Des relations de bon voisinage
Auteur: Ankei la dégénérescence incarnée
Genre: déménagement , OOC tout plein
Couple:1x5, 1xR (pas taper!!! Pas taper!!!)
Rating : R/NC-17
Disclamair :Les persos de gundam wing ne sont pas a moi sniff, veut avoir mon Wuffy
Chapitre 1: l'emménagement
Je m'appelle Wufei, j'ai vingt-six ans, quand je suis entré dans le hall de mon nouvel immeuble, titubant sous le poids d'un carton de déménagement, il était retourné face a la paroi vitrée. D'abord je n'ai pas prêté attention à lui. Puis, en attendant l'ascenseur, mon regard fut attiré par son agitation insolite. Ce grand corps, taillé comme celui d'un pratiquant de karaté environ dans les 1m80, semblait se frotter lascivement contre une jeune fille habillé d'une robe a froufrou rose bonbon (1).Se que je vit me dégoûtât, elle comprimait sa bouche goulue sur le visage de son ami comme si elle eût voulut l'engloutir, pétrissant sa braguette d'une fine main avec de long doigts qui me faisait penser à un battoir. Si elle n'était pas sa femme, elle était bien physiquement parlant…sa moitié. Et il lui fallait une belle santé pour ne pas défaillir sous l'ardeur de la demoiselle. De type Asiatique ou Russe, cet homme dégageait quelque chose d'animal. Je restai troublé par le regard colbat qu'il osa me lancer, alors qu'il se trouvait en pleine action sensuelle. Je plissai mes yeux de myope(2) devant cette provocation flagrante. Lui me regardait le regarder (3). Ce n'était pas agressif, ni vulgaire. En vérité, je ne savais pas ce que c'était, seulement que je en ressentit un mélange d'inquiétude et de séduction (4), d'attirance et de méfiance.(5)
Les portes de l'ascenseur coulissèrent sur le palier du troisième étage. Mon nouveau studio s'ouvrait en face. Je tentai de sortir la clef de ma poche sans poser mon carton. C'était présumer de mon agilité. Le carton bascula sur mon bras et une dizaine de magazines se répandirent sur le seuil. Je finissais juste de tout remettre en place. Quand l'ascenseur se rouvrit.
- Besoin d'aide?
C'était le karatéka lubrique du hall d'entrée, qui tendait déjà les bras vers mon carton. Subjugué par cette soudaine promiscuité, je pris un temps de réaction (6)
- Euh oui je veut bien.
- C'est marrant, on est voisins de palier!
Je n'aurais pas imaginé des dents aussi blanches.
-Oui c'est drôle. Lui répondit-je
Je m'empressai de tourner ma clef. Il n'attendit pas mon invitation pour s'introduire et s'aventurer à son aise.
Les bras toujours chargés, il eut tôt de jeter un œil dans chacune des pièces. Je n'osai pas l'arrêter, focalisé sur ses fesses rebondies, moulé dans un jean délavé dont la poche arrière pendait, à moitié déchirée.
-C'est foutu comme chez moi, peut-être un peu plus grand.
Ce cul n'était pas foutu comme chez moi, et certainement plus grand. Quand il me fit face dans l'étroit couloir (7)-songeait-il encore a sa copine toute rose ou était-ce habituel?-, sa braguette élimée me parut remarquablement rebondie.
- C'est sans doute une impression, il y a encore peu de meubles…
Mon carton calé sur le ventre, il ne pouvait pas manquer de remarquer mon regard rivé sur son intimité. J'en fus gêné. Pas lui. Il attendait tranquillement que je lui indique où poser son fardeau.
- Vous n'avez qu'à le poser sur l'armoire de ma chambre.
Il entra à ma suite dans la grande pièce carrée donnant vue sur les champs Élysée. Consciemment ou non, il m'offrit alors une vision encore plus fascinante de son anatomies. Quand il leva les bras, son sweat-shirt bleu marine découvrit un émouvant nombril creusé sur une longue ligne de poils bruns qui tombait sur un bas-ventre broussailleux. En expert, j'en conclus : slip taille basse ou string, ou rien du tout!
