamment, enveloppa ses bras autour du cou de sa mère. «Très bien, chérie, papa et maman vont sortir maintenant. On sera vite de retour, je te promets.» lui dit-elle alors qu'elle posait un gros bisous mouillé sur sa joue.
«D'accord, maman.» dit elle doucement, triste de ne pouvoir partir avec sa mère. Le cœur lourd, Bella l'embrassa encore et la reposa sur le sol. «Je t'aime, maman.»
«Je t'aime aussi, Hermione.»