C'est le moment que choisit mon carton pour s'ouvrir par le fond (malheur!!!). Et une pluie de magazines se déversa sur les baskets de mon voisin. Tandis qu'il riait de l'incident, je me précipitait soudain pour ramasser. Je m'efforçai de cacher les revues glacées en les rassemblant en tas. Mais il eut le temps d'en saisir une, il la feuilleta et le rouge me vint aux joues en imaginant ce qu'il pouvait penser de moi à la vues de ces culs tendus, couilles rasées, gland turgescents surgissant de ma collection de portfolios érotiques. J'était grillé le jour même de mon emménagement!
Il ne riait plus, il ne toussa pas non plus.
- Eh ben…
-Désoler…
Il n'entendait même plus mon embarras; il s'arrêta sur le poster central, tournant le magazine pour mieux voir.
- Rien d'exceptionnel.
Je dus me répéter mentalement ce qu'il venait de dire pour être sûr de bien comprendre. Avant d'oser lui répondre.
- C'est à-dire pour quelqu'un de bâti comme vous, peut-être mais…
- Et encore vous n'avez rien vu.
J'avalais ma salive, en espérant mieux.
- Je ne demande que ça.
Il releva la tête, j'eus l'impression d'avoir agité une cape rouge devant un taureau sauvage.
- Alors je te fait un streap ou bien on s'encule tout de suite?(8)
En générale, je me laisse rarement surprendre par les propositions sexuelles inopinées, même venant d'hétéros. Mais là, c'était vraiment trop, je ne me sentais pas prêt à assumer. Comment devais-je le prendre? Pour qui me prenait-il? Qui allait prendre qui? Les joues en feu, les mains moites et le menton tremblant, j'attendait bêtement la suite.(9), il fronça les sourcils comme un boxer qui hésite a coller un uppercut, puis explosa de rire (10).
- Je déconne!
J'essuyai discrètement la sueur de mon front, je devait avoir l'air complètement stupide. Encore heureux que je n'avais rien dit du genre: « je préfère te sucer d'abord » ou encore « sous la douche ou sur le tapis? ». Toujours aussi décontracté, il lança le magazine dans son carton, jeta un nouveau regard alentour.
- Faut que j'y aille.
-Oui! Merci beaucoup!
- Pas de quoi. Je suis toujours prêt à rendre service: Plomberie, électricité, je suis très bricoleur.
-Pourquoi pas… il est très possible que je vous appelle, en cas de besoins.
-J'habite la deuxième porte à gauche n°19, si vous avez besoins de quoi que se soit sonnez.
Je n'eus pas le temps de lui dire au revoir, il avait claqué ma porte, je dus m'asseoir dans le canapé pour retrouver mes esprits et me repasser le film de cette scène riche en émotions. (11) et me masturber sous une bonne douche froide.
Une semaine passa, je n'avais pas une minute répit entre le travail à l'agence Quincy (12) et les mille et un détails administratifs et logistiques à régler suite au déménagement. Je ne savais que trop penser de mon voisin, mais j'y pensais beaucoup trop. Sur sa boite à lettres dans le hall, je relevai son prénom: Heero Yuy. M'avait-il fait une vraie-fausse proposition? Avait-il juste voulu jouer avec ma libido hyper-sensible?
Après avoir rendu mon nouveau nid présentable avec des meubles chinois anciens, je décidai de faire mes civilités, dans le but inavouable de trouver quelques réponses à mes obsédantes questions. Je glissai un mot sous la porte de l'appartement 19: Pour vous remercier de votre aide, je vous invite a prendre un verre chez moi samedi soir à 19 h 30. Votre voisin du 23.
P.S: Vous pouvez venir accompagné de votre amie, si cela lui fait plaisir.
Inutile de le préciser, je priai les dieux pour qu'il négligeât le P.S. La veille, j'achetai de quoi préparer un bon apéritif, dont une bouteille de saké vieille de 5 ans. Mon invité n'avait ni confirmé ni infirmé, mais il est vrai que je ne lui avait pas demandé son avis. Le soir dit, à 20h15, toujours personne, était-il parti en week-end? Depuis mon emménagement , depuis se moment là je ne l'avais pas recroisé. Avait-il seulement oublié? Je commençais a m'agacer, quand on sonna.
Je ne vis que lui par l'œilleton de ma porte, elle était plus petite que le judas. Sans préambule, l'espèce de chose qui lui servait de petite amie me tendit une assiette dégageant une forte odeur de graillon. Des boulettes de pâte fumaient encore sur une serviette en papier imbibé d'huile. Mon voisin paraissait fier des exploits culinaires de son amie:
-Réléna vous a fait des sushis et des yakitoris (13)
- Oh, il ne fallait pas!
Je le pensait vraiment.
La demoiselle, c'est a dire Réléna portait une robe rose fushia, avec un châle vert à franges jetés sur les épaules, aussi seyant qu'un vieux plaid sur une plage arrière d'Ibiza. Elle avait relevé ses cheveux blond en chignon serré et peint ses lèvres en rose (14)Heero portait un sweat-shirt et un pantacourt bleu marine. Je ne dirait pas que sa tenue le mettait en valeur, mais depuis notre première rencontre, je posai pour principe que tout lui allait, tant que le vêtement servait a souligner son physique plus qu'alléchant. Rasé de près et les cheveux légèrement décoiffé comme s'il les avait peignés à l'explosif. Et je n'ai aucune honte à avouer que je me sentais prêt à lui lécher lais aisselles, même pommadées de déodorant menen for men.
A trop espérer qu'il vint seul, je n'avais pas vraiment prévu d'autre siège en dehors du canapé. Aussi j'installai mes invités aux meilleurs places et m'assis de l'autre coté de la table basse, en tailleur sur un gros pouf. Réléna se montra enjouée et curieuse de me connaître, ma famille, mes loisirs, mon métier. Je lui répondit avec une distance courtoise, lui retournant ses questions quand elles devenaient trop indiscrètes à mon goût.
-Disons que pour l'instant, je n'ai personne en particulier dans ma vie. Et vous deux vous connaissez depuis longtemps?
Heero semblait beaucoup plus timide que lorsqu'il avait mit pour la première fois les pieds ici, une semaine plus tôt. Je le sentait embarrassé.
-On se fréquente depuis six mois et demi, et nos familles veulent déjà que l'on se fiance, mais nous on trouve sa tellement ringard.
La soirée se glissa sur d'aimable banalités. Quand je m'adressais a la Réléchose, je m'efforçais de pas le quitter des yeux, mais il l'évitait. Il fit la fête a mon saké, demandant à pouvoir s'en resservir au dessert, apparemment chez lui l'alcool délit sa langue aussi vite qu'une bombe atomique. J'en profitai pour le questionner scrupuleusement.
- Je travaille comme informaticien, dans l'entreprise du père de Réléna. En ce moment les ordinateurs beuguent tout le temps, un virus générale sans vraiment de gravité… attend, je n'aime pas voir les gens par terre alors que nous, nous sommes assis comme des pachas!
Et sans que j'eusse le temps de protester, il s'installa sur le tapis. Avec bonne volonté, Réléna chercha une façon assez décente de plier les genoux sous sa robe étroite pour nous rejoindre. Sa maladresse déclencha chez Heero une hilarité qui commença vite a me gagner.
Heero était un cinéphile acharné, captivé par du Spielberg et Peter Jackson, il faisait néanmoins montre d'une large culture. Voilà enfin un sujet sur lequel on pouvait discuter des heures entières, Réléna pour mon plus grand bonheur, se mettant en recul à ce tournant de la soirée. Je me souviens très bien le moment où mon pied gauche avait touché sa cuisse droite.
Chacun prenait ses aises, je m'était autorisé à ôter mes chaussures, et dans l'exubérance de l'évocation passionné d'une scène favorite, je détendis soudain ma jambe, qui rencontra celle de mon invité, sans me laisser déstabiliser par l'émotion (15) que provoqua cet attouchement innocent, je m'assurai, tout en poursuivant mon envolée lyrique que le geste accidentel n'avait pas contrarié Heero et qu'il avait échappé à Réléna. De fait que celle-ci que dans sa position, ne pouvait avoir vue sur ce qui se déroulait -et allait se poursuivre-sous la table basse.
Je commençai par de mouvement furtifs, afin de tester les réactions, contre la viscose bleue, ma chaussette noire se posait brièvement, glissait discrètement (16), puis revenait pour des appuis toujours plus marqués, Heero ne broncha pas, il s'amusait même, me semblait-il, davantage adepte de la vidéo, il avait un penchant pour le cinéma asiatique. A chaque anecdote, mon pied gagnait du terrain sur sa cuisse. Bientôt je m'enhardis à laisser mes orteils caresser sans interruption le haut de son pantalon, mon voisin gardait un sang-froid irréprochable, que je pris pour de l'encouragement.
Tandant la jambe au maximum, sans laisser paraître d'effort, je finis par sentir le paquet (17), du gros orteils, j'en détaillai les contours, j'en tester la consistance, j'en stimulai la résistance. Sur le visage d'Heero je voyais ses joues échaudées et percevais son souffle accéléré, je crus défaillir quand Réléna se pencha soudainement vers son ami:
-pardon j'ai des fourmis dans les jambes.
Je crus qu'elle avait vu ou deviné quelque chose, en voulant changer de posture, elle fit entendre soudain un bref déchirement.
-Merde, j'ai craqué ma robe!
Je me relevai a contre-cœur, détournant l'attention de l'excitation naissante, je proposai à Réléna d'aller vérifier les dégâts dans la salle de bain, elle y alla seule.
Heero essaya de ne pas pouffer de rire et me fit signe de me rasseoir, me fixant dans le blanc des yeux, sans dire un mot il attrapa mon pied d'une main impérieuse et le coucha (18), l'imprima sur son entre-jambe, où je sentis, sans doute possible, la plus belle érection je n'avait sentis auparavant. Une queue large et dure sur laquelle je serrait les orteils.
Soudain le visage de mon hôte se crispa et il repoussa mon pied sans ménagement, je me cognai la cheville contre le montant de la table; il n'y prêta même pas attention, quand Réléna revint de la salle de bain, en rassurant sur l'état de ses coutures, elle fut surprise de nous retrouver un peu plus calmé.
Heero donna le signal du départ en se levant. A elle je tendis la joue (19) elle fut chaleureuse, lui a peine aimable. Et ils partirent….
A suivre…
Alors ! Vous avez aimez ?
Vous aimeriez un second chapitre?
reviews
1:vous voyez qui c'est?
2:Ankei:loooooooooooooooooooool Wufei: raa la ferme Ankeisortant sa massue 1000000 T:Qu'est que ta dit? Wufei: rien rien
3:vous suivez?
4:ouf, c'est pas trop tôt lol
5:mais faut pas avoir peur Wuffy
6:c'est à dire au moins 15 minutes Wufei: arrête de te foutre de ma gueule!!!!!!! Ankei: maiseuhhhh
7:aaaa le couloir mon endroit favori
8:euh jockers lol
9:sa tu peut le dire mon wouffinou
10:mon dieu, c'est l'enfer sur terre
11:le pov il a les hormones qui bouillonnent
12: J'ai pas trouver mieux
13: J'adore les sushis, pas vous?
14:arg vision d'horreur
15:c'est clair que s'il saigne du nez sa va pas le faire
16:mon Wuffy est un vrai pervers
17:ouééé bingo!!!
18:le pied, pas Wufei bande de perverses
19:comment j'ai put écrire sa?!
